LES GUERRES ET LES CONFLITS DANS CET ÂGE MODERNE !


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Par Samuel David Meyer – Mai 2017

« Qui nous séparera de l’amour de Christ ?  Sera-ce la tribulation, ou l’angoisse, ou la persécution, ou la faim, ou la nudité, ou le péril, ou l’épée ?  Selon qu’il est écrit : C’est à cause de toi qu’on nous met à mort tout le jour, qu’on nous regarde comme des brebis destinées à la boucherie.  Mais dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés.  Car j’ai l’assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir, ni les puissances, ni la hauteur ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur. »   (Romains 8:35-39)

« Éternel, délivre-moi des hommes méchants !  Préserve-moi des hommes violents, qui méditent de mauvais desseins dans leur cœur, et sont toujours prêts à faire la guerre !  Ils aiguisent leur langue comme un serpent, ils ont sous leurs lèvres un venin d’aspic.  Éternel, garantis-moi des mains du méchant !  Préserve-moi des hommes violents, qui méditent de me faire tomber !  Des orgueilleux me tendent un piège et des filets, ils placent des rets le long du chemin, ils me dressent des embûches.  Je dis à l’Éternel : Tu es mon Dieu !  Éternel, prête l’oreille à la voix de mes supplications !  Éternel, Seigneur, force de mon salut !  Tu couvres ma tête au jour du combat. »  (Psaumes 140:2-8)

« Quand vous entendrez parler de guerres et de soulèvements, ne soyez pas effrayés, car il faut que ces choses arrivent premièrement.  Mais ce ne sera pas sitôt la fin. » (Luc 21:9)

Dans ce bulletin, nous examinerons un monde qui risque beaucoup d’être englouti dans les conflits et une guerre mondiale.  Sans aucun doute que nous vivons dans des moments périlleux, et c’est une réalité que les nouvelles nous révèlent à maintes reprises tous les jours.  Au cours du dernier mois, des attaques de missiles en Syrie ont été commandées par le président américain Donald Trump, ainsi que le lancement d’une bombe non nucléaire de 21.000 livres en Afghanistan.  La Russie et l’Iran sont tous les deux furieux de la décision de Donald Trump d’attaquer la Syrie, et la Corée du Nord devient de plus en plus belliqueuse contre les États-Unis.  Même le pays insulaire asiatique connu sous le nom de Philippines a cherché à s’affirmer et a annoncé des plans pour occuper des îles anciennement inhabitées dans le sud de la mer de Chine, ce qui est une manœuvre qui va certainement déplaire à la Chine.  « Les îles inoccupées, qui sont à nous, nous devons vivre là-bas », a déclaré le Président Rodrigo Duterte des Philippines.  Il a ajouté : « Il semble que tout le monde s’empare des îles.  Donc, nous vivons mieux sur des îles encore inoccupées.  Ce qui nous appartient maintenant, nous le revendiquons et nous en faisons un point fort ».  D’autres rapports indiquent que la Chine empiète souvent sur le territoire japonais par l’air et par la mer dans ce qui est probablement un effort pour antagoniser le Japon.  « Ils ont routé leurs intrusions dans notre espace maritime territoriale.  Nous envoyons nos combattants, ce qui rend la situation peut-être très dangereuse, lorsque nos combattants et leurs combattants se rapprochent trop », a déclaré Eisuke Tanabe, coordinateur principal des politiques du Ministère de la Défense du Japon.  Il existe un potentiel de guerre sur de nombreux fronts et, par extension, une possibilité que la troisième guerre mondiale puisse se déclencher dans un avenir pas si lointain.

Il y a un certain mot que j’ai remarqué à maintes reprises dans les reportages de nos jours.  Le mot « nucléaire », et il semble y avoir une crainte croissante dans le monde entier qu’une guerre nucléaire soit maintenant plus possible que jamais.  Dans un rapport publié par l’Institut pour les Recherches sur le Désarmement de l’Organisation des Nations Unies, nous trouvons l’avertissement suivant : « La menace d’une action de détonations d’armes nucléaires en 2017 est sans doute à son plus haut niveau depuis 26 ans, depuis l’effondrement de l’Union Soviétique.  Alors que la taille du stock mondial a considérablement diminué par rapport aux sommets de la guerre froide, le rythme des réductions a ralenti et neuf états conservent encore plus de 15.000 armes nucléaires.  Les investissements mondiaux dans les forces nucléaires continuent d’augmenter et la dissuasion prolongée reste le centre des doctrines stratégiques de plusieurs pays.  Pendant ce temps, des groupes terroristes tels que Al-Qaïda et l’État Islamique d’Irak et du Levant ont exprimé leur désir d’acquérir des armes et des matériaux nucléaires.  Le monde semble « plein de potentiels de catastrophes ».

