LE RÉSEAU DES CLINTON


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Le réseau d’espionnage d’Hillary Clinton se démêle alors que le président Donald Trump ordonne de commencer les arrestations.

Par Sorcha Faal – Le 30 mars 2017

Un nouveau rapport du Service du Renseignement Étranger (SVR) diffusé dans le Kremlin affirme aujourd’hui que le président américain, Donald Trump, a ordonné à son Département de la Justice de commencer à arrêter les membres d’un réseau d’espionnage massif infiltré dans tout le gouvernement américain depuis les années 1990 par l’ancien président Bill Clinton, et son épouse et ancienne Secrétaire d’État, Hillary Clinton, et cela a commencé hier avec le Bureau Fédéral des Enquêtes (FBI) arrêtant un des principaux adjoints du Département d’État d’Hillary Clinton (DoS) nommé Candace Claiborne pour être un espion pour la Chine communiste.

Toujours selon ce rapport, en même temps que la machine médiatique gauchiste des « fausses nouvelles » supportant Hillary Clinton fait du temps supplémentaire pour pousser son programme « hystérie russe » pour détruire le président Donald Trump, le nouveau dirigeant de l’Amérique a travaillé pour  démanteler le réseau d’espionnage le plus important à l’intérieur du gouvernement américain dans toute l’histoire des nations, et cela a commencé en 1996 avec le «Chinagate» (alias Commercegate) qui est appelé le scandale le plus grave de l’histoire américaine et a impliqué le transfert de la technologie la plus sensible d’Amérique, y compris, mais sans s’y limiter, les missiles nucléaires et la technologie des satellites, en échange de contributions de millions de dollars aux efforts pour la réélection de Clinton-Gore en 1996 et au Comité National Démocrate.

Ce rapport précise qu’au cours du processus de l’élection présidentielle des États-Unis de 2016, les médias gauchistes des « fausse nouvelle » de l’Amérique, dans leur soutien aveugle et fidèle à Hillary Clinton, ont tout fait en leur pouvoir pour empêcher les citoyens de cette nation de connaître les crimes d’espionnage sérieux d’elle-même et de son mari avec la Chine, en ne laissant que les médias alternatifs rapporter sur les révélations étonnantes des hauts officiels du renseignement des États-Unis qu’Hillary Clinton était effectivement une espionne pour le gouvernement communiste chinois.

Ce rapport indique qu’avec le Service du Renseignement Étranger estimant qu’un total de 25% des « États Profonds » de l’Amérique, actuellement en guerre avec le président Donald Trump, ont été infiltré par les espions communistes Chine-Clinton, et toutes les indications indiquent que l’organisme gouvernemental américain le moins affecté est le FBI, en particulier depuis l’arrestation, en septembre 2015, du payeur bien connu du réseau Chine-Clinton, Ng Lap Seng.

Ce rapport détaille qu’après avoir été en cavale pendant des décennies du FBI pour son rôle dans la corruption de l’élection présidentielle de 1996, permettant ainsi au président Bill Clinton de gagner, Ng Lap Seng a reçu des assurances privées en 2015, tant d’Hillary Clinton et du régime de Barack Obama, qu’il ne serait pas arrêté à son retour aux États-Unis, mais, le directeur du FBI, James Comey, n’a pas respecté ces assurances et a ordonné son arrestation immédiate.

Ce rapport poursuit que dans ce que le Service du Renseignement Étranger appelle une des injustices les plus extraordinaires et les plus étranges de toute l’histoire américaine, immédiatement après que le directeur du FBI, James Comey, ait arrêté Ng Lap Seng, ce criminel international communiste chinois avait reçu une caution de 50 millions de dollars par le régime « amical» Obama-Clinton mais, qui stipulait que Ng Lap Seng ne pouvait quitter sa « cage

dorée » de plusieurs millions de dollars de la ville de New York que pour se présenter devant le tribunal, voir son avocat, ou aller à une visite médicale approuvée, a dû remettre ses documents de voyage, n’était pas autorisé à avoir de téléphone portable et ne pouvait utiliser qu’un téléphone fixe (qui est surveillé et enregistré) et a dû convenir que ses gardes pourraient utiliser « la force légale raisonnable qu’ils jugeaient appropriée » pour éviter qu’il s’échappe.

