LETTRE OUVERTE AUX PRÉSIDENTS DES CONSEILS DE L’ORDRE ET À TOUS MES CONFRÈRES CLINICIENS


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Par Jean Stevens

Nouveau-Monde.ca

Vendredi, 08 oct. 2021 17:38 UTC

Chers amis,

Lettre ouverte aux autorités que mon papa (médecin retraité et chercheur vivant en France et vacciné à regret) a rédigée après avoir enfin creusé les sujets Covid-19 et vaccins. Ces sujets ne l’avaient pas fort intéressé jusque-là, puis il a décidé d’ouvrir les placards… et gloups.

6 pages qui valent la peine d’être lues et diffusées intelligemment je trouve.

Amicalement, Julie

Julie Stevens

À La Hulpe


Marsac le 01/10/2021

Cher Confrère,

Je suis médecin, retraité depuis 5 ans et fort de 45 ans d’une expérience clinique particulièrement éclectique : médecine hospitalo-universitaire, médecine interne, médecine générale (en Belgique) et cardiologie (en France). Depuis ma retraite, je ne n’avais suivi que de loin l’épidémie de Covid-19 jusqu’à ce que, il y a quelques mois, suivant les conseils des « autorités » politiques et sanitaires, je reçoive, la seconde injection du Vaccin Astra-Zeneca. Or, depuis lors, je souffre de douleurs musculaires diffuses et de transpirations à l’effort qui me donnent le sentiment d’avoir vieilli de 10 ans. Ces effets secondaires invalidants ainsi que l’émergence évidente, dans mon entourage proche, d’autres effets secondaires nullement bénins et d’une défiance croissante vis-à-vis des contraintes imposées par ces « autorités » m’ont poussé à tenter d’éclairer au mieux ma lanterne. Et si j’écris cette lettre, c’est parce que je sors atterré de ce que j’ai découvert.

J‘ai très logiquement cherché d’abord les données scientifiques et médicales objectives concernant cette nouvelle maladie, mais en y incluant intentionnellement le discours de ces confrères cliniciens éprouvés ou de ces scientifiques à la compétence incontestée que ces mêmes « autorités » et la plupart des médias qualifient — depuis la pandémie — de « complotistes ». La raison en est que l’Histoire nous a très souvent appris que les « complotistes » vilipendés un temps par les « autorités » en place s’avèrent devenir, quelques années plus tard, des héros, des « résistants » au pouvoir en place et des sauveurs de notre humanité et de ses valeurs profondes. Nous applaudissons ainsi aujourd’hui ceux qui ont résisté aux autorités nazies comme ceux qui se battent pour la défense de ces mêmes valeurs en Afghanistan, en Russie ou en Chine. Notez que ces « complotistes » sont toujours, au départ, largement minoritaires. La vérité et la vertu exigent du courage et riment rarement avec le discours majoritaire du pouvoir en place.

J’ai eu la chance de découvrir, dès le début de mon enquête, une vidéo publiée en juin dernier par un médecin américain de réputation internationale, le Dr Richard Fleming.1 En quatre heures de conférence, il brosse un tableau du « dessous des cartes » de cette épidémie qui font frissonner d’horreur en moi autant le passionné de science que le vieux clinicien. Son discours me convainc parce qu’il fonde ses propos exclusivement sur des faits objectifs, vérifiables et incontestables (émanant de documents publiés par les institutions qui ont « autorité » dans leur domaine. Je suis de plus particulièrement sensible à son discours parce qu’il a une formation et une expérience très proche de la mienne (clinicien en médecine interne et cardiologie et chercheur depuis 53 ans). Son palmarès est prestigieux : 500 publications scientifiques et une théorie des maladies cardiovasculaires aujourd’hui reprise dans les classiques « textbooks » de cardiologie. Quant à son enquête — fouillée et compétente —, elle présente tous les signes d’une grande rigueur scientifique et morale. Comme les conclusions qu’il tire de son enquête sont diamétralement opposées à ce que nous présentent lesdites « autorités », il me semble que, selon leurs critères, son discours devrait être qualifié de « complotiste ».

Le scientifique et le clinicien en moi se trouvent donc confrontés à un dilemme moral. Si je pratiquais encore, devrais-je me fier aveuglément aux contraintes imposées par les « autorités » ou au contraire écouter mon « intime conviction » — à savoir que ses propos sont fondés — et donc entrer en « résistance » ? Heureusement, je ne pratique plus la médecine, ce qui m’offre une liberté d’expression que n’ont plus les cliniciens en fonction puisque ceux qui ne soumettent pas aux règles imposées par lesdites « autorités » sont menacés de perdre leur autorisation de pratiquer.

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Source :  SOTT Signs Of The Times

PLEINSFEUX.ORG

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