Plus de sept décennies se sont écoulées depuis que les États-Unis ont utilisé des bombes atomiques pour attaquer les villes japonaises d’Hiroshima et de Nagasaki en août 1945.  Heureusement, aucune autre arme nucléaire n’a été utilisée depuis cette époque.  Cependant, au lendemain des attaques contre le Japon, qui ont été créditées de la fin de la Seconde Guerre Mondiale, l’homme qui a dirigé l’équipe de scientifiques responsables du développement de la bombe atomique a été rempli de regret.  « Si des bombes atomiques doivent être ajoutées comme de nouvelles armes aux arsenaux d’un monde belligérant, ou aux arsenaux de nations qui se préparent à la guerre, le temps viendra où l’humanité maudira les noms de Los Alamos et de Hiroshima », a déclaré J Robert Oppenheimer, faisant allusion à son établissement de recherches de Los Alamos, au Nouveau-Mexique, dans un discours prononcé le 16 octobre 1945.

Lorsque nous considérons les milliers et les milliers d’armes nucléaires qui existent aujourd’hui, c’est une merveille que notre monde ait survécu pendant cette longue période.  Il y a eu des moments où cette planète a été menacée par une guerre nucléaire, et, de façon étonnante, une telle guerre ne s’est jamais produite.  Le 26 septembre 1983, moins d’un mois avant le jour de ma naissance, le monde a évité de justesse une catastrophe.  Ce jour-là, un officier en devoir de la Russie nommé Stanislav Petrov a reçu un avertissement de son système informatique défectueux, qui lui indiquait à tort que les États-Unis d’Amérique avaient lancé des missiles nucléaires contre l’Union Soviétique.  Selon le protocole, cet homme était censé signaler l’attaque présumée à ses supérieurs, qui auraient alors ordonné une contre-attaque contre les États-Unis.  Dans un article publié par la BBC, en 2015, Stanislav Petrov a raconté son épreuve.  « La sirène hurlait, mais, je me suis assis là pendant quelques secondes, regardant le grand écran rouge et rétro-éclairé avec le mot lancement », a déclaré Stanislav Petrov.  Il a continué : « Une minute plus tard, la sirène a recommencé. Un deuxième missile avait été lancé.  Ensuite, un troisième, un quatrième et un cinquième.  Les ordinateurs ont changé leurs alertes de

« lancement » à une « attaque de missiles » ».  Malgré l’intensité de la situation, quelque chose a empêché Stanislav Petrov.  « Tout ce que je devais faire était de prendre le téléphone, de prendre la ligne directe vers nos principaux commandants, mais je ne pouvais pas bouger.  J’avais l’impression d’être assis sur une poêle à frire », a déclaré Stanislav Petrov.   Je crois que Dieu est intervenu en septembre 1983.  Petrov ne pouvait pas bouger parce que Dieu ne le lui permettait pas et, ce faisant, un désastre incalculable a été empêché.  En lisant les nouvelles des guerres et des rumeurs de guerres, nous ferions bien de rappeler qu’il n’y a pas de force, pas de pouvoir et aucune arme plus grande que notre Dieu.  Il est en plein contrôle.  Psaumes 115:2-3 nous dit : « Pourquoi les nations diraient-elles : Ou donc est leur Dieu ?  Notre Dieu est au ciel, il fait tout ce qu’il veut. »

La guerre en Syrie s’intensifie !

La guerre civile en Syrie a débuté le 15 mars 2011.  Depuis cette date, on estime que plus de 470.000 personnes ont été tuées.  Un rapport publié par PBS News, en février 2016, affirme que 11,5% de la population entière de la Syrie a été blessée ou tuée depuis le début du conflit.  Cette guerre, qui a persisté depuis plus d’une demi-décennie, semble n’avoir aucune fin en vue.

