TRUMP ENCOURAGE LES ENFANTS ILLÉGITIMES D’UN CONGRÈS INADÉQUAT


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Par Jake Macaulay – Le 27 juin 2018

L’Amérique est une République

« Une République est un empire de lois, et non d’hommes », a déclaré le père fondateur John Adams.

La Loi de notre Terre, notre Constitution, inscrit à l’Article II, Section 3, qu’un des devoirs principaux du Président est de « … veiller à ce que les lois soient fidèlement exécutées … »  En d’autres termes, c’est la responsabilité du Président pour faire appliquer les lois et les politiques, promulguées par le Congrès.

La loi provoquant le tumulte actuel de la « séparation des enfants » est le décret de consentement Flores de 1997, de l’époque de Bill Clinton.  Il dit que les enfants non accompagnés peuvent être détenus seulement 20 jours.  Pendant le mandat de Barack Obama, une décision du neuvième circuit a prolongé cette limite de 20 jours aux enfants qui font partie des unités familiales.  Cette loi empêche donc le pouvoir exécutif de garder les familles unies.  Mais, est-ce vraiment ce dont il s’agit ?
Nous sommes tous d’accord pour dire que les enfants devraient être séparés des familles criminelles.  C’est pourquoi aucun enfant ne vit avec ses parents en prison.  Ce serait une maltraitance des enfants, n’est-ce pas ?

Non, la question en ce moment est que certaines personnes non américaines ont une mentalité criminelle qui croit que l’entrée illégale dans ce pays n’est pas un crime.  Pour ces personnes, un crime est seulement quand ils croient que c’est un crime.  Pour eux, les lois sont arbitraires et ils préfèrent l’incertitude de l’anarchie à la sécurité d’une république.

Ces mêmes personnes refusent le fait évident que l’administration de Donald Trump ne change pas les règles qui ont trait à la séparation d’un adulte de l’enfant.  Ces règles ont commencé avec Clinton et sont restées à travers Bush et Obama et elles sont toujours là.  Cette question mineure de séparation ne se produit que si les fonctionnaires constatent que l’adulte prétend faussement être le parent de l’enfant, ou constitue une menace pour l’enfant, ou fait l’objet de poursuites pénales.  La vraie tragédie, c’est que les parents et les autres qui se contentent de se faire passer pour des parents utilisent beaucoup ces enfants.

Le New York Times a rapporté que :

« Certains migrants ont admis avoir emmené leurs enfants non seulement pour les soustraire aux dangers dans des pays comme l’Amérique Centrale et l’Afrique, mais aussi, parce qu’ils pensaient que cela amènerait les autorités à les libérer plus tôt. »

D’autres ont admis avoir posé faussement avec des enfants qui ne sont pas les leurs, et les responsables des patrouilles frontalières affirment que de tels cas de fraude augmentent.

C’est tragique !  Ce qui est encore plus tragique, c’est que lorsque les enfants traversent la frontière, ils deviennent les enfants de notre Congrès.  Alors pourquoi le Congrès ne change-t-il pas les règles afin que le décret de consentement de Flores ne s’applique plus, et il peut s’approprier plus d’argent pour les abris familiaux à la frontière.  Ce serait l’action d’un parent bienveillant, n’est-ce pas ?

Eh bien, l’Article I, Section 1, de la Constitution stipule : « Tous les pouvoirs législatifs accordés ici seront dévolus au Congrès ».

Cher Congrès, il est temps de prendre soin des enfants qui vous sont légués par une frontière non sécurisée et de cesser de compter sur Donald Trump pour être votre nounou.

Oh, et vous, chers médias, utilisez ce premier amendement correctement et mettez de la pression ; Oserez-vous ?

Source

Traduit par PLEINSFEUX.ORG


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