CLINTON ET SES SCANDALES


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Par Kelleigh Nelson – Le 9 janvier 2018

Bill Clinton et le scandale mortel teinté de sang de l’Arkansas.

« En fait, j’ai dû intenter des poursuites contre l’agence d’état juste pour avoir accès à ses dossiers qui, selon la loi, sont censés être un dossier public.  Quand je me suis rendu au siège de la police d’état de l’Arkansas, les documents clés avaient disparu. »   (Kelly Duda – Producteur du documentaire Factor 8)

« Ça, je le sais. Sans le soutien et la protection du gouverneur (Bill Clinton), ce système en proie aux maladies aurait été fermé en 1982. »   (Mike Galster, auteur de Blood Trail)

Au début de 1999, un groupe d’hémophiles canadiens infectés par le VIH et l’hépatite C est descendu à Washington DC.  Ils voulaient savoir pourquoi les États-Unis, en particulier la Food and Drug Administration (FDA), autorisaient l’exportation de plasma contaminé de l’Arkansas et de la Louisiane vers le Canada dans les années 1980.  À l’époque, Bill Clinton était gouverneur de l’Arkansas, et la FDA avait déjà statué que le plasma provenant de la prison était trop dangereux pour être utilisé pour la fabrication de produits sanguins à l’intérieur des États-Unis.

Scandales de Clinton

Les scandales de Clinton sont nombreux, de Whitewater à Uranium One.  La mort de Vince Foster, Travelgate, Troopergate, Filegate, Cattle Futures, Paula Jones, Jennifer Flowers, Monika Lewinsky, Chinagate, Pardongate, Benghazi, la Fondation Clinton, Humagate, Anthony Weiner, Haïti, et la trahison probable d’Hillary via son serveur de messagerie privé en sont juste quelques-uns.

Ensuite, il y a toutes les morts étranges entourant cette paire qui sont appelées le « compte des corps de Clinton », mais, peut-être les actions les plus odieuses et meurtrières étaient celles autorisées par le gouverneur Bill Clinton dans les prisons de l’Arkansas.

Programme de plasma des prisons de l’Arkansas

Vous avez rarement entendu parler de l’horrible programme de plasma dans les prisons de l’Arkansas qui a mené du manoir du gouverneur de l’Arkansas à la Maison Blanche.  Toute l’histoire est dans un roman trépidant écrit comme de la fiction pour protéger l’auteur.  Le livre de Michael Sullivan, Blood Trail, est l’histoire vraie du scandale du sang contaminé dans les prisons de l’Arkansas qui a infecté des milliers de Canadiens avec l’hépatite C ou le SIDA par des transfusions sanguines.  Michael Galster, écrivant sous le nom de plume, Michael Sullivan, était un prothésiste/orthésiste en Arkansas.

Pendant plus de deux décennies, le système carcéral de l’Arkansas a vendu du plasma sanguin provenant de détenus infectés par une hépatite virale et le SIDA. Le sang des prisons était 69 fois plus contaminé que celui de la population générale des donneurs.  Des milliers de victimes involontaires sont décédées suite à des transfusions d’un produit appelé Facteur 8 fabriqué à partir de ce sang. Le facteur 8 est une protéine de la coagulation pour arrêter ou prévenir le saignement chez les personnes atteintes d’hémophilie.

Gouverneur Bill Clinton et l’Association de Gestion de la Santé (HMA)

Bill Clinton était gouverneur de l’Arkansas lorsque la réserve canadienne de sang a été contaminée au milieu des années 1980.  Il était familier avec les opérations du HMA, maintenant disparu.  Ils étaient la firme de l’Arkansas qui a reçu un contrat de l’administration d’état de Bill Clinton pour fournir des soins médicaux aux prisonniers.

Dans le processus, le HMA a également été autorisé par l’état à recueillir le sang des prisonniers et à le vendre ailleurs.  Le gouverneur était un ami du président du HMA, Leonard Dunn, un allié politique, qui se vantait de son amitié en 1986 avec la police de l’Arkansas qui menait une enquête sur les allégations selon lesquelles le HMA fournissait des soins médicaux médiocres aux détenus.  Il avait été nommé par Bill Clinton pour siéger à la Commission de développement industriel de l’Arkansas et a servi comme président des finances de la campagne de Bill Clinton comme gouverneur en 1990.  Plus tard cette même année, Leonard Dunn a acheté l’infâme Madison Guaranty Savings and Loan du partenaire d’affaires de Bill Clinton, James McDougal (Whitewater).

