LE CHEMIN DE LA COMPREHENSION


Partager avec les autres

Par J.W. Bryan – Le 17 janvier 2015

Grande Trahison en route

Le grave danger d’un accord commercial proposé s’en vient pour une ratification par le Sénat, très bientôt.  C’est plus une menace pour nos libertés, le peu qu’il nous reste, qu’Obamacare, que l’amnistie et qu’Hillary Rodham Clinton, combinés.

Ce Partenariat Trans-Pacifique est secrètement négocié parce que l’administration Obama craint que si le public était au courant de ce qui se passe, l’opposition serait tellement écrasante que l’accord ne serait probablement même pas soumis au vote. Non seulement a-t-il été secrètement négocié mais il y a également une conspiration du silence à son sujet.

La seule révélation a été faite par New American Magazine, avec quelques autres médias mineurs.  Bien sûr, ceci révèle que certaines forces puissantes doivent être entrées en jeu, où qu’il y aurait eu d’autres sources qui auraient tout révélé.  Si New American Magazine, et quelques autres petits médias, ont pu prendre connaissance de cette menace, alors il ne fait aucun doute que Fox News, ainsi que tous les autres grands médias, ont été au courant de tout cela.  Mais, il n’y a pas eu un seul petit article de ces médias au sujet de cet accord.

Donc, en examinant tout, il est tout à fait évident qu’il y avait une stratégie bien organisée et coordonnée afin de garder le secret pendant plus d’une année.  Pendant tout ce temps, une stratégie a été planifiée pour garder le secret, et pour tout mettre en place pour adopter cette loi inconstitutionnelle quand le bon moment arrivera.

C’est là que nous voyons comment le Conseil des Relations Étrangères planifie et facilite les choses pour qu’elles se concrétisent d’une manière pratiquement invisible.  Nous avons déjà mentionné que tous les grands médias sont possédés où contrôlés par des membres du Conseil des Relations Étrangères, donc, c’est la raison pour laquelle des choses semblables peuvent être gardées secrètes.  En plus de cela, il y a environ cinq cents agents du Conseil des Relations Étrangères dans l’administration Obama, chacun d’entre eux étant en charge d’une partie de l’agenda, et puisque tout ceci coïncide avec l’Agenda pour la Gouvernance Mondiale, que pouvions-nous espérer ?

En 1939, le Conseil des Relations Étrangères s’est arrangé pour s’établir assez bien dans le Département d’État afin de l’aider à formuler sa planification de la guerre, ainsi que l’après-guerre, avant même que nous sachions que nous allions en guerre, (où, au moins, la population ne le savait pas).  Par conséquent, il est raisonnable de supposer que s’ils faisaient des plans au sujet de la guerre, avant même qu’elle ne commence, alors, ils faisaient certainement des plans d’après-guerre.  Ceci comprenait la création de l’Organisation des Nations Unies et comment le plan Marshall serait utilisé après la guerre pour initier le développement continuel de l’Union Européenne.  Et, cela, mes amis, était la première étape pour concrétiser les plans mondiaux, ou un gouvernement mondial.

Ce qui a fait que l’établissement de l’Union Européenne était tellement important pour la stratégie des partisans « d’un gouvernement mondial » est très simple.  Il y avait la nécessité d’une base à laquelle les futures nations à succomber à la “gouvernance mondiale” seraient ajoutées.  L’analogie suivante l’explique.  « Dans le vieil ouest, il y avait ceux qui étaient impliqués dans la capture des chevaux sauvages et la première chose qu’ils devaient faire était de mettre en place un corral où ils placeraient le premier groupe capturé.  Cela devenait la base de maintien où d’autres chevaux pourraient être ajoutés à mesure qu’ils étaient capturés.  Sans la base de maintien, il n’y aurait aucun intérêt à toute activité pour attraper plus de chevaux.

Les forces derrière tout ce développement de l’Union Européenne étaient, et continuent à l’être, très formidables.  Selon l’article d’Alex Newman, « L’Union Européenne : La régionalisation remplace la souveraineté », dans le numéro de septembre 2013, de New American Magazine, il déclare : « Le gouvernement américain a soutenu l’union dès le début.  Les principales fondations américaines exonérées d’impôt ont contribué à financer l’effort également ».

