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Le 24 mais 2017
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Le mariage était arrangé et approuvé par les parents, en particulier par le père.
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Le fiancé devait se présenter au domicile de sa future fiancée avec trois choses : une forte somme d’argent, un projet de contrat de mariage, et une outre de vin.
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Un prix était fixé pour «l’acquisition» de la mariée. Ce prix devait être payé par le fiancé.
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La fiancée devait donner son consentement.
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Dès que l’accord était conclu, on versait du vin dans une coupe, pour sceller l’alliance. Les fiançailles étaient alors conclues. Les fiancés étaient légalement liés en tant que mari et femme, mais sans pouvoir encore cohabiter.
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Un document écrit était alors établi, le ketubah, qui fixait le «prix» de la fiancée, les promesses faites par le fiancé, et les droits de la fiancée.
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Le fiancé donnait ensuite des cadeaux à sa fiancée.
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La fiancée devait passer par un bain rituel, ou «mikveh» symbolisant l’abandon de son ancienne vie et son passage à une vie nouvelle.
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Le fiancé retournait dans la maison de son père, pour préparer une place à sa fiancée. Cette place était appelée la «chambre.»
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La fiancée se préparait de son côté à sa future vie d’épouse et de mère, et au retour de son fiancé.
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Seul le père du fiancé pouvait fixer la date de ce retour, car il fallait qu’il soit entièrement satisfait des préparatifs faits par son fils pour sa fiancée.
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Le retour du fiancé se faisait en général la nuit, au son du shofar. Il emmenait sa fiancée dans sa «chambre» où leur union était consommée. Puis une grande fête de sept jours réjouissait tous les invités.
Il est facile de voir tous les merveilleux symboles qui se retrouvent dans les relations de Christ et de Son Épouse !
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