Par Bill SALUS – le 25 janvier 2025
« L’Iran n’a jamais été aussi vulnérable aux frappes contre ses capacités nucléaires », a déclaré le responsable. Le responsable a ajouté qu’Israël ne permettra pas à l’Iran de se doter de l’arme nucléaire et continuera donc à se préparer à frapper le projet nucléaire. » (Jerusalem Post – 22/11/24)
Ne soyez pas surpris de vous réveiller un matin avec un titre du genre : « Israël mène des frappes préventives contre les sites nucléaires iraniens ». Ce scénario devient de plus en plus probable de jour en jour. En fait, le 26 octobre 2024, Israël a frappé et détruit le centre de recherche d’armes nucléaires ultra-secret de l’Iran à Parchin.
« Israël a détruit un site nucléaire iranien secret lors de frappes en octobre »
- « L’installation de Parchin a été complètement détruite lors de l’attaque israélienne du 26 octobre contre l’Iran, selon des images satellite. » (JNS – 16/11/24)
Cet article, qui tombe à point nommé, explore les raisons qui pourraient pousser Israël à attaquer prochainement les sites nucléaires iraniens. Les raisons seront identifiées numériquement ci-dessous, sans ordre d’importance spécifique, puis développées ultérieurement.
Les raisons pour lesquelles Israël va probablement frapper
- 1. Israël a l’habitude de frapper des installations nucléaires.
- 2. Israël adhère à la « doctrine Begin » établie par Menachem Begin en 1981.
- 3. Israël s’est engagé à empêcher l’Iran de se doter de l’arme nucléaire.
- 4. Israël a détruit les principaux systèmes de défense antimissile de l’Iran, rendant ce dernier vulnérable à une frappe israélienne sur ses installations nucléaires.
- 5. Israël aura probablement l’approbation de l’Amérique grâce à la présidence de Donald Trump.
- 6. Il est peu probable qu’Israël soit confronté à de graves représailles de la part des mandataires de l’Iran.
- 7. Israël a détruit la plupart des systèmes de défense antimissile syriens, ce qui permet de voler plus librement et en toute sécurité vers l’Iran via l’espace aérien syrien.
- 8. Israël doit agir maintenant car l’Iran est sur la voie rapide vers l’obtention de plusieurs bombes nucléaires.
- 9. Une ancienne prophétie biblique dans Jérémie 49:34-39 pourrait prédire une telle frappe nucléaire.
1. Israël a l’habitude de frapper des installations nucléaires.
Dans l’histoire moderne, Israël a détruit deux réacteurs nucléaires au Moyen-Orient. L’un en Irak et l’autre en Syrie.
Opération Opera en Irak : lors d’une attaque surprise Le 7 juin 1981, 14e anniversaire de la guerre des Six Jours menée par Israël contre l’Égypte, la Syrie et la Jordanie, Israël a détruit le réacteur nucléaire inachevé d’Osirak en Irak. C’est à cette époque que la « doctrine Begin » a été établie. Cette doctrine sera abordée ci-après.
Opération Orchard (Syrie) : Agissant conformément à la « doctrine Begin », le 6 septembre 2007, Israël a mené une frappe aérienne préventive qui a détruit un réacteur nucléaire présumé sur le site d’Al Kibar en Syrie.
2. Israël adhère à la « doctrine Begin » établie par Menachem Begin en 1981.
« La doctrine Begin est le terme courant utilisé par le gouvernement israélien pour désigner la politique de frappe préventive et de contre-prolifération visant à empêcher la possession par ses ennemis potentiels d’armes de destruction massive (ADM), en particulier d’armes nucléaires… La doctrine elle-même a été énoncée par le Premier ministre israélien Menahem Begin en juin 1981, à la suite de l’attaque israélienne contre le réacteur nucléaire irakien Osirak dans le cadre de l’opération Opéra. Cette doctrine demeure une caractéristique de la planification sécuritaire israélienne. »
La citation de Wikipédia ci-dessus fournit une bonne explication de la doctrine Begin (Menachem). L’histoire intéressante derrière la mise en œuvre de cette doctrine m’a été racontée par l’envoyé israélien aux États-Unis, Yoram Ettinger, en 2014, lors d’un petit-déjeuner de travail. Le correspondant de la Maison Blanche, Bill Koenig, et moi-même avons discuté avec Yoram et lui avons demandé s’il pensait qu’Israël frapperait les sites nucléaires iraniens. Sa réponse est fournie dans l’article ci-dessous.
