SANS CONSENTEMENT PARENTAL


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Si vous êtes vraiment sérieux au sujet de tuer la culture, vous devez tuer la famille. Nous avons beaucoup de gens dans notre pays qui sont vraiment sérieux au sujet de tuer notre culture, et ils ont travaillé très fort pour tuer la famille.

Par Lee Duigon – Le 9 juillet 2015

À cette fin, ils ont créé des programmes de protection sociale dans les années 1960, qui ont détruit les familles noires dans les villes.  Deux enfants afro-américains sur trois sont élevés dans des maisons sans père, parce que leurs mères sont récompensées pour avoir eu des enfants hors mariage.  Dans le même temps, grâce à Planned Parenthood, environ la moitié des bébés noirs conçus dans nos grandes villes sont avortés.  Planned Parenthood a tué des vies de la population noire plus que le KKK n’aurait jamais rêvé que cela soit possible.

Nos dirigeants n’ont pas été en mesure d’amener les blancs dans des ghettos urbains, donc ils arrivent contre les familles blanches avec une arme encore plus puissante que le Bien-Être : L’éducation publique.

Un des objectifs de l’enseignement public, comme indiqué par ses fondateurs et ses développeurs depuis le début du 19ième siècle et mentionné en abondance par R.J. Rushdoony dans « Le caractère messianique de l’éducation américaine », est de miner la famille et finalement de l’éliminer, tout en laissant l’éducation des jeunes à la tendre miséricorde « d’experts scientifiques ».  Les éducateurs publics n’ont jamais laissé tomber la boule à ce sujet.

Dès le début, ils veulent que les parents sachent qui est le patron.  Quand une mère et un père, dans le Connecticut, se sont récemment présentés pour inscrire leur enfant à l’école maternelle, ils ont été invités à remplir un formulaire qui inclut des questions plutôt intrusives, dont celle-ci :

« Type de naissance : Vaginale_ Césarienne_ » [Lire : Questions d’une application à l’école maternelle]

L’administration de l’école a ce qu’il paraît ne s’en sortira pas aussi facilement.  Pendant ce temps, à Seattle, un régime beaucoup plus ambitieux est en cours.

Sans la connaissance ou le consentement des parents, les écoles publiques de Seattle ont implanté des DIU (dispositif intra-utérin) chez les écolières, certaines d’entre elles aussi jeunes qu’en 6ème année, pour le contrôle des naissances.  Les écoles le font en collusion avec l’Autorité des soins de santé de l’état de Washington.

Tout d’abord, à partir de la maternelle ou à la première année, ils enseignent tout sur le sexe à vos enfants, en particulier sous ses formes les plus aberrantes.  Presque toujours, cela l’emporte sur toute instruction que les parents ou l’église pourraient  donner : L’école arrive tout d’abord, et la famille doit jouer au rattrapage.

Ensuite, ils enseignent aux enfants comment faire pour avoir des relations sexuelles. Certains lecteurs peuvent douter de moi.  C’est dommage qu’ils ne soient pas venus avec moi aux conventions des éducateurs du sexe que j’ai couvertes.  La partie la plus difficile sur ces couvertures, c’est qu’il y en a tellement que c’est tout simplement trop sale pour l’imprimer.  Lorsque j’ai enseigné dans les écoles publiques dans les années 90, il était interdit aux étudiants de ramener à la maison tout matériau de classe sur l’éducation sexuelle.  Les parents n’étaient pas autorisés à les voir.

La troisième étape, naturellement, est d’équiper les enfants à avoir des relations sexuelles.  C’est la raison pour le stérilet.  Parce qu’il est implanté, il n’y a aucun souci à avoir au sujet d’oublier de l’utiliser.  Bien que les éducateurs publics aient toujours exprimé leur soutien sincère à l’avortement, ils préfèrent ne pas voir de vagues de grossesses chez les adolescentes dans n’importe quelle circonscription scolaire.  Ceci pourrait faire agiter les indigènes.

Et alors, ils enrôlent les enfants dans une conspiration contre leurs parents et frappent un grand coup contre la famille.  Qu’y a-t-il d’autre à faire le long de ces lignes, je ne sais pas.  Rendre le sexe obligatoire ?  Faire de divers types d’expériences sexuelles une exigence pour le diplôme d’études secondaires ?  Tout ce que nous savons assurément, c’est que ces programmes ne peuvent vraiment être appréciés, à moins de pouvoir les rendre obligatoires pour les autres.  Et nous savons que « les penseurs progressistes », depuis le 19ème siècle, ont vu la famille comme un obstacle au socialisme.  Le 19ème siècle a beaucoup de questions auxquelles répondre.

En dépit de tout cela, après tout, ce n’est qu’un des milliers d’incidents isolés dans chacun des 50 états de l’Union, la plupart des gens continuent à envoyer leurs enfants dans les écoles publiques pour être éduqués par un paquet d’antéchrists.  Çà ne semble pas leur venir à l’esprit que les éducateurs traitent les parents des enfants comme de simples nuisances.  Et ainsi, le taux de naissances hors mariage, les bébés nés dans des foyers sans père, afin de devenir la proie préférée de l’état prédateur, va toujours en augmentant.  Mais, ne vous inquiétez pas.  Çà ne se retrouvera jamais plus haut que 100 pour cent.

Que va-t-il se passer lorsque nous n’aurons plus de libertés qui peuvent nous être enlevées, et que les libéraux chasseront toujours pour en avoir davantage ?

Source : News With Views

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

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