DES SITES WEB DANS L’EMBARRAS


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Par Steven Neill – Le 10 décembre 2016

Google, Microsoft, Facebook et Internet à donner.

L’utilisation des mensonges et de la tromperie a été un outil standard du commerce depuis plus d’un siècle par le gouvernement et par leurs bigots volontairement et/ou involontairement dans les principaux médias.  Quelques exemples incluent les propriétaires de journaux William Randolph Hearst et Joseph Pulitzer, avec les bénédictions du président américain, William McKinley, en répandant des mensonges pour attiser suffisamment les masses pour commencer une guerre avec l’Espagne.  Ceci a permis à William McKinley de commencer un empire américain en prenant les Philippines, Guam, Hawaï, et Porto Rico à la fin du 19ème siècle.  Dans les décennies suivantes, les médias ont suivi d’une manière obéissante avec la couverture de telles choses comme l’incident frauduleux du Golfe du Tonkin, l’attaque gouvernementale contre la branche Davidienne, le 11 septembre 2001, et le fiasco d’Obamacare.  Malgré les mensonges et les distorsions présentés par le gouvernement répandus par les médias obéissants, il y avait toujours quelques journalistes qui faisaient leur travail en rapportant la vérité.

En 1983, cinquante entreprises contrôlaient 90% des médias américains ; aujourd’hui ce sont seulement six multinationales.  Il s’agit de Viacom, Comcast, Time-Warner, Disney, CBS et News Corp, et ces entreprises travaillent très fort pour s’assurer que les nouvelles que vous entendez sont les nouvelles qu’ils et le gouvernement veulent que vous entendiez.  De la vidéo anti-musulmane qui « a causé » les assassinats de quatre Américains à Benghazi, de mentir sur l’état de l’économie avant l’effondrement de 2008, de la grande poussée pour promouvoir Obamacare, les médias poussent implacablement l’agenda du gouvernement et des corporations à son auditoire.  Ce contrôle est le rêve de tous les états tyranniques de l’histoire et le gouvernement américain y est presque parvenu.

Seulement, ils ont, comme l’Armée Américaine dans la bataille d’Arnhem de la Seconde Guerre Mondiale, poussé leur puissance trop loin et trop rapidement, ce qui a fait que le peuple américain ne peut plus faire confiance aux principaux médias actuels.  Au printemps 2016, un important sondage a été mené par  Media Insight Project, un partenariat entre le Centre de Recherches sur les Affaires Publiques d’Associated Press-NORC et l’American Press Institute ; Ils ont constaté que seulement 6% des sondés avaient confiance dans les principaux médias pour les nouvelles.  Les distorsions et les mensonges éhontés sont devenus tellement mauvais que même un initié de 30 ans comme Sharyl Attkisson a commenté : « Je crois qu’il y a une influence sans précédent sur les médias, pas seulement pour les nouvelles, mais, pour les images que vous voyez partout.  Par une campagne bien orchestrée et financée par les intérêts spéciaux, les intérêts politiques et les corporations.  Je pense que tout cela entre en jeu. »

Dans tous les formats, les principaux médias perdent des clients.  De l’échec des journaux à la baisse des cotes de la télévision, l’ancien modèle est en train de mourir à cause d’internet.  Internet est devenu la principale source d’informations pour un énorme pourcentage d’Américains aujourd’hui.  En fait, depuis 25 ans, internet a transformé le monde.  Il a complètement rénové la façon dont les gens font des affaires, communiquent, achètent des articles ménagers, planifient des vacances, trouvent des amis, recherchent des informations et à peu près toutes les activités humaines imaginables.  Depuis qu’il est devenu disponible pour les Américains moyens, internet a été un moyen de trouver des informations que les élites ne voulaient pas révéler et ils ont cherché à fermer cette source de liberté d’informations pendant des années.  Par la suite, avec le soutien de nombreuses sociétés multinationales comme Microsoft, Google, Dell, Yahoo, Amazon et Facebook, avec la bénédiction des agences globalistes comme le Conseil des Relations Étrangères, le LA Times,  NBC, la Chambre Internationale de Commerce et la Surveillance des Droits Humains, le président Barack Obama n’a pas réussi à renouveler le contrat avec ICANN, en donnant effectivement le contrôle d’internet à une société privée.

