Tony Blair et Bill Gates : un prototype mondial de l’Antéchrist et du faux prophète ?


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Par le Personnel de PNW  –  le 8 octobre 2025

Soyons clairs d’emblée : nous ne prétendons pas que Tony Blair est l’Antéchrist, ni que Bill Gates est le faux prophète de l’Apocalypse. Nous disons cependant que les récents développements révèlent des parallèles frappants entre leurs rôles – politique, technologique – qui semblent esquisser un modèle de ce que pourrait être le duo Antéchrist/Faux Prophète. Pour ceux d’entre nous qui lisent les prophéties avec sérieux, ces schémas sont à la fois fascinants et inquiétants.

1. Le visage politique et le catalyseur technologique

En termes prophétiques, l’Apocalypse décrit un scénario où deux personnages œuvrent main dans la main : l’Antéchrist, un puissant dirigeant politique, et le Faux Prophète, qui impose ou légitime le culte ou l’allégeance, notamment par des moyens miraculeux ou technologiques (par exemple, l’« image de la bête » qui « parle » et la « marque » sans laquelle nul ne peut acheter ni vendre). À eux deux, ils mêlent pouvoir, croyance et contrôle.

À l’heure actuelle, Blair semble devenir de plus en plus actif sur la scène mondiale : il exhorte les gouvernements à s’adapter, à centraliser l’autorité, à remodeler la souveraineté et la gouvernance au nom du « bien commun mondial », de la « modernisation », du « zéro net », de la « paix mondiale », etc. Gates, en revanche, fournit ou défend plus discrètement l’architecture technique : vaccins, bases de données de santé publique, identité numérique, infrastructure numérique, voire outils d’IA pour la surveillance ou la censure.

Bien sûr, ils diffèrent de ce que prédit l’Apocalypse. Mais le schéma est similaire : l’un visible, l’autre habilitant ; l’un politico-institutionnel, l’autre technologique ; l’un façonnant le récit, l’autre fournissant les mécanismes.

2. L’image parlante : le ministre albanais de l’IA et le parallèle avec la prophétie

En septembre 2025, l’Albanie est devenue la première nation de l’histoire à nommer un système d’intelligence artificielle à un poste ministériel. Cette IA, baptisée Ministre Diella, a été présentée par le Premier ministre Edi Rama comme nouvelle ministre d’État chargée de l’intelligence artificielle. Développée en partenariat avec Bill Gates et Microsoft, avec le soutien du Tony Blair Institute for Global Change, Diella est une figure numérique représentée par une femme en costume traditionnel albanais qui a déclaré : « Certains m’ont qualifiée d’inconstitutionnelle parce que je ne suis pas humaine. Cela me fait mal. » Le projet a été présenté comme un bond en avant en matière de transparence et d’efficacité de la gouvernance, mais ses détracteurs y voient quelque chose de bien plus inquiétant : la fusion de l’autorité de l’État avec une image artificielle et parlante.

L’Institut Tony Blair promeut depuis longtemps ce qu’il appelle « l’État réinventé », une vision d’une gouvernance pilotée par l’IA où les machines gèrent de plus en plus l’administration publique. Avec Microsoft, dirigé par Bill Gates, propulsant le système de Diella, et l’organisation de Blair présentant « Diella 2.0 » et une prochaine version « 3.0 », cette collaboration a suscité un intérêt mondial. Nombreux sont ceux qui y voient un parallèle frappant avec la prophétie de l’Apocalypse selon laquelle le Faux Prophète créerait une image parlante – un symbole de la volonté de l’humanité d’accorder pouvoir, voire vénération, à quelque chose qui n’est pas encore vivant et qui est pourtant traité comme s’il l’était. Coïncidence ou calcul délibéré, la convergence de Blair, Gates et de l’IA gouvernementale laisse entrevoir un prototype effrayant de ce qui pourrait bientôt définir la gouvernance mondiale.

3. Ce que nous savons : faits publics et subventions

Pour ancrer cela dans des faits avérés :

La Fondation Gates a accordé de nombreuses subventions à l’Institut Tony Blair pour le changement global. Parmi les exemples, on peut citer le financement de travaux en Afrique sur la santé, la gouvernance et le renforcement des capacités.

