FUTURS TERRORISTES MUSULMANS


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Par Daniel Greenfield – Le 2 février 2017

Il y a 3 questions pour garder les futurs terroristes musulmans hors de l’Amérique.

Le formulaire de demande de visa pour non-immigrants rempli par les pirates de l’air du 11 septembre 2001, demandait : « Êtes-vous un membre ou un représentant d’une organisation terroriste ? »  Ils ont coché « Non » et ils ont pu entrer.

L’incarnation actuelle du formulaire pose la même question superficielle et générique.  Un terroriste réel est tout aussi susceptible de vérifier la boîte en même temps qu’il égraine un rosaire, tout en mangeant un sandwich au jambon et en chantant Hava Nagila.  Mais, depuis le 11 septembre, la menace terroriste a évolué de cellules étrangères pénétrant dans ce pays jusqu’aux terroristes islamistes domestiques émergeant des colonies musulmanes qui occupent déjà ce pays.

La plupart des terroristes islamiques avec lesquels le FBI a été confronté n’avaient aucun plan terroriste spécifique au moment où ils sont entrés dans ce pays.  Certains terroristes islamiques, comme les Tsarnaev, auteurs des attaques au Marathon de Boston, sont arrivés ici comme des enfants.  D’autres, comme Omar Mateen, le tireur de Pulse, et Nidal Hasan, le tueur de Fort Hood, ont réussi à naître dans ce pays de parents étrangers.

Le dépistage de l’immigration doit faire plus que simplement demander aux terroristes de cocher une case pour savoir s’ils ont l’intention de faire écraser des avions dans nos gratte-ciel.  Nous devons identifier les visiteurs et les immigrants qui risquent fort de devenir des terroristes de la première ou de la deuxième génération.  La seule façon de le faire est d’adopter une stratégie holistique qui examine la vision du monde des nouveaux immigrants et des communautés islamiques dont ils comptent faire partie.

Au lieu de cocher une simple case superficielle, il est important d’interroger comment un demandeur musulman considère sa religion et son interaction avec le reste du monde.  Et, il faut examiner la mosquée qu’il prévoit fréquenter.

Parmi les participants à l’infâme mosquée Dar Al-Hijrah de Falls Church, en Virginie, incluait Nidal Hasan ; Son ancien Imam, le dirigeant d’Al-Qaïda Anwar Al-Awlaki, et un certain nombre de personnalités reliées au terrorisme islamique.  Tous les immigrants musulmans qui envisagent de fréquenter la mosquée pourraient être considérés comme étant à risque élevé de s’engager dans le terrorisme, indépendamment de leurs points de vue déclarés.  Nos méthodes actuelles de dépistage sont ridiculement brutes.

Le formulaire de demande de visa pour les immigrants demande au sujet de  l’engagement et du financement du terrorisme.  Il ne précise toutefois pas ce qu’est un groupe terroriste.  Les musulmans définissent le terrorisme différemment et ne considèrent pas qu’un grand nombre des groupes terroristes islamiques figurant sur la liste des organisations terroristes étrangères du Département d’État soient des terroristes.

Il demande au sujet d’être membre du « parti communiste ou de tout autre parti totalitaire » et de la participation à diverses organisations terroristes et de militants colombiens.  En dépit des milliers de personnes tuées par les terroristes islamiques dans ce pays au cours des dernières décennies, le dépistage ne demande rien sur certains groupes islamistes.

Cela devrait changer

En dépit de toutes les assurances concernant la vérification, les formulaires ne se posent même pas la question à ceux qui sont membres d’Al-Qaïda, de l’ISIS, du Hamas ou de leur organisation-mère, les Frères Musulmans.  Les Frères Musulmans sont au terrorisme islamique ce que le Parti Communiste a été pour des groupes subversifs et terroristes pendant la guerre froide.

Les Frères Musulmans sont une organisation totalitaire.  Sa devise est : « Allah est notre objectif ; Le Prophète est notre chef ; Le Coran est notre loi ; Le Djihad est notre voie ; Mourir dans le chemin d’Allah est notre plus grand espoir ».  Ce credo reflète les objectifs d’un État Islamique théocratique qu’ils doivent atteindre par tous les moyens : Y compris la violence.  Ses membres ont perpétré et aidé le terrorisme islamique ici et partout dans le monde.  Parmi ceux-ci figurent Osama ben Laden, Yasser Arafat et la Fraternité responsable du génocide au Soudan.

Tout immigrant musulman ayant des liens avec la Fraternité a faussement répondu à la question et doit être expulsé.  S’il a faussement répondu à cette question sur sa demande de naturalisation, il doit être dénaturé et déporté.  Tout musulman qui a par la suite été impliqué dans des groupes de front de la Fraternité Musulmane, comme le CAIR, l’ISNA, le MSA et d’innombrables autres, devrait faire l’objet de recherches pour des liens préexistants avec le réseau terroriste et empêché de devenir un citoyen de ce pays.

