LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL EST UN RACKETTEUR ENGAGÉ DANS UN RACKET


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Par Ron Ewart – Le 31 décembre 2014

Une longue et tortueuse histoire humaine a prouvé que, sans la discipline, la responsabilité et la surveillance, un enfant, un adulte, un groupe d’adultes, où une entité institutionnelle va lentement augmenter ou accroitre ses pouvoirs au fil du temps, même s’il existe des lois ou des règles qui limitent ces pouvoirs.  C’est le cas en Amérique aujourd’hui.  Le gouvernement, en particulier le gouvernement fédéral, a de loin dépassé ses limites constitutionnelles.  Dans un long vide de responsabilisation et de surveillance, le gouvernement fédéral a évolué pour devenir de plus en plus de malfaisant, fauteur de troubles, dilapideur de fonds, corrompu, copineur, népotiste, racketteur, impliqué dans des collusions et ayant des comportements personnels inappropriés ou illicites.  Ce n’est pas un cas de ce qui limite un gouvernement.  C’est maintenant devenu un cas de tout ce que le gouvernement veut faire sans limites.  Aucune limite dans le pouvoir ne représente les ingrédients pour la corruption, le racket et finalement une dictature.

Définition de la corruption :

Actes répréhensibles de la part d’une autorité ou d’un parti puissant par des moyens qui sont illégitimes, immoraux, où incompatibles avec les normes éthiques.  La corruption résulte souvent du patronage et est associée à la séduction.  Elle est également définie comme un abus d’une charge publique à des fins privées.  La corruption se manifeste sous la forme de pots de vin, d’extorsion, de favoritisme, de népotisme, de copinage, de vol, de détournement de revenus ou de biens publics où privés.  Elle existe dans toutes les cultures, pays, religions et institutions à différents degrés de gravité.  La corruption est, en fait, une caractéristique humaine négative qui n’est compensée que par l’honneur individuel et sociétal, par l’intégrité et par la moralité.

Quand vous entendez un politicien dire : « Mes chers compatriotes », les cheveux devraient se dresser derrière votre cou et vous devriez vérifier votre portefeuille pour voir s’il y reste encore de l’argent.  Les politiciens ne sont pas vos

« compatriotes ».  Ce sont des membres de la classe privilégiée et la seule fois où ils se soucient vraiment de vous, c’est au moment des élections.

À l’arrivée des élections, ils mentiront entre leurs dents pour vous inciter à voter pour eux.  Ils vont vigoureusement frapper sur leurs adversaires comme étant corrompus, inexpérimentés et indignes.  Une fois élus, ils vont aider et encourager le gaspillage, la fraude et l’abus de votre argent.  En violation directe de leurs serments d’office de préserver, de protéger et de défendre la Constitution des États-Unis, ils ne vont pas superviser et ne responsabiliseront pas la bureaucratie fédérale. (Article 1, section 1)  Ils peuvent facilement être achetés par des groupes d’intérêts bien nantis et accorderont des faveurs à leurs parents, des amis et des associés en affaires.  Ils voteront pour l’adoption de lois qu’ils ne lisent jamais.  Ils vont ajouter leurs votes à une loi à laquelle des milliards de dollars des payeurs de taxes sont attachés, quand ils savent très bien que l’Amérique n’a plus d’argent et est profondément endettée.  Par esprit de compromis, ils abandonneront leurs principes, s’ils en ont.  Les exemples sont presque infinis.

Le politicien aime la bureaucratie fédérale parce que les intérêts particuliers qui influencent les bureaucraties lui envoient des dons pour la campagne pour la même raison.  Le politicien aime particulièrement le Service Interne du Revenu parce qu’il lui assure une collecte agressive de l’argent qu’il veut et a besoin pour continuer son agenda environnemental socialiste et radical, et son style de vie opulent.

Ce qui est encore plus exaspérant, c’est que très peu de ces politiciens, juges ou fonctionnaires, ont été mis en accusation, à l’amende, censurés, où emprisonnés pour leurs crimes, leurs actions de corruption et leur racket.  Cette activité au sein du gouvernement, et même dans le secteur privé, est devenu tellement banale que les auteurs croient que ce qu’ils font est parfaitement moral et juridique.  En revanche, la plupart des gens ne s’en soucient pas.

