LETTRE D’INFORMATIONS ÉCONOMIQUES STRATÉGIQUES INTERNATIONALES


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Numéro 407 30 septembre 2018
« Les gouvernements de ce siècle ne sont pas en relation seulement avec les empereurs, rois et
ministres, mais aussi avec les sociétés secrètes, éléments dont on doit tenir compte et qui au
dernier moment peuvent annuler n’importe quel accord, possédant des agents partout – agents
sans scrupule qui poussent à l’assassinat, capables, si nécessaire, de provoquer un
massacre. »
Benjamin Disraeli (1804-1881), alias Sir Beaconsfield, Premier ministre anglais, dans un discours prononcé à Aylesbury le 20 novembre 1876.

11 septembre 2001, catalyseur de leur Troisième Guerre mondiale,  rares étaient les personnes qui savaient, à l’automne 2001, que SEPT banques centrales n’étaient pas encore contrôlées par les Rothschild dans le monde :
– Afghanistan
– Irak
– Soudan
– Libye
– Cuba
– Corée du Nord
– Iran.
Or, quelles décisions les néo-conservateurs américains ont-ils prises tout de suite après les
événements survenus le 11 septembre 2001 ? Ils décidèrent d’un plan d’attaque visant plusieurs
pays. En 2003, l’Afghanistan et l’Irak perdent leur indépendance. Les Rothschild deviennent alors propriétaires de leurs banques centrales nationales.
Huit ans plus tard, en 2011, la banque centrale du Soudan est prise par le consortium de banquiers dirigés par… les Rothschild.
Dans la foulée, le président Nicolas Sarkozy et son homologue britannique décident, par souci
« humanitaire », de liquider physiquement le président Kadhafi, au cours d’une opération militaire et avec le concours des Américains. Le président Barack Obama ordonnera l’intervention militaire sans aucune approbation du Congrès ! Preuve, s’il était nécessaire, que les puissances d’argent obtiennent ce qu’elles veulent, même si c’est anticonstitutionnel.
Avant même que la guerre ne fût terminée, fut créée à Benghazi une nouvelle banque centrale
libyenne, sous le contrôle… des Rothschild.