Au cours du premier semestre 1981, le Premier ministre israélien Menahem Begin a réuni à huis clos tous les principaux dirigeants militaires et politiques israéliens pour discuter de la gestion du programme nucléaire irakien en développement. La possibilité que l’Irak possède l’arme nucléaire représentait une menace existentielle pour l’État juif.
Begin a demandé l’avis du dirigeant sur les conséquences potentielles d’une frappe préventive israélienne sur le réacteur nucléaire inachevé d’Osirak en Irak. Ils n’étaient pas favorables à une telle frappe pour les raisons suivantes :
- 1. Cela pourrait inciter l’ensemble du monde musulman à s’unir contre Israël dans une guerre massive qui pourrait potentiellement rayer Israël de la carte.
- 2. Cela pourrait provoquer une forte condamnation de la part de la communauté internationale, y compris des États-Unis et du monde occidental, car ils soutenaient majoritairement l’Irak dans sa guerre contre l’Iran à l’époque.
- 3. Cette condamnation internationale pourrait conduire à de lourdes sanctions susceptibles de ruiner l’économie israélienne.
D’autres conditions défavorables ont également été mentionnées et le consensus était que ce serait une MAUVAISE DÉCISION ! Begin a remercié respectueusement tous ses principaux confidents et a ensuite répondu en disant quelque chose du genre : « Si nous ne détruisons pas le réacteur et que l’Irak se dote d’une arme nucléaire, cela pourrait entraîner la fin de l’État juif. » Il a conclu en déclarant : « Nous allons frapper l’Irak MAINTENANT ! »
Peu de temps après, Israël a détruit le réacteur d’Osirak, sans que les inquiétudes évoquées ci-dessus ne se manifestent. C’est ce scénario qui a conduit à la mise en œuvre de la doctrine Begin, qui est toujours en vigueur et comprise par les dirigeants politiques et militaires israéliens actuels. Ainsi, une frappe préventive contre des réacteurs nucléaires constitue un précédent historique pour Israël.
3. Israël s’est engagé à empêcher l’Iran de se doter de l’arme nucléaire.
“Le président israélien Netanyahu a déclaré qu’il ne permettrait pas à l’Iran d’obtenir des armes nucléaires” (Reuters – 12/04/21)
La citation de Reuters ci-dessus remonte à 2021, ce qui montre qu’Israël a promis depuis longtemps que l’Iran ne permettrait pas à ce dernier de se doter de l’arme nucléaire. Comme le montre le titre ci-dessous, cet engagement remonte même à une période antérieure à la mise en œuvre de l’accord nucléaire iranien JCPOA en 2015. À l’heure actuelle, cet engagement est toujours en vigueur.
« Netanyahou : Israël ne permettra pas à l’Iran d’obtenir la bombe nucléaire » (Radio Free Europe – 1/10/13)
4. Israël a détruit les principaux systèmes de défense antimissile de l’Iran, rendant ce dernier vulnérable à une frappe israélienne sur ses installations nucléaires.
« Israël a détruit les principales défenses aériennes iraniennes, les laissant « pratiquement nues » »
« Des sources indiquent que les frappes aériennes de Fox News ont détruit les trois batteries S-300 restantes ; un responsable israélien affirme que « la majorité de la défense aérienne iranienne a été détruite » » (Times of Israel – 30/10/24)
Le 1er octobre 2024, l’Iran a lancé environ deux cents missiles balistiques sur des cibles en Israël. Heureusement pour Israël, ils se sont révélés pour la plupart inefficaces. Par la suite, lors d’une frappe de représailles contre l’Iran le 26 octobre 2024, Israël a détruit la majorité des défenses antimissiles iraniennes, le rendant pratiquement sans défense face à une future frappe israélienne sur les sites nucléaires iraniens.