Au début des années 80, les entreprises américaines qui fractionnent les produits sanguins (séparant les différents composants du plasma sanguin) ont cessé d’acheter du sang car il était largement connu que de nombreux détenus pratiquaient des rapports sexuels non protégés ou consommaient des drogues par voie intraveineuse, ce qui était très risqué pour la transmission du SIDA.

Cependant, le HMA a trouvé un acheteur volontaire chez Continental Pharma, un courtier de sang de Montréal, qui à son tour a vendu le plasma à un fractionneur de sang basé à Toronto, Connaught Laboratories.  Connaught n’a apparemment pas réalisé que le plasma provenait de détenus.

Les détails des liens de HMA avec Bill Clinton ont été rapportés après que des copies des rapports internes aient été obtenues de la police d’état de l’Arkansas remontant au milieu des années 80.

Vince Foster et le HMA

Selon l’auteur Michael Galster, un spécialiste des prothèses qui travaillait à l’unité Cummings à l’époque, le HMA a embauché Vince Foster, alors chez Rose Law, pour aider à écraser l’enquête sur un incident impliquant une opération bâclée dans laquelle un médecin du HMA a amputé inutilement la jambe d’un prisonnier jusqu’à la hanche.

Michael Galster dit que Vince Foster l’a approché avec une offre au prisonnier pour construire une jambe artificielle dans l’espoir que cela empêcherait le prisonnier d’aller de l’avant avec une réclamation légale contre la compagnie.

« Le but de sa présence était de me convaincre de le prendre, de le calmer et tout le monde serait heureux », a déclaré Michael Galster.  « Je l’ai refusé.  Il a dit : Je comprends votre situation.  Mais, cela pourrait rendre difficile pour vous d’obtenir un futur contrat avec l’état ».  Vince Foster avait raison ;  Michael Galster a été congédié.

Bien que Michael Galster ait refusé de suivre, Vince Foster semble avoir accompli sa tâche.  L’enquête interne menée par l’état sur le HMA a permis à l’entreprise de réparer tout acte répréhensible.  Un examen indépendant mené par une société californienne a révélé que le travail de HMA dans les prisons était extrêmement déficient.  Le rapport a cité plus de 40 violations de contrat et a été rempli de cas de soins négligents envers des patients et de sa manipulation du centre sanguin.

Alors qu’elle travaillait à la Maison Blanche, Linda Tripp, l’ancienne assistante de Vincent Foster et de Bernard Nussbaum, a dit qu’elle avait reçu un appel téléphonique de quelqu’un qui avait mentionné le « problème du sang   contaminé ».  L’appel téléphonique venait juste après la mort mystérieuse de Vince Foster.  La phrase ne signifiait rien pour Tripp, jusqu’à ce qu’elle essaye d’en savoir plus.  Quelques jours avant sa mort, Vince Foster était préoccupé par le « sang contaminé ».

Les détenus payés pour vendre leur sang

À l’unité Cummins du système pénal de l’Arkansas, pendant les années 1980, alors que le président Bill Clinton était encore gouverneur, les détenus traversaient régulièrement le seuil de l’hôpital de la prison pour donner du sang, en sachant qu’ils recevraient $7 la pinte.  Le HMA a non seulement fait de l’argent en fournissant des soins médicaux aux prisonniers, mais, il a aussi lancé une entreprise parallèle rentable : L’extraction du sang.  Le HMA a vendu le sang sur le marché international du plasma pour $50 la pinte, en divisant 50 pour cent du produit avec le département des services correctionnels de l’Arkansas.

Comme l’Arkansas est un des rares états à ne pas payer les prisonniers pour leur travail, les détenus étaient disposés à faire des dons fréquents à la soi-disant « clinique de sang ».  Des centaines de prisonniers vendaient jusqu’à deux pintes par semaine au HMA.  Le sang a ensuite été vendu à des sociétés pharmaceutiques, comme Bayer et Baxter International, à des banques de sang comme la Croix-Rouge et à des soi-disant fractionneurs de sang, qui ont transformé le sang en médicaments pour les hémophiles.