A ce jour, il reste donc TROIS BANQUES CENTRALES échappant au contrôle des
banquiers internationaux, dirigés par les Rothschild : celles de Cuba, de la Corée du Nord et
enfin de l’Iran. Comme chacun de nos contemporains peut le constater, un seul pays pose un véritable problème : l’IRAN. Non seulement il fait obstacle pour la raison que nous venons de voir, mais il empêche aussi la progression du plan d’un Grand Israël. Il faut, en effet, faire le parallèle entre le choix des pays attaqués par l’administration de Washington, après le 11 septembre 2001, et les exigences des architectes du projet Grand Israël, pour conclure sans peine que le pouvoir américain suit et exécute, en réalité, un plan conçu par les puissants à l’origine même de la création de l’État d’Israël… encore les Rothschild, financiers du
sionisme international et donc (aussi) du djihad (puisque les troupes de l’État islamique, elles aussi, travaillent à la réalisation de ce plan sioniste en déstabilisant le pouvoir syrien pour aboutir à une partition du pays, comme cela était planifié dans les années 80, avec le Plan Oded Yinon).
L’administration américaine ne recherche donc nullement la préservation des intérêts des États-
Unis. C’est vrai du point de vue géopolitique et c’est la même chose sur le plan monétaire, puisque la politique de la banque centrale américaine suit la même logique ayant abouti au krach de 1929. Preuve manifeste que ses propriétaires sont apatrides et globalistes.
Voilà pourquoi LIESI a toujours annoncé, depuis presque une vingtaine d’années, qu’un conflit engagé entre l’Iran et Israël constituerait le catalyseur d’une Troisième Guerre mondiale. A l’époque de l’administration de George Bush, d’aucuns craignaient que les États-Unis n’attaquent l’Iran.
LIESI affirmait que le moment n’était pas encore venu !
En 2018, LIESI estime désormais que ce cataclysme est assez proche, bien que redouté par nombre d’esprits conscients de ce qu’il signifierait : la mort de plusieurs milliards d’êtres humains.
Étonnamment, depuis plus d’un siècle, des prophéties catholiques préviennent qu’une nouvelle
guerre mondiale commencerait au Moyen-Orient, à partir d’un conflit impliquant l’Iran, Israël et « de mauvaises nouvelles du côté de l’Angleterre ».
Doit-on être surpris de ce rapprochement des faits naturels et surnaturels ?
L’importance que les prophéties catholiques accordent à cet événement futur, éclaire la logique
belliciste de la direction du cartel bancaire à l’égard de l’Iran.
Peut-il y avoir ne serait-ce qu’un début de monnaie supranationale, tant que le cartel bancaire ne sera pas parvenu au plein contrôle de toutes les banques centrales du monde ? Les contrôler est, du moins à leurs yeux, le seul moyen de diriger le monde. Les événements survenus depuis le XIXème siècle, et a fortiori depuis septembre 2001, montrent qu’ils sont prêts à tout, y compris dans le domaine de l’information.
« Un auteur anglais, qui usait du pseudonyme de Robert Payne, publiait en 1951 chez l’important éditeur londonien Wingate, un ouvrage intitulé Zero.
The Story of terrorism (Zéro. Histoire du terrorisme). Il s’efforçait d’y montrer que derrière l’usage systématique de la terreur par les différentes formes de régimes totalitaires, sans exception, on trouvait toujours le même noyau occulte qui maniait savamment, à l’ombre des gouvernants visibles, cette arme terrible. Arme systématique qui dépassait donc de beaucoup la simple volonté, individuelle ou collective, justifiée, de se venger d’ennemis et de les empêcher de nuire. Dès la publication du livre, se produisit une série de “coïncidences” bien curieuses : avant la mise en vente, de mystérieux émissaires achetèrent tout le stock disponible ; malgré le caractère sensationnel des révélations qu’apportait l’ouvrage, aucune critique ne paraît dans la grande presse. La maison Wingate, une des plus solides du marché londonien, se trouve brusquement acculée à la faillite. Puis, l’auteur meurt mystérieusement quelques mois plus
tard.
Il ne pouvait pas s’agir, en l’occurrence, de divulgations de secrets d’État ni d’espionnage
militaire ou industriel : l’ouvrage ne comportait aucune information de cette nature. La seule
explication possible est que l’auteur avait découvert l’existence, à l’échelle mondiale, de gouvernants occultes, au-delà même des grosses puissances financières qui ne jouent, somme toute, que le rôle subordonné de bailleur de fonds. »
Le cartel bancaire sous la coupe des Rothschild Les rares historiens à s’être penché sur la fortune
des Rothschild ont conclu que cette famille possédait la moitié des richesses du globe.
Depuis bien longtemps, et notamment depuis les événements survenus le 11 septembre 2001, la
banque centrale de la République Islamique d’Iran (CBI) est dans leur collimateur. Il ne faut donc pas s’étonner que le président américain Donald Trump, sauvé plusieurs fois de la faillite par les Rothschild, ait pris la récente décision de casser l’accord conclu entre les principales puissances occidentales et l’Iran, sur le plan nucléaire. Et que dire des manœuvres mensongères de l’administration américaine à propos des armes chimiques prétendument utilisées par le régime Assad alors qu’aucune preuve n’a été rapportée à ce jour.
Pourtant, les États-Unis n’ont-ils pas armé Saddam Hussein (le leader irakien) dans les années 80’ pour user d’armes chimiques contre les Iraniens ?
Actuellement et contrairement à ce qui était envisageable il y a quelques années : d’un côté,
l’administration Trump souhaite acculer l’Iran à une asphyxie économique pour y susciter
(éventuellement) une révolution ; de l’autre, les puissances européennes, pourtant totalement sous le contrôle du cartel des banquiers internationaux, cherchent à contourner les sanctions américaines.

Pourquoi ?

