LA VRAI NATURE DE L’ONU …


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Lorsque derrière la butte, apparaissent des oreilles pointues, seul l’œil exercé peut distinguer si elles sont celles du loup ou celles du fidèle chien de garde ! Mais lorsque toute la tête est mise en lumière, les doutes et les soupçons s’estompent pour faire place à l’accueil ou la défensive.

Se voulant fidèle à sa mission de sentinelle tout en montrant du doigt les divins avertissements prophétiques, Pleins Feux sur l’heure Juste vous invite à une entrevue des plus significative, révélant la vraie nature et les intentions cachées de l’agenda du millénium des Nations-Unies. Nous voulons du même coup remercier monsieur Geoff Metcalf du World Net Daily de nous accorder la permission de son droit d’auteur afin de reproduire cette entrevue d’une grande particularité avec madame Joan Veon.

DANIEL 7 :7
“Après cela, je regardais dans mes visions de la nuit, et voici, une quatrième bête, terrible, épouvantable et extraordinairement forte. Elle avait de grandes dents de fer; elle mangeait, elle brisait et foulait aux pieds ce qui restait; elle était différente de toutes les bêtes qui l’avaient précédée, et elle avait dix cornes. “

DANIEL 11:21
“À sa place il s’élèvera un homme méprisé, auquel on ne donnera pas l’honneur de la royauté; mais il viendra inopinément, et il s’emparera de la royauté par des flatteries.”
 

 APOCALYPSE 6:2
“Or, je regardai, et voici un cheval blanc, et celui qui était monté dessus avait un arc, et on lui donna une couronne, et il partit en vainqueur, et pour remporter la victoire.”

APOCALYPSE 13: 7
“Il lui fut aussi donné de faire la guerre aux saints, et de les vaincre. Et il lui fut donné puissance sur toute tribu, langue, et nation.”
  

Par Dr Pierre Gilbert

SUNDAY Q&A
L’INSOUTENABLE AGENDA
DU MILLENIUM DES NATIONS-UNIES

Interview d’une experte des Nations Unies,
Mme Joan Veon par Geoff Metcalf
© 2000 WorldNetDaily.com


Il y a de cela plusieurs années, la femme d’affaires Joan Veon ne soupçonnait même pas qu’un jour, elle se tiendrait debout en compagnie des plus grands leaders mondiaux, dans la mise en place de leur plan, pour l’avènement du gouvernement global. Depuis ce temps cependant, Veon a fait d’intensives recherches aux Nations-Unies, au sujet de l’agenda de la mise en place de cette organisation, qui exigea des douzaines de conférences aux Nations-Unies. Dans son livre, “Prince Charles — The Sustainable Prince,” Veon explora les nombreuses facettes, reliant le prince Charles avec d’un côté les Nations Unies, et de l’autre, l’association des plus puissants de tous les leaders du monde.

Le reporter du WorldNetDaily et l’animateur, M. Geoff Metcalf a récemment interviewé Mme Veon à propos de son analyse critique envers les Nations Unies, et leurs plans pour le futur du monde entier.

L’émission quotidienne de Metcalf à la radio peut être entendu sur le TalkNetDaily en jours de semaine, depuis 7 p.m. jusqu’à 10 p.m. selon l’heure de l’est.


Question : S’il vous plait, pouvez-vous expliquer à nos lecteurs l’impact et la nature de vos découvertes à propos des Nations Unies et de leur agenda politique.

Réponse : Avant de me rendre au Caire pour assister à ma première conférence des Nations-Unies, je me pensais très instruite au sujet de la politique internationale et je croyais être bien informée. J’étais une activiste engagée et me sentais très concernée par ce qui se passait dans les écoles – l’avortement, la distribution de condoms, et également avec le contenu de base de l’éducation. J’étais très considérée par les plus hautes instances du pays et dans les affaires de l’état, au sujet des destinées de la société. Du moins c’est ce que je pensais alors. Et puis un jour, je décidai de me rendre à la conférence économique du Caire parce que je devais à écrire un article sur ce sujet dans un journal économique. Je voulais surtout voir de plus près ce que représentait réellement les Nations-Unies, car je venais de réaliser que je ne savais presque rien de ce qu’elles étaient ni ce qu’elles faisaient dans ces rencontres.