Cette société est ICANN (Corporation Internet pour les Noms et les Numéros Attribués) et il s’agit d’une société sans but lucratif basée en Californie.  En 1998, le Département du Commerce a commencé à conclure des contrats avec ICANN pour prendre en charge la gestion d’IANA (Autorité pour l’Assignation des Numéros par Internet) et le système de noms de domaine d’internet.  Le Département du Commerce des États-Unis a, en majeure partie, laissé ICANN se gouverner lui-même, mais, il a conservé le pouvoir de retirer le contrat de la société sans but lucratif.  En substance, ICANN enregistre les numéros (plus faciles pour les ordinateurs à utiliser) en utilisant des mots (plus faciles à utiliser par les humains) via le Système de Noms de Domaines (DNS).

Le système de noms de domaines (DNS) est essentiellement un répertoire pour les périphériques connectés à Internet qui aide à traduire les noms de domaines en adresses numériques IP.  Sans le DNS, il est difficile pour les gens d’accéder aux sites web, parce qu’il faut se rappeler un grand nombre d’adresses IP, une série de numéros comme « 194.66.82.10 ».  Donc, le président Obama vient de céder le pouvoir sur l’attribution des noms de domaines de Google.com au site web de votre église sans le consentement du Congrès et avec les objections de millions de citoyens américains.

Ceux qui appuient le transfert sont prompts à signaler qu’il n’y a rien à craindre de ce transfert, après tout ICANN est une société « privée » sous un groupe mondial multipartite pour superviser son conseil d’administration.  Qu’est-ce qui pourrait aller mal avec internet entre les mains d’une entreprise « privée » ? Beaucoup de choses.

ICANN est avant tout un monopole complet.  Il a le droit exclusif d’allouer et de renouveler les noms de domaines et c’est un pouvoir qui n’a pas toujours été utilisé avec bienveillance.  Il a également un contrôle complet sur le montant à charger pour un domaine de premier niveau, comme .com, .net, .biz, et plusieurs fois dans le passé, il a abusé de ces pouvoirs.  Par exemple, il a permis à un domaine de premier niveau nommé .sucks d’être acheté par la société Vox Populi qui facture $2.500 pour protéger le nom d’une société ou d’individus d’être achetés et calomniés avec un sucks après lui, puis, a échoué à restreindre la compagnie quand elle exécutait une opération d’extorsion.  ICANN a également été accusé à plusieurs reprises de prendre parti avec ceux qui ont le plus à payer pour leurs frais et, comme çà coûte plus d’un million de dollars pour qu’ICANN examine officiellement une plainte, peu de décisions sont annulées.

Un autre aspect troublant de ICANN, c’est qu’il a fait une fortune avec sa liste en rapide expansion des noms de domaine génériques de premier niveau (GTLD).  Des noms comme lawyer ; Google ; .africa, coutent au moins $200.000  chacun et, ensuite, il y a les frais annuels.  Le domaine .web a rapporté $135 millions dans leurs coffres, en leur donnant non seulement un monopole complet sur l’émission des domaines, mais, les moyens de créer un groupe d’élites très monopoliste auto-suffisant.

Amazon, le détaillant géant en ligne, a appliqué pour enregistrer le nom de domaine générique amazon  ICANN a écrit des limitations qui régissent la vente d’un nom de domaine, mais, puisque le nom .amazon ne tombe pas dans une des catégories qui sont interdites, il ne devrait pas y avoir de problèmes avec la demande d’Amazon.  Seuls les pays sud-américains du Brésil et du Pérou, par l’entremise du Comité Consultatif Gouvernemental (GAC), ont déclaré que cette demande était illégale, étant donné que le fleuve Amazone est une zone géographique habitée par environ 30 millions de personnes.  ICANN s’est rangé aux côtés des gouvernements en prouvant que l’avantage d’être un monopole est que vous pouvez établir des règles au fur et à mesure que vous avancez.  Amazon est en train de poursuivre l’ICANN sur la question.

Exactement la même chose est arrivé à la compagnie de sports appelée Patagonia quand elle a déposé une demande pour le domaine .patagonia.  Les gouvernements de l’Argentine et du Chili ont contesté et ICANN a décidé de ne pas vendre le nom à la société.  Cette tendance montre que non seulement les règles sont faites pour être brisées, mais, que les gouvernements doivent être apaisés.  Ce modèle est plus que perturbant étant donné que depuis 1998, les nations qui censurent régulièrement l’Internet de leurs citoyens, y compris la Russie, la Chine, l’Iran et l’Arabie Saoudite, ont poussé extrêmement fortement pour placer les fonctions de l’ICANN sous le contrôle de l’Union Internationale des Télécommunications de l’Organisation des Nations Unies dominée par la Russie et le président Obama peut très bien leur avoir simplement donné cette chance.