Autre curiosité déjà relevée par nos soins : une volonté de consolider l’axe Moscou-Pékin contre les Etats-Unis.
Pourquoi ? Parce que le système monétaire international, transformé le 15 août 1971 par Richard
Nixon, sur injonction du cartel bancaire, est centré sur le dollar américain. Or, cette devise est
désormais dans le viseur du cartel bancaire, comme cela a été prédit dès septembre 1988 dans The Economist (la principale revue des Rothschild) affichant (volontairement) l’image du Phénix qui brûle (avant de renaître de ses cendres). Le même message a été exprimé en grandeur nature en 2012, lors des Jeux Olympiques de Londres… là où siège la City.
La volte-face opérée le 25 août par la Russie, via le vice-ministre des Affaires étrangères russes Sergueï Ryabkov, confirme cette accélération. En effet, comme l’a rapporté l’agence de presse Tass, il a clarifié la position de la Russie : « Nous traitons avec beaucoup de respect les mesures prises par l’Iran pour assurer sa propre sécurité et ses propres actions, notamment en Syrie à l’invitation du gouvernement légitime de ce pays. […] Nous avons de nombreuses divergences avec les Américains dans ce domaine. […] » Le politicien russe a répété que la Russie continuerait à travailler avec l’Iran sur la Syrie, selon les modalités convenues lors de la
réunion d’Astana.
Parallèlement, 48 heures auparavant, Dimitri Touline (premier vice-président de la banque centrale russe) commentait la publication de l’achat record d’or physique opéré par la banque centrale en juillet dernier (26,1 tonnes) : « L’or est une garantie à 100% contre les risques juridiques et politiques ».
Commentaire de John Meyer (associé chez SP Angel à Londres) : « Les Américains utilisent le dollar américain comme une arme, et il est tout à fait normal que la Russie veuille diversifier ses avoirs en devises étrangères ». « L’or est l’investissement liquide ultime, si vous ne voulez pas être exposé au dollar. »
Officiellement, les réserves en or de la Russie seraient de l’ordre de 2 170 tonnes. Ces chiffres sont fournis par le FMI qui évalue les réserves du pays à près de 78 milliards de dollars. Nous alertons nos lecteurs sur le danger que constituent les crypto-monnaies. Une masse d’investisseurs très conséquente se concentre sur ces lors de la prochaine crise monétaire qui impactera tout particulièrement les États-Unis, la Russie va devenir plus forte.
Non seulement la Russie poutinienne ne cesse de se préparer à la prochaine tempête monétaire de 2019-2021, aux conséquences climatiques du REFROIDISSEMENT GLOBAL (avec la construction actifs, espérant faire de fabuleux profits. De notre point de vue, celles-ci servent essentiellement à détourner les gens de l’unique actif capable de protéger leur patrimoine dans la prochaine bourrasque : les métaux précieux. Leurs cours sont régulièrement matraqués
depuis quelques semaines et c’est absolument conforme à ce qui nous était dit, en février dernier.
Comme l’expression que LIESI avait employée à l’époque s’avère aujourd’hui bien fondée : “ils vont tendre l’élastique” ! Nous venons même de franchir, à la baisse, les niveaux d’intervention conseillés, mais cela n’est guère inquiétant puisque les insiders sont déjà au plein depuis plusieurs mois.
Aujourd’hui, les cours de l’argent métal (14 dollars l’once) sont inférieurs de 2 dollars au cours d’extraction minimum pour assurer la rentabilité des mines. Cela s’appelle un corner et garantit une explosion future dantesque. Mais qui tire les cours tranquillement vers le bas ? La JP Morgan, en accord avec les Chinois… Ces acteurs préparent la prochaine catastrophe monétaire et la pénurie de métaux précieux. Ainsi voyons-nous, au delà de la guerre commerciale et des tensions qu’elle suscite entre les États-Unis et la Chine, qu’il existe une collaboration à un niveau supérieur.
Comment expliquer certaines températures élevées connues à l’été 2018, alors que le cycle de
refroidissement global est déjà enclenché ? Le signal annonciateur du retournement du cycle climatique est caractérisé par des écarts de température très prononcés, parfois d’un jour à l’autre. Cela a été constaté en France, au moins depuis 2017. En fait, ces écarts de température traduisent l’action des courants G, en haute altitude : se déplaçant à 200 km/h, transportant chaud et froid, oscillant entre de l’air polaire et de l’air tropical, ils provoquent (de ce fait)
d’importantes variations de température.
Cet été 2018, ces courants G ont dispersé les nuages et provoqué certaines sécheresses. Mais cela ne remet nullement en question les conséquences liées au ralentissement de l’activité solaire, annonciateur d’un refroidissement mondial. D’ailleurs, les dernières données publiées par le Godard Institute for Space de la de nombreuses serres sur son territoire), mais également du point de vue militaire. C’est ainsi qu’entre 2012 et 2017, le nombre de missiles de croisière de longue portée a été multipliée par 30 ; les effectifs contractuels des forces armées ont été multipliés par 2,4.
Comment provoqueront-ils l’effondrement du dollar US ?
Selon la source que nous avons appelée « Lionel », les secousses devaient débuter au printemps 2018 (sous la forme de problèmes commerciaux – ce fut le début de la guerre commerciale initiée par D. Trump) et se prolonger en prenant de plus en plus de consistance. Or, nous avons constaté que la progression du dollar provoquait précisément les conséquences attendues par les banquiers internationaux : à savoir la déstabilisation des pays endettés dans la devise   américaine, et une pression sociale sur les gouvernements obligés à chercher des alliances avec le tandem Russie-Chine, dirigeant le « bloc-or ». Cette tendance est bien évidemment NASA, sur la période allant de février 2008 à février 2018, a montré que les températures moyennes mondiales avaient diminué de 0,56°C. Les écarts de température que nous avons pu constater au cours des deux dernières années, justifient aussi l’expression ‘‘dérèglement climatique’’  employée désormais par les mondialistes, au lieu et place de ‘‘réchauffement climatique’’. En attendant, les mondialistes ont utilisé cette fable pour procéder à une série de taxations du
contribuable, où qu’il vive.
Certains en sont conscients ! N’est-ce pas le cas, en France, du mondialiste Nicolas Hulot, qui a récemment annoncé sa démission du gouvernement E. Philippe ?
Celle-ci pourrait se résumer par une formule bien connue : les rats quittent le navire. Ce personnage, qui a bien vécu grâce à l’industrie agro-chimique polluante, qui a collaboré avec la Synagogue de Satan en faisant très régulièrement la promotion de la fable du réchauffement climatique provoquée par l’homme, sait qu’il ment et que l’actualité va bientôt le confondre, ainsi que les menteurs qu’il avait décidé de servir. Il s’en est allé… les poches bien pleines. Lui, au moins, possède l’art d’avoir habilement exploité la cupidité des idiots utiles qui ont longtemps fait de lui la personnalité la plus aimée en France souhaitée par la Haute finance, si on regarde, par exemple, ce qui se passe en Arabie saoudite.
