UN TEMPS DE GRANDES TRISTESSES DANS NOTRE MONDE !


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Par Samuel David Meyer – Mai 2015

« Tu as anciennement fondé la terre, et les cieux sont l’ouvrage de tes mains.  Ils périront, mais tu subsisteras ; Ils s’useront tous comme un vêtement ; Tu les changeras comme un habit, et ils seront changés.  Mais toi, tu restes le même, et tes années ne finiront point.  Les fils de tes serviteurs habiteront leur pays, et leur postérité s’affermira devant toi. » Psaumes 102:26-29

« Levez les yeux vers le ciel, et regardez en bas sur la terre !  Car les cieux s’évanouiront comme une fumée, la terre tombera en lambeaux comme un vêtement, et ses habitants périront comme des mouches ; Mais mon salut durera éternellement, et ma justice n’aura point de fin. » Ésaïe 51:6

« …en attendant la bienheureuse espérance, et la manifestation de la gloire du grand Dieu et de notre Sauveur Jésus-Christ, qui s’est donné lui-même pour nous, afin de nous racheter de toute iniquité, et de se faire un peuple qui lui appartienne, purifié par lui et zélé pour les bonnes œuvres. » Tite 2:13-14

Dans ce numéro, nous allons examiner les tendances mondiales actuelles, qui indiquent que nous pourrions bientôt vivre un temps de grande tristesse dans notre monde.  Présentement, nous vivons dans un monde où la peur et l’anxiété sont la norme, et il y a toujours une menace quelconque véhiculée par des politiciens, des scientifiques et les médias traditionnels.  Cet alarmisme sert un objectif et il est important de se rappeler qu’un peuple effrayé est une population qui se conforme.

Au cours des dernières années, certaines personnalités ont cherché à semer la peur dans les cœurs de l’humanité avec un barrage continuel de mises en garde concernant les changements climatiques et le réchauffement planétaire. Un excellent exemple de cette campagne de peur a eu lieu le 18 avril 2015, lorsque le président américain Barack Obama s’est adressé à la nation avec une déclaration préparée au sujet de cette question.  « 2014 a été l’année la plus chaude de la planète enregistrée.  Quatorze des 15 années les plus chaudes sont toutes tombées dans les 15 premières années de ce siècle.  Cet hiver a été très froid dans certaines parties de notre pays, comme certains membres du Congrès aiment à le souligner,  mais, partout dans le monde, il a été le plus chaud jamais enregistré », a déclaré Obama.  Il a ensuite continué en disant « Et le fait que le climat change a des implications très graves pour la façon dont nous vivons aujourd’hui ; des tempêtes plus violente, des sécheresses plus profondes, des saisons plus longues pour les feux. Les principaux scientifiques du climat dans le monde nous préviennent que les changements climatiques affectent déjà l’air que nos enfants respirent.  La semaine dernière, le Surgeon General et moi avons parlé avec des experts publics sur la façon dont les changements climatiques affectent déjà les patients à travers le pays. Le Pentagone a dit que les changements climatiques posent des risques immédiats pour notre sécurité nationale. »  Lorsque nous examinons les paroles d’Obama, il semble bien être très préoccupé par les changements climatiques.  Pourtant, ses préoccupations ne sont pas assez importantes pour le contraindre à modifier son comportement de façon significative.  En fait, il a été rapporté que le voyage de Barack Obama dans les Everglades, en Floride, qui a eu lieu le 22 avril 2015, en l’honneur du Jour de la Terre, avait consommé plus de 9000 gallons de carburant et avait relâché une énorme quantité de pollution dans l’atmosphère.

C’est mon avis que, si les changements climatiques sont vraiment un problème aussi grave comme cela, comme revendiqué par les scientifiques et les politiciens, il n’y a aucune solution équitable pour le résoudre.  Pourtant, je crois qu’il y aura dans l’avenir des tentatives visant à restreindre fortement les activités humaines de façons drastiques et choquantes.  En fin de compte, il s’agit de question de contrôle, et si vous pouvez convaincre les masses qu’ils doivent renoncer à leurs libertés pour sauver la planète, beaucoup de personnes accepteront de telles exigences.