Car, comme indiqué ci-dessus, ICANN détient un monopole COMPLET sur la zone du World Wide Web, et des monopoles complets entre des mains privées sont illégaux dans la majeure partie du monde.  Lorsqu’il opère sous contrat avec le Département du Commerce, ICANN devient un monopole légal parce qu’il devient un «instrument» du gouvernement.

Comme le souligne L. Gordon Crovitz, dans son article : « Après l’abandon des États-Unis, Internet est donné à l’ONU. »  Lorsque l’ICANN est devenu indépendant, ils ont perdu ce parapluie de la protection du gouvernement des États-Unis, en laissant une ouverture à des contestations légales de tout gouvernement despotique sur la terre qui cherche à les forcer à devenir sous le contrôle des Nations Unies.  Ensuite, le président Obama, dans un autre cas de   « si vous voulez votre médecin, vous pouvez garder votre médecin », a simplement menti à nouveau quand il a promis que l’ICANN ne remplacerait pas le contrôle américain par une « autre organisation gouvernementale ou intergouvernementale ». Ce fait est vérifié le 14 octobre 2016, lorsque Barack Obama a prononcé un discours à Pittsburg, en Pennsylvanie, dans lequel il a glorifié les jours où trois réseaux majeurs diffusaient les nouvelles auxquelles la plupart des gens faisaient confiance.

Obama a poursuivi en disant : « Nous allons devoir reconstruire dans ce flux sauvage d’informations de l’ouest sauvage une sorte de fonction de guérison que les gens acceptent.  Il doit y avoir, je crois, une certaine façon de trier les informations qui passent par certains tests de vérité de base et ceux que nous devons rejeter, parce qu’ils n’ont tout simplement aucun fondement sur ce qui se passe réellement dans le monde, » a ajouté Barack Obama.

« C’est difficile à faire, mais, je pense que ça va être nécessaire, que ça va être possible.  La réponse n’est évidemment pas la censure, mais, elle crée des endroits où les gens peuvent dire « c’est fiable » et je suis toujours en mesure de discuter en toute sécurité des faits et ce que nous devrions faire à ce sujet », a-t-il ajouté.

Il ne devrait plus y avoir de doute quant à pourquoi Obama est allé contre le Congrès et la population pour donner l’Internet ; Nous ne pouvons plus avoir le « flot sauvage d’informations de l’ouest sauvage » pour informer les gens de ce qui se passe réellement dans le monde.

La chancelière allemande Angela Merkel, parlant lors d’une conférence de presse avec le président sortant Barack Obama, le 17 novembre 2016, a renforcé quel navire nous verrons bientôt arriver dans le port Internet ; La censure.  Elle a baptisé la montée de la politique populiste ou de la droite comme une « vague qui nous engloutit émanant des États-Unis ».

« Regardez le Parlement Européen.  Il y a beaucoup de gens qui cherchent des solutions simplistes et qui prêchent des solutions simplistes qui sont des politiques très hostiles.  Nous les avons ici en Europe ; Nous les avons aussi en Allemagne. »

« La numérisation est une force technologique perturbatrice qui entraîne des changements et des transformations profondes dans la société.  Regardez l’histoire de l’imprimerie, quand ceci a inventé quel genre de conséquences, ou l’industrialisation, quelles conséquences y a-t-il eu ? »

« Très souvent, cela a conduit à des processus énormes de transformation au sein des sociétés individuelles et il a fallu un certain temps pour que les sociétés apprennent à trouver les bons types de politiques pour contenir, gérer et diriger ceci. Nous vivons une période de profondes transformations. »

Elle a dirigé sa colère contre les Allemands qui sont fâchés de son inondation de l’Allemagne avec des envahisseurs musulmans et les pertes massive d’emplois, elle a attaqué le PEGIDA, le mouvement anti-migration de masse et anti-islamisation, en répétant leur slogan : ‘Wir Sind Das Volk’ (Nous sommes le peuple), et la chancelière a dit :

« La tâche la plus importante et la plus noble des politiciens de nos jours est de voir à ce que chaque personne puisse trouver sa place.  Mais ceux qui, apparemment, appartiennent à certains groupes disent « Nous sommes le peuple et pas les autres ».

