LA QUESTION JUIVE


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LA QUESTION JUIVE

Par Debra Rae – Le 9 novembre 2013

« La haine pratique » de l’homme déchu
Pendant plus de dix générations, Dieu a fidèlement augmenté la nation d’Israël à la fois en nombre et en substance. Néanmoins, probablement par crainte et par jalousie, les premiers dirigeants de la terre et, par la suite, l’empire égyptien, ont mis en place une politique antisémite. Plus tard, plusieurs centaines d’années avant Jésus-Christ, un haut dirigeant de la cour du roi Xerxès, Haman, a comploté en vain pour détruire la totalité de la race juive. Ni les bains de sang à Massada, ni la brutale captivité et l’esclavage en Assyrie, à Babylone, ou en Égypte n’ont accompli ce que Haman espérait.

Depuis les temps anciens, à travers les âges sombres, puis la Renaissance en France et en Russie jusqu’à l’ère du nationalisme, la Première Guerre mondiale, et au-delà, le vitriol anti-juif a donné naissance à une sorte de pseudo-histoire accusant les Juifs pour pratiquement n’importe quoi, y compris la peste noire de l’Europe.

Les ennemis d’Israël
D’une manière surprenante pour certains, depuis près de deux mille ans, même les chrétiens européens ont pratiqué l’antisémitisme (Rausch, 1988). L’auteur Phyllis Goldstein expose ce qu’elle appelle « une haine pratique » : l’antisémitisme après l’Holocauste, tout au long de la guerre froide et dans la société contemporaine. « Ici », a-t-elle ajouté, « le nationalisme et la xénophobie se heurtent dans une tempête parfaite de bigoterie et de persécution. »

Le Juif « utile »
Curieusement, à travers l’histoire, les Juifs sont connus pour avoir opprimé leur propre peuple. Dans des contextes variés, le terme « Juifs utiles » a été appliqué à une personne qui a contribué à mettre en œuvre certaines politiques officielles et souvent oppressives. Le despotisme éclairé des années 1700 a abouti à l’édit de tolérance qui permettait aux Juifs d’être « utiles à l’État ».  Les « Juifs protégés » de la Prusse du milieu des années 1700 consistait en la sélection de certaines riches familles juives dont les fils premiers-nés héritaient de privilèges mais dont les enfants supplémentaires étaient jugés « inutiles » par les autorités.

Dans la Russie impériale, seuls les Juifs utiles, à l’instar de la première guilde des marchands, étaient autorisés à vivre en dehors de leur zone de résidence. En Union soviétique, les membres corrompus du Comité anti-sioniste du public soviétique étaient connus comme des Juifs utiles. Par la suite, la Police juive en Europe, occupée par les nazis, a été surnommée « les Juifs valeureux » parce qu’ils avaient accepté la solution finale d’Hitler.

Le Juif « inutile »
Tout au long des siècles, les antisémites enragés ont inspiré les meurtriers en Russie, les intifadas, les émeutes, le pillage et le génocide. En effet, le prétendu « problème juif » identifie les Juifs en tant que groupe ethnique le plus universellement détesté et persécuté dans l’histoire. Le Juif apparemment « inutile » attire des insultes racistes indignes d’être répétées.

Pour affecter la transformation du monde, Karl Marx a donné la parole et a ainsi légitimé l’antisémitisme politique. Le judaïsme, a-t-il insisté, doit être radié. Étant tout à fait conscient que le national-socialisme et la religion ne pouvaient pas coexister, Hitler a opportunément utilisé la religion à des fins politiques. Certains nazis croyaient qu’en renonçant à leurs origines juives, le christianisme pourrait être nazifié. Avec le temps, cependant, le Parti a encouragé les nazis engagés à abandonner les églises et a ainsi minimisé l’influence du christianisme en Allemagne.

Lors de sa prise de pouvoir en 1933, l’État nazi a de plus en plus mis en œuvre des mesures radicales visant à isoler et, finalement, éliminer les Juifs de l’Allemagne (et, au final, de toute l’Europe). Grâce aux lois de Nuremberg, les Juifs ont été dépouillés de leurs citoyennetés. Avec le temps, ils ont été arrachés des ghettos pour être internés dans des camps de concentration parrainés par l’État.