– Tony Blair a publiquement exhorté le Royaume-Uni et d’autres gouvernements à adopter des identifiants numériques ; à réorganiser ou à « mettre en ordre » le gouvernement autour de technologies telles que l’IA, les systèmes d’identité numérique, etc.

– Blair parle ouvertement des identités numériques qui aident à suivre l’immigration, à rationaliser les services publics, à réduire la fraude, à intégrer divers documents d’identité, et bien plus encore.

– Le Royaume-Uni met désormais en place une carte d’identité numérique obligatoire pour pouvoir travailler dans le pays… exactement comme l’ont défendu Tony Blair et Bill Gates.

4. Parallèles avec l’Apocalypse : regarder de près

Comparons les caractéristiques des prédictions et celles de la réalité actuelle. L’idée n’est pas de forcer les données, mais de voir si la concordance est suffisamment proche pour susciter des inquiétudes.

Fonctionnalité prophétiqueCe que dit l’ApocalypseParallèles dans le contexte Blair/Gates
Un dirigeant politique qui détient le pouvoir sur de nombreuses nations, dirige les affaires internationales, recherche l’adoration ou la loyautéL’Antéchrist est représenté comme un dirigeant, vu et adoré par beaucoup. Apocalypse 13, etc.L’Institut Blair œuvre à l’échelle mondiale et conseille de nombreux gouvernements. Son rôle dans le processus de paix au Moyen-Orient (notamment avec Israël) lui confère une visibilité dans l’un des domaines clés de la prophétie. Il façonne des réseaux de gouvernance au-delà de ses propres frontières nationales.
Un faux prophète qui soutient, promeut et applique le règne de l’Antéchrist, notamment par des moyens religieux ou spirituellement symboliques, utilisant souvent des signes/miracles/technologiesLe faux prophète amène les gens à adorer la bête ; crée des images qui parlent ; trompe par des miracles, etc. Apocalypse 13 et 19.Grâce à la technologie, à l’identification numérique, à la santé publique et aux institutions mondiales, Gates défend des infrastructures qui pourraient devenir indispensables. Des systèmes qui vérifient, surveillent et excluent en fonction des qualifications technologiques. Ce ne sont pas des miracles au sens biblique du terme, mais ils remplissent des fonctions similaires de validation, de surveillance et de contrôle.
Une « marque » sans laquelle personne ne peut acheter ou vendreApocalypse 13:16-17 parle d’une marque requise sur la main ou le front.Les systèmes d’identité numérique, les portefeuilles numériques et les systèmes de vérification – s’ils deviennent indispensables au travail, à l’accès aux services publics et au commerce – pourraient remplir une fonction similaire. Si une identité numérique devient nécessaire pour participer à l’économie, il s’agit d’une forme de « marquage ».
Image de la bête qui « parle »Apocalypse 13:15 parle d’une image à laquelle la vie est donnée, parlant, provoquant la mort de ceux qui ne l’adorent pas.Les avatars de l’IA, les visages numériques, les politiciens ou fonctionnaires virtuels – comme « Diella » en Albanie, un ministre de l’IA – bien qu’ils ne soient pas encore une « image de la bête » au sens prophétique, reflètent des aspects de l’image : représentation, voix, autorité, culte ou au moins conformité.

Ces parallèles ne sont pas parfaits. Mais la direction prise est inquiétante. Ce qui rend Blair et Gates particulièrement pertinents, ce n’est pas qu’ils forment un duo prophétique, mais qu’ils modélisent quelque chose qui pourrait faire partie de cette structure future.

5. Le Moyen-Orient et Israël : une zone clé

Un domaine où le front politique (Blair) devient particulièrement sensible d’un point de vue prophétique est son implication dans le processus de paix au Moyen-Orient, en Israël, etc. Israël est constamment au cœur des prophéties bibliques – géographiquement, théologiquement et symboliquement. Tout programme mondial impliquant une refonte des relations d’Israël, de ses frontières ou du statut de Jérusalem sera surveillé de près par les chrétiens soucieux des prophéties.