5. Israël aura probablement l’approbation de l’Amérique grâce à la présidence de Donald Trump.
« L’équipe de Trump évalue les options, y compris les frappes aériennes, pour arrêter le programme nucléaire iranien » (Wall Street Journal – 13/12/24)
Selon le titre du WSJ ci-dessus, Donald Trump envisagerait déjà l’option de frappes aériennes contre le programme nucléaire iranien. Il est donc peu probable qu’il s’oppose à une frappe israélienne. En fait, le titre ci-dessous suggère que Trump est favorable à ce qu’Israël s’attaque aux installations nucléaires iraniennes.
« Trump exhorte Israël à détruire les installations nucléaires iraniennes et critique Biden pour avoir exhorté l’État juif à faire preuve de retenue » (New York Post – 05/10/24)
« Rapport: Israël pense que Trump soutiendra une frappe de Tsahal contre le programme nucléaire iranien ou ordonnera une frappe américain » (Times of Israel – 06/01/25)
6. Il est peu probable qu’Israël soit confronté à de graves représailles de la part des mandataires de l’Iran.
« L’Iran dans une « position de faiblesse sans précédent » après la chute d’Assad en Syrie » (France 24 – 09/12/24)
La Syrie, sous la direction de Bachar al-Assad, était un important mandataire de l’Iran. Assad a permis à l’Iran d’envoyer des armes au Hezbollah via la Syrie. Cependant, le gouvernement d’Assad est tombé et Assad a fui vers la Russie pour y demander l’asile. De plus, Israël a détruit le couloir de navigation syrien utilisé par l’Iran, ce qui a limité la capacité de ce dernier à fournir au Hezbollah des missiles et des armes dont il avait tant besoin.
« Le Hezbollah perd sa voie d’approvisionnement via la Syrie, ce qui porte un coup dur à ce pays et à l’Iran » (New York Times – 14/12/24)
Le Hezbollah, l’un des mandataires les plus puissants de l’Iran, a été gravement endommagé par Israël au cours de la guerre d’un an qu’il a déclenchée le 8 octobre 2023. Les lignes d’approvisionnement étant coupées en Syrie, la puissance de combat du Hezbollah a été considérablement réduite.
« L’armée israélienne révèle que l’arsenal de missiles du Hezbollah a été gravement réduit depuis le début des opérations »
« L’armée israélienne estime que « 80 % de l’arsenal de roquettes du Hezbollah dans un rayon de 40 kilomètres a été détruit. » (Jerusalem Post – 10/11/24)
Le Hamas, comme le Hezbollah, a été gravement affaibli par la guerre contre Israël. Il en est réduit pour l’essentiel à se battre dans la guérilla pour sa survie.
« Le ministre israélien de la Défense déclare que le Hamas a été détruit en tant que force de combat organisée » (FDD – 11/09/24)
« Les groupes armés palestiniens adoptent la « guérilla » contre Israël » (The New Arab – 11/07/24)
La dynamique a changé en faveur d’Israël, car les principaux mandataires de l’Iran ont subi des coups dévastateurs. Il est donc peu probable qu’Israël subisse de graves représailles de la part des mandataires de l’Iran s’ils frappent les installations nucléaires de l’Iran.
Au moment où j’écris cet article, les Houthis lancent régulièrement des missiles depuis le Yémen vers Israël, mais Israël s’est engagé à mettre fin également à ce mandataire iranien.
« Israël peine à dissuader les attaques croissantes des rebelles houthis du Yémen alors que les autres fronts se calment »
« Les Houthis, soutenus par l’Iran, intensifient leurs attaques de missiles, forçant des centaines de milliers d’Israéliens à se mettre à l’abri au milieu de la nuit, effrayant les compagnies aériennes étrangères et maintenant ce qui pourrait être le dernier front majeur des guerres au Moyen-Orient. » (AP – 02/01/25)
« Israël, à l’ONU, prévient les Houthis qu’ils risquent de subir le même sort que le Hamas et le Hezbollah » (Reuters – 30/12/24)
7. Israël a détruit la plupart des systèmes de défense antimissile syriens, ce qui permet de voler plus librement et en toute sécurité vers l’Iran via l’espace aérien syrien.