La solution finale de la question juive impliquait une extermination systématique. La célèbre citation de Raul Hilberg résume l’histoire juive : « D’abord, on nous dit : Vous n’êtes pas assez bon pour vivre parmi nous en tant que Juifs. Ensuite, on nous dit : Vous n’êtes pas assez bon pour vivre parmi nous. Enfin, on nous dit : Vous n’êtes pas assez bon vivre.  »

Chrétiens antisémites
L’appel à la première croisade a soulevé les passions et a inspiré une flambée de violence anti-juive. Endettés auprès des prêteurs juifs, beaucoup de croisés se sont endettés pour s’armer. Comme prolongement de leur mission « chrétienne »,  ceux-ci ont rationalisé leurs tueries des Juifs pour venger le sang de Celui qu’ils avaient « crucifié ». Les Juifs résistants ont été pillés, privé de leurs marchandises, expulsé des villes et massacrés.

En 1242, l’Inquisition a condamné et brûlé des milliers de volumes du Talmud. En France, les Juifs ont été brûlés sur le bûcher. La conversion juste au christianisme n’est pas par l’épée, pourtant, sous Constantin, les préjugés se sont intensifiés contre les Juifs qui ont refusé de se convertir. En 1481, l’Inquisition s’intensifie, cette fois-ci, en Espagne. Par la suite, en 1492, les Juifs d’Espagne sont expulsés ; des milliers s’enfuient au Portugal, où une nouvelle phase de l’Inquisition a commencé vers 1531 et, ensuite, a continué jusqu’à la fin du XVIIIe siècle.

En aucun cas, ces atrocités propulsées par la haine contre les Juifs (ou tout autre groupe d’ailleurs) n’étaient dirigées par des actions pieuses conduites par l’esprit de chrétiens honorant la Bible, loin de là. Pourtant, de larges mouvements de « chrétiens » contre les Juifs, comme des complots d’extorsions, des persécutions, des expulsions massives et des conversions forcées, ont préparé le terrain pour les inimitiés futures.

La question juive
Dans son livre La Question Juive (1843), Bruno Bauer a jugé que, avant de parvenir à l’émancipation politique, la religion juive devait d’abord être éliminée. En réponse, Karl Marx a écrit un essai, Au Sujet de la Question Juive (1844) dans lequel il se centre sur l’inégalité économique et critique le capitalisme. Depuis les années 1880, les opposants antisémites à l’établissement d’un État juif ont utilisé le terme énormément. Dans l’Allemagne d’Hitler, le terme « question juive » questionnait le problème d’un État, à savoir l’existence même des Juifs.

Entre 1859 et 1871, Albert Pike a travaillé sur un plan militaire prévoyant trois guerres mondiales et différentes révolutions à travers le monde. Selon lui, ceci permettrait de mettre en action le plan pour la domination mondiale. Selon le plan des Illuminati, la Troisième Guerre Mondiale doit être fomentée par les sionistes politiques en opposition aux dirigeants du monde musulman. Après leurs destructions mutuelles, les pays restants vont continuer à lutter sur la question jusqu’à leur épuisement total.

Amis d’Israël
Bien que le monde, en bonne partie, ait fermé les yeux, les Juifs de l’Holocauste avaient des amis fidèles, dont certains étaient des croyants chrétiens, comme Corrie Ten Boom et le pasteur Dietrich Bonhoeffer, pour n’en nommer que deux. D’autres étaient des laïcs. Le fameux homme d’affaires d’origine allemande et membre du Parti nazi, Oskar Schindler, a connu la richesse et la notoriété. Grâce à la corruption et aux cadeaux somptueux, il a bénéficié du soutien des SS. Troublé profondément par la maltraitance des Juifs, Schindler a finalement changé d’orientation en s’éloignant de la guerre pour sauver des vies.

Lorsque l’Allemagne a capitulé, Schindler a été crédité d’avoir sauvé de l’extermination plus d’un millier de Juifs polonais. Depuis 1963, le mémorial de l’Holocauste en Israël a reconnu des dizaines de milliers d’amis. Avec Schindler, ceux-ci ont reçu le titre honorifique de Justes parmi les nations.

