BRISER LE SILENCE CHRISTIANISME ET L’ISLAM RADICAL


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Par Amil Imani – Le 14 février 2017

Le peuple américain doit entendre continuellement la vérité sur la nature de la doctrine islamique jusqu’à ce qu’il soit pleinement conscient de sa menace pour leur mode de vie et pour la Constitution américaine.  Malheureusement, nos Églises et autres institutions religieuses n’osent pas en parler de peur d’être accusées d’intolérance envers une autre religion.  Nos universités, les professeurs et les enseignants d’universités, de gauche ou de droite, n’osent pas, parce que, très probablement, ils seraient expulsés et perdraient leur revenu.  Nos officiels et nos politiciens élus n’osent pas parce qu’ils sont pour la plupart des maîtres praticiens de l’euphémisme, de la couverture, du double discours et de la tromperie pure et simple, et ils ont besoin de vos votes ainsi que de votre argent. Beaucoup de contributeurs et d’éditeurs des médias n’osent pas parce qu’ils pourraient perdre des donateurs et être fermés.  D’innombrables entrepreneurs et hommes d’affaires n’osent pas parce qu’ils pourraient perdre des clients et une partie de leur clientèle.  Même les travailleurs ordinaires n’osent pas parce qu’ils pourraient être congédiés ou être traités de bigots et racistes.  Donc, j’ai pensé que je pourrais vous le dire !

L’Amérique est confrontée à un adversaire formidable.  Cet adversaire a un nom : L’Islam, pas l’Islam radical ou l’Islam politique, juste l’Islam.  Les musulmans ne l’appellent pas Islam radical, alors, pourquoi devrions-nous le faire ?  Je pense qu’il est temps de revoir le Premier Amendement de la Constitution des États-Unis et de voir si l’Islam est qualifié de religion.  Est-ce une proposition absurde ?  Pas du tout, des problèmes sérieux nécessitent des solutions tout aussi sérieuses.  L’appel à l’évaluation du Premier Amendement peut être considéré comme une tentative de freiner l’Islam ou d’autres sectes militantes.  La vérité est : C’est bien le cas.  C’est vraiment une question de survie pour les États-Unis et pour le monde libre.

Il est grand temps de prendre position et de changer le débat vers l’Islam orthodoxe.  Il n’est pas nécessaire d’étudier totalement toutes les autres religions de la planète afin de les comparer ou d’offrir une opinion sur leurs « bontés » relatives en déclarant que, dans l’ensemble, l’Islam perpétue la malveillance et la violence.  Laissez les autres devenir des désaccords religieux.  Mais, pour la presse et certains commentateurs qui poseraient encore une question : « OK, parfait, alors maintenant quoi ?  Vous prétendez que l’Islam est malveillant. Comment combattre cela ? »  Votre réponse est déjà claire : Par la propagation de la vérité, pas de la tromperie.  Par des sanctions et des lois sociales volontaires dans tous les pays civilisés qui interdisent les pratiques malveillantes comme la Charia, la coercition et les violences contre les femmes, les menaces contre ceux qui sont en désaccord, les crimes d’honneur, l’apostasie et les autres crimes haineux.  Laissez le monde connaître la vérité et décider par lui-même.  Laissez les musulmans, qui arrivent à un certain bon sens, en sortir.

Religion et Islam

L’Amérique, avec une longue histoire de protection des libertés religieuses, s’accroche toujours à la pratique de ne jamais toucher à toute doctrine ou pratique déclarée comme une religion.  Un problème épineux est de décider ce qui constitue une religion et qui doit l’appeler ainsi.  Le dictionnaire fournit une définition sociologiquement inutile de la religion : « L’expression de la croyance et de la vénération de l’homme pour un pouvoir surhumain reconnu comme le Créateur et le Gouverneur de l’univers ».  À peu près n’importe qui ou n’importe quel groupe sous cette définition peut commencer une religion, et ils le font effectivement, et certains le font à des coûts importants pour les autres.