Israël affirme avoir détruit la plupart des systèmes de défense aérienne syriens, rendant ainsi plus sûr le survol de l’espace aérien syrien en route vers l’Iran.
« Israël détruit 85 % des systèmes de défense aérienne de la Syrie » (Middle East Monitor (MEM) – 13/12/24)
8. Israël doit agir maintenant car l’Iran est sur la voie rapide vers l’obtention de plusieurs bombes nucléaires.
Avec l’affaiblissement du Hamas et du Hezbollah et l’effondrement du régime d’Assad, l’Iran semble concentrer davantage ses efforts sur le développement d’armes nucléaires.
« L’Iran étend ses capacités d’armement, essentielles pour utiliser la bombe nucléaire »
« Selon un expert, l’Iran ‘avance vers la fabrication de la bombe à un rythme rapide’ » (Fox News – 20/12/24)
9. Une ancienne prophétie biblique dans Jérémie 49:34-39 pourrait prédire une telle frappe nucléaire.
Selon une prophétie biblique émise vers 596 av. J.-C. et contenue dans Jérémie 49:34-39, un désastre va se produire en Iran dans les derniers jours. Jérémie 49:37-38 déclare que ce désastre est causé par Dieu en conséquence directe d’un mauvais comportement ou d’une intention de comportement de la part des dirigeants iraniens qui provoquent une colère féroce en lui.
La prophétie concerne l’ancien territoire d’Elam. Le lieu actuel de l’Elam où cette catastrophe a lieu se trouve dans l’ouest de l’Iran, au bord du golfe Persique.
Aujourd’hui, l’Iran est composé des territoires historiques de l’Élam et de la Perse. Il s’agit de deux territoires bien distincts, séparés géographiquement depuis toujours par les monts Zagros.
Mais pourquoi Dieu est-il « violemment en colère » contre les dirigeants iraniens ? Le verset ci-dessous contient la clé qui ouvre la réponse à cette question.
« Ainsi parle l’Éternel des armées : Voici, je vais briser l’arc d’Élam, le plus puissant de ses guerriers. » (Jérémie 49:35, LSG)
La Nouvelle Traduction Vivante (NLT) le dit ainsi :
« Ainsi parle le Seigneur des armées célestes : Je détruirai les archers d’Élam, les meilleurs de leurs soldats. »
On peut en déduire aujourd’hui que les dirigeants iraniens veulent lancer des missiles mortels quelque part, peut-être avec des charges nucléaires, et que ces plans diaboliques seront déjoués. Dieu déclare qu’il va « briser l’arc », c’est-à-dire détruire ces lanceurs de missiles au préalable afin d’empêcher que ces roquettes mortelles ne soient lancées.
Selon le verset ci-dessous, cette catastrophe semble provoquer une crise humanitaire car, par la suite, les Iraniens touchés sont contraints de se disperser dans le monde entier, ce qui suggère que cette catastrophe pourrait être liée au nucléaire.
« Je ferai venir des ennemis de toutes parts, et je disperserai les habitants d’Elam aux quatre vents. Ils seront exilés dans les pays du monde entier. » (Jérémie 49:36, S21)
L’Élam (ouest de l’Iran) est l’endroit où se trouvent la plupart des silos à missiles et des lance-roquettes portables iraniens. Ces lanceurs sont principalement dirigés vers Israël. C’est également là que se trouvent les sites militaires et nucléaires iraniens suivants.
- Ispahan : le plus grand centre de recherche nucléaire d’Iran.
- Natanz : la principale installation d’enrichissement de l’Iran.
- Bushehr : l’un des réacteurs nucléaires iraniens.
- Shiraz : le centre iranien de développement d’armes spéciales et de missiles.
- Ces quatre sites sont des cibles de choix pour Israël. En fait, le 19 avril 2024, Israël a déjà mené une attaque de drone limitée à Ispahan.