Comprendre ce qui se passe en Syrie peut être difficile.  Nous savons que, même si la guerre civile fait rage sur un groupe d’islamistes radicaux, se faisant appeler l’État Islamique d’Irak et du Levant, il fait des ravages partout où ils peuvent en Syrie et en Irak.  Pendant ce temps, les États-Unis et la plupart des pays occidentaux s’opposent au régime du président syrien Bashar al-Assad, tandis que la Russie et l’Iran fournissent au gouvernement de Bashar al-Assad un soutien vital.  Un groupe connu sous le nom de Front al-Nusra, affilié au réseau terroriste d’al-Qaida, lutte également activement contre Bashar al-Assad en Syrie.  Ainsi, nous avons une situation très étrange dans laquelle beaucoup des soi-disant forces rebelles en Syrie qui combattent le régime syrien sont également des ennemis des États-Unis.

Jusqu’à ces derniers jours, il semblait que le président américain Donald Trump avait l’intention de se libérer de la guerre civile syrienne tout en concentrant ses efforts sur la défaite d’ISIS.  Le 31 mars 2017, le Secrétaire de Presse de la Maison Blanche, Sean Spicer, a indiqué que l’Administration Trump n’avait pas l’intention de défier Bashar al-Assad en Syrie.  « Il y a une réalité politique que nous devons accepter en ce qui concerne l’endroit où nous sommes en ce moment.  Nous avons eu l’occasion et nous devons nous concentrer sur la lutte contre ISIS », a déclaré Sean Spicer.   Parlant de Bashar al-Assad, l’ambassadeur de Donald Trump aux Nations Unies, Nikki Haley, a déclaré : « Est-ce que nous pensons qu’il est un obstacle ?  Oui.  Allons-nous nous asseoir et nous contenter de le faire sortir ?  Non. »  L’attitude du président Donald Trump en ce qui concerne la Syrie et le régime de Bashar al-Assad a changé rapidement lorsque les nouvelles ont commencé à apparaître que Bashar al-Assad avait lancé une attaque chimique contre la population civile dans la ville de Khan Sheikhoun en Syrie, le 4 avril 2017.  Les rapports indiquent que plus de 70 personnes ont été tuées et 500 ont été blessées lors de l’attaque.

Est-ce que Bashar al-Assad était vraiment responsable de l’attaque comme nous l’ont dit les points de presses traditionnels ?  Si Bashar al-Assad a perpétré cette attaque horrible et féroce, il est vraiment un homme insensé.  Je ne peux m’empêcher de me demander pourquoi il ferait une telle chose lorsque l’administration Trump venait d’indiquer moins d’une semaine avant l’attaque que les États-Unis n’avaient pas l’intention de poursuivre un changement de régime en Syrie.  Certes, Bashar al-Assad devait savoir qu’un attentat tellement insensé contre les civils déclencherait une indignation internationale.  Ron Paul, un ancien représentant des États-Unis très respecté du Texas, estime que les circonstances de l’attaque chimique en Syrie peuvent ne pas être comme on nous l’a dit.  « Avant cet épisode d’exposition possible aux gaz et qui a fait quoi, les choses se déroulaient raisonnablement bien pour les conditions.  Donald Trump a déclaré que les Syriens décident qui devraient diriger leur pays, et que les pourparlers de paix doivent se dérouler, et Al Qaida et ISIS étaient en fuite.  Il semble que, peut-être, quelqu’un n’a pas aimé, et il fallait qu’il y ait un épisode, et le blâme est maintenant que nous ne pouvons pas laisser cela se produire car il semble que cela pourrait bénéficier à Bashar al-Assad », a déclaré Ron Paul.   Il convient de noter que le Front al-Nusra susmentionné en Syrie était connu pour utiliser des armes chimiques dans le passé.   En tout cas, quiconque est responsable de cet acte barbare répondra lors du jour du Jugement.

En réponse à l’attaque chimique du 4 avril 2017, le président Donald Trump a ordonné une série d’attaques de cinquante-neuf missiles le 7 avril 2017, qui visait la base militaire de Shayrat en Syrie.   Selon le fils Eric du président, la décision de bombarder la Syrie a peut-être été influencée par sa sœur Ivanka.  « Ivanka est une mère de trois enfants et elle a de l’influence.  Je suis sûr qu’elle a dit : Écoutez, ce sont des choses horribles.  Mon père agira dans des moments comme ça », a déclaré Eric Trump.   Comme on pouvait s’y attendre, l’attaque de missiles contre la Syrie a provoqué une grande consternation en Russie.  « Le président Vladimir Poutine considère les attaques américaines contre la Syrie comme une agression contre un gouvernement souverain dans les violations des normes du droit international et sous un prétexte farfelu.  Cette mesure de Washington cause des dommages importants aux relations russo-américaines, qui sont déjà dans un état déplorable », a déclaré Dmitry Peskov, porte-parole du président russe, Vladimir Poutine.  Peskov a poursuivi en disant : « Bien sûr, la Syrie est notre allié, étant donné que nous aidons les forces armées syriennes à la demande de la direction syrienne ».  Lors d’une apparition sur le programme télévisé d’ABC, « Good Morning America », Peskov a également suggéré que les relations actuelles entre la Russie et les États-Unis pourraient être pires à l’heure actuelle, comme pendant la guerre froide.