La plupart des politiciens, juges, où bureaucrates, peu importe de quel parti, sont désespérément corrompus et dépourvus d’honneur, car ils peuvent l’être.  Personne ne les tient responsables et certainement pas la population.  Les politiciens, juges et fonctionnaires sont redevables au « système » qui est également devenu tout aussi corrompu.  La triste vérité est que plus les politiciens, les juges et les fonctionnaires sont en poste, plus ils sont corrompus et s’engagent ouvertement dans le racket gouvernemental.

Le gouvernement se surveillant lui-même est une plaisanterie et les membres du gouvernement qui se surveillent les uns les autre sont le renard proverbial qui surveille le poulailler.  En conséquence, la plupart des institutions de l’Amérique sont corrompues également et elles ont été de plus en plus corrompues depuis le début des années 1900.  La corruption est ancrée dans le tissu de tous les gouvernements, les locaux, les états ou le fédéral.

Le projet de loi Omnibus de 1600 pages, évalué à 1,1 trillions de dollars, juste adopté par la Chambre et le Sénat en décembre et signé par le Président est un excellent exemple.  Tout comme le projet de loi Stimulus d’Obama évalué à presque 1 trillion de dollars et adopté par les démocrates en 2010, le projet de loi Omnibus de 2014 est tellement plein de faveurs spéciales pour des intérêts particuliers, que c’est un voile rigide dans l’œil pour chaque Américain et un raid dans leurs portefeuilles et leurs droits constitutionnels.  En outre, on estime que le gouvernement gaspille environ 20% de son budget (l’argent des contribuables) par la fraude et les abus.  Le projet de loi Omnibus actuel s’élève à $220 milliards.  $220 milliards gaspillés et ils doivent emprunter l’argent pour payer !  Alors, pourquoi les Américains ne bouillonnent-ils pas de colère ?

En passant le projet de loi Omnibus avec les démocrates, les républicains acceptent l’anarchie du Président sur l’immigration et les autres actions illégales qu’il a prises.  Le projet de loi Omnibus ne représente guère ce pourquoi les gens ont voté en novembre 2014, lorsqu’ils ont donné le Sénat aux républicains.  Mais alors, comme beaucoup d’entre nous le savent, ce sont les affaires habituelles dans la capitale du racket en Amérique, peu importe de quel côté de l’allée cette classe privilégiée accroche ses chapeaux.

Plus de cent ans à tout donner au gouvernement fédéral et à ne pas résister à chaque tentative de s’emparer des pouvoirs réservés aux états et aux personnes dans le 10ième Amendement de la Constitution des États-Unis, ont conduit à un gouvernement central avec un pouvoir virtuel presque absolu sur le peuple.  Une quatrième branche totalement incontrôlée du gouvernement, qui existe actuellement dans les bureaucraties fédérales en constante expansion, a transformé la Charte des Droits en une bouillie totalement insensée.  Essayez seulement d’utiliser vos droits constitutionnels à la propriété dans votre défense contre les mesures punitives imposées par l’Agence de Protection de l’Environnement, où le Service Local d’Utilisation des Terres.

Cette corruption institutionnalisée est devenue systémique à tous les niveaux du gouvernement où les pots de vin, le népotisme, le copinage, le fait de légiférer sur le banc et les lois inconstitutionnelles sont la règle plutôt que l’exception.  Les entreprises sont corrompues, les syndicats sont corrompus et notre système public d’éducation est aussi totalement corrompu, y compris tous nos collèges libéraux. Notre système judiciaire de juges et d’avocats est tellement corrompu qu’il est devenu une fraude et un domaine que seulement les riches peuvent se permettre. Les groupes riches d’intérêts spéciaux ont plus de pouvoir pour influencer la législation que le citoyen moyen.  Tout cela conduit à la collusion et au racket entre les parties qui couchent dans le même lit que le gouvernement.

Le racket :

Traditionnellement, le racket est défini comme l’obtention ou l’extorsion d’argent illégalement où l’exercice d’activités commerciales illégales, généralement par le crime organisé.  Un modèle d’activités illégales menées dans le cadre d’une entreprise qui est détenue ou contrôlée par ceux qui sont engagés dans l’activité illicite.  Cette dernière définition découle de la Loi fédérale des organisations corrompues et des rackets (RICO), un ensemble de lois (18 USCA § 1961 et seq. [1970]) spécialement conçues pour punir les rackets par les entreprises commerciales.

