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Par Alexandra Bruce – Le 26 janvier 2020
Pour ensuite s’en servir comme arme ?
Zero Hedge rapporte que le virus impliqué dans l’épidémie actuelle de coronavirus à Wuhan, en Chine, a été volé au Laboratoire national de microbiologie du Canada (LNM) à Winnipeg par des agents chinois.
En juillet dernier, la Dre Xiangguo Qiu, une scientifique avancée qui dirigeait la Section du développement des vaccins et des thérapies antivirales au LNM, a été expulsée de force de l’établissement, avec son mari, le Dr Keding Cheng, un autre biologiste.
Cela faisait suite à une enquête de 4 mois sur une expédition non autorisée de virus mortels vers la Chine. Des questions demeurent quant à savoir si des expéditions antérieures vers la Chine d’autres virus ont eu lieu avant 2018.
Au cours de l’année scolaire 2017-2018, le Dr Xiangguo Qiu a effectué au moins cinq voyages au Laboratoire national de biosécurité de Wuhan, qui est hébergé dans les installations militaires liées au programme chinois de guerre biologique.
En 2018, il est devenu le premier laboratoire en Chine conçu pour répondre au niveau de risque biologique le plus élevé de niveau 4 (BSL-4) et il recherchait activement des coronavirus comme le SRAS. Il est situé à seulement 32 kilomètres du marché des fruits de mer de Huanan, à l’épicentre de l’épidémie de coronavirus.
Le Dr Qiu avait précédemment étudié l’immunothérapie post-exposition pour deux virus Ebola à la Johns Hopkins School of Medicine en collaboration avec la Defense Threat Reduction Agency des États-Unis. Le CDC classe le Ebola comme agent de bioterrorisme de « catégorie A ».
L’intérêt de la Chine pour la biologie en tant que domaine émergent de la guerre, son attachement à la domination des biotechnologies et à une éthique plus souple autour de l’édition des gènes CRISPR-Cas ont soulevé des inquiétudes quant à la militarisation de ces agents pathogènes. Les stratèges militaires chinois sont connus pour parler des « armes génétiques » potentielles et de la possibilité d’une « victoire sans effusion de sang ».
Pendant ce temps, le journal scientifique The Lancet vient de publier une étude financée par le gouvernement chinois, basée sur 41 personnes de la première vague d’infections à Wuhan, en Chine. Parmi ces patients, le coronavirus de la pneumonie de Wuhan avait un taux d’infection énorme de 83% et un taux de mortalité de 15%, avec une période d’incubation pouvant aller jusqu’à 8 jours, avant que les patients ne présentent de symptômes.
De tels chiffres sont presque inconnus et s’ils se vérifient, le virus aura le potentiel de tuer des centaines de millions de personnes. Cependant, l’échantillon de seulement 41 patients est petit et, espérons-le, non représentatif.
Sur le rapport X22 et dans cette vidéo du rapport Atlantis, il y a un compte-rendu entièrement différent de cette histoire. Ils disent que l’État Profond contrôlé par les banquiers centraux est en train de provoquer cette pandémie de perturber intentionnellement l’économie mondiale, afin de cacher l’effondrement de leur régime Fiat Ponzi.
L’événement de la Troisième Guerre Mondiale qu’ils avaient prévu pour Hillary et qu’ils n’ont pas réussi à inciter Donald Trump à poursuivre ne se produit pas, ils ont donc besoin d’un autre moyen de plonger la main-d’oeuvre mondiale dans le chaos et quelque chose sur lequel ils peuvent blâmer pour l’échec de leur dette, basé sur un système financier.
Source: Forbidden Knowledge
Traduit par PLEINSFEUX