Je fus vraiment choquée et stupéfaite de ce que je vis à cette conférence des Nations-Unies. Et ce n’était pas seulement à cause de la conférence elle-même, mais surtout de la structure même de ces conférences. Et ce que j’avais devant moi, c’était l’avancement et la mise en place d’un agenda politique dont je ne soupçonnais même pas l’existence. Je me rappelle le Vice-Président Gore – il venait tout juste d’être élu à cette époque – discourant de l’obligation de réduire la population mondiale. Alors je pensai, “Qu’est-ce que cela ? Est-ce que le peuple Américain connaît ce qui se passe ici ?”

La conférence du Caire fut pour moi l’élément déclencheur qui m’ouvrit les yeux sur ces choses. Je revins du Caire avec une mallette pleine de documents. Je voulais découvrir l’ampleur et la profondeur du plan des Nations-Unies, et où elles en étaient relativement à la mise en place de leur agenda. Lorsque je revins à la maison, je réalisa qu’il y avait un terrible secret et un ” blackout ” total dans la nature même de cet agenda, et de tout ce qu’il comportait en réalité.

Q : Qu’y a-t’il de différent, depuis que vous êtes allée, de façon innocente, à la rencontre du Caire, et à celle de San Francisco qui fut dirigée par Gorbachev en 1995 ?

R : Cette réunion eut lieu un an plus tard. Mais entre ces deux conférences, je suis allée à sept autres réunions. À ce moment là, je n’en étais encore qu’au premier stade du processus de compréhension de l’agenda, lorsque je me rendis à mon tout premier forum de Gorbachev sur “l’État mondial”. Pendant deux ans et demi, j’avais l’impression que ma tête était comme dans un bol de Jell-O, parce que j’étais confuse et j’essayais de comprendre et de me connecter à la réalité de leur vision.

Vous savez, lorsque vous et moi parlons de cet agenda, nous n’avons pas à nous contenter d’un maigre 24 secondes, contrairement à ce qui se passe lorsque nous devons parler à la radio, car c’est le temps moyen auquel un auditeur peut demeurer attentif. Cela m’a pris quelques temps avant d’arriver à comprendre leur agenda. En six ans, j’ai assisté à 36 conférences et j’ai parlé avec les présidents et les premiers ministres de partout dans le monde.

Q : J’aimerais vous exposer certaines phrases clés, afin que vous nous commentiez cela plus à fond. “Partenariat public et privé.” Ceci ne laisse pas sous-entendre quelque chose de très menaçant ?

R : Une des choses que nous devons nous rappeler, c’est que les Nations-Unies, n’ont jamais défini les mots utilisés. Actuellement, la signification des mots qui apparaissent dans les divers documents publiés, se trouvent profondément cachés dans la syntaxe de leurs textes. Et ceci représente l’une des nombreuses facettes que je dus travailler pour comprendre parfaitement la nature réelle et le but de leur agenda. “Partenariat privé et public”, est une expression que j’ai entendue pour la première fois en 1996. Ça m’a pris six mois de recherche pour comprendre sa signification. J’ai écrit deux livres à propos de cela. Ceci devient extrêmement simple lorsque nous connaissons la clef. C’est Al Gore qui a dirigé les changements structuraux complets dans nos gouvernements, à partir de cette expression. De façon bizarre, il n’a jamais parlé de ceci, ni des raisons pour lesquelles le peuple américain devrait l’élire comme président, alors que c’est lui-même qui a fait en sorte de restructurer notre Constitution. Mais un partenariat privé et public, représente exactement ce qu’il dit.

Q : Expliquez nous en quoi consistent ses différentes composantes.

R : Premièrement, c’est une association. C’est un arrangement d’affaires. Ceci est extrêmement important, car le but de toute entreprise c’est de faire du profit. Mais le partenariat dans cet arrangement particulier, est à la fois public et privé. Le partenariat public se rapporte au gouvernement : local, national, d’état, fédéral, étranger et international. Chacune de ces composantes peut être mêlée avec les autres, une, deux ou trois peuvent être entremêlées.

Q : Nous avons un très bon exemple dans une toute dernière entente qui vient juste d’être signée. C’est dans cette entente que Andy Cuomo a monnayé la compagnie Smith & Wesson pour signer un ostensible partenariat privé et public, qui aboutira à un contrôle gouvernemental de l’industrie privée.