« Des organisations clés ont également été sur le front pour cet établissement, comme le Conseil des Relations Étrangères et la conférence Bilderberg.  Après la Seconde Guerre Mondiale, le plan Marshall, par exemple, a joué un rôle majeur pour refiler le régime actuel aux populations de l’Europe.  En revenant sur le discours de 1947, le Secrétaire d’État des États-Unis de l’époque, George Marshall, (un membre du Conseil des Relations Étrangères) a fortement suggéré que la coopération économique européenne était une condition préalable à l’aide américaine désespérément nécessaire après la Seconde Guerre Mondiale. »

En d’autres termes, il leur disait que s’ils ne coopéraient pas, refusaient de se joindre à d’autres pays, continuaient de s’accrocher à leur souveraineté et leur indépendance, ils ne participeraient pas à la distribution des bonbons.  La ligne de fond de tout cela est que le gouvernement américain poussait et finançait les peuples de l’Europe vers une Union Européenne.

Qu’est-ce que tout cela a à voir avec maintenant et avec la proposition d’un Partenariat Trans-Pacifique ?  C’est tout à fait actuel.  Si ce qui s’est passé en Europe, il y a 64 ou 65 années, ne s’était pas produit, alors, les propositions actuelles d’accords commerciaux ne seraient certainement pas significatives, relativement parlant bien sûr, mais çà s’est produit.  C’était le début de tout ce qui concerne la proposition actuelle de Partenariat Trans-Pacifique.  Le Partenariat Trans-Pacifique nous amènera à environ deux étapes de l’établissement du processus qui transformera les États-Unis en une Union Européenne.

Il y a eu assez de fuites sur les négociations secrètes révélées par le New American Magazine pour dire que la proposition se compose de vingt-neuf chapitres, mais, que seulement cinq d’entre eux ont quelque chose à voir avec le commerce.  Les 24 autres chapitres concernent la façon dont notre gouvernement et la société, dans son ensemble, seront changés.  C’est presque assuré que nous ne saurons quels sont ces changements qu’après leur ratification.

Le Partenariat Trans-Pacifique est la première de deux étapes pour nous lancer en une Union Européenne d’ici à 2015.  La prochaine étape qui doit être implantée en 2015 est le Partenariat Trans-Atlantique pour le Commerce et l’Investissement.  Il est de la plus haute importance que nous parvenions à vaincre le Partenariat Trans-Pacifique, parce que, ce faisant, il sera beaucoup plus facile de vaincre le Partenariat Trans-Atlantique lorsqu’il sera présenté.  Ils vont fort probablement reculer et se regrouper plus tard pour une autre tentative avec des stratégies différentes.

Des informations récentes révèlent que les dirigeants de l’administration Obama et du Parti Républicain comploteraient ce qui équivaut à une trahison envers le peuple américain à travers une série de profonds accords de « libre-échange » qui vont pratiquement nous transformer en une Union Européenne, le précurseur final du Gouvernement Mondial total.

De partout Les critiques du plan dans le spectre politique se mobilisent pour l’arrêter.  Certains fabricants d’opinions sont très vocaux sur le sujet. Étonnamment, Rush Limbaugh avait ceci à dire : « Le Parti Républicain n’a pas été élu pour s’asseoir et travailler ensemble avec les Démocrates pour ralentir la vitesse du pays vers la falaise et y tomber lentement ; Ils ont été élus pour arrêter les politiques de Barack Obama et du Parti Démocrate ».  Néanmoins, les Républicains ont clairement l’intention de continuer à travailler avec les Démocrates, et le président, pour faire les choses, notamment l’agenda pourri du libre-échange d’Obama.

Le sénateur McConnell a déclaré à ce sujet, « J’ai beaucoup de membres qui croient que les accords commerciaux internationaux sont gagnants pour l’Amérique et pour le président, et j’en ai discuté juste avant de me présenter devant vous ».  Il partage la vision d’Obama avec d’autres républicains sur les partenariats commerciaux.  McConnell a continué « Je pense qu’il est intéressé à aller de l’avant, je lui ai dit de nous envoyer ces accords commerciaux, et nous sommes impatients de les examiner ».  Maintenant, bien sûr, il va sans dire que Barack Obama est intéressé à aller de l’avant mais, qu’y a-t-il devant lui ?  Est-ce que çà veut dire de se déplacer vers la mise en place de son agenda ?  Il a lui-même déclaré très clairement « Pour transformer fondamentalement l’Amérique ».  Et, cela signifie la disparition de l’Amérique envers laquelle nous avons été loyaux et que nous avons aimé, depuis 1776.

