Qu’il était laid dans sa robe de princesse, avec sa chevelure fauve et ses cinq cornes rougies… effroyablement laid ! On se demande comment le démon drag-queen qu’on avait chargé d’officier à la bibliothèque publique de Michelle Obama n’a pas fait fuir tous les malheureux enfants que leurs parents avaient traînés là, sans doute pour les ouvrir à la fluidité du genre – une fluidité qui sent décidément le souffre.
Entre satanistes et LGBT, l’entente est cordiale – les intérêts des seconds servent ceux des premiers. Et Michelle encense donc tout ça ?