En effet, le prince Mohammad bin Salman, successeur du roi, a constitué un énorme fonds d’investissement pour un projet économique grandiose appelé Vision 2030. De manière générale, d’aucuns considèrent cet énorme fonds d’investissement comme un fonds public du royaume saoudien. En réalité, ce fonds d’investissement public est largement financé par des
structures financières américaines « dollarisées » comme le Carlyle Group, la banque d’affaires
Goldman Sachs, mais aussi Blackstone et Blackrock.
Nous avons ainsi une preuve supplémentaire que la Haute finance de Wall Street a pris en compte un (futur) renversement de situation où le dollar ne serait plus la monnaie de réserve mondiale.
Dernièrement, nous avons vu que les gouvernements européens n’étaient pas sanctionnés pour rechercher une alliance avec des pays alliés de l’Iran. Courant août, on a également assisté à une rencontre importante entre Vladimir Poutine et Angela Merkel, pleine de promesses. Depuis, des politiciens d’envergure ont exprimé ce que pense le milieu d’affaires allemand : les chefs d’entreprise veulent, d’une manière ou d’une autre, que le politique propose des solutions pour contourner les sanctions américaines. Nous y reviendrons dans ce numéro.
Depuis le (parfait) timing dévoilé le 21 janvier 2017 par « Lionel », la Russie s’est débarrassée de plus de 70% de ses bons du Trésor américain et continue d’augmenter, au fil des mois, ses achats d’or physique sur le marché international.
Les puissants ayant assuré l’élection de Donald Trump, leur marionnette (cf. série LISO  259-267), entretiennent un climat politique nauséabond de suspicion permanente. Faut-il alors conclure que les prochaines élections américaines de mi-mandat (novembre 2018), marqueront le début d’un tremblement de terre politique aux États-Unis ?
En tout cas, notre rédaction avertit solennellement le lecteur que les mois de novembre-décembre 2018 devraient nous engager dans une nouvelle phase plus brutale sur le plan monétaire (et conséquemment sur de nombreux domaines associés). Il est également évident que dans l’hypothèse d’une reprise du pouvoir au Congrès par les démocrates, l’électorat de Donald Trump accepterait très difficilement une procédure d’impeachment éventuellement engagée par ces derniers. Les États-Unis pourraient alors se trouver dans une situation quasi-insurrectionnelle.
Serait-ce le moyen choisi pour déstabiliser la devise américaine ou en sera-ce un autre ? En attendant, que penser des déclarations du président Trump faites à la chaîne Fox News, le
23 août ?
« Si jamais j’étais destitué, je pense que les marchés s’effondreraient et que chacun deviendrait plus pauvre. » Il s’exprimait au moment où son ancien avocat personnel, Michael Cohen, affirmait sous serment avoir acheté, à la demande de Donald Trump, le silence de deux maîtresses présumées, en vue de ne pas compromettre sa campagne présidentielle de 2016. Ce même Michael Cohen, accusé de violation des lois sur le financement électoral, a passé un accord de négociation de peines avec les autorités, pouvant l’amener à collaborer avec le procureur spécial Robert Mueller, chargé de l’épineuse enquête sur le dossier russe.
Les commentaires du président Trump à propos des marchés financiers, mais également du dollar, sont à prendre très au sérieux.
Dans la perspective d’une révolution politicienne aux États-Unis, la banque centrale américaine
interviendrait-elle en reprenant une politique d’assouplissement quantitatif ? Une telle décision
précipiterait le dollar dans une chute sans fond… Le désordre monétaire serait au comble. Ce serait le début d’une panique.
Il existe une manière d’aborder les choses à la lumière des trois documents que nous avions
publiés, à l’époque de l’administration Bush, concernant la nazification des États-Unis d’Amérique.
Nos anciens lecteurs se souviendront des sommes faramineuses dépensées par l’administration néoconservatrice pour la mise en état de futurs camps d’internement sur l’ensemble du territoire américain.
Il y a quelques années, en juillet 2014 précisément, le Banquier anonyme confiait à la rédaction que la prochaine réforme monétaire aboutirait à la création de deux dollars en circulation pour les États-Unis : un dollar pour les usages intérieurs ; un dollar pour les échanges extérieurs. Cela
signifierait que les États-Unis passeraient par une série d’événements tumultueux, pouvant aboutir à une fermeture des frontières. D’où notre vigilance sur les manipulateurs de l’opinion et des élections présidentielles pourraient ainsi être préservés de toute suspicion puisqu’ils ont toujours fait croire que Donald Trump cherchait à combattre l’État profond, ces forces obscures travaillant contre l’intérêt du citoyen américain…alors qu’il en est la marionnette, d’ailleurs extrêmement docile.
les signaux envoyés par Donald Trump à travers ses déclarations. Il connaît le scénario déjà écrit par les maîtres de l’Échiquier. En effet, dans la dernière série de LISO (259-267), il est clairement mis en lumière que ce dernier n’est que la marionnette du syndicat Rothschild. Aussi doit-on, plus que jamais, analyser ses déclarations sous l’angle du projet décrit par le Banquier anonyme.
Depuis le début du XXe siècle, les sociétés secrètes ont souvent eu recours à des coups d’État artificiels pour imposer des régimes d’austérité et une dictature. Il est évident qu’un tel type de régime, décidé à la suite d’événements fallacieux, artificiellement générés (un simulacre de
coup d’État) par des opposants sous perfusion financière du cartel bancaire, pourrait agir au nom des valeurs conservatrices que prétend défendre Donald Trump, et justifier une dictature militaire.
Rappelons que, Donald Trump à peine investi, les courants gauchistes financés par le milliardaire George Soros furent très actifs. Est-ce que la Main anonyme recourra à de telles troupes pour mettre en place le pouvoir fort nécessaire pour verrouiller les contestations des citoyens découvrant tout à coup qu’ils sont en voie d’être ruinés ?
Pourquoi évoquer un tel scénario ?
Un autre élément vient confirmer cette hypothèse.
Lors de la réunion annuelle des banquiers centraux, fin août, le président de la banque centrale
américaine Jérôme Powell a prononcé cette phrase sibylline : « Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour réagir à une éventuelle hausse de l’inflation ou à une crise ».
Pourquoi avoir rafraîchi l’ambiance en jouant aux Cassandres ? Les conditions seraient en tout cas réunies pour lâcher l’élastique sur les métaux.
Le scénario monétaire de LIESI Cela dit, nous anticipons donc que la période novembre-décembre 2018 marquera très probablement un point bas pour les métaux précieux.
L’élastique devrait alors être suffisamment bien tendu. Si le premier semestre 2019 s’annonce
comme le début de la tempête du siècle, sur le front des monnaies internationales, chacun a tout
intérêt à régler ses affaires dans une telle perspective. C’est le conseil donné par la rédaction
de LIESI à ses lecteurs.

