L’EXPANSION DE L’UNIVERS ET LE CALCUL DU TEMPS SUR TERRE.


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 (Les déclarations scientifiques comparées aux affirmations de la Bible)

Par Pierre D. 

VITESSE de la LUMIÈRE : c = 299 792 458 m/s environ 300 000 km/s dans le vide céleste.

Cette grandeur est une constante fondamentale de la physique, représentée par la lettre (C), pour célérité. C’est une vitesse certes immensément grande, mais pas infinie.

Nous pourrions donc imaginer aller plus vite que la lumière, mais cela est impossible pour plusieurs raisons.

 Première raison : Plus la vitesse d’un objet propulsé augmente, plus sa «masse» augmente et plus il lui faudra d’énergie pour continuer d’accélérer.Au LHC de Genève, les particules accélérées à 99.9999991% de la vitesse de la lumière acquièrent une masse 7000 fois plus élevée que lorsqu’elles étaient statiques.

Seconde raison : En rêvant que vous-vous déplaciez plus vite que la lumière, c’est-à-dire plus vite que votre propre image. Si vous-vous arrêtiez soudainement et regardiez en arrière, après quelques instants, votre propre image qui ne voyagerait qu’à la vitesse de la lumière, vous rattraperait. Vous-vous observeriez vous-même arriver, alors que vous êtes déjà sur place !

Plus fascinant encore ; les rayons lumineux qui vous parviendraient en premier seraient ceux qui auraient eu le moins de distance à parcourir, c’est-à-dire ceux qui auraient été émis les derniers. Les images de votre arrivée défileraient donc à l’envers…

Ce qui signifie qu’à la seule vitesse de la lumière, les yeux humains ne percevraient plus rien, et même avec la plus grande imagination aucun pilote automatique, n’aurait un temps de réaction suffisamment rapide pour diriger votre engin.

Notez également que la vitesse de la lumière n’est pas constante car :

Elle est effectivement d’environ  300 000 km/s dans le vide céleste.

Mais au travers de l’Eau, la lumière ne se déplace plus qu’à 225 563 kms/s

Au travers du verre, la lumière ne se déplace plus qu’à 200 000 kms/s

Et au travers du quartz, la lumière ne se déplace plus qu’à 194 805 kms/s

Et au travers d’une matière très opaque, la lumière se déplace encore beaucoup moins vite !

Les affirmations :

L’univers dans lequel nous vivons est en constante expansion dans toutes les directions, et n’a donc pas de périmètre définissable, ce qui signifie qu’il est impossible d’en déterminer un éventuel centre. Il est donc hasardeux de dire que la terre n’est pas le centre de l’univers et tout aussi hasardeux de dire qu’elle l’est !

Cette expansion constante de l’univers constaté par les astrophysiciens est incontestable car il ne s’agit pas seulement d’un calcul mathématique mais d’une observation tangible, par les télescopes, des galaxies et groupes de galaxies s’éloignent irrémédiablement de nous.

Cette expansion aurait commencé dès la formation de l’univers, il y aurait quelques 14 à 15 milliards d’années, lors d’une phase chaude et dense appelée Big- Bang par les scientifiques, et que les croyants désignent par « le jour de la création de l’univers par Dieu ».

Les questions :

Pourquoi 14 à 15 milliards d’années, pourquoi pas plus ou moins de 14 à15 milliards ?

Première contradiction évidente à cette affirmation.

Puisque nous constatons que la lumière se déplace moins vite au travers de masses plus denses que dans le vide céleste actuel, on peut imaginer que l’univers étant en expansion, il était beaucoup plus dense au début, et que par conséquent la vitesse de la lumière était bien moins rapide à l’époque qu’aujourd’hui impliquant un « temps réel céleste » plus long car E=mc2. Par voie de conséquence, plus la lumière va lentement et plus le « temps réel céleste » est « long ».

Seconde contradiction : Si l’univers a 15 milliards d’années, comment des galaxies peuvent-elles êtres éloignées de nous, à plus de 15 milliards d’années lumière ?

Hypothèse fondée :

Il y a des preuves sérieuses qu’aux premiers temps de l’univers, celui-ci ait connu une expansion dont la vitesse était bien supérieure à celle d’aujourd’hui. Tout porte à croire qu’il se soit produit une expansion, durant laquelle les particules de matière, ne se déplaçaient pas forcement à grande vitesse, mais où l’espace de vide entre chaque particule augmentait quant à lui, à très grande vitesse et peut-être à la vitesse de la lumière. Un peu comme lorsque l’on jette de la poudre à la surface de l’eau.