Dans une autre de ces ironies fréquentes si souvent jetées sur les citoyens, Angela Merkel, une ancienne communiste de l’Allemagne de l’Est, dit maintenant du PEGIDA :

« Au moment où nous avons vu cette phrase en RDA [Allemagne de l’Est] quand le peuple se tenait dans les rues et disait, « nous sommes le peuple », cela m’a remplie d’une grande joie mais, le fait que ces gens l’aient détournée ne me remplit pas de joie. »

Combien de temps faudra-t-il avant que d’autres dirigeants du monde se joignent à Angela Merkel et au président Barack Obama pour demander la censure sur le web ?  Certes, les médias étrangers la demandent maintenant alors que le journal allemand Zeit a publié un article demandant des contrôles pour empêcher « un Donald Trump allemand », tandis que l’ancien site du journal britannique Indépendent a publié une liste de « faux » sites d’actualités qu’ils prétendent avoir transféré des votes « Vers Donald Trump ».  Même le réseau britannique de nouvelles, « The Guardian », est sur le train des fausses nouvelles.  Cette liste est la même qui est diffusée par Google et Facebook.

Par conséquent, l’instrument même qui est devenu la grande force d’égalisation contre le contrôle du corporatisme/mondialisme sur les principaux médias pourrait désormais devenir une autre arme dans leur arsenal de censure mondiale.  Malheureusement, ce n’est qu’une des nombreuses manières dont Internet est manipulé pour un avantage corporatiste/gouvernemental. Il suffit de regarder les deux moteurs de recherche les plus populaires et les sites des médias sociaux les plus populaires pour voir la censure complète en action.

« Quel type de médicament faut-il prendre pour croire que Microsoft est un ami ? » (Dr. Roy Schestowitz)

Google, Bing et Facebook ont un dossier ininterrompu de suppression des sites, d’annonces et de recherches qui ne suivent pas leur vision du monde.  Parmi les trois, Bing est certainement le plus petit, mais, en faisant partie de Microsoft, peut-être essaie-t-il plus fortement.  Bing prétend être neutre et, en fait, l’abonné peut mettre le moteur de recherche à sa propre préférence du conservateur ; Libéral ; Chrétien ; etc… ;  Alors, comment peuvent-ils être biaisés ?  Eh bien, le grand titre de Bing, le 16 août 2016, pour le conservateur biaisé de Bing, a présenté trois articles négatifs sur Donald Trump :

  • Donald Trump trace sa stratégie sur ISIS, et renouvelle sa campagne (CNN).
  • Analyse : Faire un certain sens de l’échec de la politique étrangère disjonctée de Donald Trump (NBC News).
  • Le vote anticipé limite le temps de Donald Trump de renverser sa campagne (New York Times).

Le premier titre implique que la campagne de Trump a stagné et a besoin d’un renouveau.  Le deuxième sur la politique étrangère présume que Donald Trump était chaotique et le troisième a noté que le vote anticipé donnerait à Hillary Clinton une telle avance qui découragerait les partisans de Trump de voter. Microsoft a fait don de $650.000 à la campagne d’Hillary Clinton et Bill et Melinda Gates ont été considérés comme de potentiels candidats à la vice-présidence pendant sa campagne présidentielle.

C’est Bill Gates, fondateur de Microsoft, dont l’obsession du globalisme et de la censure est bien connue, qui a déclaré ouvertement le 20 septembre 2016, lors d’une conférence à Vancouver, au Canada, que l’opposition au mondialisme était « une préoccupation majeure » et a affirmé que les questions sous-jacentes de la résistance méritent un examen attentif.  C’est le même Bill Gates qui, avec Steve Ballmer (PDG de Microsoft), a parlé au Forum économique mondial à Davos, en Suisse, au début de 2015, sur le besoin critique d’immigration et de plus de visas H-1B en raison d’une pénurie de travailleurs de haute technologie, puis, a licencié environ 18.000 travailleurs américains de haute technologie.

