APOCALYPSE 18


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Par Geoffrey Grider – Le 4 octobre 2020

Le travail des Nations Unies, insiste le pape, « peut être considéré comme le développement et la promotion de l’état de droit, fondé sur la prise de conscience que la justice est une condition essentielle pour atteindre l’idéal de la fraternité universelle »« Il faut éviter que cette Organisation ne soit délégitimée, car ses problèmes et ses lacunes peuvent être traités et résolus conjointement », ajoute-t-il.

Le Pape François présente ses meilleurs arguments en faveur du multilatéralisme dans une nouvelle lettre d’enseignement, appelant à plus d’autorité pour les organisations supranationales comme les Nations Unies.

Le Pape François exige que les organes supranationaux comme les Nations Unies reçoivent plus d’autorité pour contrôler le monde.

Je vais rendre hommage au Pape François pour une chose : c’est qu’il continue constamment à me donner raison lorsque je fais le lien entre le Vatican et Apocalypse 17 et 18.  Que voyons-nous lorsque nous lisons ces sections de nos Bibles ?  Nous voyons une bête à plusieurs têtes qu’une femme monte, l’église de la « sainte mère », et c’est à la fois un système de contrôle religieux et un système de contrôle politique.  Et nous voyons un homme responsable des deux. Jorge Bergoglio règne en tant que Pape François sur l’Église Catholique Romaine, et il est le roi du Saint-Siège, le gouvernement légalement reconnu du Vatican.

« Et tous les rois de la terre, qui se sont livrés avec elle à l’impudicité et au luxe, pleureront et se lamenteront à cause d’elle, quand ils verront la fumée de son embrasement.  Se tenant éloignés, dans la crainte de son tourment, ils diront : Malheur ! Malheur !   La grande ville, Babylone, la ville puissante !  En une seule heure est venu ton jugement ! »  (Apocalypse 18:9-10)

Le Pape François déteste les sociétés libres et ouvertes qui fonctionnent sur l’échange libre et équitable de biens et de services créés par le secteur privé, ce que nous appelons le capitalisme.  L’Associated Press rapporte que « le Pape François dit que la pandémie de coronavirus a prouvé que les « théories magiques » du capitalisme de marché ont échoué et que le monde a besoin d’un nouveau type de politique qui favorise le dialogue et la solidarité et rejette la guerre à tout prix. »   Oui, et le remplacer par quoi ? Socialisme ?  Communisme ?  Quel système préférerait le socialiste jésuite d’Argentine ?  Hum…

Si vous êtes dupé par ce spectacle de chiens et de poneys de la fin des temps, c’est uniquement parce que vous êtes soit sauvé et tellement rétrogradé que vous ne lisez jamais votre Bible, ou que vous n’êtes pas sauvé et que vous vous dirigez vers un enfer diabolique avec Jorge Bergoglio.  Pourquoi ne pas prendre un moment, admettre que vous êtes un pécheur et demander au Seigneur de vous sauver ? L’éternité est une période beaucoup trop longue pour la passer à brûler en enfer aux côtés de chaque pape que l’Église Catholique Romaine n’ait jamais produit.

Le Pape François appelle à donner à l’Organisation des Nations Unies de « vraies dents » pour contrôler le monde entier.

DE BREITBART NEWS : « Le vingt et unième siècle est témoin d’un affaiblissement du pouvoir des États-Nations, principalement parce que les secteurs économique et financier, étant transnationaux, tendent à l’emporter sur le politique », écrit le pape dans l’encyclique Fratelli Tutti, sorti dimanche.

« Face à cette situation, il est essentiel de concevoir des institutions internationales plus solides et mieux organisées, avec des fonctionnaires nommés équitablement par accord entre les gouvernements nationaux et habilités à imposer des sanctions », conseille le pape dans le texte de 43.000 mots.

« Lorsque nous parlons de la possibilité d’une certaine forme d’autorité mondiale réglementée par la loi, nous n’avons pas nécessairement besoin de penser à une autorité personnelle », affirme le pontife. « Pourtant, une telle autorité devrait au moins promouvoir des organisations mondiales plus efficaces, dotées du pouvoir de pourvoir au bien commun mondial, à l’élimination de la faim et de la pauvreté et à la défense sûre des droits humains fondamentaux. »

Parmi les candidats possibles à un tel rôle, le pape porte son attention sur l’Organisation des Nations Unies, avec laquelle il entretient des liens étroits.

« À cet égard, je voudrais également souligner la nécessité d’une réforme de l’Organisation des Nations Unies, ainsi que des institutions économiques et de la finance internationale, afin que le concept de famille des nations puisse prendre de véritables dents », déclare le Pape François, citant un texte de son prédécesseur, le Pape Benoît XVI.

« Il va sans dire que cela demande des limites juridiques claires pour éviter que le pouvoir ne soit coopté par quelques pays seulement et pour empêcher des impositions culturelles ou une restriction des libertés fondamentales des nations plus faibles sur la base de différences idéologiques », écrit-il.

Le travail des Nations Unies, insiste le pape, « peut être considéré comme le développement et la promotion de l’état de droit, basé sur la prise de conscience que la justice est une condition essentielle pour atteindre l’idéal de la fraternité universelle ».

« Il faut éviter que cette Organisation ne soit délégitimée, car ses problèmes et ses lacunes peuvent être traités et résolus conjointement », ajoute-t-il.

« Les soixante-quinze ans qui se sont écoulés depuis la création de l’Organisation des Nations Unies et l’expérience des vingt premières années de ce millénaire ont montré que la pleine application des normes internationales s’avère vraiment efficace et que leur non-respect est préjudiciable », déclare le Pape François.

La Charte des Nations Unies est « un point de référence obligatoire de la justice et un canal de paix », déclare-t-il, et « il ne peut donc y avoir de place pour déguiser de fausses intentions ou placer les intérêts partisans d’un pays ou d’un groupe au-dessus du commun mondial ».

Parmi les instruments normatifs de résolution pacifique des controverses, « il faut donner la préférence aux accords multilatéraux entre les états, car, plus que les accords bilatéraux, ils garantissent la promotion d’un bien commun véritablement universel et la protection des états plus faibles », déclare-t-il.

Dans le même temps, le Pape François note certaines « lacunes » de la communauté internationale, notamment « son manque de coordination dans des situations complexes, son manque d’attention aux droits humains fondamentaux et aux besoins critiques de certains groupes ».

Source: Now The End Begins 

Traduit par PLEINSFEUX

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