Pour donner une image simple à comprendre : imaginez être à 300 000 kms d’une source lumineuse qui émet un flash de photons chaque secondes. Si vous vous trouvez à 300 000 kms vous verrez un flash lumineux chaque secondes.

Mais si l’univers est en expansion de 300 000 kms chaque seconde, la seconde suivante vous-vous trouverez à 600 000 Kms, de la source lumineuse. Il faudra alors 2 secondes pour que les photons émis chaque seconde arrivent jusqu’à vous. Vous n’observerez donc qu’un flash lumineux toutes les deux secondes alors qu’il est émis chaque seconde !

En poussant le calcul, à une minute plus tard, vous vous trouverez à 18 000 000 kms et vous ne percevrez chaque flash de lumière émis qu’une fois par minute alors qu’il sera toujours émis toute les secondes. Imaginez un instant avec le même calcul ce qui arriverait 24 heures ou 7 jours plus tard ?

Partant de cette constatation, ce que nous percevons comme étant à 14 milliards d’années lumière l’est certainement aujourd’hui, mais ne l’était vraisemblablement pas il y a dix ans, cent ans et encore moins il y a six ou dix milles ans ceci pour la notion de distance.

Le « temps » :

Pour la notion de temps il en est de même car le temps n’est qu’une notion de perception, puisqu’il n’est pas le même selon que la lumière traverse des masses plus ou moins denses.

La perception du temps « réel universel céleste » est donc une notion hautement subjective puisqu’elle se base sur la vitesse de la lumière, qui n’est pas constante, dans un univers en expansion, traversant une masse sidérale de densité variable et réellement variante.

C’est par nécessité que les hommes ont élaboré diverses méthodes de calcul du temps basées sur l’observation de notre petit système solaire et lunaire ; méthodes plus ou moins différentes les unes des autres selon les peuples mais qui répondent bien à notre besoin de donner une trajectoire logique à notre vie.

Ces méthodes de calcul du temps sont de simples conventions, à l’égal du thermomètre a mercure qui indique aux européens qu’il fait 16° Celsius et aux américains qu’il fait 60° Fahrenheit pour la même température. D’ailleurs l’heure de votre montre n’a pas été établie en calcul décimal (base 10), mais en calcul sexagésimal (base 60), alors que le jour quant à lui est divisé en 24 heures, ce qui correspond à un calcul duodécimal (base 12) qui divise la rotation de la terre sur elle même en 12 fuseaux horaires, mais ceci n’est que convention.

En fait, en hébreu biblique la conjugaison était plus proche de la réalité.

Il y avait, le temps accompli qui était un ponctuel (du passé comme du futur) et l’inaccompli était un duratif (du passé comme du futur). C’est pourquoi, le « temps » d’une action était moins exprimé, que la manière dont l’action était accomplie.  D’où la difficulté de traduire dans une autre langue une certaine manière d’appréhender la réalité de la parole de Dieu.

En matière de science le fossé entre le temps de la physique et le temps des conventions calendaires humaines atteint désormais sa conclusion logique en effet nombreux théoriciens sont arrivés à penser que, fondamentalement, le temps en tant que réalité physique, n’existe peut-être pas.

(Plus d’informations le sujet : livre de Carlo Revelli « et si le temps n’existait pas » Dunod)

Les âges bibliques et le temps « réel ».

Première notion biblique : Le mot « éternel » n’existe pas en hébreu !

Dans l’Ancienne Alliance (AT) ce mot est la traduction du mot hébreu owlam qui signifie « un monde ». Il vient lui-même du mot hébreu alam qui signifie « cacher, dissimuler, secret ».

En hébreu le mot owlam signifie donc : un temps qui pourrait être éternel ou pas, voir même une absence de temps absolu et indéfinissable, qui est ou sera déterminer uniquement par le bon vouloir de Dieu qui ne veut pas que nous le sachions.

Nous voyons donc que l’utilisation d’un mot pas très précis (éternel) nous entraîne vers une vision erronée des temps bibliques.

Le concept d’éternité se conçoit intellectuellement comme un temps calendaire qui n’aurait ni commencement ni fin, alors que la bible nous parle d’une économie (owlam) qui se traduit par « un monde » dont le temps ou l’absence de temps non calendaire, n’est déterminé que par le bon vouloir de Dieu, sans que nous puissions aucunement en déterminer les contours.

