LES VRAIES PRÉOCCUPATIONS DU PRÉSIDENT


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Le président Barack Obama prouve, une fois encore, qu’il est plus préoccupé à apaiser les terroristes et les immigrants illégaux que la protection de notre République contre les ennemis, étrangers et nationaux. 

Par Ron Edwards – Le 29 mai 2015

Les États-Unis ont certainement enduré des anciens présidents qui n’étaient pas pleinement à la hauteur de la tâche de vaincre nos ennemis.  Ils ont souvent échoué lorsqu’il s’agissait de protéger nos frontières poreuses.  Mais, je dois dire qu’aucun ancien commandant-en-chef ne se rapproche du mépris catastrophique flagrant pour protéger notre République à tous les égards.  Il a fondamentalement tourné le dos à toutes nos nations alliées (comme Israël) qui pourraient avoir besoin de notre aide contre ceux qui cherchent à tuer, voler, et détruire.

À ce jour, l’occupant de la Maison Blanche n’a pas approuvé, sérieusement proposé ou même examiné une seule mesure susceptible de bénéficier ou de renforcer en quelque sorte les États-Unis.  Par exemple, avant même le régime Obama, le gouvernement fédéral avait déjà un dossier épouvantable, quand il s’agit de négocier et de participer à des accords dits de « Libre-Échange ».  L’ALENA et le GATT nous viennent rapidement à l’esprit.  En fait, chaque accord commercial officiellement sanctionné a conduit à des déficits encore plus grands des États-Unis avec nos partenaires commerciaux.  Il y a eu très peu de cas où l’Amérique n’a eu aucun déficit commercial avec une nation particulière, mais, après des négociations de gouvernement un énorme déficit surgit à l’horizon.

Je voudrais proposer des réductions des barrières commerciales au sein même de notre pays.  Par exemple, les compagnies d’assurance seraient libres d’exercer leur métier dans la mesure où l’économie de marché et le succès le leur permet.  Le gouvernement n’est pas un ami de la libre entreprise ou de la croissance générale des entreprises.  Les pères fondateurs avaient compris la nature du gouvernement qui doit généralement être un obstacle à des choses comme un libre-échange authentique.

Deuxièmement, je propose que les entreprises américaines soient libres de s’engager dans des activités économiques avec des particuliers et d’autres sociétés situées au sein de toutes nos nations alliées.  Le commerce est le commerce et ceux qui sont impliqués savent ce qui est plus avantageux pour leur ligne de fond et pour la vente de leurs biens et services.  Bien sûr, le gouvernement devrait avoir la volonté et le pouvoir de protéger les intérêts des entreprises américaines.  Par exemple, contre les menaces de nationalisations et de saisies.

Je crois que le gouvernement fédéral doit être dissuadé de négocier ce qu’on appelle des accords de libre-échange.  Je ne me souviens d’aucun accord de libre-échange négocié par le gouvernement qui ait profité aux États-Unis.  Encore une fois, ces accords gouvernementaux ont presque toujours augmenté ou produit des déficits américains avec les commerçants étrangers et/ou les partenaires d’affaires.

Nous devons maintenant examiner la question importante de la sécurisation de nos frontières.  Pendant des années, avant la catastrophe actuelle à la Maison Blanche, l’Amérique n’avait pas réussi à sécuriser suffisamment nos frontières.  La marée des immigrants clandestins et ingrats a donc causé une marée montante de traumatismes aux frais des contribuables.  Selon certaines estimations, y compris la mienne, cela amène le nombre possible d’immigrants illégaux qui vivent sur la graisse de notre territoire à 30 millions ou plus.

Au sein de leurs rangs, il y a probablement un nombre important de terroristes musulmans qui attendent des ordres pour causer de grands dégâts.  On estime qu’entre une et trois grandes villes américaines pourraient bientôt être touchées par une certaine sorte d’activités terroristes.  Les terroristes de l’État Islamique d’Irak et du Levant (ISIS) ont déjà menacé de faire des ravages aux États-Unis et de nuire au président Obama.  Pourtant, le commandant-en-chef a fait tout ce qu’on pouvait imaginer pour réduire et affaiblir nos Forces Armées bien-aimées.  Il a refusé de mettre à niveau les systèmes d’armes nécessaires et a considérablement réduit les effectifs beaucoup trop.  En fait, le nombre de nos soldats est maintenant tellement faible que l’Amérique n’a plus la capacité de combattre simultanément dans deux grands conflits.  Il faut horriblement remarquer que nos Forces Armées sont endommagées au-delà de toute reconnaissance grâce à l’ingénierie sociale de Barack Obama.  L’abaissement des exigences physiques pour apaiser les femmes faibles et l’ouverture à l’homosexualité viennent à l’esprit en tant que les deux principaux exemples.

Alors, maintenant, les groupes terroristes musulmans, la Chine et la Russie n’ont plus peur, ou ne respectent plus la puissance de l’armée américaine.  En effet, la Chine a maintenant plus d’influence en Amérique du Sud que les États-Unis, parce que les politiques et l’économie du Président Obama inhibent une puissante poussée vers l’avant de l’influence américaine.  Combinez cela avec le dédain du président Obama pour la puissance et l’influence dans le monde de notre République et vous avez une recette pour un désastre absolu.

Le défunt président Ronald Reagan l’a dit encore mieux concernant la paix mondiale. « Nous pouvons avoir la paix par la force. »  Avez-vous remarqué que plus l’Amérique s’affaiblit et diminue, plus le monde continue, apparemment, à s’emmêler politiquement, économiquement et sur le plan relationnel dans un grand nombre de nations du monde ?  Pour résumer, nous devons non seulement changer la direction politiquement et moralement dans les jours, les années et les élections à venir. Malheureusement, les républicains, dans la branche législative, n’ont pas honoré leur fin de l’accord quand on parle de gouverner.  Souvent, ils ont autorisé, presque incontestablement, l’activiste-en-chef à continuer dans sa quête de diminuer drastiquement les États-Unis sur tous les fronts.  Si l’Amérique doit être sauvée de la rétrogradation totale aux rangs inférieurs d’entre les nations, l’état actuel des choses devra être inversé de façon spectaculaire.  Le statu quo ne suffira pas pour notre survie en tant que république constitutionnellement limitée.

Il doit y avoir une renaissance spirituelle et une reconnaissance de la présence de Dieu !

Source : http://www.newswithviews.com/RonEdwards/ron127.htm

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

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