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Par J.D. Pendry – Le 26 février 2019
Et le nouvel ordre mondial
Certaines récentes lois horribles et un dialogue décourageant ramènent l’avortement au débat national. Pour moi, la question n’a jamais été une question de choix, mais plutôt, de vie et de mort. L’Amérique est à un endroit périlleux. C’est un endroit où nous devons penser non seulement à la vie d’un enfant, mais aussi à la vie ou à la mort de notre pays, notre patrie, le dernier phare de la liberté dans le monde.
En Amérique, depuis la décision Roe vs Wade, le nombre croissant d’avortements chirurgicaux a dépassé les 61 millions. De plus, Pharmacists for Life International estime que, depuis 1973, 250 millions de bébés ont subi un avortement chimique. Si cette estimation est valide, 311 millions d’Américains décèdent des suites de la décision des hommes de prendre leurs vies, et ce, en toute légalité et en toute sécurité. Si cela ne vous fait pas mal au cœur… Mais, Jésus appela les enfants et dit : « Laissez venir à moi les petits enfants, et ne les en empêchez pas ; Car le royaume de Dieu est pour ceux qui leur ressemblent. » (Luc 18:16) La population actuelle des États-Unis dépasse à peine 328 millions d’habitants. Compte tenu de l’avortement et des chiffres de population, le taux de natalité aux États-Unis est tombé à son niveau le plus bas en 30 ans et inférieur au taux de remplacement de la population de 2,1 naissances pour 1000 femmes. En plus de tuer des bébés, nous tuons notre pays.
Vous pouvez parfois m’appeler fou et parfois un peu fou dans mes pensées, mais ça va. Je ressens une certaine anxiété lorsque je regarde ce qui se passe non seulement en Amérique, mais aussi dans la civilisation occidentale. Depuis des lustres, les gens nous disent que la surpopulation finira par détruire la Terre mère qu’ils adorent. Adorer la création plutôt que le créateur n’a jamais été une bonne idée. Les progressistes, ou le label que vous jugez approprié, jouent le long jeu de la dépopulation aux changements climatiques. Le long jeu qui se termine dans leur enfer sans frontières, sans nations et sans pays, où même si je chercherai un autre moyen de quitter la planète, priant pour que je sois assez bon pour réussir la journée de l’Enlèvement.
Pendant des années, l’incompétence politique n’a pas permis de résoudre nos problèmes d’immigration. Ou peut-être que ce n’est pas une ineptie autant qu’elle est intentionnelle. Considérez le leadership de notre pays tout au long de votre vie. Ils ont adopté des lois sur l’immigration facilitant l’immigration des pays du tiers monde. Ils ont prêché sur le sérieux de l’immigration clandestine et de la sécurité des frontières, mais cela semble profiter à nos oreilles. Un problème réparable s’est aggravé au point d’invasion répétée de caravanes. À l’exception de la seule personne qui tente de résoudre le problème, nous devons nous demander qui représentent ces autres ploutocrates. Certainement, et sans aucun doute, ce n’est ni le peuple américain ni la sécurité de notre pays.
Selon un rapport du Pew Research Center, « la population née à l’étranger des États-Unis [y compris les immigrants illégaux] a atteint un record de 43,7 millions en 2016. Depuis 1965, lorsque les lois américaines sur l’immigration ont remplacé un système de quotas national, le nombre d’immigrants vivant aux États-Unis a brièvement plus que quadruplé ». Un court rapport de Breitbart utilisant des données du Migration Policy Institute et du Centre for Immigration Studies indique : « Le pays compte au moins 4,5 millions de bébés ancres, soit une population dépassant le nombre total de naissances annuelles américaines. Chaque année, environ 300.000 bébés ancres naissent, ce qui dépasse le nombre total de naissances dans 48 États ». Considérez ces chiffres ahurissants et notre système d’immigration défaillant. Remettez en cause les motivations des politiciens de toutes tendances qui ont délibérément raté de lancer cette ébullition. Des personnes censées représenter les citoyens américains se battent corps et âme pour laisser nos frontières ouvertes alors que les caravanes se rapprochent des États-Unis. A qui exactement la classe politique américaine est-elle redevable ?
Ce n’est pas seulement l’immigration et l’avortement qui remplacent la population née aux États-Unis. C’est beaucoup d’autres manifestations sociales progressistes de notre époque. Un changement culturel loin de la foi et de la famille. Le féminisme toxique poussant les femmes vers un égalitarisme masculin et féminin tout en mettant de côté les perspectives de la famille et de la maternité ou en les transmettant toutes ensemble. Des programmes de bien-être social qui détruisent les familles, laissant d’innombrables foyers sans père et des générations de pauvres. Normaliser les comportements sexuels anormaux qui encouragent les familles non reproductrices. La liste des programmes est longue et a favorisé les attitudes préjudiciables à la famille nucléaire.
L’avortement, l’immigration incontrôlée, l’éloignement de Dieu et la destruction de l’unité familiale américaine ne se sont pas simplement produits. Des générations ont été éduquées et endoctrinées pour accepter ce changement de culture guidé comme norme. Grâce à notre classe politique, le long jeu progressif du Nouvel Ordre Mondial, axé sur la destruction de la culture américaine et le remplacement de la population née en Amérique, se poursuit. Quand je vois des jeunes dans la rue qui soutiennent tout cela, je vois des personnes mal équipées et pas assez fortes pour survivre au résultat potentiel qu’ils encouragent. Le reste d’entre nous ? Pour leur jeu final, ils nous appelleront les insurgés. Notre élimination est la solution finale.
Source: News With Views
Traduit par PLEINSFEUX.ORG
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