Pour enflammer davantage les tensions, des chasseurs russes ont été pris à deux reprises en avril 2017 dans une approche du territoire américain près de l’Alaska.  Dans le premier incident, qui a eu lieu le 17 avril 2017, une paire de chasseurs russes ont volé à moins de cent milles de l’île Kodiak en Alaska avant d’être interceptés et escortés par les militaires américains.  Le deuxième événement s’est produit le lendemain, le 18 avril 2017.  Dans cet incident, deux chasseurs russes se trouvaient à moins de 36 milles de l’Alaska.

L’attaque du président Trump contre la Syrie démontre certainement qu’il n’est pas sous le pouce du président russe Vladimir Poutine.  Néanmoins, il n’est pas difficile de voir comment une action militaire supplémentaire en Syrie pourrait conduire à une guerre américaine avec la Russie et, éventuellement, l’Iran. Compte tenu du fait qu’il y a également des interventions militaires contre la Corée du Nord, il n’est pas difficile de voir que notre monde entier court le risque d’une guerre mondiale.

Des rumeurs de guerre en Corée du Nord !

Il ne fait aucun doute que le dictateur nord-coréen Kim Jong-un a un talent pour le drame.  Ces dernières années, le régime despotique a cherché à attirer l’attention dans les médias et a démontré un penchant pour la rhétorique.  En conséquence, nous entendons souvent des menaces ridicules venant de Corée du Nord qui ressemblent plutôt à quelque chose que vous pourriez entendre d’un méchant dans un film coloré.  « Notre armée a déjà déclaré que s’il y avait même la plus petite provocation des États-Unis pendant les exercices, nous sommes prêts à frapper le coup le plus implacable », a déclaré l’ambassadeur nord-coréen Kim Hyong-Jun.  Au milieu des rumeurs sur le fait que les États-Unis peuvent attaquer la Corée du Nord afin d’arrêter leur développement des armes nucléaires, le journal communiste officiel de la Corée du Nord, Rodang Sinmun, a déclaré hardiment : « Dans le cas de notre super-puissante attaque préventive étant lancée, elle éliminera complètement et immédiatement les forces d’invasion des impérialistes des États-Unis en Corée du Sud et dans ses régions environnantes, sauf, le continent américain, et elle les réduira en cendres ».  Dans un autre rapport, le journal a affirmé que la Corée du Nord était prête à couler un porte-avions américain qui se trouve actuellement dans les eaux près de la péninsule coréenne.  « Nos forces révolutionnaires sont prêtes à couler un porte-avions à propulsion nucléaire américain avec une seule frappe », a déclaré le journal.  Pour sa part, le Secrétaire à la Défense des États-Unis, Jim Mattis, s’est fatigué de la rhétorique et des menaces de la Corée du Nord. « Nous sommes tous venus entendre leurs paroles à plusieurs reprises, leurs paroles n’ont aucune honnêteté prouvée » a déclaré Mattis.

Étant donné le ton comique des menaces de la Corée du Nord, il peut être difficile de les prendre au sérieux.  Pourtant, le pays est étroitement aligné avec la Chine, et la Chine possède la plus grande armée permanente au monde.  Sur la base des nouveaux titres, il est de plus en plus probable que l’action militaire dans la région de la Corée du Nord puisse se produire très prochainement.  En avril 2017, il a été signalé que l’armée chinoise avait envoyé 150.000 soldats dans sa région frontalière avec la Corée du Nord.  La Russie a également déplacé des troupes et des équipements militaires à la frontière avec la Corée du Nord.  Les États-Unis ont non seulement déployé le porte-avions USS Vinson dans la péninsule coréenne, mais aussi le USS Michigan, qui est un sous-marin armé de plus de 150 missiles de croisière Tomahawk.  En outre, l’armée de l’air des États-Unis a envoyé un avion capable de détecter toute activité nucléaire, dans la région.  Pendant ce temps, les législateurs de l’état américain d’Hawaï ont adopté une résolution le 13 avril 2017, demandant aux fonctionnaires de l’état de prendre des mesures pour se préparer à une attaque nucléaire.  Les plans demandent un financement de l’état, ce qui permettrait la réactivation et le réapprovisionnement des refuges nucléaires dans Hawaï.  Nous vivons dans un moment où les troupes sont rassemblées, les forces sont organisées, les nations se lèvent contre les nations et les royaumes se lèvent contre les royaumes.  Il n’y a jamais eu un meilleur moment pour se rapprocher de Dieu !

