ACCUSATIONS CONTRE NETANYAHOU


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C’est le choc alors que la police israélienne recommande d’accuser le Premier Ministre Benjamin Netanyahou de corruption dans deux affaires.

Par Geoffrey Grider – Le 13 février 2018
Selon la police, après l’élection de Benjamin Netanyahou, le volume des dons reçus par lui a augmenté de manière significative, s’élevant à un total de 1 million de shekels.  En ce qui concerne Milchan, la police a déclaré qu’en échange de ces cadeaux, Benjamin Netanyahou a fait pression pour la loi dite de Milchan, qui réduit les impôts pour les Israéliens retournant en Israël après avoir passé du temps à l’étranger.  Selon la police, Benjamin Netanyahou a agi
« contre les intérêts publics ».

‘Case 1000’ allègue que Benjamin Netanyahou a reçu des cadeaux somptueux de riches hommes d’affaires en échange de faveurs politiques ; ‘Case 2000’ allègue un ceci pour cela avec l’éditeur du journal israélien.

NOTE DE LA RÉDACTION : Ici, en Amérique, le président Donald Trump a des ennemis qui ne font rien d’autre que de rechercher sa chute 24 heures par jour, tous les jours.  Nous appelons ces personnes les médias.  Et, chaque fois qu’ils commencent à se lécher les lèvres en pensant qu’ils l’ont fait tomber dans leur dernier piège, la vérité bouillonne jusqu’au sommet.  Ce n’est pas différent en Israël, où les ennemis de Benjamin Netanyahou travaillent sans relâche pour le renverser afin que les factions libérales de la Knesset puissent aller de l’avant et donner Jérusalem aux Palestiniens.  Tout est possible, et Benjamin Netanyahou pourrait certainement être coupable … mais, ne retenez pas votre souffle.  Mon humble opinion dit qu’il ne l’a pas fait.  Et tous les « chrétiens » qui haïssent Israël et qui parlent des « faux  juifs » ne sont pas encore trop excités.  La recommandation de la police n’exige pas que Benjamin Netanyahou démissionne, résigne ou quitte ses fonctions.
La police israélienne recommandera l’inculpation du Premier Ministre Benjamin Netanyahou dans deux enquêtes pour corruption.  Les deux cas sont ce que l’on appelle le Cas 1000, dans lequel Benjamin Netanyahou est soupçonné d’avoir accepté des cadeaux somptueux de bienfaiteurs riches en échange de faire avancer leurs intérêts, et le Cas 2000, qui allègue que Benjamin Netanyahou a essayé de conclure un accord qui lui aurait donné une couverture positive dans le deuxième plus grand journal d’Israël, Yedioth Ahronoth, en échange de nuire à son rival libre, Israel Hayom.

À ce stade, l’accusation et le Procureur général, Avichai Mandelblit, examineront les éléments de preuve que la police a recueillis tout au long des enquêtes et décideront plus tard s’il y a lieu d’inculper le Premier Ministre ou non.  Benjamin Netanyahou ne sera pas obligé à ce stade de démissionner de son poste.
L’éditeur de Yedioth Ahronoth, Arnon Mozes, sera également inculpé, tout comme Arnon Milchan, qui aurait fourni des cadeaux à Benjamin Netanyahou. Benjamin Netanyahou s’adressera au public dans une émission en direct à 8h45.
Benjamin Netanyahou a maintenu qu’il n’avait rien fait de mal, en affirmant à de nombreuses reprises
« qu’il n’y aura rien, parce qu’il n’y a rien ».
Selon la police, après l’élection de Benjamin Netanyahou, le volume des dons reçus par lui a augmenté de manière significative, s’élevant au total à 1 million de shekels.
En ce qui concerne Milchan, la police a déclaré qu’en échange de ces cadeaux, Benjamin Netanyahou a fait pression pour la loi dite de Milchan, qui réduit les impôts pour les Israéliens retournant en Israël après avoir passé du temps à l’étranger.  Selon la police, Benjamin Netanyahou a agi
« contre les intérêts publics ».

Dans les jours précédant les recommandations de la police, Benjamin Netanyahou a ouvertement mis en doute l’intégrité du commissaire de police et d’autres officiers de haut rang chargés des enquêtes.

Dans une entrevue diffusée mercredi dernier, le commissaire de police Roni Alsheich a affirmé que des « personnes puissantes » avaient recueilli des informations sur les enquêteurs dans les affaires de Benjamin Netanyahou. Benjamin Netanyahou a répondu dans une publication sur Facebook, tard dans la nuit, en qualifiant les allégations de « ridicules » et en disant que les commentaires du chef de la police « jetaient de l’ombre » sur l’enquête.  Les jours suivants, Benjamin Netanyahou a continué à critiquer la police, y compris le chef de l’unité anti-fraude, Lahav 433.

Source

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

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