Dans la même optique nous devons nous rendre compte que les années bibliques et les âges des personnages, sont des années solaires et lunaires parfaitement justes, basées sur la rotation des planètes de notre système solaire, mais qui comme le thermomètre à mercure sont une simple convention humaine, pour nous permettre d’appréhender l’inconcevabilité.

Selon la bible la terre n’a qu’environ six milles ans, ce qui choquera les plus nombreux, mais est parfaitement exact bibliquement et aisément défendable par de nombreux points que je n’aborderai ici que partiellement et sous la forme de questions à méditer.

A partir de quand la bible compte t-elle le temps calendaire terrestre ? 

Genèse 1 : 3à 5 Dieu dit : Que la lumière soit ! Et la lumière fut ]…[ Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le premier jour.

Genèse 1 : 14 19 : Dieu dit : Qu’il y ait des luminaires dans l’étendue du ciel, pour séparer le jour d’avec la nuit ; que ce soient des signes pour marquer les époques, les jours et les années ;et qu’ils servent de luminaires dans l’étendue du ciel, pour éclairer la terre. Et cela fut ainsi.]…[19  Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin: ce fut le quatrième jour.

Ces versets sont la preuve que les trois premiers jours de la création ne peuvent être inclus dans le calendrier car ils ne dépendent pas de notre système solaire et ont donc une durée indéfinissable. Ce qui est parfaitement conforme aux écritures car selon :2 Pierre 3:8  Mais il est une chose, bien-aimés, que vous ne devez pas ignorer, c’est que, devant le Seigneur, un jour est comme mille ans, et mille ans sont comme un jour.

Nous ne devrions donc compter les années calendaires, qu’à partir du quatrième jour car nous lisons en Genèse 1 : 5, que la lumière existait avant la création du soleil.

Cette lumière des trois premiers jours ne provenait donc pas de notre soleil mais d’ailleurs. Elle était suffisante pour éclairer la terre et pour la photosynthèse de la chlorophylle des plantes qui furent créées le troisième jour.

Cette lumière d’avant le soleil était donc d’une lumière venant du big-bang selon les uns, ou lumière divine selon les croyants ce qui n’est aucunement contradictoire.

Lumière qui se déplaçait, soit à vitesse induite par les masses traversées, soit à la vitesse qui convenait au Dieu créateur dans un temps ou absence de temps, qui ne peut être évalué scientifiquement.

Oui mais en Genèse 1 : 5 la bible nous dit : « Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le premier jour. »

Nous avons établi que les trois premiers jours, la lumière ne provenait pas de notre système solaire, mais qu’il y avait quand même eu un soir et un matin ?

La bible nous dit ici que la terre tournait déjà autour de son axe, et que la lumière venait d’un point précis, sans quoi il aurait fait jour sur toute la surface de notre planète en même temps.

La bible dit aussi que le premier jour commença par un soir… (il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le premier jour ) Cela implique qu’il existait un temps ou une absence de temps avant ce premier soir puisque la bible affirme en Genèse 1 : 1 et 2 Au commencement Dieu créa les cieux et la terre. La terre était informe et vide : il y avait des ténèbres à la surface de l’abîme, et l’esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux.

Dieu créa donc les cieux, la terre, les eaux, les ténèbres, et les abîmes avant même que la mécanique céleste ne fut mise en mouvement.

Voici l’ordre des évènements

Premier jour

Genèse 1 : 1à 5 Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. La terre était informe et vide : il y avait des ténèbres à la surface de l’abîme, et l’esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux. Dieu dit : Que la lumière soit ! Et la lumière fut.  Dieu vit que la lumière était bonne; et Dieu sépara la lumière d’avec les ténèbres. Dieu appela la lumière jour, et il appela les ténèbres nuit. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le premier jour.

Nous voyons conformément à notre analyse, que le premier jour fut précédé par un temps ou une absence de temps de création, de l’univers. Dieu créa la lumière puis donna un nom à tout ce qu’il avait crée, enfin il déclencha la rotation de la terre créant ainsi le premier soir, ce qui veut dire le premier jour car le jour biblique commence chez les hébreux, lorsque la lumière disparaît à l’horizon.