En 2010, la Chine a exigé que Google et Microsoft censurent les résultats de leurs moteurs de recherche en Chine.  Google a résisté, mais, Microsoft était plus que disposé à coopérer.  Bill Gates a même critiqué la décision de Google de censurer son moteur de recherche en Chine en disant : « Vous avez à décider : Voulez-vous obéir aux lois des pays où vous êtes, ou non ?  Sinon, vous pourriez finir par ne plus faire d’affaires dans ces pays. »  Le PDG de Microsoft, Steve Ballmer, a ensuite déclaré : « Si le gouvernement chinois nous donne un avis juridique approprié, nous retirerons ces informations du moteur de recherche Bing. »  Le président chinois Xi Jinping  s’est également arrêté pour dîner chez Bill Gates, en septembre 2015, avant de rencontrer les dirigeants de Microsoft, de Google et de Facebook parmi d’autres chefs d’entreprise.

La censure chinoise de Bing est tellement grande que le service chinois de surveillance anti-censure a fait de grands efforts pour démontrer que le contenu des censures chinoises de Bing est encore plus grand que le moteur de recherche appartenant à la Chine, « Baidu ».  Mais, ne vous inquiétez pas ; Le support de Microsoft pour ICANN était complètement au nom d’un Internet « libre ».

« La vie privée n’est plus une « norme sociale ».  (Mark Zuckerberg)

Facebook est tout aussi mauvais.  En plus d’être un ardent défenseur de la mondialisation et du libéralisme, le président de Facebook, Mark Zuckerberg, est la force contrôlante derrière la plateforme de médias sociaux les plus puissants jamais créée.  Facebook contrôle le dialogue mondial utilisé par plus d’un milliard de personnes avec une touche invisible qui est sans précédent.  Près des deux tiers des adultes américains obtiennent des nouvelles par les médias sociaux, avec 44% d’entre eux obtenant leurs nouvelles de Facebook seul. Cela signifie que les algorithmes de Facebook dominent l’information de près de la moitié du public américain.  Comme le dit Michael Nuñez de Gizmodo, « avec Facebook, nous ne savons pas ce que nous ne voyons pas. »   Et, il contrôle cette plate-forme avec une poigne de fer.

Facebook a mené de nombreuses études pour mieux comprendre comment l’information se propage dans un réseau social.  Par exemple, en 2010, Facebook a mené une expérience secrète sur 61 millions de personnes inconnues en manipulant leurs flux d’informations afin de déterminer avec quelle réussite ils pourraient manipuler les habitudes réelles de vote de ces personnes.  Plus tard, Facebook a publié les résultats et a affirmé qu’ils avaient augmenté la participation électorale de plus de 340.000 personnes.  Facebook déforme régulièrement les nouvelles qu’il publie ; En 2012, il a manipulé l’alimentation de 700.000 personnes sans leur consentement en les faisant se sentir triste et a ensuite publié les résultats dans la revue scientifique respectée, Procédures de l’Académie Nationale des Sciences.  Les résultats ont démontré de façon assez concluante que Facebook avait trouvé la clef pour influencer intentionnellement les émotions des gens.  Cette année, ils ont fait le même type d’expérience sur 1,9 million de personnes pour influencer les élections américaines.  En 2014, Facebook a utilisé le drapeau arc-en-ciel comme une autre expérience pour amener les gens à accepter plus les mariages homosexuels.

Facebook a fait un empire de ventes d’informations sur chaque personne qu’ils peuvent.  Il manipule ouvertement les flux et les messages qu’ils autorisent sur Facebook et les messages que les internautes peuvent placer aux autres membres de Facebook.  Facebook peut maintenant « à contrecœur » être « forcé » à manipuler leur algorithme pour réprimer les « fausses » nouvelles étant affichées sur Facebook.  Bien que cela ressemble à un objectif noble, le potentiel de censure est incontestable, surtout quand on regarde la liste des sites web qu’ils projettent par la censure.  Les sites Facebook et Google vont censurer comme « faux » ce qui a été créé par un professeur adjoint féministe auto-proclamée du Collège Merrimack qui n’a pas aimé les sites que ses étudiants citaient dans leurs documents de recherches.  Des sites comme Breitbart; Realfarmacy; Lew Rockwell; Zérohedge; et World Net Daily.  Bien que tous aient publié des articles qui se sont avérés faux, Facebook n’a aucun problème avec la présentation d’articles sur des sites de nouvelles encore moins fiables comme USA Today; MSNBC; CNN; BBC et le New York Times.  Google prévoit maintenant d’utiliser cette même liste pour censurer le contenu.  Il ne faut pas un scientifique dans les fusées pour voir que cette censure est dirigée.

