LE GRAND COMMENCEMENT


Partager avec les autres

[one_third_last][/one_third_last]

Par Derek Gilbert – Le 25 février 2017

Dieu contre les Titans

NOTE DE LA RÉDACTION : Il s’agit d’une nouvelle série en ligne basée sur un Rapport d’Enquête spécial de SKYWATCH TV diffusé sur la télévision en réseau à la mi-février (2017) jusqu’à la mi-mars.  Cette série et les prochains programmes se centreront sur deux ouvrages révolutionnaires, Reversing Hermon, par Dr. Michael S. Heiser, et Le Grand Commencement, par l’animateur de SkyWatch TV, Derek P. Gilbert.  Ces rapports et ces entrées dévoileront ce que la plupart des Églises modernes n’ont jamais entendu dire sur la façon dont l’histoire du péché des Observateurs dans le Livre d’Hénoch était au centre de la mission de Jésus, le Messie, ainsi que des faits bibliques cachés derrière les histoires des anciens dieux, les Titans, et le rôle qu’ils jouaient et qu’ils joueront dans la direction jusqu’à l’Armageddon, des détails impératifs et précurseurs complètement oubliés par les institutions religieuses modernes.

Rappelons notre chronologie de l’histoire : La Bible nous dit qu’Abraham est arrivé à Canaan 430 ans avant l’Exode.  Avec l’Exode en 1446 avant Jésus-Christ, ce qui place Abraham en Canaan en 1876 avant Jésus-Christ, juste comme le brouillard sur la situation politique en Mésopotamie se soulève avec les Amorites en contrôle.

Alors, passons en revue :

• Le royaume des Amorites de Babylone fondé – 1894 avant Jésus-Christ

• Abraham arrive à Canaan – 1876 avant Jésus-Christ

• Isaac est né de Sarah – 1851 avant Jésus-Christ

• Isaac épouse Rebecca – 1811 avant Jésus-Christ

• Hammourabi couronné roi de Babylone à Eridu – 1792 avant Jésus-Christ

• Naissance de Jacob et Ésaü – 1791 avant Jésus-Christ

• Abraham meurt – 1776 avant Jésus-Christ

• Hyksos reprend la Basse-Égypte – 1750 avant Jésus-Christ

• Jacob arrive en Égypte – 1661 avant Jésus-Christ

• Ahmose dirige Hyksos hors d’Égypte –  1550 avant Jésus-Christ

• Moïse dirige l’Exode – 1446 avant Jésus-Christ

• Josué dirige la Conquête – 1406 avant Jésus-Christ

N’est-il pas intéressant de constater que la domination des Amoréens de la Mésopotamie a commencé pendant que Dieu a appelé Abraham et l’a dirigé vers Canaan ?  Et, que Babylone a atteint le sommet de sa puissance avec l’ascension d’Hammurabi le Grand à peu près au moment où Jacob et Ésaü sont nés ?

Dans le même temps, un état adorant Ba’al et parlant le Sémitique a émergé pour prendre le contrôle du nord de l’Égypte juste avant l’arrivée de la maison de Jacob.  Ne serait-ce pas également une coïncidence si les dirigeants Hyksos de la Basse-Égypte étaient des Amorites aussi ?

Eh bien, oui, si nous croyions aux coïncidences.  Et, les savants, en fait, croient que les Hyksos étaient des Amorites.

Le plus connu des rois Hyksos, Khyan, est attesté par des inscriptions trouvées aussi loin de l’Égypte que Chypre et Bagdad moderne (probablement à l’origine à Babylone).  Un roi Amorite du même nom, Hayanu, est inscrit dans une généalogie comme un lointain ancêtre de Šamši-Adad et la maison royale de l’ancien royaume assyrien.

Les érudits ont également noté de fortes similitudes dans les pratiques funéraires des Hyksos et des divers royaumes Amorites, en particulier la pratique de sacrifier des ânes pour l’enterrement avec des personnes importantes et sous les portails des nouveaux bâtiments.

Donc, oui, c’est une étrange coïncidence, si vous croyez aux théories de coïncidences.  Sinon, il semble qu’une main, ou des mains invisibles, ont déplacé les Amorites en position en Égypte et à Canaan juste avant l’arrivée des Israélites, presque comme s’ils avaient été placés là pour attendre le peuple élu de Dieu.