N’est-il pas intéressant que le gouvernement ait adopté une loi contre le racket en affaires, mais, n’inclut pas les peines pour le même type d’activités illégales au sein du gouvernement ?  Bien sûr, il y a des lois fédérales qui déclarent que ce qu’ils font est illégal, mais, les seules personnes qui ont le pouvoir de mettre ces lois en application sont les mêmes personnes qui violent ces lois.  Quelqu’un a-t-il entendu parler de Wrangle, Frank, Trafficant, Conningham ou Barack Hussein Obama ?

La sécurité sociale, Medicare et Medicaid sont en fait sous-financées et les combines de Ponzi, parrainées par le gouvernement, sont destinées à la faillite et sont une fraude et un racket par définition.  Le Service Interne du Revenu est devenu rien de plus qu’un racket de protection pour extorquer illégalement de l’argent des malheureux contribuables, qui ont reçu un lavage de cerveau, afin de les faire payer pour les combines de Ponzi et pour le bénéfice de la Réserve Fédérale.

La Réserve Fédérale est un racket qui manipule des milliards de dollars au profit de la Réserve Fédérale et des banques centrales internationales.  La Réserve Fédérale travaille en collusion avec le Département du Trésor des États-Unis, le Fonds Monétaire International et les banques centrales internationales.  C’est le racket.

Ce qui est difficile à comprendre pour la plupart des gens, c’est que c’est toujours une question de pouvoir.  Dans une démocratie, les votes sont le pouvoir.  Tout au long de l’histoire, les socialistes ou dictateurs, dans chaque pays, ont découvert qu’ils pouvaient rester au pouvoir en exploitant la faiblesse humaine en donnant quelque chose gratuitement, en échange de leurs votes.  C’est la quintessence de la fraude et de la corruption.  Ceci remonte jusqu’au temps des Romains et peut-être encore plus loin.  Les personnes ont accepté ce stratagème pendant les 3000 dernières années, pays après pays et siècle après siècle, à leur propre détriment, à leur propre famine et à leur propre mort.  Et maintenant, cette corruption et ce racket ont infecté l’Amérique au 20ème et au 21ème siècle.

Le menteur politique ne peut réussir que si les gens exposent ses mensonges.  Le socialisme est le plus grand mensonge de tous.  Le socialisme est la manifestation d’un gouvernement corrompu qui s’engage dans le racket pour son propre pouvoir et son propre bénéfice.  Il existe dans le monde sombre des conséquences imprévues et de la loi des rendements décroissants.  Finalement, les socialistes manquent de l’argent des autres à distribuer.  Ensuite, les émeutes commencent, comme en Grèce et dans d’autres pays socialistes.  Hitler, Staline et Mao le savaient tous et, quand ils ne pouvaient plus tenir leurs promesses, ils ont commencé à intimider violemment les gens à la pointe des armes à feu, ou en les affamant et en les assassinant … par millions.

En fin de compte, après avoir mis tous les « ismes » et les partis de côté, il s’agit essentiellement du pouvoir sur les masses par une petite élite qui écrase les masses avec une dette impayable, ce qui les rend esclaves de l’endettement et les forçant à payer pour (avec leurs taxes) les combines non financées de Ponzi pour leurs votes, avec tout cela caché dans le monde obscur de la corruption et du racket.

Malheureusement, la morale, l’honneur, l’intégrité et l’honnêteté semblent être rares de nos jours, en particulier dans les politiques où le socialisme et ses deux frères, la corruption et le racket, remplacent la morale, l’honneur, l’intégrité et l’honnêteté dans le gouvernement et dans la culture elle-même.

Sans l’honneur dans le gouvernement et dans le peuple, une société libre ne peut exister.

Alors, Mesdames et Messieurs, combien seriez-vous prêts à donner en argent et en temps si vous saviez qu’il y a un moyen sûr et efficace de briser pacifiquement ce cycle de corruption et de racket dans le gouvernement et éventuellement dans les affaires ?  Parce que, si le cycle ne peut être rompu pacifiquement, les Américains font faire face à deux choix :

  1. Capituler devant la hausse du pouvoir du gouvernement et devenir ses esclaves inconscients, ou,
  2. La révolte dans une violence ouverte.

Pour ceux qui connaissent l’histoire et peut imputer l’avenir aux tendances passées et actuelles, le choix devrait être facile.  Comme un homme sage l’a dit autrefois,

 « Si vous ouvrez vos yeux, vous ne pouvez pas être pris par surprise ».

Source : http://www.newswithviews.com/Ewart/ron184.htm

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

 

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