Les musulmans, sous la bannière de la religion, enfreignent d’une manière flagrante les droits des autres, non seulement dans les pays islamiques, mais, aussi dans une grande partie du monde non-musulman.  Par leurs actions de barbaries dogmatiques, les musulmans éveillent lentement les démocraties non-musulmanes à la menace imminente du terrorisme islamique désireux de détruire leurs sociétés laïques libres.

De plus en plus de musulmans arrivent en Amérique, alors qu’ils se reproduisent avec une grande fertilité, alors qu’ils convertissent les désenchantés et les minorités, et alors que les pétrodollars fournissent des fonds généreux aux musulmans, les musulmans rassemblent toujours plus de pouvoir et deviennent un sérieux défi au système de gouvernance américain, la Démocratie Représentative.  Quant à la démocratie, la règle du peuple, les musulmans n’en ont aucune utilité.  Les musulmans croient que la gouvernance d’Allah doit gouverner le monde sous la forme d’un Califat.  En se moquant de la démocratie, en subvertissant son fonctionnement et en ignorant ses dispositions, c’est la manière d’un musulman de falsifier ce qu’il croit déjà être un système de gouvernance pécheur et faux, inventé par les infidèles.

Coran 5:50 – « Recherchent-ils alors la législation des Jours de l’Ignorance ?  Et, qui est mieux pour légiférer qu’Allah pour un peuple qui a la Foi. »

Coran 5:45 – « Et quiconque ne dirige pas par ce qu’Allah a révélé, ce sont les injustes. »

Coran 12:40 – « La direction est seulement pour Allah. »

Nous devons commencer à déclarer que l’Islam est maléfique, non pas d’une perspective sectaire, mais, d’une perspective humanisme et universelle.  Tout empiétement de l’Islam en tant que religion doit être rejeté, harcelé et découragé par tous les peuples de la terre.  Toute tentative de la gauche pour donner de l’aide et du réconfort à cette religion de la haine doit être dénoncée et frustrée à chaque instant.

Christianisme

Contrairement à certaines religions pacifiques comme le Baha’í, le Bouddhisme, l’Hindouisme, le Zoroastrisme et le Christianisme qui prônent universellement les principes du bien compris dans leurs propres Livres Saints, et peut-être d’autres doctrines religieuses (avec lesquelles je ne suis pas personnellement familier), l’Islam ne peut être réformé.  Un exemple, lorsque l’Église Catholique Romaine a été réformée, c’est l’église elle-même qui a été trouvée en violation avec les enseignements bibliques.  À bien des égards, elle était devenue anti-chrétienne.

La réforme a rétabli l’orthodoxie avec les concepts simples et bien compris révélés par le Christ et les disciples (une des raisons pour lesquelles il a fallu si longtemps était que l’église interdisait aux laïcs de lire la Bible ou de la traduire du langage obsolète du latin … donc, les Européens étaient largement ignorants, sauf pour ce qu’on leur disait … voir l’histoire de Martin Luther).  Certaines idées évolutives telles que l’abolition de l’esclavage n’ont pas été abordées dans la Bible (en partie parce que le Christ allait après les âmes, pas les corps), mais, les autres enseignements tels que la compassion, le pardon, la non violence et l’amour fraternel sont et ont toujours été incompatibles avec l’esclavage.  Par conséquent, ceci ne devrait pas être une surprise que finalement les chrétiens, en Europe et en Amérique, ont conduit le mouvement abolitionniste (ils étaient scripturairement corrects).  Si un chrétien bombarde une clinique d’avortement, il n’y a aucun commandement scripturaire soutenant cela.  C’est non chrétien (cependant, il n’est pas non chrétien de dénoncer l’avortement et de chercher à le rendre illégal et ainsi empêcher les avorteurs de pratiquer leur métier).

Il est triste que le contre-argument de cette définition du Christianisme soit une référence boiteuse aux violences dans l’Ancien Testament.  Les histoires de l’Ancien Testament sont enseignées dans le Christianisme comme un fait historique, pas des prescriptions basées sur l’éthique chrétienne.  Si pour un chrétien, Dieu sanctionne une action violente, c’est 100% sans rapport avec la Nouvelle Alliance qui est enseignée par Jésus.  Donc, bien sûr … oui mais, la Bible a de la violence en elle également et elle est, d’une manière insultante, banale, simpliste et trompeuse.