Les prisonniers s’alignaient pour donner leur sang et les administrateurs ont ensuite vendu le sang à des courtiers qui, à leur tour, l’expédiaient dans d’autres pays, au Japon, en Italie, en Espagne, en Suisse, au Canada et même en Écosse. Malgré les avertissements répétés de la FDA, l’Arkansas a maintenu son programme de plasma dans les prisons jusqu’en 1994, date à laquelle l’Arkansas est devenu le tout dernier état à cesser de vendre le plasma de ses prisonniers.

L’acheteur principal du sang de HMA

L’acheteur principal du sang contaminé de HMA, en grande partie obtenu des prisonniers dans l’unité Cummins de Grady, en Arkansas, était une compagnie canadienne notoire, appelée Continental Pharma Cryosan Ltd qui avait une réputation ténébreuse dans l’industrie médicale.  Cryosan avait été pris à importer du sang prélevé sur des cadavres russes et ré-étiqueté comme provenant de volontaires suédois.  L’entreprise a également commercialisé du sang prélevé dans les bidonvilles haïtiens.

Cryosan a transmis le sang contaminé dans les prisons de l’Arkansas à la Croix-Rouge canadienne et à des sociétés européennes et asiatiques.  Le sang a été rappelé en 1983 après que la contamination ait été découverte par la FDA, mais, moins d’un sixième du sang a été récupéré.  Au Canada seulement, plus de 7000 personnes sont mortes du fait de la réception de sang contaminé, dont beaucoup d’hémophiles.  Plus de 4000 d’entre eux sont morts du SIDA.  Entre 1980 et 1990, 60.000 autres personnes au Canada ont contracté diverses formes d’hépatites.  Certaines remontent à la prison de Cummins, en Arkansas, une des rares sources de mauvais sang au cours de cette période.

Le gouverneur Bill Clinton a fermé les yeux.  Il est demeuré assis sur ses mains malgré des preuves de mauvaise gestion sévère dans son système pénitentiaire et dans ses opérations médicales.

Le scandale du sang coule toujours

Plusieurs ex-détenus de Cummings ont déclaré avoir contracté une hépatite et le SIDA du fait de l’absence de dépistage de maladies telles que l’hépatite et la syphilis, d’une mauvaise tenue des dossiers, de la falsification des dossiers et du prélèvement sanguin de plusieurs patients.

Une grande partie du blâme a été attribuée à un autre ami de Bill Clinton, Art Lockhart, qui était à la tête du département correctionnel de l’Arkansas, mais, Bill Clinton ne croyait pas que les allégations étaient assez sérieuses pour demander à Art Lockhart de démissionner.

Documentaire Facteur 8

Kelly Duda a produit le film documentaire sur le scandale des prisons de l’Arkansas dans lequel les copains de Bill Clinton vendaient en toute connaissance de cause du sang contaminé au VIH et à l’hépatite-C collecté sur  des prisonniers à des sociétés pharmaceutiques canadiennes, y compris Bayer, qui étaient finalement coupables de poursuites judiciaires lorsque des enfants hémophiles étaient infectés et qu’ils en mouraient comme résultat direct.  Bien qu’il s’agisse d’un film primé, Kelly Duda a été poursuivie, volée et intimidée.

« Cela peut sembler sensationnel, mais, je vous assure que c’est vrai.  Dans le processus de fabrication du documentaire Facteur 8, j’ai reçu des appels téléphoniques étranges, j’ai été suivie, ma maison a été cambriolée, mes pneus ont été crevés, et des informations sensibles, y compris mes notes personnelles, ont mystérieusement disparu de mon ordinateur.  J’ai aussi eu une arme pointée à l’arrière de ma tête, il y avait un meurtre, et un informateur clé a été emmené hors de l’état et mis en isolement. »  (Kelly Duda, productrice du film supprimé, Facteur 8)

Les familles sont toujours en deuil.  Les victimes sont toujours en train de mourir.  Le documentaire a également révélé pour la première fois comment de hauts responsables du système pénitentiaire ont trafiqué les dossiers médicaux des prisonniers pour faire croire qu’ils ne portaient pas les maladies mortelles.