Ce qui signifie qu’avant le premier soir terrestre, le cosmos était soit immobile, ce qui semble douteux, soit complètement désordonné ce qui correspond mieux au mot  hébreu TOHU BOHU (traduction « informe et vide ») mais le mot « désordonné » serait meilleur.

Second jour

En genèse 1 : 6 nous voyons que Dieu sépare les eaux : Dieu dit : Qu’il y ait une étendue entre les eaux, et qu’elle sépare les eaux d’avec les eaux.] … [ ce fut le second jour

Pour que les eaux des océans restent à leur place, il faut deux éléments contraires.

D’une part il faut l’attraction terrestre qui porte le nom de gravitation, et il faut que la planète tourne  sur son axe pour produire la force centrifuge.

Le deuxième jour, la terre tournait déjà autour de son axe dès le premier soir, mais rien ne nous dit si sa rotation était identique à celle d’aujourd’hui, et en imaginant qu’elle tourna 365 fois plus lentement une journée de cette époque aurait durée l’équivalent d’un an actuel !

Mais comme la lune n’existait pas encore, il n’y avait nécessairement pas encore de marée, ce qui implique nombre d’éléments que nous ne traiterons pas dans cette petite étude qui ne se veut aucunement scientifique mais simplement comparative.

Troisième jour

Genèse 1 : 11 à 13 Dieu dit : Que la terre produise de la verdure, de l’herbe portant de la semence, des arbres fruitiers donnant du fruit selon leur espèce ]…[ Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le troisième jour.

Il y avait déjà de la lumière de la terre et de l’eau donc tous les éléments étaient réunis pour que la nature s’épanouisse à partir de ce troisième jour.

Lisons aussi ce qui est écrit : Dieu créa des arbres portant du fruit, ce qui signifie que Dieu n’a pas crée de graines, mais directement des plantes et des arbres adultes portant déjà des fruits, de la même manière qu’il créa Adam adulte le sixième jour. Dieu crée donc en un jour des choses et des êtres qui pourraient revêtir un âge apparent beaucoup plus important.

Nous avons ici une clés pour estimer les apparences qui pourraient sembler contradictoires.

Quatrième jour

Genèse 1 : 14 19 : Dieu dit : Qu’il y ait des luminaires dans l’étendue du ciel, pour séparer le jour d’avec la nuit ; que ce soient des signes pour marquer les époques, les jours et les années ;et qu’ils servent de luminaires dans l’étendue du ciel, pour éclairer la terre. Et cela fut ainsi.]… [19  Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin: ce fut le quatrième jour.

Pour que le système solaire fonctionne, sans que les planètes soient irrésistiblement attirées vers le soleil ; il faut l’opposition de deux forces : la force centrifuge qui éloigne les planètes de leur étoile qui les attirent puissamment, par sa force gravitationnelle.

Cette force centrifuge provoque la rotation des planètes autour de leurs étoiles et ne fut créée que le quatrième jour.

C’est pourquoi les temps calendaires basés sur la double rotation de la terre sur elle-même et autour du soleil, les jours de 24 heures et les années calendaires, ne peuvent être pris en compte qu’à partir du quatrième jour.

Cinquième jour

Genèse 1 : 21 à 23 Dieu créa les grands poissons et tous les animaux vivants qui se meuvent, et que les eaux produisirent en abondance selon leur espèce; il créa aussi tout oiseau ailé selon son espèce. ]…[ Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : et ce fut le cinquième jour.

Ici encore pas de problème spécifique, Il y a de l’eau pour les poissons, de l’air et des arbres pour que les oiseaux puissent y poser leurs pattes en ce cinquième jour.

Sixième jour

Genèse 1 : 24 à31 Dieu dit : Que la terre produise des animaux vivants selon leur espèce, du bétail, des reptiles et des animaux terrestres, selon leur espèce. Et cela fut ainsi.]… [ Puis Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre.]…[ il créa l’homme et la femme.]…[  Dieu les bénit, et Dieu leur dit : Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et l’assujettissez]…[ Dieu vit tout ce qu’il avait fait et voici, cela était très bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le sixième jour. 

En ce sixième jour toutes les conditions de la vie humaine sont réunies sur la terre et dans les cieux. Il y a des poissons à pêcher, du bétail à élever, de la terre fertile à cultiver, et l’intelligence humaine pour organiser les choses, compter les jours qui duraient peut-être 24 heures, selon la vitesse de rotation de la terre autour de son axe qui pouvait être plus ou moins rapide, les années qui coïncident avec la rotation de la terre autour du soleil, et les quatre saisons. Ici encore il faut noter qu’Adam fut crée à l’intérieur d’une journée, mais avec un âge affectif d’adulte.