Si certains chrétiens ont abusé de leur doctrine et se sont cachés derrière la Croix pour justifier leur désir personnel de tuer, d’asservir et de vaincre, alors, ils sont et étaient toujours des pécheurs et ils ont tort ; Et, c’est pourquoi le Christianisme a pris la forme naturelle qu’il a aujourd’hui … comme une religion de paix et de compassion (même si beaucoup de supposés chrétiens continuent à pécher).  Cela ne veut pas dire que les chrétiens sont incapables de se défendre, ou d’intervenir pour arrêter les injustices.  Les chrétiens apprennent à haïr le péché et à aimer le pécheur … point final !  La décision de devenir agressif est toujours un fardeau pour la conscience chrétienne.

En comparaison, l’Islam ne tolère pas le révisionnisme dans ses croyances ou ses pratiques au fil du temps.  La réforme n’est donc pas en jeu, parce qu’on ne peut pas désigner les djihadistes ou les terroristes, et dire que Mohammed ne les aurait pas favorisés.  Il l’a certainement fait, et il s’est réjoui de ses mauvaises pensées.  L’Islam est une religion littérale, en prenant les écritures non attribuées comme éternelles et absolues.  En outre, il n’y a pas d’appels dans l’Islam pour la compassion, le pardon, la non-violence et l’amour fraternel.  Au lieu de cela, il y a des prescriptions spécifiques pour punir le mal par le mal, la guerre éternelle, l’hégémonie religieuse, l’esclavage, tuer des Juifs, taxer les non-croyants, lapider, promulguer la terreur, établir un système social de caste et perpétuer la discrimination contre les femmes.  La seule façon de réformer l’Islam est de rejeter la Charia, mais aussi, de purger le Coran lui-même de ses énormes Surates qui sont non seulement manifestement fausses, mais totalement répugnantes pour une humanité civilisée.  Cette ligne de pensée, pour désinfecter l’Islam est explicitement interdite dans le Coran :

Coran 2:85 : « Croyez-vous donc à certaines parties du jugement divin et reniez-vous la vérité des autres parties ?  Que pourrait donc être la récompense de ceux d’entre vous qui font de telles choses, mais, l’ignominie dans la vie de ce monde et au jour de la Résurrection ; Ils seront condamnés aux plus grandes souffrances.  Car Dieu n’est pas indifférent à ce que vous faites. »

 Islam radical

Il n’existe pas une chose telle que « l’Islam radical ».  J’ai refusé d’accepter plusieurs organisations qui cherchent à combattre ou à dénoncer les singeries de l’Islam « radical » ou « extrême », car je sais que ce n’est pas l’extrémisme qui cause la violence…  C’est l’Islam canonique traditionnel, typique, normal, traditionnel et spécifique.

Il y a ceux qui, avec un clin d’œil, comprennent cela, mais, continuent à travailler comme révisionnistes parce qu’ils ont peur de commencer une guerre religieuse, même s’ils se sentent obligés de faire quelque chose.  Ils me disent : « Vous ne pouvez pas accuser ouvertement toute une religion d’être maléfique ! »  Ma réponse : La guerre a commencé au 7ème siècle, et si, au 21ème siècle, nous refusons toujours d’accepter cette réalité, alors il n’y a peut-être plus aucun espoir pour la civilisation.  Rien de bon ne peut sortir de l’auto-déception.

Je prétends que tout système de croyances qui autorise le meurtre au nom du djihad, et la conquête et la domination du monde des infidèles par l’Umma, devrait être proscrit.  Le prophète Mohammed a brassé un culte militant, radical et impérialiste extrêmement irrationnel qui recherchait la domination du monde.  Laissez-moi vous dire une chose très claire : L’islam n’est pas plus une religion méritant notre respect ou notre reconnaissance juridique que ne l’est le cannibalisme.