R : Le partenariat privé est composé des entreprises incluant, les multinationales, les corporations transnationales – aussi bien que des organisations non gouvernementales. C’est le résultat de la pratique de différentes philosophies autres que celles qui sont inscrites dans la Constitution, et qui sont les philosophies des multinationales et des corporations transnationales. Mais qu’est-ce qu’un partenariat privé et public ? C’est le transfert des responsabilités gouvernementales et des services gouvernementaux dans un partenariat avec d’autres parties – principalement avec celles qui possèdent les plus gros porte feuilles d’argent – parce que notre pays, autant dans les gouvernements locaux que celles des états tout entiers sont tous au bord de la faillite. Ce que ces gens disent maintenant à ces conférences c’est: “Écoutez, nous avons besoin de meilleurs leviers économiques et de plus d’argent pour nous aider à rencontrer nos obligations quotidiennes en tant que gouvernement. C’est pourquoi nous devons penser et agir différemment.”

Q : Encore une fois, c’est le pouvoir de l’argent qui est en cause : Celui qui détient l’argent devient le décideur de la nation toute entière.

R : Exactement. Ils disent, “Et nous ne pouvons le faire que dans un partenariat, un partenariat privé et public.” Les habitants de Dallas ne veulent pas une augmentation de taxes, alors ils doivent utiliser ce qu’ils appellent “une innovation financière.” Le système d’aqueduc de la ville vient tout juste d’être enlevé de la juridiction du peuple de Dallas, pour devenir une nouvelle entité, qui est en fait un partenariat entre le gouvernement et le secteur privé. Tous ces gens se sont assis autour d’une table, et ils ont négocié une alliance corporative. Mais la vrai question sur cette alliance, c’est de savoir qui détient réellement le pouvoir ? Vous et moi savons très clairement que celui qui détient le plus gros portefeuille détient toujours le pouvoir. Alors qu’est-ce que cela veut dire ?

Q : Un démantèlement de la propriété publique ?

R : Oui monsieur. Ceci représente un démantèlement majeur des propriétés du gouvernement, au profit d’un nouveau partenariat privé et public, et qui a pour objectif de tout mettre sous le contrôle de certaines société privées, ce qui en soit, représente la même philosophie que le fascisme, parce que le fascisme c’est justement le mariage entre le gouvernement et ceux qui détiennent le pouvoir économique, c’est à dire les sociétés privées. Et le but ultime de tout cela c’est le profit – et pour eux, le citoyen n’est rien de plus qu’un client.

Q : Une des choses que nous avons essayé d’expliquer à nos lecteurs est cette phrase qui a été répétée tant de fois — “le développement soutenable.” Mais qu’est-ce que cela veut vraiment dire ?

R : Le développement soutenable apparut en 1992 au sommet de la terre à Rio et, en fait, J’ai intitulé mon livre, “Prince Charles — The Sustainable Prince” à partir de cette expression. Car il est celui qui a mis en avant cet agenda politique digne du scénario du “Grand frère” que nous retrouvons dans le livre de Georges Orwell. Le but final c’est de développer un nouveau concept. L’expression “développement soutenable” n’apparaît jamais dans aucun document officiel des Nations-Unies, avant l’année 1992. Le sommet de la terre à Rio fut celui qui amena la création de ce nouveau concept. Le développement soutenable, dit grossièrement qu’il y a trop d’êtres humains sur la planète, que nous devons réduire la population, et que l’organisation des Nations Unies est la seule capable de contrôler et de diriger les richesses mondiales.

Q : Lorsque nous essayons de regarder les racines de leur philosophie, en regard de la Constitution, nous ne sommes pas surpris de constater que ce concept n’apparaît nulle part. Mais vous avez tout de même réussi à trouver l’origine de ces choses. Dites-nous à quel endroit.

R : Un jour j’étais en train d’analyser ces concepts, alors j’ai pensé, ” Ce ne sont pas des choses qui sont inscrites dans la Constitution.” “Mais qu’est-ce qui est l’opposé de notre Constitution ?” Et bien c’est la constitution Russe. Et il se trouve que je venais tout juste d’acheter un livre, qui était une copie de la Constitution Russe de 1977, et je passai page par page, jusqu’au chapitre 2, article 18, et cette idée s’y trouvait. Ils n’utilisaient pas l’expression “développement soutenable,” mais il y avait une pleine description de cette idée, qu’ils gardaient en réserve pour les futures générations de la terre. Si j’avais besoin d’une preuve quelconque que l’agenda des Nations Unies était communiste, c’était ce document qui m’en apporta la preuve. Lorsque vous regardez dans tous les pays du monde, les États-Unis d’Amérique sont le seul pays qui possède un gouvernement représentatif, avec une Constitution inaliénable, donnée par Dieu, et qui garantit les droits et la liberté de sa population, n’étant pas assujetti ni dépendant de ce que vous pourriez dire ou faire. Dans ces droits, il y a entre autres celui de posséder des propriétés personnelles. Et puis soudainement, nous retrouvons les États-Unis en train de supporter, orchestrer, et de mettre en place un néfaste agenda que je réalisai comme étant communiste.