Il est également remarquable que, tandis que les Anakim ont été confirmés dans Canaan par des sources extra-bibliques provenant d’Égypte, les Anakim n’ont pas été retrouvés ailleurs dans l’ancien Proche-Orient.

Mais, vous savez maintenant que nous ne sommes pas des théoriciens de la coïncidence.  Tirons ces fils historiques un peu plus loin.  Pourquoi Dieu a-t-il lié le moment du retour d’Israël à l’iniquité des Amoréens ?

Nous avons établi que les Amorites ont fondé Babylone.  Ceci a été largement documenté dans l’histoire dominante, non contesté par les spécialistes laïques. Les Amorites sont également reliés par des registres historiques à une tribu appelée Tidnum/Tidanum qui semblait avoir une forte réputation militaire, assez gênante pour que les derniers rois sumériens de la Mésopotamie aient construit un très long mur dans une tentative futile pour les garder éloignés. Ceci est aussi solidement documenté dans l’histoire principale.

La Bible relie les Amorites aux Anakim (Deutéronome 2:10-25).  La campagne de Transjordanie visait deux rois Amorites, Sihon et Og, qui étaient tous deux des géants.  Rappelez-vous que le roi Amorite Og a été le dernier des Réphaïm (Deutéronome 3:11)Les textes trouvés dans toute la Mésopotamie identifient  Tidnum/Tidanum comme une tribu des Amorites.  Dans Ugarit, l’orthographe est habituellement Ditanu ou Didanu.  Et, ces textes sont habituellement dans le contexte de la vénération des ancêtres morts, en particulier pour honorer les morts royaux.

La ville-état d’Ugarit, habituellement décrite comme Canaanite par des professeurs de la Bible, était plus exactement un royaume Amorite.  Les tablettes trouvées par les archéologues ont fourni une richesse de connaissances sur l’hébreu ancien et l’histoire de la période autour de l’Exode.  Et, certains des liens entre l’histoire séculière, la Bible, et le royaume surnaturel sont absolument fascinants.

Par exemple, un texte funéraire identifié comme KTU 1.161, ou RS 34.126 (désignations qui identifient la tablette en question), relie clairement la tribu Amorite de Didanu

(Ditanu/Tidnum/Tidanum) avec les Réphaïm bibliques,  dans un rituel pour  convoquer des morts !

Liturgie du « Sacrifice des Ombres »

Les chercheurs qui regardent ce texte d’un point de vue laïque ont tendance à le considérer comme une curiosité académique, une fenêtre sur la psychologie des personnes qui vivaient il y a 3500 ans.  Mais, en tant que chrétiens, filtrant cela à travers la lentille de la vérité, nous obtenons une image complètement différente.

Dans ce rituel, les Réphaïm, qui comprenaient un Conseil de Didanu, ont été invoqués pour accompagner le défunt roi d’Ugarit, Niqmaddu III, dans le monde souterrain.  Ils étaient également là pour bénir le nouveau roi, Ammurapi III, qui, bien qu’il ne le savait probablement pas, était le dernier roi d’Ugarit.  Son royaume était sur le point d’être envahi par les soi-disant peuples de la mer, vers 1200 avant Jésus-Christ.

Les Réphaïm et le Conseil de Didanu furent apparemment appelés à donner au roi le pouvoir de surmonter la mort, et de faire du roi vivant un rpum, un Réphaïm.  En supposant que ce rituel n’était pas une invention pour Ammurapi, et des preuves de Babylone suggèrent que ce n’était pas le cas, il semble que les rites de couronnement des rois Amorites d’Ugarit (et peut-être pour d’autres royaumes Amorites) convoquaient les ancêtres morts du roi, les Réphaïm.

Imaginez un rituel comme celui qui se déroule devant la Maison Blanche le jour de l’inauguration. (Ceci n’est pas une farce, çà s’est réellement produit)

Maintenant, bouclez vos ceintures, parce que nous allons travailler sur certaines choses vraiment difficiles dans le reste de ce chapitre.  La majeure partie de ce qui suit provient d’un article publié en 1999 par le savant Amar Annus de l’Université de Tartu, en Estonie, dont les recherches sur les origines mésopotamiennes pour certains des thèmes les plus étranges de l’Ancien Testament, comme les Observateurs et leur péché, sont vraiment révolutionnaires.