Et, ceux qui adoptent une conception « libérale » de l’Islam devraient être forcés de soutenir leur nouvelle interprétation par des faits scripturaux non attribués. À moins que ces « réformistes » ne puissent dénoncer les écritures des islamistes fascistes, ils sont les vrais radicaux, c’est pourquoi nous ne les voyons jamais pointer des arguments scripturaires contre le djihad … ils ne le peuvent pas parce qu’ils mentent.  Les terroristes islamiques font exactement ce que le prophète Mohammed exigeait.  Et, ses demandes n’étaient pas des suggestions et n’étaient pas éphémères.  Elles étaient « parfaites » et éternelles.  Les terroristes islamiques sont vrais et fidèles à ce qui est écrit dans le livre du Coran.

Facilitateurs de l’Islam

Un consortium composé de politiciens pervers, de la gauche et de la droite, aveuglés par l’auto-intérêt et l’égoïsme à court terme, par l’attention et par les recherches de fonds pour les  professeurs autoproclamés de la prima donna ; et, ces bastions d’idiots utiles sont les promoteurs volontaires ou involontaires du Umma-isme.

Rappelons-nous combien de fois l’ancien président George W. Bush a louangé l’Islam ?  Rappelez-vous les affaires amoureuses du président George Bush avec le Shaikh Abdullah d’Arabie Saoudite ?

Le Président Barack Obama n’a-t-il pas parcouru la terre musulmane et n’a-t-il pas chanté les louanges de l’Islam à chaque arrêt ?  Ne s’inclinait-il pas avec une grande déférence devant le roi de l’Islam en Arabie Saoudite ?  N’a-t-il pas fièrement proclamé l’Islam comme la foi de sa proche et chère famille ?  Ne nous a-t-il pas dit, à maintes reprises, que l’Islam est bien une religion de paix ?  N’a-t-il pas, avec ses aptitudes oratoires captivantes, cité des passages du Coran pour montrer combien il était respectueux envers cette religion ?  N’a-t-il pas désigné un groupe de musulmans «dévoués » dans des postes sensibles et élevés au gouvernement ?  L’administration Obama n’a-t-elle pas retiré tout le matériel de formation utilisé pour les forces de l’ordre et les communautés de sécurité nationale, afin d’éliminer toutes les références à l’Islam que certains groupes musulmans ont déclaré offensantes ?

Voici quelques déclarations des présidents Bush et Obama :

1.         « Notre guerre n’est pas contre une religion, non contre la foi musulmane.  Mais, la nôtre est une guerre contre des individus qui détestent absolument ce que l’Amérique défend. »  GWBush

2.         « Ce sont des terroristes.  Et, nous ne sommes pas en guerre avec l’Islam. Nous sommes en guerre avec des gens qui ont perverti l’Islam. » BHObama

3.         « Notre guerre n’est pas contre l’islam, ni contre la foi pratiquée par le peuple musulman.  Notre guerre est une guerre contre le   mal. »   GWBush

4.         « Notre ennemi ne suit pas les grandes traditions de l’Islam.  Ils ont détourné une grande religion. »  GWBush

5.         « Les terroristes ne parlent pas pour plus d’un milliard de musulmans qui rejettent leur idéologie haineuse. » BHObama

6.         « Il y a des milliers de musulmans qui s’appellent fièrement américains, et ils savent ce que je sais, que la foi musulmane est    basée sur la paix, l’amour et la compassion. »  GWBush

7.         « Cette grande religion entre les mains de quelques extrémistes a été déformée pour justifier la violence ». BHObama

Conclusion

Il est grand temps pour les Américains d’exiger que les législateurs des États-Unis d’Amérique créent immédiatement un conseil de sécurité et un commissaire pour étudier et examiner les dangers de la doctrine islamique dans notre société. L’Islam aujourd’hui est dysfonctionnel, pour le moins.  En fait, l’Islam s’est égaré dès le début et a infligé beaucoup de souffrance à ses disciples et à ceux qui ont résisté à son avance.

Dans la tâche monumentale de traiter avec l’Islam, chaque individu, groupe et gouvernement doit combiner leurs ressources et énergies pour l’emporter.  Le destin du monde civilisé pèse dans l’équilibre.  Se débarrasser de cette responsabilité est une action impardonnable de tout être humain éclairé et organisation qui valorise les libertés individuelles et la dignité.

Source : http://www.newswithviews.com/Imani/amil100.htm

Traduit par PLEINSFEUX

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