Les temps calendaires et les apparences ne font donc pas bon ménage !

En 1963, par une éruption volcanique au sud de l’Islande, est apparue l’île de Surtsey.

L’année suivante le géophysicien islandais Sigurdur Thorarinson a exploré l’île.

Voici sa description : « Il n’a suffit que de quelques mois pour qu’un paysage soit né, si varié et si développé que c’est à peine croyable. Nous voyons des rochers escarpés battus par les vagues de la mer, des graviers, des falaises impressionnantes et des plaines vallonnées. Sur le bord de la mer des galets arrondis par les vagues et plus loin une plage de sable où vous pouvez marcher sans vous blesser les pieds.

Septième jour

Genèse 2 : 1 à 3 Ainsi furent achevés les cieux et la terre, et toute leur armée. Dieu acheva au septième jour son oeuvre, qu’il avait faite : et il se reposa au septième jour de toute son oeuvre, qu’il avait faite. Dieu bénit le septième jour, et il le sanctifia, parce qu’en ce jour il se reposa de toute son oeuvre qu’il avait créée en la faisant.

Le sabbat de Dieu et des hommes le septième jour qui est un jour de repos mais qui fait partie intégrante de la création (Dieu acheva au septième jour son oeuvre, qu’il avait faite : et il se reposa au septième jour) Dieu n’a donc rien crée le septième jour mais ce septième jour constitue quand même l’élément indispensable à l’achèvement de son œuvre.

Nous voyons que la bible si décriée par ceux qui la rejettent, révèle une cohérence parfaite, lorsque nous la méditons point par point en oubliant les présupposés populaires.

Il existe en revanche beaucoup de non-dits, dans les affirmations de certains scientifiques, animés par le goût d’être populaires et qui ferment les yeux devant des réalités tangibles qui pourraient détruirent leurs si belles démonstrations.

Voici quelques réalités tangibles à méditer.

La croissance démographique incompatible avec les dates affirmées par les paléontologues.

Si nous prenons en compte un taux très faible de croissance de moins de 0,5% par an, qui prend en compte la mortalité précoce aux époques lointaines. A partir de six personnes il y a 4500 ans époque biblique de la sortie de l’arche, produirait la population actuelle.

En revanche si nous supposons l’évolution des espèces selon Darwin, ce ne serait plus à partir de six personnes mais de quelques centaines voir quelques milliers, reculant leur date d’expansion d’au moins 150 000 ans.

Incohérence des chiffres : même en considérant une moyenne de vie humaine de seulement 5 années, ce qui est extrêmement bas où sont passés les descendants qui auraient vus le jour et qui devraient de nos jours remplir la terre au-delà du possible ?

Les océans devraient être comblés par la vase.

Chaque année, l’eau et le vent érodent des continents de 25 milliards de tonnes de boue et de pierres, et les déposent via les fleuves et rivières dans le fond des océans. A ce chiffre Il faudrait ajouter la partie marine des 14000000 de tonnes de matières cosmiques qui tombent chaque année sur la Terre. Des tonnes de matières qui s’accumulent irrémédiablement sous forme de sédiments sur le fond océanique.

La hauteur moyenne de tous ces dépôts de vase dans tous les océans, y compris les plates-formes continentales, est inférieure à 400 mètres.

La principale explication très logique par laquelle la vase est retirée du fond océanique est la subduction des plaques tectoniques. En effet le fond marin glisse de quelques centimètres par an au-dessous des continents, entraînant avec lui sédiments.

D’après les publications scientifiques, ce processus n’éliminerait présentement que 1 milliard de tonnes de vase par an.

Il est vrai qu’à certaines époques les plaques tectoniques pouvaient se déplacer beaucoup plus vite, mais si l’on ne tient compte que des vingt milles dernières années la vitesse de déplacement des plaques tectoniques n’a pas variée.  

Il reste donc depuis au moins 20 000 ans 24 milliards de tonnes par an, auquel s’ajoutent les tonnes de poussières cosmiques, qui s’accumulent dans le fond des océans.

Pourquoi ces immenses quantités de vase n’ont pas massivement engorgé les océans, en les transformant en lacs peu profonds impropres à la vie marine ? A méditer !