Q : Quel lien existe-t-il entre cette philosophie et la pensée entourant la divinité Gaïa ? Ceci représente-t-il pour eux une fenêtre ouverte et une opportunité de vendre leur dieu à la population ? Est-ce que ceci pourrait être une tentative de leur part, pour supplanter les valeurs Judéo-Chrétiennes en les remplaçant par l’éthique de Gaïa. Mais qu’est-ce que Gaïa ?

R : Je pense qu’effectivement il y a lieu de parler de fenêtre ouverte pour la mise en place de leur philosophie. Gaïa est un mot grec qui veut dire “notre mère la Terre.” Que se passa-t-il réellement au sommet de la terre des Nations Unies à Rio ? Il fut premièrement et essentiellement philosophique. Le monde entier, jusqu’en 1992 – et ceci représente notre opinion – était encore dirigé par l’éthique Judéo-Chrétienne. Sous l’éthique Judéo-Chrétienne, Dieu a donné à l’homme la domination sur toute la terre. Mais en 1992, ce que les Nations-Unies firent, ce fut de pervertir et de renverser cette vérité, disant que l’homme ne devait plus dominer sur la terre, mais que c’était plutôt la terre qui allait dominer l’homme. Ils disent que nous, les êtres humains, nous sommes égaux aux plantes et aux animaux. En fait, c’est cela Gaïa, c’est une philosophie païenne. Nous avons donc maintenant les Nations Unies, épousant les principes d’une religion païenne, essayant d’imposer cette religion à chacun d’entre nous, et d’annihiler la validité des évangiles en supplantant la personne de Jésus-Christ en tant que Fils de Dieu et Sauveur du monde.

Q : Dans leurs efforts de mettre en place leur projet de “partenariat public et privé, et toutes leurs organisations non-gouvernementales, serait-il raisonnable de penser qu’ils pourraient essayer d’exploiter le côté des églises traditionnelles, afin qu’elles deviennent partie intégrante de leur “partenariat public et privé ?

R : Oui justement, car ceci également se trouve dans leur agenda. Il est intéressant de constater, qu’ils ont effectivement placé leur projet de partenariat, dans chaque domaine de la société. Il ne s’agit pas uniquement de leur système d’aqueduc ou d’égout, mais également dans tous les autres niveaux de la société, aussi bien que dans les services gouvernementaux. Nous sommes maintenant en train d’assister au même genre de partenariat que le Rep. J.C. Watts de Oklahoma City a fait en établissant un partenariat privé et public entre le gouvernement et les églises.

Q : Ceci constitue un retour au régime féodal, n’est-ce pas ?

R : Oui. C’est exactement ce qui est entrain de se passer. Sous notre forme de gouvernement, nous le peuple, avons des droits et nous avons notre mot à dire sur les affaires gouvernementales. Mais lorsque vous remettez les propriétés publiques à un partenariat privé et public comme ils sont en train de le faire (c’est également un transfert de notre richesse vers des sociétés privées), ceux qui d’entre nous payons les taxes au gouvernement devraient leur poser la question et dire, “Que faites-vous de l’argent que je vous envoie ?” Avant cela, lorsque nous avions encore un gouvernement sous la Constitution, j’ai supporté le gouvernement dans son obligation morale d’offrir certains services. Maintenant, sous le partenariat public et privé, lorsque le gouvernement se départit de toutes ses propriétés et de tous ses services publics, à quoi servent mes taxes et mes impôts? Cela commence étrangement à ressembler à une sorte de régime féodal, dans lequel les serviteurs doivent payer des taxes sur les terres qu’ils travaillent.

Q : Ce que nous voyons réellement, c’est un net déplacement de la république vers le fascisme et qui deviendra éventuellement un régime féodal. Est-ce qu’il s’agit d’un plan à long terme ?

