COLLABORATION DE L’ALLEMAGNE


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Par Daniel Greenfield – Le 20 septembre 2018

Est-ce que l’Allemagne collabore avec les terroristes islamistes ?

Deux millions de personnes sont arrivées en Allemagne, en 2015, et 1,8 million l’année suivante, en 2016.

Jawed est arrivé en Allemagne en 2015, alors qu’Abdul était arrivé l’année suivante, en 2016.  Jawed et Abdul étaient tous deux des migrants musulmans afghans.  Tous deux ont demandé l’asile et leurs demandes d’asile ont été rejetées.

Abdul Mobin Dawodzai a récemment été condamné à huit ans de prison pour avoir poignardé à mort Mia Valentin, une jeune fille de 15 ans.  Jawed est allé à Amsterdam et a poignardé deux touristes américains à la gare centrale.

Abdul était en colère parce que Mia avait rompu avec lui.  Jawed était en colère à propos des insultes envers l’Islam et Mohammed.

Le permis de séjour allemand de Jawed lui a permis de mener une attaque terroriste à Amsterdam.  Il a mentionné Geert Wilders, le leader hollandais pionnier qui a récemment été contraint d’annuler un concours de caricatures de Mahomet en raison de violentes menaces islamiques et, ainsi, les médias ont donc choisi de mettre le blâme des attaques terroristes sur les parodies islamiques au lieu des terroristes islamiques.  Mais, Jawed fait partie d’une tendance plus large des violences en Afghanistan.

Jawed et Abdul ont tous deux mené leurs attaques à l’arme blanche en public. Les victimes, une fillette de 15 ans et des touristes américains, ont également attiré l’attention sur un type de terrorisme ordinaire qui s’est emparé de l’Europe.

En mars, Hussein Khavari, un réfugié afghan qui avait fui en Allemagne en 2015, a été envoyé en prison pour avoir violé et assassiné Maria Ladenburger, une étudiante allemande de 19 ans.  Mais, Hussein ne s’était pas enfui de l’Afghanistan ; Il s’enfuyait de la Grèce, où il avait jeté une étudiante de 20 ans du haut d’une falaise après l’avoir violée.  Les Grecs l’ont condamné à dix ans de prison, mais à la place Hussein s’est réfugié en Allemagne.

Comme Abdul, Hussein prétendait être mineur alors qu’il était dans la vingtaine. (Il n’a peut-être même pas été en Afghanistan.)

On a noté que les Afghans se distinguent par leur taux de violence, même parmi les autres migrants musulmans.

Un expert en matière de réfugiés a averti dans un article du National Interest  que « les jeunes Afghans… commettaient des crimes sexuels dans une bien plus grande mesure que les autres réfugiés ».  Parmi les incidents qu’elle a cités, il y avait « une bande de cinquante Afghans qui terrorisaient les femmes dans le voisinage de la gare de Linz », dans l’Autriche voisine.

Les gares ferroviaires sont un lieu commun pour les violences et les abus des musulmans afghans.  Un petit échantillon d’agressions sexuelles commises par des réfugiés afghans, l’année dernière en Allemagne, collectées par Soeren Kern de Gatestone, comprenait une agression sexuelle sur une femme de 19 ans dans une gare de Hambourg, deux agressions sexuelles par un Afghan sur deux  tramways à Mannheim, une agression sexuelle contre une fillette de 14 ans dans une gare de Munich, une autre agression à Munster et deux Afghans qui ont agressé sexuellement une fille de 14 ans à Gera.

(Sans parler des trois migrants afghans accusés d’avoir agressé sexuellement des enfants de 12 et 14 ans dans une piscine, et le réfugié afghan récidiviste qui a violé une fille de 13 ans.)

Angela Merkel, partisane des frontières ouvertes de l’Allemagne, a brièvement intensifié les déportations afghanes en réponse à l’indignation de la population, jusqu’à ce que l’attentat à la bombe de Kaboul, l’année dernière, ait entraîné un nouveau changement de politique.

Le camion-citerne visait l’ambassade de l’Allemagne dans la capitale afghane et a réussi à faire d’énormes dégâts, bien que les services du renseignement allemands aient reçu une alerte cinq mois auparavant de la part de quatre sources différentes.  L’ambassade de l’Allemagne avait été avertie six jours avant l’attaque et avait pu évacuer le personnel à l’avance.  Au lieu de cela, l’attentat a été exploité comme prétexte pour suspendre les déportations des Afghans d’Allemagne, à moins qu’ils ne soient des criminels ou considérés comme une menace sérieuse.