Pourquoi, selon vous, la banque centrale russe, mais aussi les oligarques du groupe des siloviki de Saint-Pétersbourg, accélèrent-ils leur ramassage d’or physique ? La source « Lionel » a confié, en effet, que quelques oligarques très influents au Kremlin, demandèrent l’exécution d’achats de lingots d’or à un rythme accéléré à partir du milieu de l’été dernier.
Depuis le voyage de V. Poutine et sa rencontre avec la chancelière Merkel, le ministre allemand des Affaires étrangères Heiko Maas exhorte ses partenaires européens à « réexaminer le partenariat avec les États-Unis », écrit le journal Handelsblatt.
Entre autres, est évoquée la mise en place d’un système de paiement mondial indépendant du
dollar. Cela permettrait à l’Europe de continuer à faire des affaires avec l’Iran.
Une date importante à encadrer le 4 novembre 2018, les États-Unis vont exclure l’Iran de la communauté internationale, en coupant l’Iran du réseau Swift qui relie plus de 11 000 banques à travers le monde.
Que les Allemands suivent la Russie et la Chine dans la perspective de CRÉER UN SYSTÈME
FINANCIER AUTONOME par rapport aux États-Unis, confirme notre analyse prévisionnelle en faveur de jours très sombres pour le dollar US. C’est aussi ce que vient d’admettre Rhorsten Benner, du think tank berlinois Global Public Policy Institute.

