Israël se sent seul


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PRÉAMBULE

Afin de bien apprécier la teneur et la mesure de l’article ci-dessous, il faut savoir ce à quoi correspond sa pertinence. Prophétiquement, le prophète Daniel (Da.9:27) annonce un accord de paix en faveur d’Israël ! Toutefois, les étudiants de la Bible ont toujours pensé que cette paix se ferait entre Israël et les pays Arabes des alentours … Nous croyons maintenant qu’il n’en sera pas ainsi … La disposition politique des pays ci-haut mentionnés ne permet pas de croire à une telle réalisation et est de plus confirmée en Zacharie 12:2 !

 Des Bibles, telles : La Martin, la Bible de Genève et d’autres, disent bien; <Il confirmera l’alliance À plusieurs pour une semaine> (7 années) Ceci suppose que l’alliance n’a été que confirmée car elle était déjà signée. C’est ce qui fut fait en deux étapes lors des ACCORDS D’OSLO en 1993 et 1995 sous la présidence de M. Bill Clinton.

Nous avons vu comment au cours des dernières années, les pays qui appuyaient Israël se sont retirés l’un à un, jusqu’à ce qu’Israël se retrouve seule, soutenue par une unique puissance, mais non la moindre, les É-U d’Amérique. Le 27 juillet 2012, soit le 9 de Av (mois de calamité pour Israël) M. Barack Obama signait en présence de représentants d’Israël une entente qui devait apporter un soutient militaire et politique sans précédent à Israël.

Les observateurs de la prophétie n’ont pas hésité et avec raison, a y voir la confirmation de l’Alliance de Daniel 9:27 ! Cette alliance fut rendu publique…Ce qui justifiait vraisemblablement la déclaration Biblique qui se lit : […] confirmera une alliance à plusieurs. Toutefois, le lendemain matin, M. Barack Obama, revenait et niait sa décision prise la veille … ???

Pour un président de la plus grande puissance du monde, ce revirement est pour le moins étonnant et irresponsable ! De cette décision,Israël se plaindra de se retrouver seule, ayant donc perdu le soutient de ceux-là qui n’ont pas compris, par ignorance ou indifférence, qu’il est dangereux de s’élever contre le pays sur lequel, les yeux du Seigneur scrutent jour et nuit … (Ge. 12:3, et Jér. 31: 35-36)

Ce geste de retrait apportera sur les États-Unis d’Amérique une sécheresse sans précédent dans 26 états …

Cette signature était-elle celle de l’Anti-Christ ?

M. Obama reviendra-t-il sur sa décision ?

Les Écritures nous disent bien qu’il rompra cet engagement au milieu de la semaine, soit 3.5 années, et non au lendemain !

 M. O’Bama serait-il l’homme de la situation ? Certains le pensent. C’est le cas de M. Louis Farakan qui croit qu’il est le Messie !!! Farakan est un leader charismatique noir, suivi par des millions d’américano-africain. Nombreux sont les étudiants de la prophétie qui le pensent aussi …

M. Obama a doublé la dette des Américains en 4 années de présidence, a réduit la liberté constitutionnelle Américaine, a menacé de prison ceux qui s’élèveraient contre lui, a promu l’homosexualité au niveau du mariage hétérosexuel, a fabriqué et falsifié un certificat de naissance, s’est soustrait à de nombreuses promesses, s’est avoué Islamique, a reçu moult mises en demeures, et malgré sa descente en popularité, demeure toujours en place, sans signes d’affaiblissements dans ses discours télévisés, favorisant l’arrivée du Nouvel Ordre Mondial !!!

 Le président Américain aurait-il un agenda secret ? Nous croyons que ”oui ” !