Les déportations d’Angela Merkel avaient expulsé moins de 200 Afghans du pays.  Mais l’attentat à la bombe a mis fin à cet effort minuscule.

Les milliers de combattants talibans qui, selon Le Bureau Fédéral des Migrations et des Réfugiés (BAMF), sont entrés en Allemagne et ont demandé l’asile, ne pouvaient plus être expulsés.

Au début de cette année, un tribunal allemand a condamné Abdol Moghadas, réfugié afghan, à quatre ans de prison pour son rôle dans la mort du Chrétien Jacob Chandler: Un soldat américain servant en Afghanistan.

Abdol était un des nombreux talibans allemands.

Pourquoi tant de talibans sont-ils partis pour l’Allemagne ?  Une réponse pourrait être la relation secrète entre les talibans et les services de renseignements allemands.  C’est l’Allemagne qui a été le pionnier des négociations diplomatiques avec les talibans et qui a accueilli les dirigeants talibans sur le sol allemand.

Il était certainement curieux de voir comment les autorités allemandes avaient reçu tous les avertissements possibles au sujet d’un camion piégé des talibans dont le seul impact était de protéger des milliers de talibans en Allemagne, tout en donnant aux autorités allemandes le prétexte pour arrêter les expulsions qu’elles ne voulaient pas.

La fin des déportations ne profite pas seulement aux combattants talibans, mais aux demandeurs d’asile déboutés comme Jawed et Abdul ne peuvent plus être expulsés alors que leurs demandes d’asile ont été rejetées.  L’Allemagne a fortement réduit son taux d’acceptation des demandes d’asile afghanes, tout en abandonnant son taux d’expulsion, en laissant ainsi un grand nombre de migrants afghans illégaux en Europe.

Environ six mois plus tard, Abdul a tué Mia et, un an plus tard, Jawed a frappé à Amsterdam.

« Le terrorisme n’a pas de frontières », a déclaré Angela Merkel après l’attentat.  Mais, le terrorisme a des frontières.  Ce sont les frontières nationales.

C’est l’Allemagne d’Angela Merkel qui n’a pas de frontières.  Et, l’absence de frontières de l’Union Européenne a permis à Jawed de poignarder deux touristes américains à Amsterdam.  Lorsque votre pays ou votre continent n’a pas de frontières, le terrorisme frappera profondément vos villes, sans frontières pour le ralentir ou l’arrêter.

Le terrorisme « nous vise tous », a insisté Angela Merkel.  Dans  « Manchester ou Berlin, Paris, Istanbul, Saint-Pétersbourg ou aujourd’hui à Kaboul ».

Mais, ce n’est que lorsque rien n’empêche les combattants talibans d’aller de Kaboul à Berlin, d’Istanbul à Paris ou de Tripoli à Manchester, que le terrorisme islamiste est véritablement une menace universelle.

Le terrorisme n’a pas besoin d’être partout.  Surtout le terrorisme islamique, qui n’est pas un mouvement politique indigène en Europe, au Canada, en Australie ou en Amérique, mais, qui ne peut que se propager par la migration. Sans les frontières ouvertes, l’infrastructure du terrorisme islamique, des immigrants, des migrants et des réfugiés, aux mosquées, qui génèrent de nouveaux convertis, le terrorisme islamique serait un problème à Kaboul et non à Berlin.

L’insistance d’Angela Merkel à relier l’attentat de Kaboul au terrorisme en Europe était inversée.  La suspension des déportations a coûté la vie à d’innombrables personnes, parmi lesquelles probablement Mia, et a probablement provoqué l’accrochage de deux Américains à Amsterdam par un réfugié voyageant avec un permis de résidence en Allemagne et avec de la haine dans son cœur.  Le flux de migrants musulmans d’Afghanistan, d’Irak, de Syrie et du Pakistan a semé la terreur en Europe.

Quand il n’y a pas de frontières, quand les déportations sont une affaire sans force, quand les droits des migrants importent plus que ceux de la population autochtone, alors le terrorisme islamique n’a vraiment pas de frontières.

Les coups de couteau d’Amsterdam étaient un exemple typique du terrorisme sans frontière d’Angela Merkel.

Les frontières ouvertes de l’Allemagne ont attiré Jawed, Abdul, Hussein, Abdol et tant d’autres demandeurs d’asile.  Et puis, les frontières intérieures de l’Union Européenne ont permis à Jawed de frapper les touristes américains dans un autre pays européen.  C’est ce qui arrive aux gens ordinaires quand le terrorisme n’a pas de frontières.

Le terrorisme peut avoir des frontières.  Il suffit de protéger ces frontières pour sauver des vies.

Source : Breaking Israël News 

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

 

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