On nous dit souvent qu’une des raisons pour lesquelles le monde connaît les changements climatiques c’est parce qu’il y a beaucoup trop de gens sur la planète. Dans un rapport publié en octobre 2014, les scientifiques ont déploré le fait que rien ne semble fonctionner pour arrêter la croissance de la population mondiale. Dans un résumé du rapport publié par Proceedings of the National Academy of Science, les auteurs écrivent : « La grande population humaine croissante de la planète, et sa surconsommation, érodent rapidement un grand nombre d’écosystèmes naturels de la Terre.  Cependant, le seul vrai levier politique de la société afin de réduire la population d’une manière humaine, c’est d’encourager une fécondité inférieure par habitant.  Combien de temps la réduction de la fertilité pourrait-elle prendre pour avoir un impact significatif ?  Nous avons examiné différents scénarios de changements de la population humaine mondiale jusqu’à l’année 2100 en ajustant les taux de fécondité et de mortalité (les interventions chroniques et à court terme) pour déterminer une gamme plausible de résultats.  Même les politiques de l’enfant unique imposées dans le monde entier et des mortalités catastrophiques seraient encore susceptibles d’avoir des résultats en 5 et 10 milliards de personnes d’ici 2100. »   Le professeur Barry Brook de l’Université d’Adélaïde, en Australie, qui est co-auteur du rapport, déclare que même une guerre mondiale de cinq ans ne serait pas assez pour réduire la population.  « Nous avons été surpris qu’un scénario Troisième Guerre Mondiale d’une durée de cinq ans, en imitant la même proportion de personnes tuées pendant la première et la deuxième guerres mondiales combinées, équivalait à peine à un clin d’œil sur la trajectoire de la population humaine de ce siècle. »  Le Professeur Corey Bradshaw, lui aussi de l’Université d’Adélaïde, a en outre exposé sur leurs conclusions. « La population mondiale a augmenté si vite durant le siècle dernier que près de 14 pour cent de tous les êtres humains à avoir jamais existé sont encore en vie aujourd’hui.  Voilà une statistique qui fait réfléchir.  Ceci est considéré comme insoutenable pour une série de raisons, pas moins qu’être en mesure de nourrir tout le monde, mais aussi à cause de l’impact sur le climat et l’environnement, » a déclaré le professeur Bradshaw.  Si on lit entre les lignes, il devient évident que ces scientifiques, et beaucoup d’autres comme eux, croient que la population de la terre doit être considérablement réduite pour arrêter les changements climatiques.  Bien qu’ils soient réticents à le dire directement, l’implication est claire ; Des milliards de personnes devront mourir pour rendre la terre « durable ».

Dans l’avenir, les changements climatiques pourraient être utilisés comme excuse pour restreindre fortement les sortes d’aliments que les gens seraient autorisés à consommer.  En particulier, les scientifiques croient que la consommation de viande et de produits laitiers doivent être fortement réduite.  « La lutte contre les réchauffements catastrophiques est dépendante de la lutte contre la consommation de viande et de produits laitiers, mais, le monde fait très peu.  Beaucoup est fait sur la déforestation et le transport, mais, il y a un écart énorme dans le secteur de l’élevage.  Il y a une profonde réticence à s’engager en raison de l’idée reçue selon laquelle les gouvernements ou la société civile ne doivent pas faire intrusion dans la vie des gens pour leur dire ce qu’ils doivent manger », a déclaré Rob Bailey, auteur principal d’un rapport publié par des penseurs connus sous le nom de Chantham House.  Dans une déclaration similaire, Brigitte Alarcon, une officielle de la politique alimentaire de la branche du Fonds mondial pour la nature pour le Royaume-Uni, a déclaré :  « Notre projet Bien Vivre a montré que nous pouvons couper un quart de nos émissions climatiques de la Chaîne européenne d’approvisionnement alimentaire en mangeant plus de légumineuses, de fruits et de légumes, et en réduisant notre consommation de viande.  Les gouvernements nationaux devraient améliorer l’éducation alimentaire pour encourager de saines habitudes alimentaires et une durabilité environnementale comme une première étape. »