R : Absolument. Et c’est de ce côté que se sont tournées mes recherches. J’ai planifié d’écrire mon troisième livre au sujet du féodalisme du 21ième siècle, parce que cela concorde exactement avec les transformations que nous connaissons présentement.

Q: Récemment, vous m’avez fait parvenir une charte, laquelle je pense est susceptible de clarifier et concrétiser ces choses pour moi. Je pense qu’il s’agissait d’une sorte de charte ADN telle que nous la retrouvons dans le monde scientifique. Pouvez-vous nous expliquer en quoi consiste cette charte ?

R : Tout ces détails se trouvent interconnectés les uns dans les autres. Il y a de cela deux ans, lorsque j’écrivis mon livre intitulé “Prince Charles — The Sustainable Prince” – maintenant mis à jour en raison des nouveaux développements qui ont suivi – J’ai réalisé que leur système ressemblait à une sorte de cellule.

Q : Cela ressemble à ce que Gene Rodenberry inventa avant qu’ils ne parviennent où ils en sont maintenant. Il y a les groupements financiers, les agences de l’ONU, les sociétés multinationales, les corps professionnels, les O.N.G.S ainsi que plusieurs autres organismes.

R : Laissez-moi vous expliquer. Le Conseil de Sécurité des Nations Unies, est composé des cinq membres permanents, et ce sont eux qui décident si oui ou non, nous entrerons en guerre. Ensuite il y a une assemblée représentative de plusieurs pays, qu’ils appellent “l’assemblée basse” ou la “première chambre,” qui est composée d’ambassadeurs des différents pays des Nations-Unies. Ce qu’ils ont construit aux Nations-Unies, depuis 1988, et même avant, c’est une seconde chambre, une chambre du peuple qu’ils appellent “le parlement des peuples.”

Q : Une “perception” de démocratisation ?

R : Oui. Et j’ai inclu cette charte pour démontrer qu’en créant “cette assemblée du peuple”, ou si vous aimez mieux, “ce gouvernement représentatif” agissant sur un niveau international, les Nations Unies ont en fait outrepassé le pouvoir du Congrès américain. Ce que nous pouvons voir avec l’O.N.U., c’est premièrement que tous les pays ont modifié les bases de leurs gouvernements respectifs. Ils ont tous transféré leurs propriétés et leurs richesses dans un “partenariat public et privé. Et dans ce partenariat, tout les avoirs des multinationales, et des corporations transnationales sont concentrés à un petit nombre de personnes qui font partie du cercle du pouvoir.

Q : Nous avons vu dernièrement, des législations au Congrès pour autoriser l’ajout de plus de 6000 hommes à l’armée des Nations Unies. Est-ce que ceci constitue une autre partie de la mise en place de leur puissance mondiale ?

R : Absolument. Laissez-moi seulement vous mentionner, que lorsque nous avons regardé de plus près la puissance des Nations Unies, puissance qu’elle a acquis depuis les derniers 55 ans – dans sa structure – il n’a pas été difficile de voir que celle-ci est tout à fait énorme, très vaste et vraiment profonde. La conclusion est que pour en arriver au gouvernement mondial, il y a trois choses qui manquent encore. Premièrement, un gouvernement représentatif à un niveau international, qui est l’assemblée des peuples du Millénium. Dans cette assemblée, Ils veulent que tous les peuples du monde aient leur propre voie.

Q : Ils veulent qu’ils “croient” avoir leur propre voie.

R : C’est exact. Deuxièmement, ils ont besoin de l’émission d’un impôt global. Croyez-moi: ils n’auront pas de repos jusqu’à ce qu’ils obtiennent le droit illimité de nous imposer des taxes à vous et à moi. Troisièmement, ils ont besoin d’un déploiement rapide de leurs forces. Et bien sûr, nous savons qu’ils ont obtenu le Bill HR 4453, qui a autorisé l’Amérique à leur donner plus de 6000 hommes de leurs troupes d’élites pour servir sous la juridiction et le contrôle des Nations Unies. Je pense qu’ils veulent encore 42 000 soldats de plus, à partir de sept autres pays avant de pouvoir mettre en place leur plan.

Q : De nombreux pays sont déjà d’accord avec ceci, et leur corps d’armée est déjà préparé à un rapide déploiement des forces en place.

R : C’est juste. Cela veut dire, qu’à n’importe quel moment, ils sont prêts à réagir rapidement pour se déployer, lorsqu’ils rencontreront des résistances à l’établissement du gouvernement mondial, de façon à éliminer rapidement les problèmes qui se présenteront à eux.