LES RATS QUITTENT LE NAVIRE
Bien des personnalités ayant travaillé à la prochaine crise présument d’une impuissance divine. Ils cherchent à se protéger des événements prochains, comme nous le verrons dans le N° 408. Ils oublient cependant cette sentence : « Maudit celui qui se confie en l’homme ».
Le livre d’Esther (XIII, 9) rappelle aussi : « Tout est soumis à votre empire, ô mon Dieu ».
L’Écriture nous dit que “pas un passereau ne tombe à terre sans la permission du Père” (Mt 10 : 30). A fortiori pas un épisode historique ne pourrait se dérouler sans la prescience ni l’accord divin. Abraham Lincoln fut élu au Congrès en 1846 (John Fitzgerald Kennedy, en 1946), puis à la Présidence en 1860 (Kennedy en 1960).
A un siècle d’intervalle, tous deux furent concernés par les droits civils de la minorité noire, et leurs épouses Dans la programmation des événements évoqués, il faudra toujours (jusqu’à la prise du pouvoir en France par les troupes soviétoislamistes) faire un arrêt sur image sur
l’étonnante confession faite, dans les années 80’, par le transfuge soviétique Iouri Bezmenov.
L’actuelle période dite de la « déstabilisation » doit accoucher d’une « crise » économique de l’Occident, crise qu’avait également évoquée Lénine.
LIESI a largement étayé l’argumentation selon laquelle cette crise serait avant tout d’ordre
monétaire et que le dollar se trouverait en première ligne.
Ce que finissent de mettre en œuvre les propriétaires des principales banques centrales, doit servir de « chaos constructif » pour l’achèvement de la nouvelle Babel antichristique. Plus précisément, l’objectif recherché par le syndicat Rothschild, missionné pour exécuter le programme du Conseil des Treize, vise à la fois la destruction de la nation et de la civilisation chrétienne perdirent un (ou plusieurs) enfants à la Maison Blanche. Lincoln eut un secrétaire nommé Kennedy, et Kennedy eut un secrétaire nommé Lincoln. Tous deux furent assassinés un vendredi, atteints à la tête. Ils eurent pour successeurs deux hommes du Sud nommés Johnson :
Andrew Johnson, né en 1808, et Lyndon Johnson, né en 1908. Les deux assassins venaient du Sud. John Wilkes Booth, né en 1839, assassina Lincoln dans le Ford’s Theatre, s’enfuit du théâtre et fut pris dans un entrepôt.
Lee Harvey Oswald assassina Kennedy dans une Ford “Lincoln”, s’enfuit de l’entrepôt d’où il avait tiré et fut pris dans un théâtre.
La comparaison des deux assassinats montre que l’histoire est nécessairement divine. Les deux crimes restent à ce jour non élucidés, d’autant que Booth comme Oswald furent eux-mêmes assassinés en prison avant d’être jugés.