La guerre contre la liberté d’expression !

Aux États-Unis d’Amérique, il y a de nombreux droits que les gens chérissent. Un de ces droits les plus importants est celui de la liberté d’expression, qui est garanti par la Constitution des États-Unis.  C’est ce droit qui nous permet de publier ce bulletin, et nous sommes reconnaissants que Dieu nous ait mis dans un lieu et dans un temps qui nous permettent de le faire.  Néanmoins, les derniers jours, des efforts ont été faits pour réduire la liberté d’expression.  Ces efforts sont souvent faits sous prétexte d’empêcher la propagation de fausses nouvelles.  En mars 2017, il a été signalé qu’un nouveau projet de loi avait été proposé dans l’État de Californie.  Une partie du texte de ce projet de loi se lit comme suit : « Il est illégal pour une personne de faire sciemment et volontairement publier ou faire circuler sur Internet ou faire publier ou diffuser dans un écrit sur un site Internet, une déclaration fausse ou trompeuse conçue pour influencer le vote soit sur les points suivants : a) Toute question soumise aux électeurs lors d’une élection, (b) Tout candidat à l’élection au bureau public ».  Ce qui reste incertain, c’est qui décidera ce qui constitue une déclaration « fausse ou trompeuse ». Essentiellement, ce projet de loi aurait abouti à la censure parce que les autorités pourraient arbitrairement décider ce qui est ou non des informations fausses ou trompeuses.  La Electronic Frontier Foundation a trouvé la proposition si offensante qu’ils l’ont qualifiée de « projet de loi de censure si évidemment inconstitutionnel, qu’il fallait vérifier que c’était réel ».  Heureusement, le projet de loi a été retiré après de nombreux tollés publics, mais, il reste encore d’autres efforts pour restreindre la liberté d’expression.

Dans l’état de New York, un projet de loi a été proposé par le député David Weprin et le sénateur Tony Avella qui obligerait les moteurs de recherche d’Internet et les « orateurs en ligne » à supprimer toute information jugée « inexacte, non pertinente, inadéquate ou excessive ».  Le non-respect de la loi proposée entraînerait une amende quotidienne de 250 dollars.

La loi proposée à New York serait probablement bien accueillie par le gouvernement en Allemagne.  Selon un rapport publié par le Financial Times, l’Allemagne a promulgué une nouvelle loi qui exige des sites de réseaux sociaux comme Facebook et Twitter de supprimer les fausses nouvelles.  En outre, la loi exige que les sites web fournissent au gouvernement allemand des rapports trimestriels détaillant le nombre de plaintes qu’ils reçoivent concernant les discours offensants, les fausses nouvelles et la quantité de contenu interdit supprimé.  Le non-respect de ces règles pourrait entraîner des pénalités monétaires allant jusqu’à 50 millions d’euros.  La tendance est claire : La libre expression est sous le feu et, à l’avenir, les gens ne seront plus en mesure de parler librement.  La police de la pensée est-elle loin ?  Il est intéressant de noter que les scientifiques développent un système qu’ils prétendent leur permettre de lire les esprits humains.  Les chercheurs de l’Université de Technologie Toyohashi, au Japon, affirment qu’ils ont déjà la capacité de détecter, avec un taux de réussite de 90%, quand quelqu’un pense à un nombre entre zéro et neuf. Ils déclarent également que leur équipement peut reconnaître dix-huit syllabes japonaises avec un taux de réussite de 61%.

La guerre contre les enfants à naître !

Je m’émerveille souvent du manque de compassion et d’affection naturelle maintenant aussi commune aux États-Unis aujourd’hui.  Il y a une multitude de femmes et d’hommes aux cœurs durs qui non seulement autorisent l’avortement, mais, ils l’embrassent comme une bonne chose.  Ils prétendent que c’est leur droit de tuer leurs enfants et qu’ils sont déterminés à ne pas laisser quiconque leur bloquer le chemin.  En tant que tel, il y a une guerre contre les enfants à naître aujourd’hui, et c’est une guerre contre les plus vulnérables et les plus démunis des êtres humains.

