LA REINE DES CIEUX


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La « Reine des Cieux » de l’Église Catholique provient de la Babylone païenne.

Par Geoffrey Grider – Le 10 février 2016

Rome, le plus grande empire ayant dominé le monde humain avec la durée de vie la plus longue, a assimilé les religions de ses nombreux territoires conquis. Toutes ces religions ont des points communs, parce qu’elles proviennent toutes de Babylone.  Ces pratiques ont infiltré et ont surmonté les doctrines de l’Église Chrétienne, qui a été plus tard dominée par Rome elle-même.  Beaucoup de religions païennes pratiquaient le culte de la mère et l’enfant, que ce soit Devaki et Krishna (Inde), Isis et Horus (Égypte), Vénus ou Fortuna et Jupiter (Rome), et ainsi de suite.  Chaque nation donnait des noms différents pour essentiellement le même dieu ou déesse.

Les traditions catholiques romaines de la « Madone et l’Enfant » ont commencé dans la Babylone païenne avec les histoires de Nimrod, de Sémiramis et du bébé Tammuz.

« Les enfants ramassent du bois, les pères allument le feu, et les femmes pétrissent la pâte, pour préparer des gâteaux à la reine du ciel, et pour faire des libations à d’autres dieux, afin de m’irriter. » (Jérémie 7:18)

Jusqu’à l’âge de 30 ans, j’ai été un produit typique du système catholique. J’avais été aspergé comme bébé, j’avais reçu la « première sainte communion », j’avais avoué mes péchés à un « prêtre », et j’avais complété le sacrement catholique de la « confirmation », tout ceci, avant le temps de compléter ma 5ième année.  Si quelqu’un m’avait demandé qui était la « Reine des Cieux », je lui aurais répondu immédiatement et avec précision.  La « Reine des Cieux » était la même Vierge Marie que j’avais appris à prier et à chercher le salut durant toute ma vie.  Cependant, ce que je ne savais pas, c’était que le Dieu de la Bible dit que la « Reine des Cieux » est une abomination païenne qui l’irrite.

Afin de tenter de contenir le flux de critiques que les catholiques reçoivent à propos de l’idolâtrie d’idoles de simples humains, comme la Marie biblique, nous avons été formés pour dire aux gens que, « Non, nous ne vénérons pas Marie, nous la vénérons simplement par respect ».  Mais, pour ceux d’entre nous à « l’intérieur », nous savions différemment.  On nous a appris à prier Marie plus qu’à quiconque d’autre, avec des prières comme celle-ci :

« Ô Mère du Perpétuel Secours, accorde-moi toujours d’être en mesure de faire appel à ton nom puissant, parce que ton nom est l’aide des vivants et le salut des mourants.  Ah, Marie la plus pure, Marie la plus douce, accorde-moi que ton nom, à partir de ce jour, puisse être pour moi le souffle même de la vie.  Chère Dame, ne tarde pas à venir à mon secours chaque fois que je t’invoque ; Parce que dans toutes les tentations qui m’assaillent, dans toutes les nécessités qui me frappent, je ne cesserai jamais d’en appeler à toi, jamais en répétant : Marie, Marie.  Quel réconfort, quelle douceur, quelle confiance, quelle tendresse remplissent mon âme au son de ton nom, à la pensée même de toi !  Je rends grâce à notre Seigneur qui, à cause de moi, t’a donné un nom si doux, si aimable, si puissant.  Mais, je ne me contente pas simplement de prononcer ton nom ; Je voudrais le prononcer pour l’amour même de  toi ;  C’est mon désir que cet amour devrait toujours me rappeler pour te nommer, Mère du Perpétuel Secours. »

Si vous pensez que dire quelque chose comme ça n’est pas adorer ou prier, vous vous trompez fortement.  C’était tout simplement une des dizaines de prières à Marie approuvées par le Vatican.  Les écoles et les églises catholiques aiment  placer des statues de la Vierge Marie et de l’Enfant Jésus dans les salles de classe et les chapelles.  Partout où vous allez, la Vierge et l’Enfant apparaissent devant vous comme une apparition.  Mais, en vieillissant, j’ai découvert que les statues de ce genre n’ont pas commencé avec Marie et Jésus, même pas proche.  Les traditions Catholiques Romaines de la « Vierge à l’Enfant » ont commencé dans la Babylone païenne avec les histoires de Nimrod, de Sémiramis et du bébé Tammuz.

Dans son excellent livre, la Religion des Mystères de Babylone, l’auteur Ralph Woodrow nous montre d’où provient le culte catholique de la « Mère et l’Enfant ».