Pour commencer, Amar Annus a conclu que la racine sémitique occidentale pour le mot Réphaïm, mrp’, semble être l’origine du mot grec merops.  Le mot peut avoir une signification similaire dans les deux langues, « guérisseur » ou « guérison ».

Kos, une île située au sud-est de la Mer Égée au large des côtes de la Turquie, était autrefois appelée Meropis, d’après un Merops, le premier roi mythique de l’île.  Merops était considéré comme un autochtone, un habitant originel de la terre, un qui est sorti des rochers et des arbres par opposition à un étranger qui s’y installe.  Ses gens étaient donc les Meropes.  Le point clé est que Merops, Meropis et les Meropes dérivent tous de la racine sémitique mrp’.

Nous trouvons aussi cette racine comme base de la phrase meropes anthropoi. Cette phrase a été utilisée par le poète grec Hésiode dans son célèbre poème Ouvres et Jours pour décrire les hommes qui ont vécu dans un âge d’or très ancien.

« D’abord les dieux immortels qui habitent l’Olympe ont fait une race d’or des hommes mortels qui ont vécu au temps de Cronos quand il régnait dans le ciel. Et ils vivaient comme des dieux sans douleur du cœur, éloignés et libérés des travaux et de la douleur : L’âge misérable ne reposait pas sur eux ; Mais, les jambes et les bras n’ayant jamais faillis, ils se réjouissaient de festins hors de portée de tous les maux.  Quand ils moururent, ils eurent l’impression d’être surmontés par le sommeil, et ils avaient toutes les bonnes choses ; Car la terre féconde, non fortifiée, leur donnait des fruits abondants et sans relâche.  Ils habitaient tranquillement et pacifiquement dans leurs terres avec beaucoup de bonnes choses, riches en troupeaux et aimés par les dieux bénis. »  (Hésiode, Travaux et Jours)

Qui étaient ces meropes anthropoï ?  Homère en a nommé quelques-uns d’entre eux dans l’Odyssée : Thésée, qui a tué le Minotaure en Crète ; Aegeus, le mythique fondateur d’Athènes ; Polyphemus, le fils géant cannibale de Poséidon, un des Cyclopes ; Caneus, un guerrier presque invulnérable, transformé d’une femme en un homme par Poséidon ; Dryas, chef d’une tribu qui a mené une longue guerre contre les Centaures ; etc. …

Significativement, Hésiode mentionne que les meropes anthropoï sont devenus, après leurs morts, des daimones, bien qu’il les considère plus favorablement que les Juifs et les Chrétiens qui les considèrent comme des démons :

« Mais, après que la terre eut recouvert cette génération, ils sont appelés les esprits purs qui habitent sur la terre, et délivrent gentiment du mal, et ils sont les gardiens des hommes mortels ; Car ils errent partout sur la terre, revêtus de brume et surveillant les jugements et les cruautés, en distribuant la richesse … » (Hésiode, Travaux et Jours)

Le Livre d’Hénoch offre une explication légèrement différente de l’origine des démons :

« Et, maintenant, les géants, qui sont produits par l’esprit et la chair, seront appelés les mauvais esprits sur la terre, et sur la terre sera leur demeure.  Les mauvais esprits sont sortis de leurs corps ; Parce qu’ils sont nés des hommes et des saints observateurs, c’est leur commencement et l’origine primordiale ; Ils seront les mauvais esprits sur la terre, et ils seront appelés mauvais esprits. Quant aux esprits du ciel, leur demeure sera dans le ciel, mais, quant aux esprits de la terre qui sont nés sur la terre, sur la terre sera leur demeure.  Et les esprits des géants affligent, oppriment, détruisent, combattent et agissent sur la terre, et causent des ennuis ; Ils ne prennent pas de nourriture, mais, ils ont de la faim et soif, et ils causent des offenses.  Et ces esprits se lèveront contre les enfants des hommes et contre les femmes, parce qu’ils en sont sortis. »    (1 Hénoch 15:8-12, traduction de R.H. Charles)

Ainsi, entre Hésiode et Hénoch, nous pouvons relier les meropes anthropoï, les hommes de l’âge d’or, aux Néphilim, les enfants des observateurs déchus.  Tous vécurent pendant l’âge avant le Déluge, et, à leurs morts, ils devinrent des esprits errants appelés démons.  C’est seulement que la vision grecque des daimones était plus favorable que la compréhension juive (ou mésopotamienne) des démons.