L’antisémitisme du XXIe siècle
Dans la culture occidentale postmoderne, le thème central de l’afrocentrisme est que ce qui se passe en Occident est mauvais, mais tout ce qui se passe à l’extérieur de l’Afrique est bon. Ceux qui contestent le mouvement sont marqués comme racistes. Le directeur du programme d’études afro-américaines d’Harvard, le professeur Henry Louis Gates, Jr., s’oppose à juste titre à ce type de boucs émissaires afrocentriques. On peut se demander, cependant, si une attention égale est donnée à l’antisémitisme.

Cette forme de racisme – l’antisémitisme – parle de préjudices résultant en la discrimination et les persécutions spécifiquement contre les Juifs en tant que groupe ethnique. D’une manière générale, un Sémite est membre de l’un des peuples du Proche et du Moyen-Orient dont les langues sont liées. En revanche, la race parle de la lignée sanguine et l’origine ethnique répond à un sentiment commun d’identité et de culture.

La Déclaration de La Mecque, en 1981, a promis le djihad contre Israël jusqu’à ce que le dernier Juif dans le monde soit éliminé. De toute évidence, une nouvelle vague d’antisémitisme a balayé l’Amérique, provoqué par sa communauté musulmane en pleine croissance, mais aussi (peut-être d’une façon inattendue) dans ses églises chrétiennes. Vous voyez, la théologie du remplacement soutient que l’Église a définitivement remplacé Israël comme instrument de Dieu. Pour les théologiens du remplacement, Dieu en a entièrement terminé avec les Juifs ; et Israël n’a pas d’avenir en tant que nation particulière dans l’économie de Dieu (Chilton 1985).

Mais, ce n’est tout simplement pas vrai.

La réponse de Dieu à la « haine pratique »
En réfléchissant à la question juive, je me souviens du Violon sur le toit dans lequel Tevye se pose une question révélatrice : « Je sais, je sais, » reconnaît-il. « Nous sommes votre peuple élu. Mais, de temps en temps, peux-tu te choisir quelqu’un d’autre ? » Il s’agit du récit de la vie dans un petit shtetl russe, sous la dynastie des Romanov. À l’époque, la propagande anti-juive en Russie occidentale a souvent conduit à des massacres ; au final, ce ne sont pas moins de 1500 citoyens juifs qui ont perdu la vie.

Les athées, les musulmans radicaux et la droite, les chrétiens fondamentalistes sont parmi les plus détestés dans le monde ; mais les Juifs sont ceux que l’on hait depuis le plus longtemps. Quelle ironie que beaucoup haïssent Dieu Lui-même qui, par sa nature même, aime tellement. Un film et chef d’œuvre provocateur, Le procès de Dieu (2008), aborde le dilemme de Tevye, mais, cette fois-ci, sans une pointe d’humour. Dans l’attente de la mort inévitable dans le plus célèbre camp de la mort du Troisième Reich, Auschwitz, un groupe de Juifs forme un tribunal rabbinique et entame le procès de Dieu. Dans un univers vraisemblablement dirigé par un bienveillant Dieu Tout-Puissant, ils s’interrogent sur la façon dont l’Holocauste a pu se produire à moins que Dieu soit responsable de leurs souffrances, et donc, coupable d’avoir violé Sa Sainte Alliance.

Le plan continuel de Dieu pour Israël
L’homme d’État Daniel le savait bien. Son livre éponyme rempli d’espérance met en valeur la fidélité de Dieu, sa fidélité passée, présente et future. Grâce à cette fidélité, Daniel se réfère à un historique complet d’Israël à partir de son époque jusqu’à celle du Messie. En outre, il révèle la restauration miraculeuse d’Israël en tant que nation dans un délai de 70 semaines de sept ans chacune (soit un total de 490 ans), commençant par le commandement de restaurer Jérusalem.

Des amis gauchistes ont engendré des Juifs gauchistes
Bien que considérés avec suspicion par de nombreux Juifs, la droite chrétienne d’aujourd’hui se lie d’amitié et défend Israël comme peu d’autres le font. Alors, pourquoi existe-t-il tellement de juifs gauchistes ? L’auteur Norman Podhoretz tente de répondre à cette question embarrassante. D’une part, il suggère que Karl Marx a hypnotisé les Juifs. Das Kapital est devenu un nouveau type de Torah, représentant le messianisme des Juifs. Le mouvement ouvrier marxiste a promis de renverser le capitalisme, de procurer des salaires plus élevés et d’améliorer les conditions de travail pour la grande majorité des Juifs en Amérique qui, entre autres, étaient pauvres et impuissants.