Ce rapport note que seulement deux semaines avant qu’il s’attendait à ce que Hillary Clinton gagne la présidence américaine, Ng Lap Seng a planifié son évasion en demandant à la cour de le libérer de son appartement de luxe une fois par semaine, mais, qu’après que Donald Trump ait gagné les élections, tout a été rapidement refusé.

Bien que Ng Lap Seng ait refusé d’être interrogé par les autorités américaines depuis son arrestation en 2015, les agents de contre-espionnage du FBI fidèles au Directeur James Comey et au Président Donald Trump ont pu commencer à découvrir le vaste réseau d’espionnage Chine-Clinton qui imprègne l’ensemble du gouvernement américain, et cela a mené, le 5 juillet 2016, au Directeur James Comey de donner une toute première conférence de presse dans l’histoire des États-Unis au sujet d’une personne à ne pas inculper, mais que beaucoup d’entre eux croient avoir grandement contribué à la perte de la présidence d’Hillary Clinton.

Ce rapport explique que ceci a causé beaucoup de craintes au directeur James  Comey qu’Hillary Clinton puisse gagner la présidence américaine, lorsqu’un de ces espions Chine-Clinton a été découvert dans sa propre agence du renseignement et, quelques semaines après avoir publiquement ridiculisé Hillary Clinton, l’agent du FBI, Kun Shan Chun, qui a secrètement guidé des paiements chinois massifs vers les Clinton, a été forcé de plaider coupable pour ses crimes d’espionnages contre l’Amérique.

Ce rapport note encore que suite à l’arrestation secrète par le FBI de l’agent du FBI, Kun Shan Chun, d’autres espions dans le réseau d’espionnage Chine- Clinton ont également pu être identifiés, y compris Candace Claiborne, dont le président Donald Trump a directement ordonné l’arrestation, hier.

Les analystes du Service du Renseignement Étranger détaillent dans ce rapport qu’il est important de noter au sujet de l’espionne Chine-Clinton, Candace Claiborne, qu’elle a été « infiltrée/installée » au Département d’État américain en 1999 par le président Bill Clinton et, qu’après qu’Hillary Clinton soit nommée Secrétaire d’État en 2009, elle a été élevée à un poste détenant un statut Top Secret dans le Bureau Affaires du Caucase et des Conflits Régionaux du Département d’État des États-Unis, c’est-à-dire un organisme subordonné au Bureau des Affaires Européennes et Eurasiennes, en étant la plus grande agence de ce bureau géographique.

Ce rapport explique que bien connu au Service du Renseignement Étranger, les principaux domaines de responsabilité de Candace Claiborne étaient les nations de l’Arménie, de l’Azerbaïdjan et de la Géorgie, qu’elle a souvent visité au nom de ses maîtres dans l’espionnage Chine-Clinton, que ses actions pour infiltrer le pouvoir chinois dans cette région hautement volatile a longtemps suscité une grande inquiétude pour la Fédération, en particulier à la lumière de nombreuses violations du cessez-le-feu, n’importe quel ayant pu provoquer une étincelle pour déclencher une guerre totale entre la Russie et l’Occident.

Ce rapport conclut qu’avec le payeur communiste chinois d’Hillary Clinton, Ng Lap Seng, maintenant sous le contrôle du directeur loyaliste au président Donald Trump, James Comey, et de l’ancien agent du FBI, Kun Shan Chun, et de l’agente américaine du Département d’État, Candace Claiborne, qui sont maintenant capturés dans le cadre de cet énorme réseau d’espionnage chinois également, ce qui reste inconnu est jusqu’où ira le président Donald Trump  pour détruire ce réseau d’espionnage de « l’État Profond » dirigé par Hillary Clinton et la Chine, et s’il pourrait même accomplir cet exploit avant qu’ils puissent, à leur tour, le détruire.

Source : What Does It Mean 

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

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