DES PREUVES QUE’HITLER S’EST ÉCHAPPÉ DE L’ALLEMAGNE


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Des dossiers du FBI, du renseignement des États-Unis, récemment déclassifiés soulèvent des questions surprenantes.

– Le 1 mai 2014

WASHINGTON – Tout le monde sait qu’Adolf Hitler s’est suicidé par balle dans son bunker souterrain, le 30 avril 1945.

Au moins, c’était l’histoire conventionnelle.

Et voici qu’arrive le nouveau livre de Jerome R. Corsi, journaliste supérieur de « World Net Ddaily », intitulé, « La Chasse à Hitler : Nouvelle preuve scientifique qu’Hitler s’est échappé de l’Allemagne. »

En examinant les dossiers déclassifiés du FBI et du renseignement militaire des États-Unis, Jerome Corsi déclare de façon convaincante ce que les enquêteurs américains ont soupçonné depuis le début, Hitler s’est échappé. À des fins politiques, les éléments de preuve indiquent qu’ils étaient prêts à aller de pair avec la couverture de l’histoire que, dans les derniers jours de la seconde guerre mondiale, Hitler a épousé sa maîtresse, Eva Braun, et les deux se sont enlevés la vie dans un rituel commun de suicide, juste avant que l’armée soviétique n’entre à Berlin.

Mais, la vérité, c’est que personne n’a réellement vu Adolph Hitler se suicider. Il n’y a aucune photographie documentant un suicide commun d’Adolph Hitler et d’Eva Braun, et les deux corps n’ont jamais été récupérés ou conservés pour une identification claire.

En 2009, Corsi soulignait que Nicholas Bellatoni, l’archéologue du Connecticut, avait reçu l’autorisation de la part des Archives de la Fédération de Russie, à Moscou, d’examiner des fragments de crâne que les Russes avaient affirmé être la preuve qu’Adolph Hitler s’était suicidé, ce durant des décennies.

Les surprenantes trouvailles de Bellatoni ont incité Jerome Corsi à poursuivre l’enquête.

« Ce qui m’a fait mettre en doute le suicide d’Adolph Hitler était l’analyse d’ADN de Bellatoni, qui a prouvé de façon concluante que les fragments de crâne n’appartenaient pas à Adolph Hitler, mais à une femme de 40 ans sans liens avec Eva Braun» a déclaré Corsi.

Dans « La chasse à Hitler » Corsi décrit qu’Adolph Hitler a fait son chemin vers l’Argentine avec l’aide d’agents du renseignement des États-Unis, qui avaient travaillé secrètement avec les Nazis depuis 1943. Allen Dulles, à l’époque agent du Bureau des Services Stratégiques, ancêtre de la CIA, communiquait secrètement avec les principaux officiels Nazis depuis son bureau à Berne, en Suisse, a déclaré Jerome Corsi.

Jerome Corsi met en lumière de nombreuses questions troublantes, dont notamment :

1)    Pourquoi les américains n’ont-ils pas pu obtenir de preuves matérielles des restes d’Adolph Hitler, après que les Russes eurent pris la fuite avec son corps ?

2)    Pourquoi tant Staline que Eisenhower doutaient-ils de la disparition d’Hitler ?

3)    Pourquoi personne dans le bunker d’Adolph Hitler n’a-t-il pas entendu le moindre coup de feu tiré ?

4)    Des agents de renseignements des États-Unis en Europe, y compris le Bureau des Services Stratégiques et Allen Dulles (qui a par après diriger la CIA sous le Président Eisenhower), ont-ils aidé à l’évasion d’Adolph Hitler, comme ils l’ont fait pour tant d’autres nazis ?

5)    Les médias Argentins ont rapporté l’arrivée d’Adolph Hitler dans le pays et ont continué à signaler sa présence. Pourquoi ces trouvailles ne se sont-elles pas arrivées aux États-Unis ?

Jerome Corsi s’appuie sur des rapports d’autopsie, des transcriptions d’interrogatoires, des documents provenant des archives soviétiques, des rapports de la CIA, des recherches approfondies dans les Archives nationales et des dossiers de l’administration à Washington, et à « College Park », au Maryland, et d’autres pour appuyer son enquête.

