LA LOI DE TRUMP POUR INTERDIRE LES VOYAGES


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Par Bryan Fischer – Le 6 juin 2017

Elle est légale, même si elle mentionne les musulmans.

Donald Trump a sans aucune question l’autorité unilatérale pour suspendre l’immigration à partir de toute nation musulmane qu’il souhaite, et la Cour Suprême devrait l’affirmer, cette semaine, lorsqu’elle se prononcera sur l’interdiction de voyage de Donald Trump.

Les tribunaux inférieurs ont prononcé des injonctions contre son interdiction de voyager, même la version améliorée politiquement correcte, s’est plaint de Donald Trump hier, et Donald Trump demande à la Cour Suprême de lever cette injonction et d’autoriser l’entrée effective en fonction de l’interdiction pendant qu’elle est débattue devant les tribunaux.

La Cour Suprême devrait, sans aucun doute, accéder à sa demande.  En fait, la Cour Suprême ne devrait pas du tout aborder cette question.  La Cour Suprême devrait rejeter toute l’affaire parce que la Cour Suprême elle-même n’a pas la possibilité d’intervenir.  La loi précise qu’une telle interdiction est la province exclusive du pouvoir exécutif et, par conséquent, la Cour Suprême n’a aucun droit légal ou constitutionnel d’intervenir.  Ni la Constitution et ni la loi ne confèrent à la Cour Suprême un rôle quelconque dans l’établissement d’une politique d’immigration.

Les adhérents de l’Islam sont des « étrangers inadmissibles » selon 8 U.S.C. Code 1182, qui refuse l’entrée à « tout immigrant qui est ou a été un membre ou un affilié au communiste ou à tout autre parti totalitaire ».

L’établissement d’un califat mondial est une partie intégrante de l’Islam orthodoxe.  L’Islam n’est pas seulement une religion, mais aussi, un système politique totalitaire, avec la Charia régissant chaque partie de la vie.  L’Islam donne aux infidèles, comme vous et moi, trois choix : La conversion, la soumission ou la mort.  L’Islam est aussi totalitaire que possible, parce que cela ne vise rien de moins que la domination politique à l’échelle nationale et à l’échelle mondiale.  Si les communistes peuvent être empêchés d’entrer parce qu’ils préconisent un système politique totalitaire, les musulmans peuvent être exclus pour la même raison.

De plus, les partisans dévots de l’Islam représentent une menace manifeste pour notre sécurité et notre unité culturelle.  Pas tous, bien sûr, mais trop pour tolérer en toute sécurité.  Jusqu’à ce que quelqu’un nous montre comment identifier infailliblement les musulmans dont nous devons nous inquiéter et les distinguer de ceux que nous ne voulons pas, nous devons faire attention à tous.

Au milieu de la crise de l’Ebola, il y a plusieurs années, six ou sept nations africaines ont complètement interdit les déplacements à partir de n’importe quel pays qui était aux prises avec une épidémie d’Ebola.  Est-ce que chaque voyageur de ces pays était infecté ?  Bien sûr que non.  Mais, comme il n’y avait aucun moyen de dire à l’avance quels voyageurs étaient des transporteurs et lesquels ne l’étaient pas, ces nations ont sagement décidé d’aller du côté de la prudence dans le meilleur intérêt de leur propre pays.  Ils savaient que les immigrants parfaitement inoffensifs se verraient refuser l’entrée, mais c’était beaucoup moins important que de protéger la santé de la nation.

La loi précise clairement que le président a le pouvoir incontestable d’interdire l’immigration à tout groupe d’étrangers, musulmans ou non, qui représentent une menace pour l’intérêt de notre pays.  La loi ne pouvait être plus claire ou moins ambiguë :

« Chaque fois que le Président constate que l’entrée d’étrangers ou de toute classe d’étrangers aux États-Unis pourrait nuire aux intérêts des États-Unis, il peut, par proclamation, et pour la durée qu’il jugera nécessaire, suspendre l’entrée de tous les étrangers ou de toutes classes d’étrangers en tant qu’immigrants ou non-immigrants, ou il peut imposer toutes les restrictions nécessaires à l’entrée des étrangers qu’il jugera approprié. »   (~ 8 USC 1182(f))

C’est ridicule pour les critiques de s’opposer à ce que l’interdiction de voyager de Donald Trump soit interrompue car elle constitue une discrimination inconstitutionnelle contre les musulmans.  Pour commencer, les immigrants potentiels n’ont aucun droit constitutionnel.  Les droits constitutionnels s’appliquent aux résidents légaux des États-Unis.  Vous devez être légalement présents dans ce pays avant d’avoir une revendication aux droits constitutionnels.  Il n’y a pas le droit à l’immigration aux États-Unis.  C’est un privilège, mais ne peut jamais être un droit, parce qu’il s’agirait d’une capitulation de la souveraineté nationale et d’une violation du droit de chaque nation de contrôler l’immigration comme bon lui semble.

Étant donné que les immigrants potentiels n’ont pas de droits constitutionnels qu’ils peuvent revendiquer, religieux ou autrement, il est inutile que l’entrée soit refusée en raison de la religion ou de la politique tant que, selon le président, ces étrangers représentent une menace réelle et préjudiciable pour les intérêts des Américains.  Même si l’interdiction du président n’utilise pas le mot «musulman», cela pourrait se faire sans menacer sa légalité de toute façon.

À titre d’exemple, il est absolument inutile de savoir si le président l’a tweeté ou non.  La seule question qu’un tribunal devrait considérer est le libellé actuel de la loi et l’appliquer équitablement et objectivement à la question dont il est saisi. S’il se laissent distraire par un bavardage totalement étranger, ils seraient en violation de leur serment d’office et devraient avoir honte d’eux-mêmes.

Compte tenu du langage cristallin de la loi, la Cour Suprême violerait à la fois la Loi et la Constitution si elle n’acceptait pas l’interdiction de voyager du président. La Cour Suprême elle-même enfreindrait la loi, en détruisant la Constitution et en renonçant à toute autorité morale en insistant pour que ses édits soient respectés.  La Constitution est suprême, et non la Cour Suprême.  La Cour Suprême est une branche de gouvernement co-égale, et non la branche suprême du gouvernement.

Les critiques gauchistes ont accusé Donald Trump de fascisme et ils voient les tribunaux comme nos protecteurs.  C’est l’inverse.  Les tribunaux agissent comme des dictateurs, menaçant notre sécurité et la règle de droit, alors que le président est celui qui cherche à protéger le peuple américain.  La justice doit-elle prévaloir ?

Source : Rapture Forums 

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

 

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