BRÈVES DE LIESI JUILLET 2018

GEOPOLITIQUE
La nouvelle stratégie militaire américaine – Procès Iran-USA  devant la CIJ : à quoi peut-on s’attendre? – L’administration américaine peut-elle donner des leçons à l’Iran ? – Washington
menace de sanctions les juges de la CPI s’ils poursuivent des Américains – La face cachée d’Amazon – La Maison Blanche va t-elle ordonner une attaque majeure contre la Syrie ? – États-
Unis : que pourrait-il se produire si les Républicains perdaient les élections de novembre 2018 ? – Le fonds souverain saoudien mise gros pour diversifier l’économie – La vaccination est-elle
employée pour introduire des nanopuces dans le corps humain ? – Une société du Wisconsin propose la micro-puce et ses employés.

EUROPE
France : “Une vingtaine” de détenus condamnés pour terrorisme va sortir de prison cette année –
Seine-Saint-Denis : l’Etat est désemparé face à l’ampleur du nombre de clandestins – France : «
Dans une logique clanique, les émeutiers s’en prennent aux infrastructures de l’État » – En cas
de crise bancaire sera t-on vraiment remboursé comme le prétendent les politiques ? – Le budget
italien suscite de plus en plus d’inquiétudes – Commentaire sur la Révolution en marche.

ECONOMIE / FINANCE
Que font les Rothschild en dehors du système bancaire ? – Blackrock a le monde dans sa poche (Actionnaire dans 52 sociétés belges – Investisseur passif ou actionnaire actif ? – Amende record en Allemagne – Les « Big 3 » – Stratégie de vote centralisée – Attitude contradictoire en Belgique – Entre la peste et le choléra – L’effet de cartel – Beaucoup de belles paroles).

+ BRÈVES RELIGIEUSES

La Cabale des Hébreux, de Paul Drach (1791-1868) – De l’avenir, il y a une certitude : je vais
mourir ! – Prière de la bonne mort, par saint Jean Bosco – Le pontife François se présente des
ecclésiastiques homosexuels et pédophiles – « Beaucoup de prêtres vont en enfer ».

GEOPOLITIQUE
Richard H. Black met en lumière les incohérences de la politique américaine en Syrie – L’Ukraine et la question orthodoxe sont un même sujet pour le KGBiste Poutine – Jérôme Kerviel et le jackpot français du 11-Septembre.
– La diplomatie américaine épinglée dans la guerre biologique – Alexandre Douguine interrogé par V. Bugault – Ventes d’armes russes : Washington allonge sa liste noire et sanctionne la Chine.

EUROPE
Londres a engagé une guerre contre le cash – L’allemand Weber veut être le prochain président
de la Commission européenne – L’économie européenne est menacée par les futures sanctions
américaines contre l’Iran – France : les premières victimes de la retenue à la source – Deutsche
Bank, un Lehman Brothers en pire au cœur de l’Europe.

ECONOMIE / FINANCE
Trump veut supprimer la publication des résultats trimestriels – Plongeon des devises émergentes – Le Venezuela s’enfonce dans une crise humanitaire grave – Turquie et autres pays émergents face aux États-Unis : la guerre commerciale est-elle en train de muter en une guerre des monnaies ? – De l’importance du marché américain des actions :
exemple japonais – Crise 2008 : les collectivités locales auront mis 10 ans à purger leurs  emprunts “toxiques” – Le crépuscule de l’euro ?

+ BRÈVES RELIGIEUSES
« Beaucoup de prêtres vont en enfer » – Saint Pierre Damien expose la doctrine du Christ à l’apostat François – 19 septembre 2018 :
anniversaire du message de la Salette – Les âmes du Purgatoire – Prière que récitait le Padre Pio après la sainte Messe – La mission d’un évêque selon saint Alphonse de Liguori – Comparaison entre la société des temps apostoliques et aujourd’hui.

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