VACCINS CONTRE LA COQUELUCHE


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Les étudiants contractent la coqueluche dans une école avec un taux de vaccination de 99,5%. Et, les les autorités sanitaires continuent à recommander les vaccins DTaP malgré leur apparente inefficacité.

Par Adan Salazar – Le 26 mars 2015

Les officiels d’une école en Californie sont perplexes à propos de quatre de leurs élèves diagnostiqués avec la coqueluche, malgré que les enfants aient complètement été vaccinés.

Le Monterey Park Elementary School de Salinas a inscrit 524 élèves qui ont un taux de vaccination de 99,5 %, selon KSBW news, ce qui signifie qu’environ deux où trois enfants de l’école ne sont pas vaccinés.

Mais, malgré leur taux élevé de conformité avec les exigences actuelles en matière de vaccins, un enfant a contracté l’infection le 25 février.

Peu après, trois autres étudiants de cinquième année ont contracté la maladie, également connu sous le nom de coqueluche, et caractérisée par une toux sévère persistante et un son de coqueluche en respirant.

À la grande surprise des officiels de l’école, tous les quatre enfants avaient déjà été complètement vaccinés contre la maladie.

La propagation de la coqueluche à l’école réfute apparemment la notion d’immunité de groupe, définie comme : « Quand suffisamment de gens dans une communauté sont vaccinés contre une maladie, l’ensemble de la population, y compris ceux qui sont trop jeunes où ceux qui sont immunodéprimés pour recevoir le vaccin, est protégée, car le virus n’est plus en mesure de trouver suffisamment d’hôtes permettant de se maintenir. »

KSBW News a consulté un pédiatre qui a simplement lancé les points de discussion de Big Pharma qui disent que « la plus simple manière de combattre la coqueluche consiste à se faire vacciner », mais, la dernière flambée fera probablement que les parents réexamineront ce conseil, et à juste titre.

En dehors de l’inefficacité apparente du vaccin, les parents peuvent aussi être sceptiques au sujet de ses éventuels effets secondaires graves, qui, d’après les avis des médecins incluent le syndrome de Guillain-Barré, les spasmes musculaires et d’autres troubles du système nerveux et immunitaire.

La coqueluche, particulièrement le prédécesseur de l’incarnation actuelle, a aussi une histoire mortelle.

« Le DTAP a remplacé un vaccin plus âgé contre la coqueluche à germes entiers très réactifs, le DPT, qui a été associé avec plusieurs cas de forte fièvre, d’effondrement/chocs, de convulsions, d’inflammations du cerveau et des lésions cérébrales permanentes, » a dit Barbara Loe Fisher, mère d’un enfant blessé par le vaccin DPT, au nom de l’organisation sans but lucratif du « National Vaccine Information Center»

« Plus de la moitié des 2,480 allocations pour les blessures et les décès causés par les vaccins, pour un total de $2 milliards, en vertu de la National Childhood Vaccine Injury Act de 1986, impliquaient les vaccins contre la coqueluche »

Le mantra persistant venant des autorités sanitaires et des médecins, dont beaucoup sont en collusion avec l’industrie pharmaceutique, en invitant la population à se faire vacciner même les preuves contradictoires, suggère un effort coordonné pour faire la promotion des vaccins peu importe les conséquences.

Plus tôt ce mois-ci, Infowars s’est aussi effondré lorsqu’ils ont appris que les médecins du comté de San Joaquin, en Californie, exhortaient les femmes enceintes d’accepter le vaccin DTaP au cours du troisième trimestre de leur grossesse, malgré la propre notification des fabricants du vaccin avertissant que « la sécurité et l’efficacité … n’avait pas été établie chez la femme enceinte. »

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Source : http://www.prisonplanet.com/students-contract-whooping-cough-at-school-with-99-5-percent-vaccination-rate.html

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

 


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