LA CHOSE LA PLUS DANGEREUSE DU PRÉSIDENT TRUMP LE 20 JANVIER


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Par David Whitney – Le 29 janvier 2017

Le vendredi 20 janvier a été une bonne journée.  Le drame et l’enthousiasme, le défilé, la fête, les pompes, les formalités, la tradition et l’apparat, ainsi que les dîners et les bals de gala, c’était tout un spectacle.  Mais, qu’est-ce qui était le plus important pendant le jour de l’inauguration ?  A peine 30 secondes, ces moments importants où Donald Trump a prêté serment pour devenir le 45ème président de ces États-Unis.

Rien d’autre n’était plus important à ce moment-là.  Ces 35 mots prononcés par Donald Trump sont la seule chose qui était nécessaire ce jour-là.  Et, il a fallu environ 30 secondes en tout.

Notre Constitution exige que le président et tous les représentants élus et nommés, les juges et les autres officiels du gouvernement fédéral prêtent serment.  Seulement le serment du Président est énoncé dans la Constitution.

Pourquoi nos fondateurs avaient-ils besoin d’un serment ?  Le fait de tenir chacun des officiels au plus haut niveau de responsabilité, et non pas envers le peuple (je ne suis pas sûr que notre président le comprenait pleinement lorsqu’il a prononcé son serment en termes de loyauté envers le peuple), le serment n’était pas envers le peuple, mais, envers Dieu, et la perspective est celle du jour du jugement où Dieu évaluera notre performance concernant ce serment.  Nos fondateurs savaient que, compte tenu de la nature humaine déchue, la tendance de quiconque obtenant le pouvoir aura tendance à abuser de ce pouvoir, à moins d’être retenu en échec.  Sachant qu’il n’est pas possible pour Nous, le Peuple, de surveiller et de contrôler constamment chaque action de celui qui nous représente, ils ont exigé par serment que le titulaire du poste se place devant Dieu qui voit tout et sait tout.  Il peut discerner chaque action, pensée, mot et même chaque motivation.  Considérez ce que la Parole de Dieu nous dit sur le serment.

« Mieux vaut pour toi ne point faire de vœu, que d’en faire un et de ne pas l’accomplir.  Ne permets pas à ta bouche de faire pécher ta chair, et ne dis pas en présence de l’envoyé que c’est une inadvertance.  Pourquoi Dieu s’irriterait-il de tes paroles, et détruirait-il l’ouvrage de tes mains ?  Car, s’il y a des vanités dans la multitude des songes, il y en a aussi dans beaucoup de  paroles ; C’est pourquoi, crains Dieu. » (Ecclésiaste 5:4-6)

Ne fais pas souffrir ta bouche pour faire pécher ta chair ;  Ne dites pas devant l’ange que c’était une erreur ; Pourquoi Dieu se fâcherait-il contre ta voix et détruirait l’ouvrage de tes mains ?

Un de nos fondateurs, Noé Webster, a compris que les mots peuvent être pervertis et tordus au fil du temps.  Il a donc écrit le tout premier dictionnaire américain pour donner aux générations futures une compréhension claire de ce que ces mots dans nos documents des fondateurs signifient réellement.   (Websters 1828 « Oath », n.)

« Une affirmation ou une déclaration solennelle, faite avec un appel à Dieu pour la vérité de ce qui est affirmé. »

L’appel à Dieu dans un serment implique que la personne imprègne Sa vengeance et renonce à Sa faveur si la déclaration est fausse, ou si la déclaration est une promesse, la personne invoque la vengeance de Dieu s’il ne l’accomplit pas.  Un faux serment est appelé un parjure.  Ainsi, un serment est dangereux.  Si l’on prête serment, mais, qu’on viole ce serment, par ce même serment ils ordonnent à Dieu de faire tomber Ses malédictions sur leurs têtes désolées.

C’est pourquoi la main du preneur du serment est placée sur la Bible, impliquant par cette action : « Que les malédictions contenues dans ce livre tombent sur moi si je manque à accomplir ce serment que je prends maintenant. »  Le président Donald Trump a juré son serment avec sa main sur deux Bibles, une était la « Bible que lui avait donnée sa mère quand il a obtenu son diplôme de l’école primaire de l’Église du dimanche à la Première Église Presbytérienne de Jamaica, à New York, en 1955 », et l’autre avait été utilisée par de nombreux présidents dans le passé.

• US Con Art II Sec 1 stipule : « Avant d’entrer dans l’exécution de son office, il doit prêter le serment ou l’affirmation suivante : Je jure solennellement (ou affirme) que je vais exécuter fidèlement le Bureau du Président des États-Unis et, au mieux de ma capacité, préserver, protéger et défendre la Constitution des États-Unis. »  Nos fondateurs ont reconnu la grande valeur des serments et que la République qu’ils concevaient ne réussirait jamais si tout le monde ne considérait pas le fait de prêter serment comme une entreprise très sérieuse.

• Le discours d’adieu de Washington (autrefois lu par tous les écoliers et considéré comme l’énoncé politique le plus important de toute l’histoire de notre pays) dit clairement : « Qu’on demande simplement où est la sécurité pour la prospérité, pour la réputation pour la vie, si le sens de l’obligation religieuse abandonne les serments, qui sont les instruments d’investigation dans les tribunaux de justice ? »  Washington savait qu’une fois que les gens commenceraient à mépriser le vrai sens du serment comme un serment solennel devant le Dieu Tout-Puissant pour lequel Il tiendrait chaque prêteur de serment pleinement responsable si la République était perdue.

• Dans 1 Timothée 2:1-2 nous sommes instruits, « J’exhorte donc, avant toutes choses, à faire des prières, des supplications, des requêtes, des actions de grâces, pour tous les hommes, pour les rois et pour tous ceux qui sont élevés en dignité, afin que nous menions une vie paisible et tranquille, en toute piété et honnêteté»

• Nous devrions prier pour le président Donald Trump pour qu’il accomplisse le serment qu’il a fait, sinon il amènera le mal sur lui-même.  Et, connaissant les conditions qui existent à Washington, je crois qu’il sera extrêmement difficile pour lui de garder le serment qu’il a fait.

Source : News With Views

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

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