Les animateurs libéraux ont tendance à avoir les points de vue les plus extrêmes et les plus répugnants sur l’avortement.  Cela a été démontré dans un spécial récemment publié par le soi-disant comédien Louis CK.  Dans ce spécial, qui a été publiée par la société de vidéos Internet connue sous le nom de Netflix, Louis CK admet, après une certaine indécision initiale, que l’avortement est un meurtre.  « Je ne pense pas que ça tue un bébé.  Je ne le crois pas.  Je veux dire que c’est, c’est un peu, c’est un peu tuer un bébé.  C’est à 100 pour cent tuer un bébé.  C’est totalement tuer un bébé entier, mais, je pense que les femmes devraient être autorisées à tuer des bébés », a déclaré Louis CK.  Le fait que ces mots soient censés faire partie d’une routine de comédie démontre simplement jusqu’à quel point les Américains libéraux ont disparus aujourd’hui.  Si une personne peut s’asseoir et écouter un homme proclamer que les femmes devraient être autorisées à tuer des bébés et à réagir avec des rires et des applaudissements, cela montre sans aucun doute que ces personnes sont réprouvées et n’ont pas le sens du bon et du mauvais.  En fait, les « droits » à l’avortement sont considérés comme un des problèmes les plus importants du Parti Démocrate d’aujourd’hui.  Selon le président du Comité National Démocrate, Thomas Perez, il n’y a pas de place pour les personnes pro-vie parmi les démocrates.  « Tout démocrate, comme tous les Américains, devrait soutenir le droit d’une femme de faire ses propres choix à propos de son corps et de sa santé.  Ce n’est pas négociable et ne devrait pas changer de ville en ville ou d’état en état », a déclaré Thomas Perez.  Il a ensuite déclaré : « À un moment où les droits des femmes sont assaillis par la Maison Blanche, le Congrès républicain et dans les États de tout le pays, nous devons parler de ce principe aussi fort comme jamais et d’une seule voix ».  Pendant ce temps, l’état de la Californie envisage actuellement une loi qui exigerait que tous les centres de santé des universités publiques et des collèges communautaires de l’État puissent fournir aux élèves des pilules abortives.  « Je pense que c’est incroyablement important parce que les femmes de tous âges, en particulier les jeunes femmes, doivent s’assurer qu’elles ont le contrôle de leur avenir, qu’elles ont le choix de vouloir ou pas intégrer une famille dans leur vie », a déclaré l’auteur du projet de loi, le sénateur Connie Leyva.  Comment Dieu peut-Il se sentir à propos de l’avortement ?  Dans Matthieu 18:14, notre Sauveur nous dit : « De même, ce n’est pas la volonté de votre Père qui est dans les cieux qu’il se perde un seul de ces petits. »

En terminant, il est clair que nous vivons dans un monde troublé avec des guerres sans fin et des rumeurs de guerres.  Pourtant, nous servons un Dieu gracieux qui n’abandonnera jamais son peuple.  Dans Psaumes 140:2-8, nous lisons : « Éternel, délivre-moi des hommes méchants !  Préserve-moi des hommes violents, qui méditent de mauvais desseins dans leur cœur, et sont toujours prêts à faire la guerre !  Ils aiguisent leur langue comme un serpent, ils ont sous leurs lèvres un venin d’aspic.  Éternel, garantis-moi des mains du méchant !  Préserve-moi des hommes violents, qui méditent de me faire tomber !  Des orgueilleux me tendent un piège et des filets, ils placent des rets le long du chemin, ils me dressent des embûches.  Je dis à l’Éternel : Tu es mon Dieu !  Éternel, prête l’oreille à la voix de mes supplications !  Éternel, Seigneur, force de mon salut !  Tu couvres ma tête au jour du combat. »  Nous pouvons nous réconforter du fait que les guerres et les conflits de cet âge moderne, bien qu’ils soient difficiles à supporter, ne nous sépareront jamais de l’amour de Dieu.  Car, comme il le dit dans Romains 8:38-39, « Car j’ai l’assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir, ni les puissances, ni la hauteur ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur. »  Si vous ne vous êtes pas encore repenti de vos péchés et n’avez pas encore consacré votre vie à Dieu, je vous exhorte à le faire maintenant.

Comme toujours, nous vous sommes reconnaissants pour votre soutien continu. Nous prions pour que Dieu vous fortifie et vous bénisse.  Que la grâce et la paix soient pour vous au nom du Seigneur Jésus-Christ.

Source : Last Trumpet Ministries 

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

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