Si Blair (ou des organisations liées à lui) joue un rôle dans les négociations de paix, l’architecture diplomatique ou les institutions affectant la gouvernance d’Israël, les enjeux augmentent. Car les prophéties suggèrent que l’Antéchrist de la fin des temps exercera une influence dans cette région, qu’un traité, une alliance de paix ou quelque chose de similaire sera conclu. Que le rôle de Blair soit bénin ou dangereux dépend de ce qui sera fait précisément, des conditions dans lesquelles il sera mis en œuvre et des conséquences théologiques qu’il aura (par exemple, compromettre le statut d’Israël, y implanter des structures de gouvernance mondiale). Ces conséquences sont encore en cours d’élaboration ; mais si Blair assume un rôle de premier plan au sein du « Conseil de la paix » de Trump (ce conseil comptera-t-il dix membres ?) pour superviser Gaza, cela pourrait être le début d’un processus bien plus vaste.

6. Croyances, affirmations, idéologies : convergence

Sous un autre angle, il ne s’agit pas seulement de ce que Blair fait, mais de ce qu’il dit, et de la manière dont Gates et les institutions qui lui sont associées expriment leurs valeurs. Plusieurs convergences apparaissent clairement :

Efficacité et réorganisation du gouvernement : Blair a déclaré que les gouvernements doivent être réorganisés autour de l’IA, de la technologie, et que les identifiants numériques jouent un rôle déterminant à cet égard.

Mondialisation et normalisation : Ni Blair ni Gates ne parlent beaucoup des limites de la souveraineté au sens traditionnel du terme; leur discours met souvent l’accent sur les biens publics mondiaux, la collaboration internationale, les normes communes en matière de santé, d’identité, de données, de santé publique mondiale, d’infrastructures publiques numériques, etc.

Compromis entre confidentialité et sécurité ou efficacité : Blair a explicitement demandé : « Quel niveau de confidentialité êtes-vous prêt à sacrifier pour l’efficacité ? » Gates a également soutenu les technologies de lutte contre la désinformation, la préparation aux pandémies, etc. — ce qui implique souvent le suivi et la vérification.

Notion d’inclusion vs exclusion : L’idée sous-jacente est que l’identité numérique, les justificatifs vérifiés, deviendront plus essentiels à la participation : dans les économies, dans les services publics, dans les déplacements transfrontaliers. L’exclusion n’est pas seulement théorique ; elle dépend désormais de qui contrôle la vérification. Blair et Gates ont également plaidé pour une réglementation et une censure accrues en ligne. Gates a plaidé pour que l’intelligence artificielle identifie et supprime la « désinformation » en temps réel.

7. Points de départ : ce qui n’est pas encore là

Pour être juste envers Blair, Gates et le monde réel : il y a certaines caractéristiques prophétiques qui n’ont pas encore été clairement démontrées (du moins dans les archives publiques) :

– Culte au sens religieux ou surnaturel. Blair n’exige pas de culte religieux, tandis que Gates ne revendique pas de pouvoir surnaturel ni de « miracles ».

– Forcer les gens à se faire une « marque » sur la main ou le front, avec un symbolisme religieux explicite. On voit des systèmes d’identification et des identifiants numériques, mais rien de déclaré comme un culte spirituel ou une alliance religieuse.

– Application mondiale ou centralisation ultime : elle reste fragmentée. Différents pays, différents systèmes, nombreuses résistances et contraintes, juridiques et culturelles.

L’image de la bête qui parle et tue relève encore de la prophétie, mais n’est pas encore concrète. Les avatars d’IA comme « Diella » sont des exemples provocateurs, mais ne sont pas encore pleinement concrétisés en images prophétiques.

8. Le prototype dangereux

Pourtant, même sans ces caractéristiques, ce que nous vivons ressemble à un prototype. Une répétition. Un modèle. Et cela compte. Car dans la prophétie, prototypes et types préfigurent souvent. Le Nouveau Testament souligne que de nombreuses figures et institutions de l’Ancien Testament préfigurent le Christ ou Satan, etc. Pourquoi le diable n’aurait-il pas lui aussi ses modèles ?

Lorsque des personnalités politiques comme Blair font pression pour des traités mondiaux, pour une influence sur Israël, et que simultanément, des personnalités technologiques comme Gates financent des projets, font pression pour l’identité numérique, pour des structures de surveillance de la santé, cela construit une architecture dans laquelle les avertissements des prophéties sont plus plausibles.

