OUTRAGES DE L’UNESCO


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Par Aaron Klein – Le 5 juillet 2017

Quatre outrages dans la résolution de l’UNESCO anti-Israël sur Jérusalem.

TEL AVIV – L’Organisation pour l’Éducation, la Science et la Culture (UNESCO) de l’Organisation des Nations Unies a adopté mardi une résolution anti-israélienne très biaisée concernant la vieille ville de Jérusalem et ses anciens murs.

Ci-dessous, dans aucun ordre particulier, quatre outrages se trouvent dans le texte abrégé de la résolution parrainée par la Jordanie, affirmée par le Conseil du Patrimoine Mondial de l’Organisation des Nations Unies :

1 –  La résolution se réfère à la vieille ville de Jérusalem en tant que « territoires occupés » et prétend qu’Israël est la « puissance d’occupation » là-bas.

Cela ferait d’Israël la « puissance occupante » sur le Mont du Temple et le Mur Occidental, et implique que l’Autorité Palestinienne, qui n’a jamais eu d’état ou d’entité juridique à Jérusalem (ou en Cisjordanie, pour être exact) soit l’autorité légitime sur l’ancienne Ville de Jérusalem.

La Jordanie avait occupé illégalement et avait annexé Jérusalem-Est, qui comprend la vieille ville, de 1948 jusqu’à ce que Israël s’empare de ces terres dans une guerre défensive, en 1967.  Connu sous le nom de Guerre des Six Jours, le conflit a été lancé après que les pays arabes aient utilisé la Cisjordanie et  Jérusalem-Est pour mettre en place des attaques contre l’État Juif.  En 1988, la Jordanie a officiellement renoncé à ses prétentions à la Cisjordanie et à Jérusalem-Est, et a unilatéralement le terroriste Yasser Arafat de l’Organisation de Libération de la Palestine, comme « le seul représentant légitime du peuple palestinien ».

2 –  Le texte se réfère à « Jérusalem-Est », une entité inexistante.

Ici, l’Organisation des Nations Unies a entièrement fabriqué l’existence d’une entité appelée Jérusalem-Est.  En réalité, Jérusalem est une seule ville ; Il n’y a pas de Jérusalem-Est.  Le terme est largement utilisé pour prétendre qu’Israël occupe « Jérusalem-Est », se référant aux sections orientales de la ville, qui devraient devenir une partie d’un futur état palestinien.

Les Juifs ont maintenu une présence historique à Jérusalem, y compris dans les sections orientales, jusqu’à ce qu’ils soient forcés de quitter la Vieille Ville en masse, en 1948, et la partie orientale de Jérusalem est tombée sous l’occupation illégale jordanienne.

3 –  L’UNESCO a exigé qu’Israël cesse ses fouilles dans sa propre capitale.

Le texte a fortement critiqué « l’échec des autorités d’occupation israéliennes à cesser les fouilles persistantes, les tunnels, les travaux, les projets et les autres pratiques illégales à Jérusalem-Est, en particulier dans et autour de la Vieille Ville de Jérusalem ».

L’UNESCO semble avoir peur des fouilles dans ces régions parce que les chercheurs découvrent régulièrement des preuves archéologiques qui attachent les Juifs à Jérusalem.  Par exemple, les découvertes dans la Ville de David, un site archéologique juste à l’extérieur du Mont du Temple, ont déterré le cœur de l’ancienne Jérusalem, y compris le Tunnel d’Ézéchias, la preuve de la source de Gihon, des objets du Temple Juif, des bassins de purification du Temple, et plus encore.

La résolution a également ignoré l’histoire Palestinienne de la destruction des artefacts juifs découverts dans les fouilles de Jérusalem.

Comme je l’ai déjà signalé :

« En 1997, le Wafq a mené une grande fouille sur le Mont du Temple lors de la construction d’une mosquée massive dans une zone appelée les Étables de Salomon.  Le Wafq, à l’époque, disposait de pleins camions de terre contenant des artefacts juifs des périodes du Premier et du Second Temple. » 

« Après que les médias aient signalé les rejets, les autorités israéliennes ont gelé le permis de construction donné au Waqf et la terre a été transférée aux archéologues israéliens pour analyse.  Les autorités israéliennes ont trouvé des dizaines de reliques du Temple Juif dans la saleté presque rejetée, y compris des pièces d’écritures hébraïques faisant référence au Temple, une partie d’une lampe Hasmonéenne, plusieurs autres lampes du Second Temple, une poterie de l’époque du Temple avec des marques juives, un pilier en marbre et d’autres artefacts de la période des Temples. »

« Le Waqf a été largement accusé d’avoir tenté de cacher des preuves de l’existence des temples juifs. »

Et, en 2007, ce journaliste a signalé à partir d’un site d’une fouille inhabituelle sur le Mont du Temple où les gardiens islamiques du Waqf sur le Mont avaient utilisé des engins lourds pour creuser dans un des complexes archéologiques les plus sensibles au monde, et ils ont de nouveau été pris en flagrant délit de destruction d’antiquités de l’époque du temple.

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4 –   La Résolution maintient la « Vieille Ville de Jérusalem et ses Murs sur la liste du Patrimoine Mondial en Danger ».

Israël est le seul pays du Moyen-Orient qui garantit la liberté de culte pour toutes les religions.  L’UNESCO qualifie farouchement la Vieille Ville de Jérusalem comme étant en « danger » alors qu’Israël est bien connu pour protéger de manière responsable l’intégrité de la ville et de ses sites.

Pendant ce temps, l’UNESCO n’avait rien à dire lorsque les Palestiniens ont mis le feu plusieurs fois à la tombe de Joseph, à Naplouse, ce qui a causé de graves dégâts à la sépulture vénérée, considérée comme le troisième site le plus saint du Judaïsme.  Les Palestiniens ont également peint le dôme de la tombe en vert et ont brûlé une yeshiva à l’endroit, des événements également ignorés par l’UNESCO.

Le corps de l’Organisation des Nations Unies était particulièrement silencieux lorsque les bandes palestiniennes, en 2015, utilisaient la mosquée d’Al Aqsa, le troisième site le plus sanctifié de l’Islam, comme base de rassemblement pour attaquer les forces de sécurité israéliennes.

Et, l’UNESCO était également absente du débat lorsque les terroristes du Fatah fuyant une opération antiterroriste israélienne, en 2002, se sont cachés dans l’église de la Nativité à Bethléem pendant 39 jours, où ils avaient pris en otages des prêtres et des religieuses.  Selon les rapports, les djihadistes ont souillé l’église et ont laissé le lieu traditionnel de la naissance de Jésus en ruines.

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Source : Breitbart  

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

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