Les scientifiques ont également insisté sur le fait que des mesures doivent être prises pour interdire les combustibles fossiles.  « Si nous sommes toujours sur une économie de combustibles fossiles dans 50 ans, il n’y aura plus aucun espoir de faire quelque chose contre les changements climatiques.  Ce sera d’une manière tellement dramatique que nous ne reconnaîtrons plus la planète où nous vivons » a déclaré le professeur Anthony Barnosky, de l’Université de Californie à Berkeley.  Bien sûr, si les combustibles fossiles étaient interdits aujourd’hui, cela causerait d’énormes difficultés à la plupart des gens.  La grande majorité des voitures sur la route aujourd’hui fonctionnent encore à l’essence, et beaucoup de nos centrales sont alimentées par le charbon.  Si ces centrales étaient fermées, il est peu probable que les sources restantes d’énergies, comme l’énergie solaire et éolienne, seraient suffisantes pour répondre aux besoins d’électricité pour la population en général.

Curieusement, certains scientifiques ont fait l’affirmation qu’il était trop tard pour arrêter les changements climatiques.  « À l’heure actuelle, les tentatives des gouvernements pour limiter les émissions de gaz à effet de serre par le biais des systèmes de plafonnement et d’échanges de carbone et la promotion des sources d’énergies renouvelables et durables sont probablement trop tard pour arrêter la tendance inévitable du réchauffement de la planète » a déclaré un rapport de 2012 publié par Jasper Knight de l’Université Wits de Johannesburg, en Afrique du Sud, et Stephen Harrison, de l’Université d’Exeter en Angleterre.  De même, un climatologue de l’Institut Goddard pour les études spatiales de la NASA, Gavin Schmidt, a également affirmé qu’il était trop tard pour empêcher le réchauffement planétaire et les changements climatiques.  « Les échelles de temps dans les océans, dans les terres et dans la glace signifient que nous ne verrons pas un renversement du réchauffement de la planète pendant des siècles.  Donc, nos choix ne sont pas d’arrêter le réchauffement climatique ou de le maintenir, c’est vraiment à propos de modérer son influence » a déclaré Gavin Schmidt.

Quand les politiciens et les scientifiques parlent d’arrêter les changements climatiques, nous devons examiner attentivement ce qu’ils veulent dire réellement. Il est certainement clair que si les écologistes extrémistes étaient autorisés à faire ce qu’ils croient être nécessaire, la population mondiale serait réduite, la taille des familles serait limitée, les sortes d’aliments que nous sommes autorisés à manger seraient strictement réglementées, et nos voitures seraient éliminées ou rendues inutilisables.  Pourtant, la vérité est que, même si l’ensemble de ces mesures étaient prises, ceci ne sauverait pas la planète sur laquelle nous résidons actuellement. Dans Ésaïe 51:6, nous lisons : « Levez les yeux cers le ciel, et regardez en bas sur la terre !  Car les cieux s’évanouiront comme une fumée, la terre tombera en lambeaux comme un vêtement, et ses habitants périront comme des mouches ; Mais mon salut durera éternellement, et ma justice n’aura point de fin. »   De la même manière, Jésus nous dit dans Marc 13:31, « Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point. »  Dans tous les cas, nous ne devons pas avoir peur quand nous entendons leurs bavardages constants au sujet du réchauffement planétaire et des changements climatiques.  Car, comme l’a écrit l’apôtre Paul dans II Timothée 1:7, « Car ce n’est pas un esprit de timidité que Dieu nous a donné, mais un esprit de force, d’amour et de sagesse. »

La Grèce se rapproche du défaut de paiement !