L’explication biblique est en revanche que l’érosion des continents causée par les eaux du déluge de la Genèse a déposé la quantité présente de vase en peu de temps, il y a environ 5000 ans.

Une soit disant brute épaisse, devient subitement un artiste.

D’après les évolutionnistes, l’homme de l’âge de la pierre a vécu pendant 100000 ansavant de produire ses belles peintures rupestres il y a environ 20 000 ans, et inventé l’écriture, il y a quelques 4000 à 5000 ans.

Pourtant l’homme préhistorique construisait des monuments mégalithiques, faisait de belles peintures dans des grottes. Ses mains peintes au pochoir sur les murs des grottes nous dévoilent leur exceptionnelle beauté, et leur finesse sans rapport avec l’image qui lui colle à la peau.

Pourquoi ne trouvons-nous pas d’exemples de « chaînons manquant » sur le plan artistique. ?

C’est-à-dire de dessins barbouillés par une brute sans talent, alors qu’ils jalonnent les murs de nos villes actuelles sous forme de graffitis ? Il faut accepter de dire que la majorité des humains vivants 2014 sont artistiquement incapables de faire aussi bien que ceux que les paléontologues dénigrent si facilement.

Interrogation : les magnifiques dessins réalisés par les hommes préhistoriques sont réalisés au fond de certaines grottes parfaitement sombres. Pourquoi ont-ils réalisé des dessins difficiles à voir sans lumière directe, et comment les ont ils réalisé avec la lumière de leurs flambeaux ? Le feu produit de la fumée, consomme rapidement l’oxygène et noirci les plafonds ; comment cela est-il possible ? Etaient-ils plus malins que nous imaginons ?

Certaines grottes comme la grotte Cosquer près de Marseille occupé selon les scientifiques il y a 20 000 ans ne pouvant être pénétré qu’en se glissant allongé le long d’un étroit boyau de 175 mètres de long sans autre aération, et dont l’accès se trouve actuellement 36 mètres en dessous du niveau de la mer. Comment passer des heures à peindre cette grotte à la lueur de torches, dans la fumée, sans provoquer la mort par manque d’oxygène ?

L’origine de l’agriculture. La datation scientifique la situe à environ 10 000 ans, mais cette même chronologie prétend que l’homme moderne a été là depuis au moins 150 000 ans. Quelqu’un qui dessinait si bien aurait sûrement trouvé bien plus tôt, et même par hasard, la façon de semer des graines de plantes pour produire des aliments. Il suffit de regarder la nature ! Il n’y a donc ici rien de plus simple que de planter une graine… Alors pourquoi cette différence ? Il est vrai que la nature était si prolifique avant le déluge sous son climat chaud et humide qu’il était peut-être superflu de songer à cultiver la terre.

Là encore les constatations tangibles coïncident extraordinairement avec les dates bibliques !

Arrêtons là les questions qui pourraient se multiplier à l’infini. Elles suffisent à démontrer que de nombreuses hypothèses pseudo scientifiques revêtent plus le caractère de croyances irrationnelles que de démonstrations formalisées.

Si le sujet vous a intéressé, les multiples contradictions de la science avec elle-même sont énumérés sous différents formats et accessibles facilement sur internet.

En conclusion nous dirons que tout homme aspire très naturellement à la liberté car que vaut la triste vie d’un esclave ?

Le problème c’est qu’il existe plusieurs formes de prisons, dont la plus difficile à s’échapper est la terrible prison de ses propres idées préconçues et dont le geôlier est soi-même.

La seule possibilité de fuir ce cloître psychologique est de commencer par ouvrir les yeux et de se poser comme nous l’avons fait quelques questions ouvertes.

Toute notre éducation fut un formatage de notre intellect, qui est devenu la porte verrouillée de notre entendement. Ne regardez plus la porte, mais tournez plutôt les yeux vers la fenêtre même si elle est pourvue de barreaux car en regardant vers l’extérieur vous regarderez vers votre liberté et vers la nature qu’à crée Dieu et demandez-lui de vous ouvrir les yeux.

L’homme est esclave du péché qui lui cache puissamment la vérité mais… : Galates 5:1  C’est pour la liberté que Christ nous a affranchis. Demeurez donc fermes, et ne vous laissez pas mettre de nouveau sous le joug de la servitude.

Bonheur, joie et paix en seront les premiers fruits.

Source : CANTIQUE DE L’OLIVIER FRANC

PLEINSFEUX.ORG

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