 Le concept de l’Anti-Christ pesant sur les épaules du président est renforcé par le dévoilement de la signification étymologique de son nom. En Hébreu, le mot BARACK = ÉCLAIR, TONNERRE.  En Hébreu, le mot ”O” = venant de (une conjonction).  En Hébreu, le mot BARACK = venant d’un lieu élevé, du ciel, tombé.  Son nom semble associé au verset de Luc 10:18 qui dit : ” Je voyais Satan tomber du ciel comme un éclair ”

Cette décision d’abandonner Israël à un moment aussi important de ce peuple, ne serait-elle pas une ruse stratégique en faveur des peuples identifiés en Ézéchiel 38-39, leur donnant le ok et l’espace nécessaire à une attaque de destruction d’Israël, souvent mentionnée par les leaders de la Syrie, l’Iran, de nombreux pays Islamiques, réalisant ainsi le Ps. 83 ! Il faut aussi inclure la Russie qui vient de retirer 4 bateaux de guerre de la proximité des zones de batailles navales. Il ne faut non plus oublier l’Allemagne qui vient de vendre deux bateaux de combats de type 209 à l’Iran qui en possède déjà d’autres. Faut-il aussi mentionner la Turquie qui vient de se tourner vers l’Iran ? Que dire de l’Égypte qui n’a pas hésité à rompre son accord de paix signé l’année après la guerre du Yom Kippour de 1973 … et qui se retrouvent sous les fanatiques frères Musulmans, et sous un leader pire que M. Moubarak, le Musulman Morsei (Voir Ésaïe 19). De plus, Israël est appelé à être abandonné de toutes les nations ( Zac. 12:3 ) Comme un grand livre, l’histoire est ouverte devant nous. Nous croyons que nous sommes parvenus au terme du temps alloué à l’humanité avant le retour du Schilo, et nous croyons aussi qu’Israël est encore dans l’endurcissement et a besoin du secours spirituel de l’Église (Ro. 11:25).

 Israël croit encore en sa puissance militaire ayant oublié que l’histoire sans repentance est appelée à se répéter car Dieu est le même en toutes choses. (Jérémie. 31:1; Ps. 28:8)

À Pleins Feux sur l’Heure Juste, nous croyons que très bientôt, s’accomplira la prophétie d’Ésaïe 17, amorçant ainsi la période des troubles de Jacob  (Jér. 30:7) jusqu’à ce qu’Israël ait épuisé ses forces (Ésaïe 17:4) et se tourne vers Celui qu’ils ont percé. (Zac. 12:10)

Pour Pleins Feux,

Pierre J. Gilbert (Marc 13:23)


ISRAËL SE SENT SEUL

En s’attaquant à l’Iran, Israël ressent de plus en plus «qu’il n’y a personne sur qui compter, sauf lui-même», dit un officiel. Malgré la promesse de la Maison-Blanche de s’engager envers la sécurité d’Israël, Jérusalem se plaint du refus par les États-Unis « d’établir des lignes rouges » pour contrecarrer Téhéran en route vers la bombe.

Par Ilan Ben Zion – Le 1 septembre 2012

La combinaison des progrès de l’Iran vers la bombe, l’échec des États-Unis de «fixer des lignes rouges » pour l’Iran, et les commentaires de plus en plus critiques par les militaires de haut niveau des États-Unis concernant une éventuelle frappe Israélienne contre l’Iran, ont laissé Israël avec « un sentiment aigu qu’il n’y a personne sur qui se fier sauf lui-même », a déclaré un haut fonctionnaire Israélien.

Le fonctionnaire anonyme a été cité sur la chaîne Israélienne de nouvelles, Chaîne 2, samedi soir.  Ses commentaires sont venus alors que les nouvelles provenant des États-Unis diminuerais considérablement un grand exercice conjoint américano-israélien de défense contre les missiles, prévu le mois prochain.

Pendant le week-end, la Maison-Blanche a réitéré son engagement envers la sécurité d’Israël, mais, cela a attiré une réponse cinglante de source Israélienne :  «Il est difficile d’expliquer le fossé entre les commentaires de la Maison Blanche à propos de son engagement envers la sécurité d’Israël et les observations formulées par le chef d’état major Américain», a indiqué le responsable. «Ce qui importe ne sont pas les mots mais les actions.»

Vendredi, Israël avait déjà répondu amèrement aux observations formulées par le Chef du personnel conjoint des États-Unis, le général Martin Dempsey, qui a déclaré, jeudi, qu’il ne voulait pas « être complice » si Israël devait frapper les installations nucléaires de l’Iran.

Vendredi, une source à Jérusalem a qualifié «d’étranges» les commentaires de Dempsey et a dit qu’ils caractérisaient l’échec des États-Unis de prendre une position déterminante contre le programme nucléaire de l’Iran.

