LA MARQUE DE LA BÊTE

phylactères

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PRÉAMBULE du 3 juillet 2023

Il existe dans la Bible des interdictions, qui ne sont pas anodines, les trouverions-nous sous la dispensation de la GRÂCE ?

  • Ce petit document joint ci-dessous, est une constatation prophétique qui a fait l’objet de grandes recherches au cours des siècles passés mais qui est devant nous en tant que réalisation technologique qui n’est malheureusement pas encore connue comme telle ou, rejetée par les incroyants n’y trouvant qu’une banalité parmi d’autres ?

Il faut se rappeler que nous venons à peine de sortir de l’exercice du passeport sanitaire qui n’était rien d’autre que le présage de l’arrivée de la marque de la BÊTE !

Le fait est que le Seigneur, qui ne vit pas dans les cloisons du temps, nous l’indique tant dans l’ancienne alliance que dans la nouvelle.

Le sérieux indiqué et prescrit de cet avertissement de nous abstenir sans réserve, Lui qui connaissait les conséquences d’une insoumission naïve ou consciente, ne doit laisser aucun chrétien muet devant un tel événement aux séquelles les plus graves qui soient …

Plus encore, la bonté de notre Dieu qui voit les retardataires se moquer de cette ordonnance, envoie des anges parcourir la terre et crier, d’une voix de tonnerre, de ne pas se laisser marquer et annoncer les conséquences éternelles qui viendront sur eux par absence de repentance à une simple demande de pardon obtenu par le sang coulé pour eux deux mille ans plus tôt ?

C’est dans Apocalypse 14 : 9 à13 que vous trouverez ce jugement de Dieu sur LA MARQUE DE LA BÊTE !

Chers auditeurs, lisez ce petit document et réfléchissez au devoir qui s’impose à vous et à moi d’en faire, par tous les moyens, un sujet d’intervention.
Pour Pleins Feux,
Dr Pierre Gilbert DC

Lorsque les interprètes consultent les pages de l’Écriture

plutôt que les nouvelles en première page, la connotation biblique de la marque devient plus claire. L’Apocalypse décrit la marque placée sur “la main droite ou le front ” (Ap 13:16), qui fait écho à la description des commandements de Dieu dans la Torah : « Tu les lieras comme un signe sur ta main , et ils seront comme des fronteaux entre tes yeux » (Deutéronome 6, 8 ; cf. 11, 18). 

Sur la base de ce verset, les Juifs ultérieurs ont apposé des Téfilines ( תפלין ) – de petites boîtes contenant des textes bibliques – sur leurs mains et leurs fronts. Dans le Nouveau Testament grec, les téfilines sont appelées “phylactères” (φυλακτήρια ; Matt 23:5), et les juifs pratiquants portent ces ornements rituels pendant la prière à ce jour. Ainsi, d’un point de vue juif, il est immédiatement clair que la « marque de la bête » prend la place des commandements divins ; accepter cette marque, c’est rejeter la volonté de Dieu.

L’événement d’Ézéchiel a un précédent dans l’Exode. Décrivant la signification de la Pâque, Moïse dit à son peuple : « Tu diras à ton enfant ce jour-là : ‘C’est à cause de ce que l’Éternel a fait pour moi quand je suis sorti d’Égypte.’ Et ce sera pour toi comme un signe sur ta main ( ידך ; yadekha ) et comme un mémorial entre tes yeux , afin que l’enseignement du Seigneur ( תורה ; torah ) soit dans ta bouche »(Exode 13:9).

Comme dans Ézéchiel, ceux que Dieu sauve portent la marque divine. 

Plus tard dans le même chapitre de l’Exode, Moïse dit au peuple de consacrer son premier-né à Dieu, et la justification de cette pratique est un souvenir du salut d’Israël.

« Car lorsque Pharaon refusa obstinément de nous laisser partir », dit Moïse, « l’Éternel a tué tous les premiers-nés dans le pays d’Égypte, tant les premiers-nés de l’homme que les premiers-nés des animaux… mais je rachète tous les premiers-nés de mes fils.

Ce sera comme un signe sur ta main et des fronteaux entre tes yeux, car c’est par une main forte que l’Éternel nous a fait sortir d’Égypte » (13 : 15-16). 

La marque du Seigneur signifie le salut de la mort et de la destruction, et l’Apocalypse présente l’inverse négatif pour ceux qui prennent la marque de la bête.

Source inconnue

Traduit par PLEINSFEUX


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