Ensuite, lorsque l’officier d’artillerie français, Alfred Dreyfus, un Juif, a été accusé de trahison pour avoir cédé des secrets militaires aux Allemands, les camarades juifs ont cru que leurs seuls amis étaient vers la gauche. Depuis sa création, en 1894, jusqu’à sa résolution, en 1906, l’affaire Dreyfus a divisé la France. Se basant prétendument sur des preuves forgées, la condamnation du capitaine se classe parmi les drames politiques par excellence de l’histoire de la France et de l’Europe moderne.

Historiquement, la gauche américaine s’est liée d’amitié avec Israël. Les Juifs ont embrassé le 32e président des États-Unis, populairement connu comme FDR (Franklin Delano Roosevelt), comme une sorte de Moïse et le 33e président Harry S. Truman comme le père de l’État juif. Bien que John F. Kennedy était considéré tiède envers Israël, les Juifs ont apprécié que le 36e président, Lyndon B. Johnson, ait terminé le New Deal de Roosevelt. Notre 39e président Jimmy Carter a négocié des pourparlers de paix et un traité entre Israël et l’Égypte, mais, plus tard, est devenu ouvertement et violemment hostile envers Israël. Rejetant Carter, les Juifs ont tourné leurs espoirts, bien qu’à contrecœur, sur le 40e président, Ronald Reagan. Malgré la peur généralisée des Juifs envers les droits religieux, le président a sympathisé avec Begin pour la mise en œuvre de nombreuses grandes politiques économiques et étrangères.

La réponse de Dieu à la « haine pratique »
Israël signifie « prévaloir avec Dieu » ou « prince avec Dieu ». « Israël » désigne le fils d’Isaac (Jacob) ou ses descendants, les douze tribus des Hébreux. Cela fait référence aux dix tribus du nord du pays, en opposition avec Juda. Au fil du temps, le terme « Juif » a fini par représenter l’ensemble de la race hébraïque dans le monde entier.

À ce jour, beaucoup considèrent tous les Juifs comme les contrôleurs du monde qui, en pratique, ne sont pas particulièrement religieux. Les théoriciens affirment que les Juifs s’unissent universellement dans une cabale exclusive, fortunée et clandestine, impitoyablement consacrée à la domination du monde. Les Protocoles depuis longtemps discrédités et décidément antisémites dépeignent les Juifs comme « une république contre la monarchie, un socialisme contre la république et un bolchevisme contre le socialisme ».

Un système mondial en émergence conçu et propulsé par l’élite dirigeante est évident. Certes, les Juifs servent le gouvernement de l’ombre, mais c’est le cas des homologues des Gentils. Soyons clairs : toute la race hébraïque n’est pas coupable. De pur sang juif, Paul a expliqué que les descendants d’Israël ne sont pas tous vraiment d’Israël. Les chrétiens bibliques considèrent Abraham comme le père de tous ceux qui croient, les Juifs d’abord, puis les Gentils. Par conséquent, parmi les appelés et les choisis de Dieu repose la Nouvelle Alliance, les chrétiens dirigés par l’Esprit-Saint, « l’Israël spirituell ». Mis à part pour Dieu, la collectivité des fidèles ne touche pas à ce qui est impur.

Vers le bas, mais, pas dehors
En présence de, et pour le bénéfice d’Abraham et de sa descendance, Dieu a fait une alliance solennelle consacrée par le sang avec Lui-même. Pendant qu’Abraham dormait, Dieu a traversé seul le sentier couvert de sang entre les sacrifices des animaux massacrés, en se jurant à Lui-même (seul témoin autorisé) de respecter ses promesses. Aucune condition n’était imposée à Abraham. Quoi qu’Abraham fasse, ou omette de faire, Dieu avait juré de multiplier sa semence comme les étoiles du ciel et de lui accorder les terers « depuis le fleuve d’Égypte jusqu’au grand fleuve, le fleuve Euphrate ».

