LA CBC, FINANCÉE PAR LE GOUVERNEMENT, UTILISE L’ARGENT DES CONTRIBUABLES POUR PROMOUVOIR LES « DRAG KIDS » SEXUALISES

Drag

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Par Jonathon VAN MAREN  –  le 24 avril 2023

Au cours des derniers jours, les Canadiens conservateurs ont eu l’agréable expérience de regarder CBC, le radiodiffuseur d’État du Canada, lancer une longue crise de colère face à la décision d’Elon Musk de les étiqueter avec précision sur Twitter comme “médias financés par le gouvernement”. 

La SRC a insisté de façon ridicule

sur le fait qu’elle est impartiale et qu’elle reçoit « moins de 70 % » de son argent du gouvernement. Musk a modifié l’étiquette en “69% de médias financés par le gouvernement”.

Les discours moralisateurs de la CBC sur l’importance de leur travail ont attiré une attention bienvenue sur ce en quoi consiste en fait ce travail. Depuis plusieurs années maintenant, la CBC s’est concentrée sur la promotion des spectacles de dragsters pour les enfants, en diffusant des entrevues mettant en vedette des drag queens s’expliquant aux enfants, des émissions « CBC Kids » sur les dragsters et des dizaines d’articles insistant sur le fait que les parents canadiens qui s’opposent aux spectacles de dragsters car les enfants sont des fanatiques déraisonnables.

Pire encore, la CBC a récemment relancé son ignoble documentaire Drag Kids de 2019, qui est diffusé sur CBC Gem. Voici comment le radiodiffuseur public fait la promotion du documentaire (financé par les contribuables) :

Stephan, Nemis, Bracken et Jason sont des enfants très différents vivant dans des régions très différentes du monde, mais ils sont unis par un profond amour du drag.

Fiery Stephan (alias Laddy Gaga), 9 ans, vit avec sa famille d’expatriés britanniques dans le sud de l’Espagne, où ses performances explosives ne peuvent être contenues par leur villa, il a donc commencé à se produire dans des restaurants touristiques.

Timide Jason (alias Suzan Bee Anthony), 11 ans, vit dans la ceinture biblique américaine où sa famille choisie a formé un cercle protecteur autour de lui qui a permis à son impertinent alter ego de s’épanouir.

Precocious Bracken, 11 ans, vit à Vancouver, où elle se bat pour être acceptée en tant que « hyper reine » (une interprète féminine de drag) et pour avoir des opportunités de se connecter dans le monde des spectacles de dragsters de plus de 19 ans.

L’enfant star Nemis (alias Queen Lactatia), 9 ans, vit à Montréal et, avec l’aide de son “momager”, il adore repousser les limites, de la vente de ses produits dans un magasin fétichiste local au jugement d’un bal vogue dans un bar du centre-ville.

  • Relisez cela un instant – un enfant de 9 ans qui, avec “l’aide de son momager”, joue le rôle de drag queen dans les bars de Montréal et vend sa “merch” dans un magasin de fétichisme local. Le “fétiche”, pour ceux d’entre vous qui ne le savent peut-être pas, est défini comme “une forme de désir sexuel dans lequel la gratification est fortement liée à un objet ou à une activité particulière ou à une partie du corps autre que les organes sexuels”. En d’autres termes, un enfant de 9 ans qui a été clairement initié à la drague par des adultes et qui est maintenant encouragé à faire de la drague par des adultes vend des marchandises dans un sex-shop local.

En résumé : Le radiodiffuseur public canadien, qui a reçu chaque année 1,2 milliard de dollars de l’argent durement gagné par les contribuables, utilise cet argent pour promouvoir la sexualisation des enfants tout en prétendant que ceux qui dénoncent cette sexualisation sont des bigots – bigots qui, soit dit en passant, sont à la charge de ce matériel. 

Malgré cela, la CBC rapporte effrontément que leur documentaire sur les “drag kids” met en scène un enfant de 9 ans qui se livre à des performances sexualisées pour adultes et vend des trucs dans un sex-shop où les adultes achètent des marchandises avec… d’autres… matériaux fétichistes.

C’est au-delà du vil pour toute personne raisonnable et sensée. Il ne s’agit pas, comme le prétend CBC, “d’enfants en quête de liberté et d’amitié à travers l’art du drag”. Il s’agit d’une exploitation flagrante des enfants, et la CBC participe à cette exploitation et en fait la promotion tout en publiant des articles intitulés « Drag kids : Comment leurs parents les protègent des gens qui les détestent ». 

Ce sont les mêmes parents, soit dit en passant, qui aident leurs enfants à vendre des produits dans des sex-shops et à se produire pour des adultes.

Source

Traduit par PLEINSFEUX


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