Nimrod, le vaillant chasseur devant (contre) le Seigneur, fut le premier à organiser des villes dans un royaume sous une domination humaine. (Genèse 10:8-10)  Nous le savons à partir de la Bible.  Le nom Nimrod provient du mot, marad, ce qui signifie « il s’est rebellé ».  La légende veut que Nimrod a épousé sa propre mère, Sémiramis.  Après la mort de Nimrod, Semiramis a déclaré que Nimrod était le dieu-soleil.  Plus tard, elle a eu un enfant, Tammuz, qu’elle a déclaré être Nimrod né de nouveau, surnaturellement conçu, la semence promise, le « sauveur ».  Semiramis a développé une religion du culte de la mère et de l’enfant.  Des symboles ont été utilisés pour développer une religion du « mystère ».  Depuis lors, Nimrod a été considéré comme le dieu-soleil (Baal), le feu étant considéré comme sa représentation terrestre.  Sous d’autres formes, Nimrod a été symbolisé par des images du soleil, des poissons, des arbres, des piliers et des animaux.  Tammuz, fils du dieu-soleil, a été représenté par le veau d’or.  Et, c’est ainsi que l’humanité a suivi cette religion d’adorations de la création (créature) au lieu du Créateur.  (Romains 1:21-26)

Rome, le plus grand empire à dominer le monde humain avec la plus longue durée de vie, a assimilé les religions de ses nombreux territoires conquis.  Toutes ces religions ont des points communs, parce qu’elles proviennent toutes de Babylone.  Ces pratiques ont infiltré et ont surmonté les doctrines de l’Église Chrétienne, qui est venue plus tard à être dominée par Rome elle-même. Beaucoup de religions païennes avaient le culte de la mère et l’enfant, comme Devaki et Krishna (Inde), Isis et Horus (Égypte), Vénus où Fortuna et Jupiter (Rome), et ainsi de suite.  Chaque nation a donné des noms différents pour essentiellement le même dieu où déesse.

Une déesse mère, ou « Reine des Cieux », a déclaré avoir donné naissance miraculeusement à un fils.  L’ancienne Israël a parfois suivi cette fausse religion, (Juges 2:13, 10:6; I Samuel 7:3-4, 12:10 ; I Rois 11:5 ; II Rois 23:13 ; Jérémie 44:17-19), avec des résultats désastreux.  A Ephèse, Sémiramis était adorée comme la grande mère Diana, la déesse avec de nombreux seins.  Cette forme de culte mère-enfant a été suivie dans toute l’Asie et dans le monde.  (Actes 19:27)

Le culte à Marie n’avait aucune place dans l’Église Chrétienne primitive.  Même l’Encyclopédie Catholique (article, « Vierge Marie », pages 459-460) admet que, dans les premiers siècles après Jésus-Christ, il n’y avait aucune trace d’un culte à Marie.  Au quatrième siècle, à l’époque de l’empereur Constantin, adorer Marie comme une déesse et offrir des gâteaux à son sanctuaire, a commencé à entrer dans les doctrines de l’Église.  En 431 après Jésus-Christ, le concile d’Éphèse rend officiel le culte à Marie.  En mélangeant des croyances déjà pratiquées (Diane d’Éphèse adorée comme une déesse) avec le Christianisme nominal, les supposés « pères » de l’Église ont raisonné qu’ils pourraient gagner plus de convertis.  C’est toujours la même histoire.  Les apostats pensent que l’abaissement des normes de Dieu se traduit par une meilleure forme de religion, plus acceptable et populaire pour les masses.

La Bible est claire qu’il n’y a qu’un seul médiateur entre Dieu et les hommes, l’homme Jésus-Christ. (I Timothée 2:5)  Pourtant, le Catholicisme Romain enseigne que Marie est aussi une « médiatrice ».  Les Catholiques offrent des prières à Marie, brûlent des bougies à Marie et ont des statues de Marie, qui sont entrées directement à partir de leurs homologues païens.  Isis, la déesse égyptienne, était connue comme la « mère de Dieu », exactement comme Marie pour les catholiques.  Weigall, dans Le Paganisme dans notre Christianisme, à la page 129, a dit : « Quand le Christianisme a triomphé, ces tableaux et figures sont devenues celles de la Vierge et l’Enfant, sans aucune interruption : Aucun archéologue, en fait, ne peut maintenant dire si certains de ces objets représentent l’un ou l’autre ».