Au cours des six dernières années, Obama a révélé qui il est et où il va.  Quelqu’un peut-il croire que McConnell est naïf ou assez stupide, pour penser qu’en allant de l’avant avec Obama signifie faire demi-tour et continuer dans la direction opposée ?  Oû a-t-il l’intention de nous faire croire, alors qu’il est parfaitement au courant, que lui et Obama n’ont pas la destruction de la souveraineté américaine comme objectif ultime ?  Ceci amène vraiment la question de savoir où se situe McConnell, mais, quiconque connait son dossier de vote sait où se trouve sa loyauté, et ce n’est certainement pas envers ses électeurs ni le peuple américain.

Même le sénateur Rand Paul a exprimé son soutien aux accords commerciaux, en encourageant le président à “prioriser” le passage du Partenariat Trans-Pacifique. Ils apprennent à Washington et ils boivent tous le Potomac Punch en échange de leurs âmes pour de l’argent, le pouvoir et la gloire.

En résumé, ces deux sénateurs, pendant les mois avant les élections, déclaraient très fortement leur opposition à Obama et à ses politiques.  Bien sûr, la rhétorique préélectorale sonne toujours aussi merveilleuse.  Maintenant toutefois, tout est parfait avec le marxiste de notre Maison Blanche.  C’est comme s’ils étaient très amoureux de lui, apparemment comme s’ils avaient été infectés de bonbons, avec les gouttes de miel et des fourmis qui les mangent.

Ce que nous voyons ici est très dégoûtant.  Nous devons jeter un regard très dur à ces sénateurs, ainsi qu’à tous les autres esprits semblables, et nous devons leur faire savoir exactement ce que nous pensons d’eux.

Le fait que les auteurs et les promoteurs du Partenariat Trans-Pacifique admettent que c’est juste un tremplin pour une Zone de Libre Échange Asie-Pacifique encore plus vaste et plus dangereux, que je n’ai pas encore été en mesure d’analyser, devrait être suffisant pour garantir sa défaite.  Cependant, battre le Partenariat Trans-Pacifique et la Zone de Libre Échange Asie-Pacifique exigera un effort coordonné et soutenu par des patriotes américains au cours des prochains mois pour amener toute cette information jusqu’à leurs concitoyens.  Il faudra, selon les propres mots de Samuel Adams « une minorité infatigable en colère et désireuse de mettre des feux de brousse dans l’esprit des gens ».  Puis, la chaleur et la lumière de ces feux de brousse devront être dirigées vers les membres du Congrès afin qu’ils respectent leurs devoirs constitutionnels pour arrêter le Partenariat Trans-Pacifique.

Lequel allez-vous choisir ?  La liberté ou l’agenda du libre-échange ?

Ce qui précède est tout un défi, mais, c’est quelque chose que ceux d’entre nous qui sont toujours honorables ne peuvent pas refuser de relever.  Je crois que nous pouvons le faire ; Avec seulement quelques bons hommes et femmes, nous pouvons gagner. Si seulement la moitié de un pour cent de la population adulte se met au travail dans sa communauté afin d’informer les gens, et qu’elle fait pression sur ses sénateurs, nous serons victorieux.  Bien sûr, nous devons souligner que nous ne pourrons pas le faire sans l’aide de Dieu, parce que nous nous opposons à Satan et toutes ses forces, donc, nous devons demander l’aide et la direction de notre Dieu. Donc, nous allons travailler comme si tout relevait de nous, et prions comme si tout relevait de Dieu.  Quant à moi, je suis un peu limité dans ce que je peux faire.  Je m’approche de quatre-vingt dix ans, donc je ne serai plus bien longtemps dans ce monde, mais j’ai quelques merveilleux petits-enfants, c’est pourquoi je m’engage à faire le peu que je puisse faire aussi longtemps que Dieu me donne ce qu’il faut pour le faire.

Source : http://www.newswithviews.com/Bryan/jw103.htm

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

 

Translate »