Inutile de dire que c’est un autre PSYOP de l’Ennemi.

Kronos, Saturne pour les Romains, était le roi d’une race de dieux appelée les Titans, qui régnait en maitre suprême après que Kronos eut vaincu son père, Uranus (avec un préjudice extrême, Kronos le castra avec une faux).  La race d’or des hommes créée par les Titans a été la seule qui ait vécu pendant le règne de Kronos.  Lorsqu’on lui ait dit qu’il serait déposé à son tour par ses enfants, Kronos a essayé de préserver sa royauté en mangeant ses enfants dès leur naissance.  Zeus a été épargné par sa mère, Rhéa, qui a donné à Kronos, évidemment pas un mangeur difficile, un rocher enveloppé dans une couverture à la place.  Quand Zeus a grandi, il a libéré ses frères et sœurs et mené une guerre pour vaincre le tyran.  Les Titans ont été vaincus et emprisonnés dans le Tartare.

Ainsi, à travers le lien entre la racine sémitique mrp’ et le mot grec meropes, nous avons un lien entre les Néphilim et les hommes héroïques de l’âge d’or de Kronos, les meropes anthropoï, « les hommes puissants qui étaient d’autrefois les hommes de grande renommée ».

Maintenant, de retour à la Bible : Og, le dernier « du reste des Réphaïm », a régné dans le pays de Basan, un territoire qui comprenait le Mont Hermon, l’endroit où les Observateurs rebelles sont descendus.  Dans Deutéronome 1:3, Josué 12:4-5, et Josué 13:12, on nous dit spécifiquement que Og « habitait à Ashtaroth et à Edrei et régnait sur le Mont Hermon ».  Edrei était le site de la bataille entre Israël et les forces de Og.  Et, un des textes ugaritiques, KTU 1.108, confirme le lien entre Og et les Réphaïm comme des habitants du monde inférieur.

« Puisse Rapiu, roi de l’éternité, boire du vin, qu’il boive, le dieu puissant et noble, celui qui règne à Athtarat [Ashtaroth], le dieu qui règne à Edrei, qui chante et qui joue sur la lyre … » (KTU 1.108)

En d’autres termes, les Amorites d’Ugarit croyaient qu’un dieu nommé Rapiu, une forme singulière du mot rpum (Réphaïm), régnait exactement sur le même territoire que Og, roi de Basan.  Et  puisque Rapiu, le roi de l’éternité, était relié aux Réphaïm, les morts ancestraux honorés, et le royaume de Og autour du Mont Hermon était essentiellement la porte d’entrée au monde souterrain.

Voici un autre point intéressant : En ugaritique, Basan, que les ugaritiens prononçaient avec un « th » au lieu d’un « sh », signifiait « lieu du serpent », un rappel aux rebelles divins, les nachash d’Ésaïe 14, les nachash ont été jeté dans  le Shéol où résident les rois morts des nations.  Ceci est-il arrivé à Basan ?

Le mythe cananéen offre un autre lien entre Og et les Réphaïm : Danel (l’équivalent ugaritique du nom hébreu Daniel), héros d’un mythe cananéen appelé La Légende d’Aqhat, est décrit dans l’histoire comme un mt rpi.  D’après Amar Annus, mt rpi, qui signifie « homme de Réphaïm », est une correspondance linguistique pour les meropes anthropoï.  Cela relie spécifiquement les hommes de race d’or de l’âge de Kronos, c’est-à-dire les Nephilim, aux Réphaïm, et donc au Conseil de Didanu.

Mais, remarquez ceci : Danel est également appelé mt hrnmy, ce qui signifie « l’homme d’Hermon ».

Ouais.  Cet Hermon.

Ainsi, nous pouvons maintenant relier les Réphaïm bibliques, les meropes anthropoï mythiques de l’âge d’or de Kronos, les Néphilim, les Observateurs de Genèse 6, et le mystérieux Conseil de Didanu, qui est probablement le nom d’une ancienne tribu des Amorites qui revendiquaient être les ancêtres des rois d’Ugarit, d’Assyrie et de Babylone.

C’est un bon moment pour souligner que le malheureux Ammurapi III d’Ugarit, mentionné ci-dessus, a partagé un nom avec le plus célèbre roi de l’ancien empire babylonien, Hammurabi.  Les érudits traduisent généralement leurs noms, ammu rapi, comme « mon parent est un guérisseur ».  Cela s’appuie sur le sens possible de « guérisseur » de la racine sémitique rpi.

