Par le personnel de PNW – le 18 mars 2025
Un nouveau chapitre du conflit mondial s’ouvre, avec le Moyen-Orient comme épicentre et des enjeux plus importants que jamais.
Israël a relancé son offensive contre le Hamas avec une intensité jamais vue depuis des mois, tandis que les États-Unis s’en prennent aux Houthis au Yémen et signalent que l’Iran pourrait être le prochain à s’en prendre à eux.
Il ne s’agit pas d’une simple série de conflits isolés : il s’agit d’un effort soigneusement coordonné entre les États-Unis et Israël pour briser l’ossature des groupes terroristes soutenus par l’Iran avant qu’ils ne lancent une guerre encore plus meurtrière. Le message est clair : se retirer ou être éliminé.
Israël relance son offensive contre le Hamas et bien plus encore
Israël a déclenché une nouvelle vague de frappes aériennes contre des cibles du Hamas à Gaza après la rupture du cessez-le-feu. Selon les rapports palestiniens, plus de 200 membres du Hamas ont été tués lors de ces frappes, dont des commandants de haut rang. Mais la bataille ne s’arrête pas là.
- Au cours des dernières 24 heures, les forces israéliennes ont également frappé des positions du Hezbollah au Liban et des points stratégiques clés en Syrie afin de s’assurer que la nouvelle direction islamiste d’Assad ne se laisse pas influencer par des idées brillantes. Le gouvernement de Netanyahou est clair : Israël n’attend pas que l’ennemi se regroupe, il mène le combat à sa rencontre.
- Pendant ce temps, les États-Unis ne restent pas les bras croisés. Le président Trump a autorisé le déploiement de trois groupes aéronavals dans la région, une décision qui laisse présager un assaut bien plus important. Le régime iranien, voyant ses alliés s’effondrer sous les frappes coordonnées d’Israël et des États-Unis, prend conscience que ses ambitions nucléaires pourraient bientôt se heurter à une main de fer.
Les États-Unis s’attaquent aux Houthis du Yémen et envoient un message à l’Iran
De l’autre côté de la région, les États-Unis ont lancé des frappes aériennes incessantes contre les rebelles houthis soutenus par l’Iran au Yémen.
Ces militants, qui sèment le chaos sur les routes maritimes internationales et lancent des missiles sur Israël, subissent désormais toute la puissance militaire américaine. Le secrétaire à la Défense, Pete Hegseth, l’a clairement indiqué : les États-Unis continueront d’attaquer les positions houthis jusqu’à la fin de leur règne de terreur.
- Mais il ne s’agit pas seulement du Yémen. Ces frappes envoient un message clair à l’Iran : ses alliés sont en train de tomber, et vous serez le prochain à subir les conséquences si vous poursuivez votre chemin vers le nucléaire. Trump lui-même a averti que les États-Unis se trouvaient dans les « derniers moments » de leur décision d’agir contre le programme nucléaire iranien.
- Les rapports de renseignement indiquent que l’Iran est à deux doigts de disposer d’uranium de qualité militaire. Avec la présence de trois groupes aéronavals dans la région, la possibilité d’une frappe préventive contre les installations nucléaires iraniennes s’accroît de jour en jour.
La Russie et la Chine : des jokers dans une situation explosive
Comme si les tensions n’étaient pas déjà assez vives, l’administration Trump est également confrontée à la Russie et à la Chine. Moscou subit une pression croissante pour accepter des négociations de cessez-le-feu, et son refus pourrait pousser les États-Unis à une nouvelle escalade. Parallèlement, les préparatifs de la Chine en vue d’une éventuelle invasion de Taïwan suscitent l’inquiétude.
Des rapports indiquent que Pékin a commencé à rassembler des barges d’invasion, ce qui laisse penser qu’il se prépare peut-être à une action. La Chine attendrait-elle l’explosion du Moyen-Orient avant d’agir ? Si tel est le cas, le monde pourrait se précipiter vers un conflit mondial sur deux fronts sans précédent depuis des décennies.
Les retombées économiques et politiques
L’escalade militaire a déjà des conséquences concrètes. Les prix du pétrole flambent, les craintes d’une guerre plus large s’intensifiant. Avec les attaques des Houthis, soutenus par l’Iran, sur les voies de navigation et la possibilité d’un affrontement entre les États-Unis et l’Iran, l’économie mondiale est au bord du gouffre.
Aux États-Unis, le président Trump rallie des soutiens à ce qu’il appelle une prise de position nécessaire contre le terrorisme et la prolifération nucléaire. Dans un discours enflammé, il a averti que l’ère de l’apaisement était révolue et que l’Amérique soutiendrait ses alliés par une force réelle, et non par des paroles creuses.
Son administration travaille en étroite collaboration avec Israël, non seulement pour contenir le Hamas et le Hezbollah, mais aussi pour envoyer un avertissement clair à l’Iran : le prix de la défiance sera lourd. Les analystes militaires suggèrent que le déploiement de trois groupes aéronavals n’est pas seulement une démonstration de force, mais un signal que des frappes aériennes stratégiques pourraient être imminentes si Téhéran refuse de reculer.
La route à suivre
Les prochaines semaines pourraient déterminer l’évolution de la stabilité mondiale pour les années à venir. L’Iran va-t-il reculer, ou Israël et les États-Unis seront-ils contraints de franchir une nouvelle étape ?
La Russie et la Chine exploiteront-elles la situation, ou leurs ambitions seront-elles freinées par une démonstration de force ?
Une chose est sûre : la saison des guerres est là, et elle ne fait que commencer.
Traduit par PLEINSFEUX