BIENVENU À BRUXELLES


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Par Drieu Godefridi – Le 11 décembre 2017

Le Trou Infernal

Lorsque le candidat de l’époque, Donald Trump, a noté en janvier 2016 que, grâce à l’immigration de masse, Bruxelles devenait un véritable trou infernal, les politiciens belges et européens ont présenté un front uni aux barricades : Comment oserait-il dire une telle chose ?

Bruxelles, capitale de l’Union Européenne, la quintessence même du monde post-moderne, l’avant-garde de la nouvelle « civilisation mondiale » à venir, un trou infernal ?  Bien sûr, l’assimilation des nouveaux arrivants n’est pas toujours facile, et il peut y avoir des frictions de temps en temps.  Mais, peu importe, ils ont dit : Donald Trump est un bouffon et, de toute façon, il n’a aucune chance d’être élu.  Telles étaient les pensées de ces lecteurs avides de l’édition internationale du New York Times et des observateurs réguliers de CNN International.

Cependant, Donald Trump, dans son style sans équivoque, avait tout simplement raison : Bruxelles descend rapidement dans le chaos et l’anarchie.  Exactement deux mois après ce spectaculaire Trumpisme, Bruxelles a été éviscérée par une horrible attaque terroriste islamique qui a fait 32 morts.  Et, ce n’était que la pointe de l’iceberg monstrueux qui s’est construit sur trois décennies d’immigration de masse et de folie socialiste.

Rien que dans le mois dernier, à Bruxelles, il y a eu trois manifestations distinctes d’émeutes et de pillages à grande échelle.

D’abord, il y avait la qualification de l’équipe marocaine de soccer à la Coupe du Monde : Entre 300 et 500 « jeunes » d’origine étrangère sont descendus dans les rues de Bruxelles pour « célébrer » l’événement à leur manière, en pillant des dizaines de boutiques du centre de Bruxelles, en faisant des ravages dans les avenues désertes de la « capitale de la civilisation » et, pendant leurs émeutes, en blessant 22 policiers.

Trois jours plus tard, une star des médias sociaux de la musique rap, surnommée « Vargasss 92 », qui est un citoyen français d’origine étrangère, a décidé d’organiser une autre « célébration » non autorisée au centre de Bruxelles, qui s’est rapidement transformée en une autre émeute.  Encore une fois, les magasins ont été détruits et les gens agressés pour aucune autre raison que d’être au mauvais endroit au mauvais moment.  De courts extraits de l’événement ont circulé sur les réseaux sociaux, en montrant au monde (et aux Belges) le vrai visage de Bruxelles sans le maquillage des politiciens.  Pas étonnant que l’élite politique européenne déteste les médias sociaux du plus profond de leur cœur ; Ils préfèrent la presse traditionnelle aseptisée (et, en France et en Belgique francophone, fortement subventionnée).

Enfin, le 25 novembre, les autorités socialistes en charge de la ville de Bruxelles ont eu la brillante idée d’autoriser une manifestation contre l’esclavage en Libye, ce qui s’est rapidement transformée en une autre émeute : Magasins détruits, voitures incendiées, 71 personnes arrêtées.

Cette anarchie, sans même la plus petite justification politique, est la nouvelle normalité à Bruxelles.  Les politiciens peuvent ne pas aimer ce fait, ce qui est le résultat de leur échec lamentable, mais c’est néanmoins un fait massif et inévitable.  La nouvelle Bruxelles est caractérisée par des émeutes et des pillages par des personnes d’origine étrangère, ainsi que par la présence militaire dans les rues de Bruxelles, en place depuis le 22 mars 2016, le jour où les islamistes européens ont tué 32 personnes et blessé 340 personnes dans la pire attaque terroriste de la Belgique.

On peut se demander pourquoi ces beaux soldats belges qui patrouillent dans les rues ne font rien pour arrêter les émeutiers.  Pour la simple raison que c’est en dehors de leurs attributions ; Si un soldat blessait réellement un pilleur, il serait probablement réprimandé publiquement, mis au pilori par les médias, jugé et déshonoré.

Ce serait drôle si ce n’était pas si grave.  Après les deux premières émeutes récentes, la télévision publique belge (RTBF) a organisé un débat avec des politiciens et des experts venus de Bruxelles.  Parmi les participants figurait le sénateur Alain Destexhe, du Mouvement réformiste de centre-droit (parti du Premier Ministre de la Belgique).

Alain Destexhe est une figure intéressante de la politique belge.  En Belgique francophone, il a été parmi les rares à dire publiquement que l’immigration de masse que les Belges s’imposent est insoutenable, que l’Islam n’est peut-être pas une religion si paisible et que les classes dans lesquelles 90% des enfants sont d’origine étrangère, qui ne parlent pas le français ou le néerlandais à la maison, ne sont pas une recette pour réussir.  Cela peut être considéré comme acquis dans une grande partie du monde occidental, mais, dans la partie francophone de la Belgique, fortement influencée par la vision française du monde, il était considéré comme de l’aile droite, sinon un extrémiste, un raciste et d’autres noms que la gauche prononce souvent.

Quand, au cours de ce débat, Alain Destexhe a tenté de faire comprendre qu’il existait un lien entre la non-intégration de nombreuses personnes d’origine étrangère à Bruxelles et le niveau élevé d’immigration depuis des décennies, le modérateur lui a littéralement crié que, « l’immigration n’est pas le sujet, monsieur Destexhe !  L’immigration n’est pas le sujet, Stop ! », avant de donner la parole à une poète brutale, une jeune femme qui explique que le problème est que les femmes portant le voile islamique (comme elle) ne se sentent pas les bienvenues à Bruxelles.  Le public a ensuite reçu l’ordre de l’applaudir.  Également sur le plateau, il y avait un politicien du Parti Vert qui a affirmé que « personne ne connaît l’origine des émeutiers ».  Indice : Ils étaient, de leur propre manière idiosyncratique, en train de « célébrer » la victoire du Maroc.  Un grand moment du surréalisme belge ?  Non, juste un  « débat » politique typique en Belgique francophone, sauf que normalement Alain Destexhe n’est pas invité.

La photo ne serait pas complète sans mentionner que la nuit même où la première émeute a commencé, le 11 novembre, une association appelée MRAX (Mouvement contre le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie) a publié sur sa page Facebook un appel à signaler tous les cas de « provocations policières » ou de « violences policières ».  Les résultats de l’émeute ?  22 policiers blessés, zéro arrestations.  Le MRAX n’est pas seulement un groupe de sympathisants islamistes de gauche, ils sont largement financés par les contribuables.  Les mouvements de droite sont-ils également financés par les contribuables ?  En bref : Non.  À Bruxelles, le taux de chômage est à un stupéfiant 16,9%, 90% des assistés sociaux sont d’origines étrangères et, bien que les impôts soient parmi les plus élevés du monde, les caisses publiques saignent abondamment.  Un triste aperçu d’un autre échec socialiste.

Mais, il y a de l’espoir.  Bruxelles n’est pas seulement le lieu de manifestations et d’émeutes, elle a une solide tradition entrepreneuriale, et le gouvernement fédéral belge, en particulier sa composante flamande, est extrêmement conscient des défis à relever.  Mais, rien ne va changer si les gens ne reconnaissent pas qu’à bien des égards, Bruxelles, depuis l’opulente ville conservatrice et bourgeoise d’il y a 25 ans, s’est transformée en un trou infernal.

Ironiquement, ce dont Bruxelles a manifestement besoin, c’est d’un autre Donald Trump.

Source : Prison Planet 

 Traduit par PLEINSFEUX.ORG

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