«Il est étrange que, suite aux serments et aux diffamations sanglantes du chef suprême Iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, la production en Iran, une référence au sommet du mouvement des non-alignés de cette semaine et le dernier rapport de l’Agence Internationale de l’Énergie Atomique, qui stipule que l’Iran accélère l’enrichissement de l’uranium sous son nez, le chef américain du personnel décide de parler d’une frappe Israélienne plutôt que de donner un message déterminé aux Iraniens», a dit la source.

S’adressant aux journalistes à Londres, jeudi, Dempsey a fait les observations publiques les plus claires provenant d’un haut fonctionnaire Américain en distançant les États-Unis de toute attaque Israélienne contre l’Iran.  Il a dit qu’une attaque Israélienne contre les installations nucléaires de l’Iran, qui serait actuellement sérieusement envisagée par le Premier Ministre Benjamin Netanyahu, «ralentirait clairement, mais, ne détruirait probablement pas le programme nucléaire de l’Iran. » Puis, il ajouta : « Je ne veux pas être complice si Israël décide de le faire.»

Dempsey a averti que la « coalition internationale » qui applique les pressions contre l’Iran « pourrait être sans effet si l’Iran était attaquée prématurément ». Les sanctions contre l’Iran ont un effet, et il faut leur donner une chance raisonnable de réussir, a-t-il ajouté.

Les commentateurs Israéliens ont beaucoup réagi, vendredi, sur l’utilisation de Dempsey du mot «complice». Le chef de l’armée Américaine aurait dit qu’il ne voulait pas être un «partenaire» d’Israël ou son «allié» dans une attaque contre l’Iran, a noté l’analyste Oren Nahari sur Chaîne 1 de la télévision d’état, mais, Dempsey a plutôt employé un terme avec des connotations criminelles.

Sur le même canal, l’analyste Ari Shavit a dit que les événements de la semaine dernière, incluant la publication du rapport de l’Agence Internationale de l’Énergie Atomique montrant que l’Iran étend son programme d’enrichissement nucléaire et l’hébergement par l’Iran du Mouvement des non-alignés dans lequel l’Iran a déclaré vouloir continuer ses activités nucléaires, ont montré que la diplomatie et les sanctions ont échoué, et pourtant, les États-Unis ne font rien pour augmenter la pression contre l’Iran.

Il y a deux semaines, a noté Shavit, le président Israélien Shimon Peres a publiquement placé sa foi dans le président Obama pour contrecarrer les avancées de l’Iran vers la bombe. La politique actuelle de l’Amérique, «emblémisée» par les commentaires de Dempsey, a déclaré Shavit, «constitue une claque retentissante dans le bureau de Peres et pour les autres modérés Israéliens qui veulent placer leur foi dans les États-Unis.»

Compte tenu de la répugnance Américaine déclarée publiquement à réagir, «Israël est poussé dans le coin, d’une manière qui est vraiment dangereuse», a déclaré Shavit. «Si tous ces joueurs modérés, aux États-Unis et en Europe, sont tellement préoccupés par une action dangereuse d’Israël contre l’Iran, pourquoi n’ont-ils pas pris de mesures significatives ?» a-t-il demandé.

Pourquoi, par exemple, a continué Shavit, les États-Unis n’ont-ils pas condamné le rassemblement du Mouvement des non-alignés à Téhéran ? Et pourquoi, a demandé Shavit, Obama «n’a-t-il pas commenté de sa propre voix le rapport de l’Agence Internationale de l’Énergie Atomique, qui dit en substance : «M. Obama, vous avez échoué ?»

Oded Granot, un analyste régional, a dit sur le même programme que l’Iran «ne pensait pas qu’Obama allait réagir» par la force pour arrêter son programme nucléaire.

Sur Chaîne 2, le journaliste diplomatique Udi Segal a dit que les commentaires, comme ceux de Dempsey, pourraient renforcer le sentiment pour la direction Israélienne  «qu’il n’y a peut-être personne d’autre qui va nous aider».

http://www.timesofisrael.com/in-tackling-iran-israel-increasingly-feels-it-has-no-one-to-rely-on-but-itself-official-says/


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