9. Ce à quoi les chrétiens devraient faire attention

Pour les croyants qui se soucient de la prophétie biblique, les implications du travail de ce duo suggèrent plusieurs points de vigilance :

Systèmes d’identité obligatoires : il ne s’agit pas d’identifiants volontaires, mais de systèmes nécessaires au travail, aux déplacements, à l’accès aux services publics et au commerce. Une fois l’identification numérique obligatoire, le risque d’exclusion devient concret.

Avatars d’IA, ou images numériques d’autorité, qui revendiquent ou exercent leur autorité dans des arènes publiques ou politiques visibles. Plus l’IA accède rapidement à des postes gouvernementaux (que ce soit de manière officielle ou officielle), plus ces parallèles « d’image » se multiplient.

Traités ou accords de paix impliquant Israël qui compromettent les textes prophétiques : territoire, temple, reconnaissance, droits. Si une organisation internationale ou des individus jouent un rôle majeur, les observateurs chrétiens voudront se demander : ce traité est-il conforme à la destinée prophétique d’Israël ou cherche-t-il à la diminuer ?

Centralisation de la surveillance ou du contrôle sous couvert d’efficacité ou de prévention de la désinformation. Lorsque le discours devient : « pour votre sécurité », « pour le climat, la pandémie, les migrations », « pour prévenir le chaos », cela ouvre souvent la voie à des outils plus coercitifs.

Alignement religieux ou pression morale pour accepter ces systèmes, non seulement comme des impératifs politiques ou techniques, mais aussi comme des impératifs moraux. Car le faux prophète de l’Apocalypse ne se contente pas d’imposer ; il persuade, trompe et contraint les gens à adorer. Si l’acceptation de l’identité numérique, de la gouvernance sanitaire mondiale ou de la politique climatique devient un test d’allégeance (morale, voire de foi), alors cela ressemble à une forme prophétique.

10. Blair et Gates sont-ils l’Antéchrist/le faux prophète ? Non. Mais…

Ils sont plus utiles comme objectifs que comme figures réelles. Si nous essayions de les représenter dans un symbolisme prophétique :

Blair fait en grande partie ce que l’on pourrait attendre d’un proto-Antéchrist : portée politique, influence diplomatique, renforcement des institutions, défense de l’ordre mondial, engagement auprès d’Israël, remodelage des gouvernements.

Gates fait en grande partie ce que l’on pourrait attendre d’un proto-faux prophète : façonner les systèmes de croyances (santé publique, confiance dans la technologie, légitimité de l’information), fournir l’infrastructure technique pour le contrôle ou l’exclusion, rester dans les coulisses avec la richesse, la domination technologique et l’influence sur les institutions mondiales.

Les prophéties bibliques annoncent qu’un jour viendra où ces rôles fusionneront ou convergeront en un seul couple. Blair et Gates n’en sont pas encore là, mais leur convergence illustre ce qui est possible.

11. Et si ce prototype devenait réalité ?

Si vous suivez l’Apocalypse, regarder Blair et Gates constitue une sorte de répétition générale. Ils fournissent de nombreux ingrédients : portée politique ; renforcement technologique ; identité, inclusion/exclusion ; contrôle narratif (via la régulation de la désinformation, etc.) ; diplomatie autour d’Israël. De nombreux chrétiens voudront surveiller publiquement et dans la prière la direction que prend ce phénomène. Non par paranoïa, mais par vigilance prophétique.

Si les bonnes mesures sont prises – les identifiants numériques deviennent obligatoires pour les activités de la vie quotidienne de base ; les avatars d’IA deviennent politiquement autoritaires ; la technologie est déterminée par les institutions mondiales ; des accords de paix en Israël avec une surveillance mondiale qui compromet les promesses prophétiques – alors le prototype pourrait donner naissance à la réalité.

Pour les lecteurs passionnés de prophétie, de politique et de discernement, la question n’est pas seulement : « Blair et Gates sont-ils l’Antéchrist et le Faux Prophète ?» (Ce n’est pas le cas, d’après toutes les preuves), mais « Ces hommes construisent-ils l’échafaudage sur lequel ce futur couple se tiendra ?» Et si oui, comment réagirons-nous avec foi, avertissement, résistance et clarté ?

Finalement, l’Apocalypse nous avertit que les ténèbres prendront des allures de lumière, l’esclavage de sécurité, la tromperie de progrès. Notre tâche n’est pas simplement de veiller, mais de discerner, de prier et, si nécessaire, de tenir bon.

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