Les services du renseignement des États-Unis ont-ils aidé Adolph Hitler à s’enfuir ?

Ses preuves sont étonnamment abondantes et ses arguments clairs ajoutent foi à une nouvelle théorie qui détruit le récit du double-suicide.

« L’histoire du suicide d’Adolph Hitler et d’Eva Braun était une couverture de l’histoire conçue par les agents du renseignement américain, à la fin de la seconde guerre mondiale, afin de faciliter la fuite de, non seulement Adolph Hitler et d’Eva Braun, mais aussi des principaux criminels de guerre nazis, tels que Adolf Eichmann, qui a été découvert dans la clandestinité en 1960, en Argentine » a soutenu Corsi.

Il présente des preuves documentées que durant la guerre, la mission d’Allen Dulles, en Suisse, consistait à aider Martin Bormann, Secrétaire personnel d’Adolph Hitler, à faire sortir des milliards de dollars de gains financiers acquis injustement par les nazis hors de l’Allemagne et de les investir dans les marchés boursiers américains et argentins, afin de fournir un coussin financier pour survivre dans la clandestinité, après la guerre.

Jerome Corsi a découvert dans les Archives nationales du « College Park » une coupure dans un journal militaire américain, « The Stars et Stripes », publié le 8 octobre 1945, qui rapportait une déclaration choquante faite par le général Dwight D. Eisenhower, Commandant suprême des forces alliées de l’époque.

Le court article déclare : « Il y a de bonnes raisons de croire » qu’Adolph  Hitler peut encore être en vie, selon une remarque faite par le général Eisenhower à des journalistes néerlandais. La déclaration du général contredisait sa précédente opinion qu’Adolph Hitler était mort.»

Jerome Corsi demande pourquoi la déclaration de Dwight D. Eisenhower a été en grande partie exclue des journaux américains et des livres d’histoire, même encore aujourd’hui.

Adolph Hitler était-il sur le U-530 ?

En suivant la route de fuite d’Adolph Hitler, Jerome Corsi a trouvé dans les documents de preuves des archives nationales qu’Adolph Hitler est arrivé en Argentine dans un sous-marin allemand, le U-530 qui a mystérieusement fait surface à l’extérieur du port de Mar del Plata, sous le commandement d’Otto Wermuth et de son officier exécutif, Karl Felix Schuller, après avoir passé des semaines à faire des débarquements suspects de passagers le long de la rive de l’Atlantique de l’Argentine.

Jerome Corsi a trouvé un rapport du renseignement navale américain, bien caché dans les archives nationales, écrit 18 juillet 1945, par l’attaché naval à Buenos Aires, qui a avisé Washington qu’il y avait des raisons de croire que le U-530 avaient débarqué Adolf Hitler et Eva Braun dans le sud de l’Argentine, avant de faire voyager le sous-marin pour se rendre à Mar del Plata.

Jerome Corsi avait des rapports de journaux traduits concernant le fait qu’Adolph Hitler et Eva Braun avaient été accueillis par de riches sympathisants nazis parmi l’importante communauté allemande d’Argentine. Les Allemands y avaient construit un manoir bien caché dans les forêts denses de la montagne de Bariloche, pour fournir au führer nazi tout le confort et la sécurité pour ses vieux jours.

Jerome Corsi écrit qu’en 1943, l’architecte Alejandro Bustillo, à la demande des partisans allemands d’Hitler vivant à l’époque en Argentine, ont conçu et construit une résidence de villégiature élaborée pour Adolph Hitler et Eva Braun, la Residencia Inalco, située dans la région éloignée de San Carlos de Bariloce Villa La Angostura, en bordure du lac Nahuel Haupi, en dehors de la ville de Bariloche, dans la province de Río Negro, en Argentine.

Dans le sud de l’Argentine, dans les Andes près du Chili, il écrit que « les alentours et la résidence d’Hitler ont été sélectionnés et conçus pour avoir un sentiment semblable de la retraite d’Obersalzberg d’Adolph Hitler, situer au-dessus de la ville de Berchtesgaden, dans les Alpes bavaroises. Hitler a emménagé dans la résidence en juin 1947. »

Source : Wnd.com

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

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