Le programme est resté en vigueur jusqu’à ce que Bill Clinton s’installe à Washington.  Il a finalement été fermé en 1993 par son successeur, Jim « Guy » Tucker (Whitewater).

Pourtant, alors que le reste du monde se tournait vers l’Amérique pour obtenir des réponses, l’histoire reste largement inconnue, et le documentaire de 92 minutes a été totalement éliminé du web.  C’est tout ce qui reste.

Conclusion

Quand Bill Clinton a quitté le manoir du gouverneur de l’Arkansas, les dossiers du « sang contaminé » l’ont apparemment accompagné.

Le scandale du sang de Bill Clinton n’est qu’un des nombreux, mais, un des plus meurtriers.  Quelqu’un sera-t-il jamais tenu responsable ?  C’est très douteux.

J’ai demandé à Kenny Wayne, agent spécial à la retraite du nord du Texas et de l’Oklahoma pour le DHS-US ICE, si jamais nous pouvions nous attendre à voir des accusations portées contre les Clinton, en particulier Hillary.  Kenny Wayne est un ancien agent spécial des douanes américaines.  Il a été enquêteur et entrepreneur en services de combat pour les forces spéciales de l’armée en Irak et en Afghanistan de 2006 à 2012.

Selon son opinion éclairée et basée sur son expérience, son observation et son analyse personnelle :

J’ai toujours dit que personne ne sera jamais accusé dans les crimes d’Hillary Rodham Clinton au sujet des courriels, des serveurs, de la sécurité nationale, de la collusion de la Russie, de la surveillance électronique domestique qui ont été commis … pour deux raisons majeures.

  1. La participation délibérée d’Obama dans tout cela … sa connaissance évidente d’Hillary Clinton (il a sciemment communiqué des informations classifiées via le système de messagerie non-gouvernemental d’Hillary, puis, son déni public de toute connaissance) et les méfaits du Parti Démocrate, les abus illégaux de son administration des autorités de la NSA et de la FISA à des fins politiques. Poursuivre objectivement et authentiquement ces affaires criminelles mettrait Barack Obama directement dans la bulle et souillerait le premier président noir.  Les « guerriers de l’ingénierie sociale » de la bureaucratie permanente ne peuvent pas respecter cela.  Rappelez-vous que les niveaux les plus élevés de toutes les grandes agences fédérales ne fonctionnent plus pour le public.  Ils travaillent pour eux-mêmes et pour la continuation, l’enrichissement et le pouvoir de leurs agences.
  2. Si une véritable enquête et une poursuite clairement justifiée contre Hillary Clinton étaient autorisées, toutes les élites de Beltway seraient en danger parce qu’ils savent qu’Hillary a de la saleté sur tout le monde. À partir de Barack Obama jusqu’en bas ; Les politiciens de carrière, les dirigeants mondiaux, les anciens présidents, probablement Donald Trump lui-même, les gouvernements étrangers … etc.  Tout le monde sait qu’Hillary est la musaraigne consommée et que, si elle devait être « jetée par la canalisation », elle et Bill entraîneraient tout le monde avec eux.

Donc, non, je suis confiant que rien n’arrivera jamais.  Tout est interconnecté. Hillary Clinton et Barack Obama sont menacés par leurs opérations illégales d’armes en Libye (par le biais d’une compagnie britannique) qui ont explosé à Benghazi.  La révélation potentielle est pourquoi aucune réponse militaire à l’attaque du Consulat n’est arrivée, ce qui relie au serveur de courriel privé d’Hillary Clinton, ce qui lui fait le lien avec les systèmes de courriels électroniques gouvernementaux conservés, qui sont reliés à des organisations internationales de blanchiment d’argent, ce qui est la Fondation Clinton, et ainsi de suite.   Le tissu de la corruption, et des mensonges, et des crimes pour couvrir d’autres crimes couvre les cartels de Beltway.

C’est tellement pris et tordu dans le Gouvernement Fédéral (Bureaucratie et Congrès) que je doute que ceci puisse jamais être réparé.  Seule une véritable révolution politique aurait un impact.  Les conspirateurs se couvrent toujours l’un l’autre, c’est du « tu me dois, je te dois » et ainsi de suite.

La primauté du droit n’a évidemment pas d’incidence sur les élites mondialistes, même lorsqu’il y a des milliers de morts innocents.

Source : News With Views 

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

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