LES DINOSAURES DE LA CHINE


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Découverte massive de tissus mous de dinosaures en Chine, incluant la peau et les plumes !

Par Michael Snyder – Le 6 mars 2014

Un lit de fossiles en Chine qui est appelé « Jurassic Park » a donné peut-être la plus grande découverte de tissus mous de dinosaures de tous les temps.  Selon les rapports des médias, « des squelettes presque complets » ont été découverts, incluant même la peau et les plumes.  Mais, bien sûr, si ces dinosaures ont vraiment « 160 millions d’années », ceci devrait être absolument impossible.  Inutile de dire que cette découverte choquante, va, une fois de plus, voir les paléontologues se bousculer pour trouver un moyen de soutenir les mythes populaires dont ils ont fait la promotion.  Ce qu’ils nous ont dit ne correspond tout simplement pas aux faits. La vérité est que cette dernière trouvaille est encore une autre preuve que les dinosaures sont beaucoup plus jeunes que ce qu’il nous a toujours été enseigné.

Il était une fois, les scientifiques ont cru qu’il serait impossible de trouver autre chose que des restes fossilisés de dinosaures éteints.  Et, si ces dinosaures étaient vraiment âgés de millions d’années, ces scientifiques auraient été corrects à 100%. Mais, à la place, nous commençons maintenant à trouver des tissus mous de dinosaures un peu partout.  Ce qui suit est un extrait d’un récent article du Daily Mail à propos de cette nouvelle découverte en Chine …

« Presque plus impressionnant que la diversité, c’est la préservation de la plupart des spécimens vertébrés, selon l’étude publiée dans le Journal de la Paléontologie des Vertébrés. »

« Les fossiles comprennent des squelettes complets ou presque complets, associés avec les tissus mous conservés comme les plumes, la fourrure, la peau ou même, dans certaines salamandres, des branchies externes. »

« Un des dinosaures à plumes, l’Epidexipteryx, dont les tissus mous ont été révélés par l’utilisation de scanners à lumière ultraviolette. »

« Un fossile de la salamandre Chunerpeton montre non seulement un squelette préservé, mais aussi, sa peau et les branchies externes. »

Espérons que les scientifiques occidentaux auront la chance d’examiner de près ces échantillons de tissus mous.

Avant 1991, vous auriez été la risée de la chambre si vous aviez suggéré que nous pourrions trouver des tissus mous de dinosaures un jour.

Mais, tout cela a changé quand Mary Schweitzer, une paléontologue moléculaire de l’Université de l’État de la Caroline du Nord, a fait quelque chose qui était absolument impensable.  Le texte suivant provient d’un article dans Smithsonian Magazine

« En 1991, Mary Schweitzer essayait d’étudier de fines tranches d’ossements d’un T-Rex âgé de 65 millions d’années.  Elle avait du mal à faire tenir les fines tranches à une lame de verre, donc, elle a demandé l’aide d’un biologiste moléculaire de l’université.  La biologiste, Gayle Callis, a amené les tranches à une conférence vétérinaire, où elle a placé les anciens échantillons pour que les autres puissent les regarder.  Un des anciens est allé voir Gayle Callis et a dit : Savez-vous que vous avez des globules rouges dans cet os ?  Effectivement, sous un microscope, il est apparu que l’ossement était plein de disques rouges.  Plus tard, Mary Schweitzer se souvient : J’y ai regardé et j’y ai regardé et je pensais que ce n’était pas possible.  Les globules rouges ne se conservent pas. »

« Mary Schweitzer a montré la tranche à Horner.  « Quand elle a d’abord trouvé les structures semblables aux cellules de globules rouges, j’ai dit, Ouais, c’est à quoi ils ressemblent, » rappelle son mentor.  Il pensait que c’était possible qu’il y ait des globules rouges, mais, il lui a donné quelques conseils : Maintenant, voyez si vous pouvez trouver des preuves qui démontrent que ce n’est pas ce qu’ils sont. »

« Ce qu’elle a trouvé à la place c’était des preuves de l’hème des ossements, un soutien supplémentaire pour l’idée que c’étaient vraiment des globules rouges. L’hème est une partie de l’hémoglobine, la protéine qui transporte l’oxygène dans le sang et qui donne aux globules rouges leur couleur.  Elle a dit que ceci lui avait donné une réelle curiosité au sujet de l’exceptionnelle conservation. »

Bien sûr, depuis ce temps, beaucoup d’autres ont également déterré des dinosaures avec des tissus mous.  À ce stade, plus de trente spécimens ont été découverts et vérifiés, et les échantillons proviennent d’un impressionnant éventail de divers dinosaures

« Les dinosaures et autres créatures du mésozoïque qui ont cédé leur matériel biologique sont l’hadrosaure, le titanosaure, l’ornithomimosaure [un dinosaure semblable à l’autruche], le mosasaure, le triceratops, le lufengosaure, le T-Rex et l’archaeopteryx. »

Lorsque Mary Schweitzer a rendu sa découverte publique, elle a été sauvagement attaquée par d’autres évolutionnistes qui insistaient sur le fait que la découverte de tissus mous de dinosaures qui étaient âgés de millions d’années était absolument impossible.