Les communautés où les immigrants musulmans proposent de s’installer devraient être testées pour leur niveau d’extrémisme, tel que défini par la prépondérance des institutions de la Fraternité Musulmane.  Les immigrés musulmans qui recherchent des communautés sous l’influence des institutions de la Fraternité devraient être considérés comme étant plus à risque de se livrer au terrorisme, dans la première ou la deuxième génération, sans tenir compte de leurs opinions actuelles.

Notre but n’est pas seulement d’arrêter les complots terroristes maintenant. Notre objectif doit être d’arrêter le terrorisme dans dix ans.

Notre contre-terrorisme est réactif plutôt que proactif.  Le contre-terrorisme réactif est mesuré par le temps que nous prenons pour réagir.  Quand un terroriste ouvre le feu dans un centre commercial, le temps de réaction est mesuré en minutes ou en secondes.  Sa descente initiale dans les complots du terrorisme islamique peut durer des mois ou des années.  Mais, plus nous nous rapprochons de la source du problème, plus le délai est long, jusqu’à ce que nous ne soyons plus réactifs, mais proactifs.  Au lieu de se précipiter pour arrêter la prochaine attaque, nous pouvons transformer tout le champ de bataille.

Ceci doit être notre objectif

Le plus gros problème est que nous ne nous posons pas les bonnes questions. Demander à un musulman s’il est un terroriste est la mauvaise question.  Les terroristes islamiques ne se considèrent pas comme des terroristes.  Ils se considèrent comme des musulmans dévots.  Voilà comment nous devons les voir si nous devons les découvrir et les arrêter avant qu’ils ne frappent.

La cause fondamentale du terrorisme islamique est l’idée que les musulmans sont supérieurs et les non-musulmans sont inférieurs.  Révéler cette conviction ne sera pas fait en faisant cocher une case à un terroriste.  Beaucoup de musulmans qui continuent à commettre des actions terroristes au nom de la suprématie islamique n’ont pas de tels plans lorsqu’ils entrent dans le pays.  Ils croient cependant qu’il existe une lutte primordiale entre les musulmans et les non-musulmans.  C’est cette croyance qu’ils finiront par mettre en pratique à une date ultérieure en s’engageant réellement dans la violence islamiste.

Au lieu de leur demander s’ils sont des terroristes, nous devrions leur demander comment ils perçoivent leur participation à la vie américaine à la lumière du verset coranique qui commande aux musulmans : « O vous qui croyez, ne prenez pas les Juifs et les Chrétiens comme amis ».  Et, s’ils sont prêts à désavouer le message de tels versets terroristes du Coran comme, « Ne prenez pas des amis parmi eux, à moins qu’ils migrent dans le Chemin d’Allah.  Mais s’ils se détournent de l’Islam, saisissez-les et tuez-les où que vous les trouviez. »

S’ils ne sont pas disposés à désavouer les appels pour le meurtre de non-musulmans, tels que, « Je vais jeter la terreur dans le cœur des non-croyants. Par conséquent, coupez-leur la tête », ils représentent alors un risque grave de terrorisme.

Peut-on vraiment permettre aux immigrants musulmans aux États-Unis qui croient qu’ils devraient « combattre jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de Fitnah (incrédulité : adorer d’autres personnages en dehors d’Allah) et la religion sera toute pour Allah ? »  Quel meilleure façon de prédire les risques de terrorisme pourrait-il y avoir que ceux qui croient qu’ils doivent « tuer les non-croyants là où vous les trouvez, les capturer et les assiéger, puis, les attendre ? »  C’est l’origine du terrorisme islamique.  C’est le test acide pour chaque immigrant musulman.

Tout se résume à trois questions simples.

1. Avez-vous déjà eu des associations avec les Frères Musulmans ou avec un de ses groupes de premier plan ?

2. Allez-vous vous engager à éviter les associations avec les mosquées de la Fraternité et d’autres entités dans ce pays ?  Savez-vous que vous pouvez être expulsé si vous ne le faites pas ?

3. Désavouez-vous les versets suivants du Coran demandant la violence contre les non-musulmans ?

Ces questions simples sont beaucoup plus pertinentes qu’une case à cocher par le  terroriste car elles abordent ce que les terroristes croient réellement, et non pas ce que nous croyons à leur sujet.  Elles n’arrêteront pas un terroriste actif, mais, le leur demander aidera à empêcher les terroristes de demain.

Elles ne sont pas la dernière étape.  Mais, elles sont une première étape de ce qui pourrait facilement être pris prochainement.

Source : Breaking Israël News

Traduit par PLEINSFEUX

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