Présentement, nous savons que de nombreux pays à travers le monde souffrent de difficultés économiques.  Pourtant, ces problèmes sont plus prononcés dans la nation européenne de la Grèce.  Ces derniers jours, de nombreux économistes et experts financiers ont averti que le gouvernement grec pourrait bientôt être dans un état de défaut parce qu’il n’est plus en mesure de payer les dettes de son pays.  Il a été rapporté que la dette publique de la Grèce aurait atteint 177 pour cent du produit intérieur brut, en 2014.  Cette situation a incité Peter Kazimir, qui est Ministre des Finances de la Slovaquie, à déclarer « La Grèce se rapproche toujours plus près de l’abîme. »

Au milieu des spéculations, ce ne pourrait être qu’une question de jours ou de semaines avant que le gouvernement grec n’épuise les liquidités du pays, les clients bancaires du petit pays ayant retiré d’énormes sommes d’argent de leurs comptes bancaires.  En fait, les banques en Grèce ont été contraintes de remplacer environ 74 milliards d’euros en dépôts perdus par des fonds de la Banque centrale européenne, BCE, dans les derniers jours.  En réponse, les responsables de la BCE ont laissé entendre qu’ils pourraient bientôt couper les fonds à ces banques qui sont actuellement sur un terrain très instable.  Une telle action conduirait à une faillite inévitable et à la fermeture des banques en question.  « En l’absence de soutien des autorités européennes, nous pensons qu’un défaut de paiement de ces banques grecques semble inévitable dans les six prochains mois, » a déclaré l’agence de notation Standard and Poor’s.

Dans un effort pour rassembler suffisamment de fonds pour faire un paiement à venir au Fonds monétaire international, FMI, un décret présidentiel a été publié en avril 2015, qui exigeait que toutes les entités appartenant à l’état transfèrent leurs réserves entières de trésorerie à la banque centrale de la nation.  « Les entités gouvernementales centrales sont tenues de déposer leurs réserves de trésorerie et de transférer leurs fonds de dépôts à terme dans leurs comptes de la Banque de Grèce, » exige le décret.

En fin de compte, les difficultés économiques de la Grèce pourraient finalement forcer la nation à quitter l’Union Européenne.  Selon un rapport publié au début d’avril 2015, le nouveau gouvernement de l’aile gauche de la Grèce, qui est connu comme le parti Syriza, a travaillé sur un plan d’urgence qui lui permettrait de revenir à leur unité monétaire, la drachme, à la place de l’euro.  « Nous allons fermer et ensuite nationaliser les banques, puis, nous allons émettre des reconnaissances de dette si nous devons le faire, et nous savons tous ce que cela signifie.  Ce que nous ne ferons pas c’est devenir un protectorat de l’Union Européenne » a déclaré un officiel anonyme du gouvernement qui a été cité dans le rapport.

Pendant ce temps, le Ministre des Finances de la Grèce, Yanis Varoufakis, a averti que la sortie du pays de l’Union Européenne pourrait faire des ravages dans toute l’Europe.  « Toute personne qui joue avec l’idée de couper des morceaux de la zone euro en espérant que le reste puisse survivre joue avec le feu.  Certains prétendent que le reste de l’Europe a été totalement isolé de la Grèce et que la BCE a des outils à sa disposition pour amputer la Grèce si besoin est, cautériser la plaie, et permettre au reste de la zone euro de continuer.  Je doute fort que ce soit le cas » a déclaré Yanis Varoufakis.  Il a ensuite déclaré, « Lorsque l’idée pénètre l’esprit des gens que l’union monétaire n’est pas pour toujours, les spéculations commencent …  Qui est le prochain ? Cette question est le solvant de toute union monétaire.  Tôt ou tard, ceci va commencer à relever les taux d’intérêt, les tensions politiques, et la fuite des capitaux. »

