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Le Ministre des Affaires Étrangères de la Hongrie met en garde contre les pressions de l’ONU en faveur d’une migration de masse menaçant « toute l’humanité ».
Par Paul Joseph Watson – Le 12 février 2020
Une menace très sérieuse pour l’humanité tout entière
Et, il dit que le financement de la lutte contre le terrorisme est détourné vers des programmes de migration de masse.
Le Ministre des Affaires Étrangères de la Hongrie, Péter Szijjárto, prévient que l’Organisation des Nations Unies dépensent de l’argent pour faciliter un programme de migration de masse qui menace « toute l’humanité ».
Au lieu de dépenser de l’argent pour lutter contre le terrorisme, l’ONU finance des programmes qui encouragent les gens à quitter leur patrie et à se diriger vers les pays occidentaux, a déclaré Szijjártó lors d’une conférence à Vienne, mardi.
Ce processus de migration de masse représente « une menace très sérieuse pour l’humanité tout entière », a déclaré Szijjártó.
« Nous appelons l’ONU à inclure dans son budget la lutte contre le terrorisme … et à dépenser moins pour les migrations », a déclaré le ministre lors de la conférence organisée par l’ONU.
Adopté en 2018, le Pacte des Nations Unies sur les migrations n’est pas juridiquement contraignant, mais les gouvernements subissent des pressions internationales pour suivre ses mandats.
L’eurodéputée britannique Janice Atkinson a averti que le pacte pourrait entraîner l’inondation de l’Europe avec 59 millions de nouveaux migrants dans les 6 prochaines années.
L’eurodéputé néerlandais Marcel de Graaff a également déclaré que le pacte graisserait “les pattes” des lois qui criminaliseraient la critique de l’immigration de masse comme un discours haineux.
Les généraux français qui ont signé une lettre ouverte accusant le président Macron de « trahison » pour avoir engagé la France dans le pacte ont été par la suite frappés de sanctions disciplinaires.
Alors que la Grande-Bretagne et de nombreux autres pays occidentaux ont signé le pacte migratoire, les États-Unis ont refusé de le faire.
Un document de l’Organisation des Nations Unies de 2001 intitulé : « La migration de remplacement : Est-ce une solution au déclin et au vieillissement des populations ? » Le document décrit un plan visant à inonder l’Amérique et l’Europe de centaines de millions de migrants afin de maintenir les niveaux de population.
Dans le scénario le plus grave, un grand nombre de migrants devront « maintenir le ratio de soutien potentiel » (d’une population) au plus haut niveau.
Dans le cas des États-Unis, dans le scénario le plus extrême, le rapport déclare : « Il faudrait avoir 593 millions d’immigrants de 1995 à 2050, soit une moyenne de 10,8 millions par an ».
« D’ici 2050, sur une population totale de 1,1 milliard aux États-Unis, 775 millions, soit 73%, seraient des immigrants de 1995 ou de leurs descendants », ajoute le rapport.
Dans le cas de l’Europe, le document affirme qu’au moins 159 millions de travailleurs migrants devront entrer d’ici 2025 afin de « maintenir le solde actuel de 4 à 5 travailleurs pour un retraité ».
Dans le pire des cas, 1,4 milliard de migrants seraient nécessaires d’ici 2050, soit en moyenne 25,2 millions par an. Cela signifie que d’ici 2050, la population européenne sera de 2,3 milliards, dont 1,7 milliard, soit près des trois quarts, seront des migrants ou leurs descendants.
Source: Prison Planet
Traduit par PLEINSFEUX
