Par le Dr Rudolf Hänsel
Article important et d’actualité, publié pour la première fois le 10 avril 2020. Le regretté Henry Kissinger a joué un rôle clé dans la formulation du « Programme de dépopulation ».
- « L’Internationale » est le chant de bataille de renommée mondiale du mouvement ouvrier socialiste. La version anglaise du texte français original se lit comme suit :
- « Réveillez-vous, damnés de cette terre, qui êtes encore contraints de mourir de faim ! (…) Armée d’esclaves, réveillez-vous ! (…) Peuples, écoutez les signaux ! À la bataille finale ! Il n’existe aucun être suprême, aucun Dieu, aucun empereur ou tribun pour nous sauver. Nous sortir de notre misère, c’est quelque chose que nous ne pouvons faire que nous-mêmes.
Cet appel a été lancé au mouvement ouvrier international après la violente répression de la Commune de Paris en mai 1871. Il n’a pas été adressé à « l’élite » dirigeante des exploiteurs et des oppresseurs.
Or, c’est précisément cette soi-disant élite qui semble aujourd’hui se lancer dans la dernière bataille, dans la mesure où elle cherche à réduire la population (dépopulation) au moyen d’une « vaccination protectrice de masse » obligatoire. La composition pathogène, voire mortelle, de ce vaccin, qui contiendra également des Nano-puces pour contrôler l’humanité, a certainement déjà été mixée dans les laboratoires secrets du monde entier.
Même l’euthanasie active de concitoyens âgés et malades au moyen de somnifères puissants et d’opiacés a déjà mis ces sombres figures sur le chemin.
De même, une redistribution mondiale de la richesse générale du bas vers le haut, des pauvres vers les super riches. Devrions-nous, citoyens de ce monde, nous souvenir de ces plans de la cabale, ne pas nous rappeler à qui l’appel à la bataille finale a été réellement lancé ?
Deux de ces « citoyens du monde » impliqués dans des projets aussi sinistres sont l’ancien secrétaire d’État américain et prix Nobel de la paix Henry Kissinger et le riche entrepreneur et mécène américain Bill Gates.
Il y a plus de 50 ans, Kissinger était secrétaire d’État, chef du Conseil de sécurité nationale des États-Unis et auteur d’un important document de politique étrangère américaine :
«Selon le mémorandum [de Kissinger], le dépeuplement devrait être « la plus haute priorité de la politique étrangère américaine à l’égard du tiers monde » (…) parce que « l’économie américaine a besoin de quantités importantes et croissantes de matières premières en provenance de l’étranger, en particulier des pays les moins développés ». pays » (Eggert, W. (2003).
Dans un article d’opinion pour le « Wall Street Journal », Kissinger a appelé à
- « une première étape pour développer « de nouvelles techniques et technologies de contrôle des infections et des vaccins appropriés pour de larges populations ». (…) Dans un deuxième temps, l’accent devrait désormais être mis sur « la guérison des blessures de l’économie mondiale ». (cité dans RT Deutsch)
Les citoyens du monde devraient donc – qu’ils le veuillent ou non – se faire vacciner et il faudrait en outre vérifier s’ils ont respecté cette obligation vaccinale.
Dans RT (article Deutsch que nous venons de mentionner), Kissinger, lauréat du prix Nobel de la paix, est également qualifié de criminel de guerre car, en tant qu’architecte de l’agression américaine contre le Vietnam et d’autres opérations secrètes de la CIA, il est responsable de la mort de millions de personnes. Personnes.
Vaccination
Kissinger et la Fondation Bill et Melinda Gates semblent être d’accord sur la question de la « vaccination de protection de masse ». Le 31 mars 2020, le « Washington Post » a publié un article d’opinion de Gates dans lequel il décrit sa vision de vacciner les gens dans le monde entier :
« Pour mettre fin à la maladie, nous aurons besoin d’un vaccin sûr et efficace. Si nous faisons tout correctement, nous pourrions en avoir un en moins de 18 mois – ce qui constitue à peu près le développement le plus rapide jamais réalisé pour un vaccin.
Mais créer un vaccin ne représente que la moitié de la bataille. Pour protéger les Américains et les populations du monde entier, nous devrons fabriquer des milliards de doses. (Sans vaccin, les pays en développement courent un risque encore plus grand que les pays riches, car il leur est encore plus difficile de respecter la distanciation physique et de procéder à des fermetures.)
Nous pouvons commencer dès maintenant par construire les installations où ces vaccins seront fabriqués. Étant donné que bon nombre des meilleurs candidats sont fabriqués à l’aide d’équipements uniques, nous devrons construire des installations pour chacun d’entre eux, sachant que certaines ne seront pas utilisées. Les entreprises privées ne peuvent pas prendre ce genre de risque, mais le gouvernement fédéral le peut. C’est un bon signe que l’administration ait conclu des accords cette semaine avec au moins deux entreprises pour se préparer à la fabrication de vaccins. J’espère que d’autres offres suivront.
En 2015, j’ai exhorté les dirigeants du monde entier, lors d’une conférence TED, à se préparer à une pandémie de la même manière qu’ils se préparent à la guerre : en effectuant des simulations pour trouver les failles du système.Comme nous l’avons vu cette année, nous avons un long chemin à parcourir. Mais je reste convaincu que si nous prenons dès maintenant les bonnes décisions, éclairées par la science, les données et l’expérience des professionnels de la santé, nous pouvons sauver des vies et remettre le pays au travail.
Le programme de vaccination est-il lié à l’objectif de réduction de la population mondiale ?
Dans ce contexte, rappelons la devise de Kant des Lumières « Sapere aude ! » :
« Ayez le courage d’utiliser votre propre intellect ! »
Traduit par PLEINSFEUX