Il est certainement vrai que si la Grèce tombe en défaut de paiement sur sa dette et que la Grèce quitte l’Union Européenne, d’autres nations affaiblies pourraient suivre peu de temps après.  L’Espagne, le Portugal et l’Italie souffrent également de difficultés économiques depuis quelques années et, quand vous vivez dans une société mondialiste avec une économie mondiale, l’effet domino des faillites et des défauts de paiement pourrait avoir des conséquences imprévues très sévères.  Je crois que toutes les économies du monde échoueront finalement et, quand cela arrivera, une nouvelle économie mondiale sera établie avec un système monétaire sans argent liquide.

Une curieuse éclosion de grippe aviaire !

Présentement, nous entendons parler d’épidémies sur une base régulière.  Il est toujours question de virus et de maladies qui affectent les êtres humains, les animaux, ou les deux.  En ce moment, les États-Unis sont en proie à une épidémie de grippe aviaire majeure qui a eu un impact négatif sur de nombreux élevages de volailles.  « Toute personne qui possède une exploitation avicole, petite ou grande, si vous avez des centaines d’oiseaux ou un seul oiseau, ceci devrait servir de réveil » a déclaré Randy Olson, directeur exécutif de l’Association des Volailles de l’Iowa.  La souche de la grippe aviaire faisant maintenant des ravages dans les installations avicoles est connue comme H5N2 et le virus est capable de tuer un groupe entier d’oiseaux en seulement 48 heures.  À ce jour, le virus a été découvert dans l’Arkansas, le Wisconsin, le Kansas, le Minnesota, le Montana, le Dakota du Nord et le Dakota du Sud, et ceci a fait que le gouverneur Scott Walker a émis un état d’urgence dans le Wisconsin.

À ce jour, l’Iowa a été l’un des états les plus durement touchés.  En fait, H5N2 est devenu un tel problème dans l’Iowa qu’il a été signalé, en avril 2015, qu’une exploitation avicole connue sous le nom de Sonstegard Foods Company a été contrainte d’euthanasier 3,8 millions de poulets.  « Nous sommes allés très loin pour empêcher nos oiseaux de contracter la grippe aviaire, mais, malgré tous nos efforts, nous confirmons aujourd’hui que beaucoup de nos oiseaux testent positifs pour la grippe aviaire » a déclaré Sonstegard Foods dans un communiqué.  Des élevages de dindes ont également été durement touchés, ce qui a entraîné l’élimination de plus de deux millions de dindes.  Inutile de dire que les experts et les initiés de l’industrie ont exprimé leurs graves préoccupations face à la flambée actuelle, qui pourrait durer un certain temps. « Ce n’est pas une maladie avec laquelle nous pouvons vivre et avoir une industrie du dindon durable et compétitive à l’échelle mondiale », a déclaré Carol Cardona, un spécialiste de la grippe aviaire de l’Université du Minnesota.  En parlant des éleveurs de volailles touchés par cette épidémie, le directeur exécutif de l’Association des producteurs de dindons du Minnesota a déclaré : « Ceci est une affaire différente de celle d’un marché en baisse.  Ceci a un impact économique grave sur ces producteurs qui ont été touchés.  Mais, il y a également un impact émotionnel. »  Si la peste connue comme H5N2 devait continuer à prospérer pendant une période de temps significative, elle pourrait mettre davantage de pression sur l’approvisionnement alimentaire des États-Unis, qui éprouve déjà des difficultés causées par une sécheresse de longue durée en  Californie.

Conditions du tiers-monde en Californie !

