IMMIGRATION D’HILLARY


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Le plan « dangereux » d’Hillary Clinton pour l’immigration est pareil à celui de Barack Obama.

Par Jim Kouri – Le 2 août 2016

Le syndicat national des agents de la patrouille frontalière des États-Unis, après avoir été marginalisé pendant plus de 7 ans par le président Barack Obama, est maintenant menotté d’une manière similaire par le plan de l’espoir présidentiel, Hillary Clinton, pour garder ouvertes les frontières de l’Amérique et accorder l’amnistie aux immigrants illégaux vivant déjà aux États-Unis.

« Hillary Clinton et Barack Obama sont d’accord qu’il faut apaiser les extrémistes radicaux dans la plus lointaine frange de leur parti », a déclaré le Conseil National de la Patrouille Frontalière dans un communiqué publié sur son site, jeudi, quelques heures seulement avant qu’Hillary Clinton accepte officiellement la nomination présidentielle du parti démocrate à la convention de Philadelphie.

Sur le même sujet, le membre du Congrès Bob Goodlatte, Républicain de la Virginie et président de la Commission Judiciaire de la Chambre des États-Unis, a publié une déclaration cette semaine, au milieu de la Convention nationale démocrate à Philadelphie, critiquant la dernière sur-extension des pouvoirs exécutifs par l’administration de Barack Obama, qui seront certainement honorés et élargis par une Maison Blanche avec Hillary Clinton.

La déclaration attaque le président Barack Obama pour avoir étendu sa politique permettant à certains étrangers, y compris ceux qui ont reçu sa propre sorte d’amnistie exécutive, d’amener leurs parents vivant au Honduras, au Guatemala, ou au El Salvador pour vivre aux États-Unis.

« Encore une fois, l’administration Obama a décidé de souffler grande ouverte ce qui lui restait de discrétion afin de récompenser les personnes qui n’ont aucune présence légale aux États-Unis avec la possibilité d’apporter des membres de leurs familles aux États-Unis.  La présente expansion de la politique de l’administration de Barack Obama est tout simplement une suite de la flambée aux frontières sanctionnée par le gouvernement [qui a amené des milliers d’enfants, d’adolescents et de jeunes adultes aux États-Unis], » a dit le Représentant Goodlatte.

Selon le membre du Congrès, des dizaines de milliers d’immigrants illégaux continuent à se déverser à la frontière du sud-ouest des États-Unis et bénéficient de l’application laxiste de la loi de l’immigration de Barack Obama.  Cette dernière vague crée une autre catégorie d’immigrants qui peuvent tout simplement utiliser ce programme du gouvernement de Barack Obama pour entrer et séjourner aux États-Unis aux frais des contribuables.

« En permettant aux immigrés illégaux de bénéficier de ce programme, l’administration de Barack Obama porte atteinte à l’intégrité de notre système d’immigration et à la Primauté du Droit, et rend injuste le système pour ceux qui cherchent à venir aux États-Unis légalement.  Plutôt que de prendre les mesures nécessaires pour mettre fin à la crise actuelle à la frontière, l’administration de Barack Obama la perpétue en abusant d’un outil juridique destiné à être utilisé avec parcimonie pour amener des gens aux États-Unis et, au lieu, il l’applique aux masses de l’Amérique Centrale », a déclaré Goodlatte.

Le Département d’État et les Services de la Citoyenneté et de l’Immigration des États-Unis (USCIS), mardi, avaient annoncé une expansion d’un programme qui permet à certains étrangers, les résidents permanents légaux et ceux ayant le statut temporaire protégé, en liberté conditionnelle, la suspension d’expulsion, d’actions différées, et expulsion forcée différée, de demander que les parents au Honduras, au Guatemala, ou au El Salvador puissent venir aux États-Unis.

Le programme permet actuellement à ces étrangers de demander que leurs enfants non mariés, âgés de moins de 21 ans, et leurs épouses actuelles (si elles vivent avec l’enfant) d’être considérés par le processus de réfugié dans le pays. Le programme est maintenant étendu à leurs enfants de plus de 21 ans ; Leurs parents ; Et les aidants naturels de leurs enfants mineurs qui sont reliés à eux, comme les grands-parents, les oncles et les tantes, selon la déclaration.

Si ces parents ne répondent pas aux exigences du statut de réfugié selon la loi, ils peuvent alors être considérés à l’entrée sur parole aux États-Unis, un outil qui est, même selon l’Administration elle-même, destiné à être utilisé avec parcimonie sur une base de cas par cas.

Le président Barack Obama s’est vanté que son administration avait expulsé plus d’étrangers illégaux que toute autre administration précédente, mais, sa revendication a rencontré une abondance de protestations par les agents de la Patrouille Frontalière et des agents de l’Immigration et des Douanes qui se plaignent que cette administration est en train de « brûler les livres ».  Une méthode consiste à compter les étrangers en situation irrégulière qui sont pris en tentant d’entrer aux États-Unis, et qui sont rapidement retournés, comme des déportations, même si c’est la même personne qui tente d’entrer illégalement à plusieurs reprises.  Chaque tentative est enregistrée comme une déportation, selon les agents.

Source : News With Views

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

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