Bien que je ne sois pas un savant des anciennes langues sémitiques, dans le contexte de ce que nous venons de lire, un compte-rendu plus précis de Ammurapi/Hammurabi pourrait être « mon parent est un Raphi », un des Réphaïm.

Puisque vous êtes perspicace, vous avez probablement déjà compris où cela nous amène.  Mais, pour bien enregistrer ceci, nous allons le déposer en noir et blanc : Le nom d’un ancêtre de plusieurs maisons royales des Amorites, Dedan, dont les descendants s’appelaient Didanu, Tidanum, et toutes les autres variantes, est le nom duquel les Grecs ont dérivé le mot titanes, d’où nous obtenons le nom des Titans.

Dedan est un nom attesté dans la Bible.  Dedan et Sheba sont des endroits dans l’ouest de l’Arabie mentionné plusieurs fois par le prophète Ézéchiel (dont nous parlerons plus tard).  C’est aussi le nom d’un des chefs de la rébellion de Coré contre Moïse, Dathan (Nombres 16).

Un des neveux de Nimrod s’appelait Dedan, peut-être pas par hasard.  Son nom aurait-il été en l’honneur des Titans, les anciens dieux qui descendirent sur le Mont Hermon dans un lointain passé ?  Étant donné les liens ultérieurs entre les Amorrhéens et les Réphaïm, et les connaissances d’avant le Déluge ramenées dans le monde par le royaume des Amorites de Babylone, cette spéculation ne sort pas exactement du vide.

Tandis que nous n’identifierons jamais à coup sûr le Dedan dont le nom est devenu synonyme avec les anciens dieux, ou pourquoi les Amorites semblaient avoir transporté la croyance qu’ils étaient leurs héritiers, nous pouvons documenter la connexion entre les Observateurs de la Bible et les Titans de la Mythologie grecque.

Lorsque les Olympiens ont battu les Titans, Zeus les a bannis dans le Tartare, un lieu de tourment pour les méchants, aussi loin que l’Hades que la terre est au-dessous du ciel.  C’est justement l’adresse actuelle des Observateurs qui ont atterri sur le Mont Hermon.

« Car, si dieu n’a pas épargné les anges qui ont péché, mais s’il les a précipités dans les abîmes de ténèbres et les réserve pour le jugement…» (2 Pierre 2:4)

Le mot grec traduit par « jeter dans l’enfer » est le verbe ταρταρόω, tartaroo, qui signifie littéralement « enfoncer dans le Tartarus ».  C’est le seul usage de ce mot dans le Nouveau Testament.  Hades, quant à lui, est mentionné près d’une douzaine de fois, y compris deux fois par Jésus.  Cela distingue le Hades du Tartarus, qui était apparemment réservé comme un lieu spécial de punition pour les anges qui ont péché.  Et, le seul exemple explicite des anges péchant dans la Bible est dans Genèse 6:1-4, ce qui est confirmé par les passages de 2 Pierre et de Jude, qui a clairement relié la punition des anges à un péché sexuel.

De plus, les érudits juifs qui ont traduit les écritures hébraïques en grec deux cents ans environ avant la naissance de Jésus dans le texte appelé Septuagint comprenaient le lien entre les Réphaïm et les dieux païens.  Dans 2 Samuel 5, les érudits ont traduit le lieu de la bataille de David contre les Philistins, emeq rapha, comme la Vallée des Titans.

Alors.  Les Titans de la Mythologie grecque étaient les « anges qui ne restèrent pas dans leur propre position d’autorité », les Observateurs de Genèse 6.  Ils sont reliés au Tartare, gardés « dans des chaînes éternelles dans une obscurité sombre jusqu’au jugement du grand jour ».  Leurs enfants, les Néphilim, dont les esprits sont les démons qui infestent la terre jusqu’à ce jour, étaient les ombres du Shéol, les Réphaïm, qui ont été convoqués dans les rituels par les rois d’Amorite qui croyaient qu’ils étaient leurs ancêtres morts honorés.

Sérieusement. 

L’expression « les iniquités des Amoréens » commence-t-elle à avoir un certain sens ?

Source : Sky Watch Tv

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

Translate »