« Nous savons où vous êtes.  Nous savons où vous avez été.  Nous pouvons plus ou moins savoir ce que vous pensez. » (Eric Schmidt)

Le dernier des trois grands maîtres de la manipulation est Google, et il est sans doute le plus grand du groupe.  Le PDG de Google, Eric Schmidt, est aussi ouvert avec son biais libéral qu’on pourrait l’être.  Le participant de Bilderberg a financé une compagnie de démarrage appelée « le fondement » pour fournir les experts techniques qu’Hillary Clinton avait besoin pour sa campagne.  Eric Schmidt a contribué à faire élire Barack Obama également en étant le principal fournisseur d’experts techniques pour les trois campagnes.

La technologie est autant l’alliée d’Eric Schmidt que Google est la porte d’accès à l’information.  Google fait une moyenne d’environ 40.000 requêtes de recherches chaque seconde, soit plus de 3,5 milliards de recherches par jour et 1,2 trillions de recherches par année dans le monde.  Google effectue plus de 64% de toutes les recherches sur Internet aux États-Unis et plus de 90% dans certains pays.  Google a indexé environ 45 milliards de pages web, tandis que Bing, son concurrent le plus proche, n’en a que 14 milliards.

Bien sûr, les 45 milliards de pages web ne sont qu’une partie du plan d’Eric Schmidt pour contrôler tout sur terre.  Eric Schmidt a déclaré que la vie privée était une excuse pour dissimuler les méfaits : « Si vous avez quelque chose que vous ne voulez pas que quelqu’un sache, peut-être que vous ne devriez pas le faire en premier lieu ».

Dans son plan pour vous priver de votre vie privée, Eric Schmidt a employé certains des technocrates supérieurs du monde pour trouver des moyens plus puissants de fouiller dans chaque coin de votre vie puisque les affaires de Google sont, littéralement, la surveillance de masse, et ils y sont devenus étonnamment bons.

Ils sont également un entrepreneur pour le gouvernement des États-Unis, y compris la NSA et pour plusieurs entrepreneurs militaires également.  Quand Edward Snowden a révélé au monde l’inimaginable monde du gouvernement qui espionnait les citoyens américains, il a également révélé que la NSA avait un accès direct aux informations stockées sur les ordinateurs de Google comme Facebook, Twitter, Bing et toutes les autres sociétés stockant des informations en ligne sur vous tous.

Dans un article de US News and de World Report, publié le 22 juin 2016, le contributeur Robert Epstein a rédigé un article extrêmement troublant sur la puissance de Google.  Selon Robert Epstein, « Lorsque les employés ou les algorithmes de Google décident de bloquer notre accès à l’information sur une nouvelle, un candidat ou une entreprise politique, cela fait que les opinions et les votes changent, la réputation est ruinée et les entreprises s’effondrent et brûlent. Parce que la censure en ligne est totalement non réglementée, en ce moment, les victimes ont peu ou pas de recours quand elles ont été troublées. »

Robert Epstein expose ensuite les listes noires que Google utilise, comme Jack the Ripper a fait ses couteaux, avec le premier étant la liste noire auto-complète. Celle-ci est assez simple ; Ceci guide tranquillement le chercheur vers où l’entreprise veut que vous alliez.  De se débarrasser des articles négatifs sur Hillary Clinton jusqu’à diriger vers des articles négatifs sur Donald Trump, il y a peu de doute que Google a eu un impact important sur les récentes élections américaines.  Dans toutes les recherches que vous faites, l’algorithme est votre guide spirituel.

Google Maps est une machine de rêve montrant à peu près chaque maison et chaque zone aux États-Unis et d’énormes sections du monde.  Ils n’ont pas demandé la permission pour filmer votre maison, ils l’ont tout simplement fait. Les installations militaires et quelques autres endroits sont exclus, mais, les chances sont que votre maison est là.

La liste noire de YouTube de Google permet aux utilisateurs d’étiqueter certains clips comme inappropriés et les censeurs de Google peuvent ou non les supprimer.  Cependant, YouTube est notoire pour enlever politiquement et moralement les vidéos conservatrices sur une base régulière tout en ne faisant jamais la même chose pour les vidéos libérales.  Ils sont également disposés à travailler avec les gouvernements étrangers pour déterminer quelles vidéos seront autorisées à être montrées dans le pays.