Présentement, la plupart des gens ont entendu parler de la sécheresse en Californie, qui a persisté pendant quatre années consécutives.  Pourtant, de nouveaux rapports continuent à faire surface indiquant que les effets de cette sécheresse ont changé la manière de vivre de beaucoup de personnes.  Selon un rapport publié le 17 avril 2015, plus d’un millier de puits en Californie sont asséchés.  Dans certaines communautés frappées par la sécheresse, les robinets d’eau potable sont à sec, et certaines personnes ont recours à des douches de fortune qui ont été construites dans les lieux publics comme les stationnements des églises.  Ces développements ont incité Andrew Lockman, un gestionnaire du Bureau des services énergétiques dans le comté de Tulare, à déclarer : « Les conditions sont comme un pays du tiers monde. »  En conséquence de la sécheresse, les agriculteurs ont été contraints de creuser des puits plus profonds, et les fonctionnaires sont maintenant inquiets que de telles tactiques pourraient drainer les aquifères de la région trop rapidement.  « La demande sur les aquifères avec les forages dans les couches géologiques profondes, qui se font à un rythme alarmant, est vraiment effrayante. Les gens sont vraiment inquiets que nous ne soyons pas en mesure de trouver de l’eau dans le système des eaux souterraines pendant bien longtemps.  Nous les puisons trop rapidement » a déclaré Tricia Blattler, directrice exécutive du Bureau des Fermes du comté de Tulare.

Alors que la sécheresse continue, les Californiens seront bientôt confrontés à des coupures obligatoires importantes de l’utilisation de l’eau.  Cela comprend la riche ville de Beverly Hills qui est maintenant confrontée à un ordre de réduire sa consommation d’eau de 36 pour cent d’ici la fin de février 2016.  D’autres communautés de l’état se disputent également sur d’importantes réductions de consommation d’eau.  Alors même que les officiels de l’état se démènent pour trouver une solution à la sécheresse dans tout l’état, l’acteur William Shatner a suggéré une solution plutôt romantique.  « Je veux $30 millions … pour construire un pipeline comme le gazoduc de l’Alaska.  Disons, de Seattle, un endroit où il y a beaucoup d’eau.  Il y a même trop d’eau » a dit Shatner.  Il est ensuite allé jusqu’à dire « Ils nous disent qu’il reste des approvisionnements en eau pour un an.  S’il ne pleut pas l’année prochaine, que feront les 20 millions de personnes dans le grenier du monde ? »  Le pipeline proposé serait alors utilisé pour reconstituer les approvisionnements en eaux dans le lac Mead, qui est situé dans le Nevada et dans l’Arizona, et fournit une grande partie des approvisionnements en eaux pour l’Arizona, le Nouveau-Mexique et la Californie.  Bien que l’idée de Shatner soit impraticable et qu’il est très peu probable qu’elle soit menée à terme, elle démontre bien comment la situation est devenue désespérée.  « La Californie et le reste de l’occident sont maintenant à un point où ils ne peuvent vraiment pas rejeter des idées qui, jadis, auraient été considérées comme carrément stupides » a déclaré l’ancien président de l’Association de l’eau du nord de la Californie, Rich Golb.

En fin de compte, c’est Dieu qui contrôle le temps et la pluie.  Alors que les scientifiques proclament que les sécheresses, comme celles que nous voyons maintenant en Californie, sont causées par les changements climatiques, ceux d’entre nous qui croient en la Bible savent que la meilleure chose que nous puissions faire dans une période de sécheresse est de se repentir et de prier pour obtenir Sa miséricorde.  Dans Lévitique 26:3-4, Dieu nous ordonne : « Si vous suivez mes lois, si vous gardez mes commandements et les mettez en pratique, je vous enverrai des pluies en leur saison, la terre donnera ses produits, et les arbres des champs donneront leurs fruits. »

Hillary Clinton veut changer l’Amérique !