Q : De quelle façon la Famille Royale Britannique est-elle impliquée dans cet agenda ?

R : Ceci est une des choses qui a fait l’objet de mes recherches constantes et j’ai trouvé de nombreuses connections entre la Famille Royale Britannique et les Nations Unies. Par exemple, le Prince Charles, dans le Forum du Prince de Galles sur les Leaders des affaires, (nous manquerions de temps pour exposer ce sujet ici), a clairement expliqué ce concept dans son livre, au sujet des corporations gouvernementales. Vous voyez, lorsque vous transférez les propriétés et les services gouvernementaux à un partenariat public et privé, alors ce sont les corporations qui occupent les fonctions gouvernementales. Et c’est pourquoi ils appellent cela “des gouvernements corporatifs”. De façon intéressante, le Prince Charles et son forum des leaders économiques, a très clairement exposé ce que veut dire l’expression “gouvernement corporatif,” et comment il s’intègre parfaitement avec leur projet de “partenariat privé et public.”

Q : Dans un interview que le Prince Charles a donné au BBC en 1994, il a dit, “Tout ce à quoi je travaille maintenant est déjà en train de se faire. Mais c’est difficile pour le peuple ordinaire de comprendre comment ces choses s’agencent parfaitement ensemble.”

Honnêtement, il n’est pas dans leur intérêt de laisser le peuple connaître de quelle façon “toutes ces choses s’agencent ensemble” ?

R : Absolument pas ! Et c’est pourquoi j’ai trouvé fascinant que Charles apparaisse au grand jour, pour le forum de Gorbachev sur l’État Mondial, afin de se mettre lui-même à contribution lors de “l’Assemblé des Peuples du Millénium. Leur agenda est le même. Mikhail Gorbachev, les Nations Unies et le Prince Charles – leurs agendas convergent tous. Je demande, quel trône Charles veut vraiment ?

Q : Vous savez, je connais des gens qui ont reçu des menaces de mort pour avoir écrit des choses beaucoup moins directes, beaucoup moins recherchées et également moins documentées que ce que vous avez écrit. Alors, vous allez continuer à suivre tous ces événements. Vous serez à New York en septembre prochain, c’est juste ?

R : Oui.

Q : Comment avez-vous ressenti toutes ces conférences des Nations Unies ? Avez-vous eu l’impression d’entrer dans quelque chose de terrible, dont personne ne veut réellement comprendre toute la portée ?

R : Non, pas tous ! Parce que comme vous le voyez, je comprends très bien leur agenda. Pour être honnête, j’ai eu le privilège de discuter avec de nombreuses personnes de l’Institut central des statistiques, qui ont assisté elles mêmes en tant que personnalités importantes à ces conférences, et qui m’ont dit être elles-mêmes étonnées de constater ce qui ce passait ici. En guise de réponse, elles m’avouèrent leur profond désarroi et leur impuissance à faire quoi que ce soit pour empêcher ces choses de se produire. Ici, je ne fais moi-même que mon travail, tout comme vous faites le vôtre au WorldNetDaily. Mais mon but en faisant cela, c’est d’aider les Américains à comprendre ce qui menace leur souveraineté, leur liberté, et leurs droits à la propriété personnelle. Car par cette situation, nous semblons être comme sur le paquebot Titanic pendant qu’il était en train de sombrer. Il appartient aux Américains de s’assurer que tout cela ne se produise pas.

Q : Mais comment pouvons nous empêcher cela ?

R : Premièrement, la bataille en ce moment a fondamentalement été transférée vers les niveaux locaux les plus bas du comté et de l’état. C’est là où notre bataille doit se jouer. Impliquez-vous; regardez autour de vous ; posez des questions ; n’ayez pas peur. Je crois qu’il s’agit ici essentiellement d’une bataille spirituelle, en conséquence, je pense que cette bataille doit commencer par nous, avec notre propre humilité et repentance devant Dieu. Car du résultat de cette guerre, dépendra notre liberté future. Car lorsque la liberté sera détruite, elle sera détruite pour toujours. Et elle sera pour toujours inaccessible. Car il sera beaucoup plus difficile d’obtenir la liberté une fois que nous ne la posséderons plus, que de la protéger maintenant et la sauvegarder tandis que nous l’avons encore.

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