La liste noire de Google Adwords est la façon dont Google obtient la part du lion de son argent (environ 56 milliards de dollars par année) en vendant des mots-clés aux soumissionnaires les plus élevés.  Ces mots-clés sont la façon dont le site est trouvé par les chercheurs, donc si votre site n’y est pas, vous allez couler.  À de nombreuses reprises, Google a simplement supprimé ces mots-clés sur les sites en les rendant effectivement invisibles et en les écrasant financièrement.

La liste noire des moteurs de recherches est une situation de vivre ou mourir pour beaucoup de pages web.  Google, pour de nombreuses raisons inconnues, va baisser la page web dans la liste des classements en ruinant effectivement de nombreuses entreprises dans un temps très court.

Le pouvoir de la « liste noire » d’un site est cependant l’arme la plus redoutée de Google.  Google prétend que ce pouvoir est pour garder internet libre de tout logiciel malveillant qui, prétendent-ils, est un service public.  Les problèmes avec cet argument sont nombreux cependant.  La surveillance de Google fait souvent des erreurs, la liste noire des sites web qui ne contiennent pas de logiciels malveillants.

En raison de la façon dont Google analyse le web, tous les autres principaux moteurs de recherches utilisent leur « liste noire », ce qui signifie qu’une fois sur la liste, le site est effectivement coupé de l’accès public.  Google a utilisé ce pouvoir à de nombreuses occasions sur des gens qu’ils n’aimaient pas.  Google bénéficie même de cet arrangement puisqu’ils recueillent des informations de chaque utilisateur qui accède aux résultats de Google et les revendent.  Google est, à toutes fins pratiques, devenu la police d’internet et ils utilisent ce pouvoir pour promouvoir leur agenda globaliste sur une base régulière et ils soutiennent maintenant la même liste de « faux » sites d’informations que le Independent britannique et Facebook attaquent.

Google, Microsoft et Facebook ont tous les trois censuré des utilisateurs sur l’ordre des gouvernements du monde et les trois ont constamment censuré des utilisateurs sans raison apparente.  Ils, ainsi que Twitter (un autre monstre des médias sociaux) ont pris parti avec Barack Obama pour abandonner le droit de l’Amérique pour le contrôle d’internet.

« Ceux qui peuvent vous faire croire des absurdités, peuvent vous faire commettre des atrocités. »  (Voltaire)

Tragiquement, les États-Unis trouvent maintenant que tous les fournisseurs de médias ont été compromis et censurés par ceux qui ont des visions globalistes. Une fois que l’ICANN aura perdu son indépendance vis-à-vis de l’Organisation des Nations Unies, la reprise corporatiste/gouvernementale sera complète.

Le contrôle de l’accès à l’information est le rêve de tout tyran et notre gouvernement n’est pas différent.  Les principaux médias ont fait un travail magistral pour dissimuler la crise économique de 2008, tout comme ils l’ont fait pour la corruption d’Hillary Clinton ; L’implosion de la Deutsche Bank ; La menace croissante d’une guerre nucléaire avec la Russie ; La menace d’une bombe électromagnétique de la Corée du Nord et, maintenant, l’escalade de la violence des partisans d’Hillary Clinton après l’élection de Donald Trump.  Ce n’est que l’accès des gens à des sites d’informations alternatives qui a alerté et continue d’alerter ceux qui sont prêts à écouter la vérité pour que les nouvelles de ces événements puissent sortir.

Avec une population croissante de bigots à l’esprit fermée ne voulant même pas écouter des opinions ou des faits opposés, les États-Unis retournent lentement à l’âge des ténèbres avec seulement quelques sources contrôlant l’accès à l’information.  Les amoureux des libertés devraient se demander pourquoi ce moment particulier a été choisi par Barack Obama pour ouvrir la porte à la reprise par l’ONU d’un Internet déjà censuré.  Il est temps d’examiner la radio et d’autres formes de communications qui ne peuvent pas être contrôlées par les élites.  Ici, dans le nord-ouest du Pacifique, nous avons une excellente source d’informations appelée « Radio Free Redoubt ».  Le temps est essentiel car les jours de l’Internet ouvert arrivent rapidement à un point de fermeture.

« L’enfer est la vérité vue trop tard. »   (Thomas Hobbes)

Source : News With Views

Traduit par PLEINSFEUX.ORG


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