Et ces évolutionnistes avaient raison.

Si les dinosaures étaient vraiment aussi vieux, ce serait effectivement impossible.

Mais, maintenant, échantillon après échantillon et vérification après vérification, tous ont prouvé sans l’ombre d’un doute que nous sommes vraiment en train de déterrer des tissus mous de dinosaures.

Mary Schweitzer et d’autres paléontologues qui sont désespérés pour protéger leurs théories existantes suggèrent maintenant que « du fer dans le sang » aurait pu préserver les tissus mous que nous trouvons maintenant dans ces dinosaures de millions d’années.

Si vous croyez cette théorie risible, j’ai un pont à vous vendre.

Mais, il y a beaucoup de gens là-bas qui sont tellement désespérés de préserver la croyance en leur version erronée de « la vérité » qu’ils achètent réellement cette suggestion.

Et, bien sûr, ce n’est pas seulement des tissus mous que les scientifiques doivent rendre compte de …

« Ce n’est pas seulement les tissus mous des dinosaures, non plus, mais, la présence de protéines détectables comme le collagène, l’hémoglobine, l’ostéocalcine, l’actine, et la tubuline dont ils doivent tenir compte.  Ce sont des molécules complexes qui tendent sans cesse à se décomposer en des molécules plus simples. »

« Non seulement cela, mais, dans de nombreux cas, il y a des petits détails de la matrice osseuse, avec des cellules osseuses (ostéocytes) semblant intactes au microscope et qui montrent des détails incroyables.  Et, Mary Schweitzer a même récupéré des fragments de molécules encore plus fragiles et complexes, l’ADN.  Ceci a été extrait des cellules osseuses avec des marqueurs indiquant sa source de sorte qu’il est extrêmement possible que ce soit de l’ADN de dinosaures. »

Dans ce cas, je pense qu’il serait très approprié d’appliquer le rasoir d’Occam.  La raison pour laquelle nous trouvons des ossements de dinosaures avec des tissus mous en eux, c’est parce qu’ils ne sont tout simplement pas très vieux.

Et, quand nous appliquons la datation au carbone sur les ossements des dinosaures, elle nous dit exactement la même chose.

En raison de la vitesse à laquelle il se désintègre, il ne devrait absolument plus y avoir de carbone radioactif mesurable dans tout ce qui était autrefois vivant et qui serait âgé de plus de 100000 années.

Alors, il ne devrait absolument plus y avoir de traces de carbone radioactif mesurable dans les ossements des dinosaures.

Mais, à la place, c’est précisément ce que nous trouvons.  Voici un exemple …

« En juin 1990, Hugh Miller a présenté deux fragments d’ossements de dinosaures au Département des Géosciences à l’Université de Tucson, en Arizona, pour des analyses au carbone-14.  Un fragment provenait d’un dinosaure non identifié. L’autre provenait d’un Allosaure déterré par James Hall près de Grand Junction, au Colorado, en 1989.  Hugh Miller a soumis les échantillons sans divulguer l’identité des ossements.  (Si les scientifiques avaient su que les échantillons provenaient en réalité de dinosaures, ils n’auraient pas pris la peine de les dater, puisqu’il est supposé que les dinosaures ont vécu il y a des millions d’années, au-delà des limites de la datation au radiocarbone.)  Fait intéressant, l’analyse au carbone-14 a indiqué que les ossements étaient âgés entre 10000 et 16000 années, bien loin de leur âge présumé de 60 millions d’années. »

Et, la vérité c’est que du carbone radioactif est trouvé dans les ossements des dinosaures qui ont été déterrés sur toute la planète

« Real Science Radio a interrogé un scientifique de retour de la conférence de l’American Geophysical Union à Singapour, où son équipe internationale a présenté les résultats de cinq laboratoires respectés qui documentaient d’importantes quantités de carbone 14 dans les ossements de dix dinosaures déterrés en Alaska, en Europe, au Texas, au Montana et dans le désert de Gobi, en Chine. »

Des preuves supplémentaires du jeune âge des dinosaures viennent du fait que l’on trouve des représentations très précises de dinosaures dans les œuvres anciennes partout sur la planète.  C’est quelque chose que j’ai couvert dans mon précédent article intitulé, « Pourquoi les œuvres anciennes contiennent-elles des représentations de vol d’aéronefs, d’hélicoptères et de dinosaures ? »

Compte tenu du fait que nous avons commencé à déterrer les dinosaures il y a seulement quelques centaines années, comment ces anciens peuples savaient-ils à quoi ils ressemblaient ?

C’est quelque chose à penser.

Je me rends compte que cet article va contester directement des choses que beaucoup de gens ont cru toute leur vie.

Mais, nous n’allons certainement jamais aller nulle part si nous avons une foi aveugle dans tout ce que le système nous dit de croire.

C’est payant de tout remettre en question et de permettre à la logique et à la raison de nous diriger vers la vérité.

Source : http://thetruthwins.com/archives/massive-dinosaur-soft-tissue-discovery-in-china-includes-skin-and-feathers

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

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