Dans la religion païenne, la mère a été adorée autant (ou plus) que son fils !  L’écrivain Catholique Romain, Alphonse de Liguori, a souligné que les prières adressées à Marie sont beaucoup plus efficaces que celles au Christ.  Marie est déifiée comme la « Reine des Cieux », née sans péché (Immaculée Conception), la « Mère de Dieu », exactement comme les adorateurs païens ont déifié Isis, Vénus, Astarté, et ainsi de suite.  Jésus n’a pas enseigné que Marie était supérieure aux autres êtres humains.  Lorsque quelqu’un Lui a mentionné Sa mère et Ses frères, Jésus a demandé : « Qui est ma mère ?  Et, qui sont mes frères ? »   Puis, étendant la main vers ses disciples, il dit : « Comme Jésus s’adressait encore à la foule, voici, sa mère et ses frères, qui étaient dehors, cherchèrent à lui parler.  Quelqu’un lui dit : Voici, ta mère et tes frères sont dehors, et ils cherchent à te parler.  Mais Jésus répondit à celui qui le lui disait : Qui est ma mère, et qui sont mes frères ?  Puis, étendant la main sur ses disciples, il dit : Voici ma mère et mes frères.  Car, quiconque fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux, celui-là est mon frère, et ma sœur, et ma mère. » (Matthieu 12:46-50)  Quiconque fait la volonté de Dieu est sur le même niveau que Marie.

Le rosaire est étroitement associé à la prière à Marie, une chaîne de quinze séries de petites perles, délimitée par une grosse perle.  Les extrémités de la chaîne sont reliées par une médaille avec une empreinte de Marie, à partir de laquelle pend une courte chaîne avec un crucifix à la fin.  L’utilisation de compteurs de prières ou le rosaire est une coutume presque universelle dans les religions païennes.  De Ninive jusqu’à l’Inde et la Chine, des perles ont été utilisées dans le cadre des cultes.  Les Phéniciens utilisaient un cercle de billes ressemblant à un rosaire dans le culte à Astarté, la déesse mère, dès 800 avant Jésus-Christ.  François Xavier a été étonné de voir que des chapelets étaient universellement familiers pour les bouddhistes du Japon.

La principale prière du rosaire est « l’Ave Maria ».  Le chapelet complet répète l’Ave Maria 53 fois, la prière du Seigneur 6 fois, et plusieurs autres récitations. L’Ave Maria combine la déclaration de l’ange à Marie à partir de la Bible avec le blasphème non biblique, « Je te salue Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec toi ; Tu es bénie entre toutes les femmes, et Jésus [une traduction libre de Luc 1:28] le fruit de tes entrailles est béni.  Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de la mort, Amen »  Marie n’était pas la mère de Dieu, elle n’était pas sainte, elle était une femme juste qui est morte dans sa tombe, en attendant la résurrection pour la vie éternelle, avec tous les autres qui sont morts en Christ.

L’Encyclopédie Catholique dit : « Il y a peu ou aucune trace de l’Ave Maria comme une formule de dévotion acceptée avant environ l’an 1050 » article « Ave Maria », page 111.  Jésus nous a instruit de ne pas utiliser de vaines répétitions quand nous prions. (Matthieu 6:7-8)  Le soi-disant « Notre Père », versets 9-13, était une prière modèle, pas une prière à être répétée d’une manière monotone.  Jésus a dit effectivement de « prier ainsi » (de cette manière, vous devez prier), pas de « prier juste cela ».  La prière doit être spontanée, non pas une mémoire mécanique sans signification sincère.

Maintenant, vous savez d’où provient l’idée du culte de Marie, parce qu’il ne provient certainement pas de la Bible.

Il n’y a pas un seul verset des Écritures dans toute la Bible qui donne un quelconque poids aux prières à Marie, aux adorations de Marie, ni de placer Marie dans une quelconque position de proéminence.  Le livre des Actes montre que Marie était au Cénacle le jour de la Pentecôte, mais, simplement comme un témoin silencieux.  Personne ne lui demande rien, et elle ne propose aucun commentaire d’aucune sorte.  Plutôt étrange, ne pensez-vous pas, compte tenu de la position élevée qui lui est offerte par l’Église Catholique ?

« Et j’entendis du ciel une autre voix qui disait : Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n’ayez point de part à ses fléaux. »  (Apocalypse 18:4)

L’Église Catholique Romaine est la prostituée de Babylone prophétisée dans les chapitres 17 et 18 du livre de l’Apocalypse.  Il s’agit d’un système que Dieu déteste et qui sera détruit un jour pendant le temps de la détresse de Jacob.  Le Seigneur m’a sauvé dans les années 1990, et Il m’a sorti de ce faux système.  Il fera de même pour vous si vous voulez savoir la vérité.

« …vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira. »  (Jean 8:32)

Source : Now The End Begins

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

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