- « Israël lance des frappes de drones à proximité des installations nucléaires iraniennes »
- « Le 19 avril, vers 3 heures du matin, heure locale, les forces de défense israéliennes ont lancé des attaques de drones sur des cibles dans et autour de la ville iranienne d’Ispahan. » (Military Watch Magazine – 19/04/24)
Il n’existe aucune preuve que la prophétie d’Élam de Jérémie ait trouvé un accomplissement historique, ce qui, à la lumière des événements actuels, en fait une prophétie potentielle à surveiller. L’absence de preuve historique est soulignée dans mon article disponible en ligne intitulé « La prophétie d’Élam dans Jérémie 49:34-39 a-t-elle été historiquement accomplie ? »
Ainsi, si la destruction complète de l’Élam n’a pas eu lieu historiquement, alors cela signifie logiquement que les prophéties sur l’Élam dans Jérémie 49:34-39 auront lieu un jour. Contre qui Dieu pourrait-il être si férocement en colère aujourd’hui dans l’Iran d’aujourd’hui ? Serait-ce le régime islamique voyou qui veut rayer Israël de la carte en utilisant des missiles balistiques nucléaires ?
Dans Jérémie 49:35, Dieu annonce qu’il va provoquer un grand désastre dans l’ouest de l’Iran. Il provoquera une calamité qui nécessitera la dispersion de la population indigène dans le monde entier. Cela pourrait-il faire allusion à une future grande catastrophe en Iran qui détruirait ses capacités de lancement de missiles et certains sites nucléaires sur le territoire d’Elam ?
En ces temps troublés, la situation au Moyen-Orient évolue rapidement, ce qui rend difficile de prédire le prochain grand titre de l’actualité. Qui aurait pu imaginer que le régime d’Assad s’effondrerait si rapidement ?
Peut-être que l’Iran négociera un autre accord nucléaire, ou il pourrait y avoir un changement de régime en Iran, mais pour la liste des raisons identifiées dans cet article, il ne serait pas surprenant de voir une frappe préventive israélienne sur les sites nucléaires iraniens, et probablement BIENTOT !
Pour les lecteurs attentifs, vous trouverez ci-dessous quelques commentaires et citations sur ces quatre cibles nucléaires stratégiques et leurs liens avec l’ancien Elam.
Ispahan : La province d’Ispahan est l’une des 31 provinces iraniennes. Ispahan ou Espahan est la capitale de cette province et la troisième plus grande ville d’Iran, avec une population d’environ 1,5 million d’habitants. Vous trouverez ci-dessous quelques citations reliant Ispahan au territoire d’Elam.
« Située au pied des montagnes du Zagros, Ispahan est une ville qui s’est formée à un carrefour majeur des routes commerciales et militaires transasiatiques. La ville a ainsi émergé progressivement au cours de la civilisation élamite (2700 – 1600 av. J.-C.), bien que les artefacts trouvés à Ispahan remontent à la période paléolithique. »[
« À l’époque préislamique, Ispahan abritait la colonie qui a donné naissance à la civilisation élamite (2700 av. J.-C.) et était le foyer de la dynastie mède jusqu’à ce que Cyrus le Grand unifie les terres perses et mèdes dans l’empire achéménide ~ 600 av. J.-C. »
Natanz : est également situé dans la province d’Ispahan et se trouve à environ soixante-quinze milles au nord d’Ispahan, qui se trouve également à Elam.
Bushehr : est une province d’Iran et c’est là que se trouve le réacteur nucléaire iranien de Bushehr.
« Les plus anciennes traces de peuplement dans la province de Bushehr remontent à l’époque d’Elam (2700-539 av. J.-C.), une ancienne civilisation pré-iranienne. »
Shiraz : La ville de Shiraz dans la province de Fars. La citation ci-dessous désigne Fars en Elam.
« La patrie des Élamites est une région connue sous le nom de Khuzestan dans le sud-ouest de l’Iran. Le centre géographique et politique de la majeure partie de l’histoire élamite était la ville de Suse et ses environs. Cependant, la région de Fars dans les monts Zagros et d’Anshan étaient également considérée comme faisant partie de l’Élam historique. »
Traduit par PLEINSFEUX