Autrement dit, le plan de Dieu implique et même dispose d’Israël, distinguant Israël dans les Écritures comme « le centre de la Terre ». Israël était prédestinée à « fleurir comme une rose », à prêter et non à emprunter, à régner et non pas à être gouvernée. Ézéchiel décrit la nation d’Israël comme « vivant en toute sécurité » après leur retour de nombreux pays. Oui, la mort est intervenue avant l’accomplissement des promesses de Dieu à Abram, mais, par la foi, il les voit bien « loin » ; Abram croyait fermement que Dieu tiendrait Ses promesses, même celles qui n’avaient pas été accomplies dans le temps de l’Ancien Testament.

Secoué, mais épargné
La révolte de la Macca, qui a écrasé les Séleucides et l’hellénisme au cours de la période de silence de 400 ans entre l’Ancien et le Nouveau Testament, a marqué le dernier établissement d’un État juif unifié avant 1948. Prophétiquement, la génération pendant laquelle Israël est rétablie en tant que nation, plus précisément la génération des « boomers », ne passera pas avant que tous les discours eschatologiques du Christ ne s’accomplissent.

Décrite comme « une tasse d’étourdissement » et « une pierre pesante » pour les nations environnantes, Israël a été et sera ébranlée par ce que certaines autorités décrivent comme trois échanges nucléaires totaux ; mais elle sera épargnée de l’anéantissement total. La possession totale du territoire légitime donné par Dieu à Israël, s’étendant du Nil à l’Euphrate, sera réalisée (probablement dans le règne millénaire de Christ).

Bons ou mauvais fruits ? Bénédictions ou malédictions ?
Alors que tout bon arbre porte de bons fruits, les mauvais arbres portent de mauvais fruits. Tandis que l’amour, la paix, la patience et la bonté marquent les fruits de l’esprit (qui représente le bon arbre), le mauvais arbre produit de la haine, des émulations, de la colère, des querelles, des hérésies, de l’envie et des meurtres. Par conséquent, l’antisémitisme comporte sept choses que Dieu déteste explicitement, à savoir les yeux hautains, la langue menteuse, les mains qui répandent le sang innocent, le cœur qui conçoit des projets maléfiques, les pieds qui courent rapidement vers le mal, les menteurs et les agitateurs entre frères. Maudire Israël signifie maudire Dieu Lui-même.

D’autre part, bénir Israël signifie bénir Dieu par Israël. Dans les mots de Gary Gilley : « Une représentation juste et équilibrée du Moyen-Orient révélera qu’une nation est bien au-dessus des autres dans ses engagements envers les droits de l’homme et envers la démocratie, ainsi que dans ses engagements pour la paix et la sécurité mutuelle. Cette nation est Israël. » Si elle devait abandonner Israël, laissant ainsi 0,02 % de la population mondiale être seule contre 20% tenant mordicus à « l’effacer de la face de la terre », l’Amérique renoncerait volontairement aux bénédictions de Dieu et son destin en tant que « terre d’alliance » serait fatalement compromis.

Conclusion
Les promesses viennent avec un prix. Bercé dans le judaïsme orthodoxe, l’apôtre Paul a subi des « échardes persistantes dans la chair », une cécité momentanée, la fureur meurtrière de ses amis juifs, des menaces de flagellation, des naufrages, l’emprisonnement et même des saisons de découragement et d’obscurité. En fin de compte, Paul a été exécuté.

Par l’alliance du sang, Dieu reste marié à la nation d’Israël, malgré ses infidélités. C.H. Spurgeon nous rappelle que « le vent de tempête balaie la peste au loin et la morsure du froid desserre le sol. De sombres nuages distillent les gouttes lumineuses et la terre noire produit de magnifiques fleurs. » Souffrir avec (et pour) notre Seigneur pour être glorifié avec Lui.

« L’Éternel a pitié de Sion, Il a pitié de toutes ses ruines. Et de ses déserts, Il en fera un Éden ; ses déserts deviendront comme un jardin de l’Éternel. La joie et l’allégresse s’y retrouveront, l’action de grâce et le son d’une mélodie. »

Ainsi soit-il.

http://www.newswithviews.com/Rae/debra244.htm

Traduit par PLEINSFEUX.ORG


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