Au cours des six dernières années, les États-Unis d’Amérique ont subi une transformation.  Quand Barack Obama s’est présenté à la présidence, il a promis des changements, et il a apporté des changements.  Sauf circonstances imprévues qui permettraient à Obama de rester en fonction, sa présidence se terminera le 20 janvier 2017.  En nous rapprochant de cette date, j’ai entendu beaucoup de gens exprimer leur soulagement à l’idée qu’Obama quitte le bureau ovale.  Le sentiment général semble être que celui qui pourrait être son remplaçant, il où elle ne sera certainement pas pire que Barack Obama.  Pourtant, je pense qu’il y a une personne qui peut faire un président bien pire, c’est Hillary Clinton.

Le 12 avril 2015, l’ancienne première dame, la sénatrice de l’État de New York, et la Secrétaire d’État des États-Unis, a annoncé sa candidature à la présidence des États-Unis pour les élections de 2016.  « Je suis une candidate à la présidence.  Tous les Américains ont besoin d’un champion.  Et, je veux être ce champion.  Je vais donc prendre la route pour gagner votre vote, parce que c’est votre temps.  Et, je souhaite que vous vous joigniez à moi pour ce voyage » a déclaré Mme Clinton dans sa déclaration.

Si Hillary Clinton devait être élue présidente des États-Unis, elle espèrerait apporter sa propre marque de changements dans le pays.  Un de ses objectifs est de rendre l’avortement plus accessible aux femmes.  « Beaucoup trop de femmes se voient refuser l’accès aux soins de santé reproducteurs et des accouchements en toute sécurité, et les lois ne comptent pas pour grand-chose si elles ne sont pas appliquées.  Les droits doivent exister dans la pratique et pas seulement sur le papier » a déclaré Hillary Clinton dans un article publié le 23 avril 2015. Elle est allée plus loin en disant, « Les lois doivent être appuyées par les ressources et la volonté politique, les codes culturels profondément enracinés et les croyances religieuses et les biais structurels doivent être changés. »  Nous devons faire très attention à ses paroles.  Dans cette déclaration, citée ci-dessus, non seulement Hillary Clinton exige que les avortements soient plus accessibles aux femmes, elle exige également que les croyances religieuses d’un grand nombre d’américains soient modifiées !  Comment a-t-elle exactement l’intention d’imposer ces changements à la population américaine, çà reste à voir, même si je pense qu’il est sécuritaire de dire que nous préférerions ne pas savoir. Ce n’est pas la première fois que les tendances dictatoriales d’Hillary Clinton ont montré leurs têtes hideuses.  En intervenant lors d’une collecte de fonds en juin 2004, Clinton a dit à son auditoire, « Beaucoup d’entre vous sont assez bien nantis de sorte que les réductions d’impôts pourraient vous aider.  Nous disons que pour que l’Amérique puisse revenir sur la bonne voie, nous allons probablement arrêter çà et ne pas vous les donner.  Nous allons devoir vous enlever des choses au nom du bien commun ».

En terminant, il est bien évident que nous vivons dans des temps difficiles, et beaucoup d’histoires que nous entendons dans les nouvelles pendant cette période et cet âge sont difficiles à supporter.  À certains moments, c’est comme si ce monde n’avait aucun espoir, mais, malgré les circonstances de notre époque, ceux qui servent Dieu ont effectivement un grand espoir que personne ne peut nous voler.  Dans Tite 2:13-14, l’apôtre Paul écrit : « … en attendant la bienheureuse espérance, et la manifestation de la gloire du grand Dieu et de notre Sauveur Jésus-Christ, qui s’est donné lui-même pour nous, afin de nous racheter de toute iniquité, et de se faire un peuple qui lui appartienne, purifié par lui et zélé pour les bonnes œuvres. »  Si vous désirez avoir cette grande espérance, et n’avez pas encore entièrement consacré votre vie à Dieu, je vous invite à le faire maintenant.

Merci à tous pour votre soutien généreux de ce ministère.  Que la grâce et la paix soient avec vous au nom du Seigneur Jésus-Christ.

Source : http://lasttrumpetnewsletter.org/2015/05_15.html

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

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