Mère nature ou colère de Dieu


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Par Terry Watkins

La destruction de l’ouragan Katrina a déclenché une catastrophe comme notre nation n’en a jamais rencontrée. Comme un missile téléguidé, Katrina a exécuté une mission d’extrême dévastation. En dépit de nos progrès technologiques, dans les ordinateurs, dans les satellites, dans les soins de santé et dans les tonnes d’innovations ahurissantes, notre nation est restée sans voix et sans défense.

Il semblait tout ce qui pouvait mal tourner, a mal tourné. La rupture des digues de la Nouvelle-Orléans ; Les milliers de victimes piégées ; Le pillage incessant ; Les crimes pervers ; L’escalade des prix de l’essence ; L’effondrement complet des infrastructures de la nation pour aider en cas de catastrophe ; Chaque jour  après l’ouragan Katrina amenait de nouveaux cauchemars ; Chaque jour après Katrina nous amenait la terrible nouvelle que quelque chose avait mal tourné. Les conséquences de Katrina se révélaient très profondes et de plus en plus meurtrières. Notre nation et le monde entier assistaient incrédules alors que le cauchemar de Katrina grandissait et maintenait la plus puissante nation du monde en otage dans son emprise dévastatrice. Beaucoup se demandent :

« Pourquoi ?… Pourquoi Dieu a-t-il permis cette tragédie ? »

Ce commentaire tente de répondre à cette question. . .

Permettez-moi d’abord de vous dire que mes remarques ne sont pas sans aucune sympathie pour les milliers de victimes de l’ouragan Katrina et mes remarques ne sont pas enracinées dans aucun programme politique. L’auteur n’est ni républicain ni démocrate. Je me souviens de ce jeune garçon lorsqu’on lui a demandé : « Êtes-vous républicain ou démocrate ? »  Sa réponse simple, mais sincère a été : « Je suis chrétien. »

Cet article est une interprétation de l’ouragan Katrina d’un croyant dans la Bible. Notre Seigneur nous a ordonné de… « Discerner les signes des temps. » (Matthieu 16:3)  Oui, nous pourrions facilement nous mettre la tête dans le sable tout en prétendant que Dieu ne savait rien de la colère de Katrina. Oui, nous pourrions tout aussi bien prétendre que Mère Nature a provoqué Katrina. Oui, nous le pourrions, mais nous aurions tort.

Est-ce que Dieu envoie un message à l’Amérique ?

La présence et la puissance de Dieu ne devraient jamais être négligées dans la tragédie. En tant que chrétiens croyant dans la Bible, nous devrions toujours être fidèles à nous « examiner » nous-mêmes et notre nation. Nous ne devrions jamais bêtement nous fermer les yeux et les oreilles à un éventuel message de notre Seigneur.

« Et quand il m’exaucerait, si le l’invoque, je ne croirais pas qu’il eût écouté ma voix. » Psaumes 09:16

« Et qu’ils sachent que c’est ta mains, que c’est toi, Éternel, qui l’as fait ! » Psaumes 109:27

Une victime étourdie et secouée de Katrina, debout dans les rues en ruines et ravagées de la Nouvelle-Orléans, a choqué un reporter en disant : « C’est la main de Dieu. Avez-vous regardé la trajectoire de Katrina changer? Avez-vous vu comment Katrina a maintenu le cap sur la Nouvelle-Orléans ? »  Elle ajoute ensuite ; « L’Amérique a besoin de se repentir ! »

Katrina était-elle la colère et le jugement de Dieu ?

Tous les chrétiens qui croient dans la Bible savent que rien n’arrive sans la connaissance et la prescience de Dieu. Le Seigneur Jésus a dit dans Matthieu 10:29, que si un simple petit oiseau tombe à terre, Dieu le sait. Le Seigneur a dit ensuite, « … Et même les cheveux de votre tête sont tous comptés. » (Matt. 10:30)  Rien ne peut prendre le Seigneur par surprise. Le moindre événement n’échappe pas à son œil omniprésent. Zacharie 4:10 dit, « Car ceux qui méprisaient le jour des faibles commencements se réjouiront en voyant le niveau dans la main de Zorobabel. Ces sept sont les yeux de l’Éternel, qui parcourent toute la terre. »

Certes, le Seigneur connaissait la dévastation et la mort à venir de Katrina.

Les Ecritures révèlent que de nombreuses catastrophes « naturelles » sont des instruments de la colère provenant de la main de Dieu. Le feu et le soufre qui sont tombés et ont détruit Sodome et Gomorrhe nous viennent rapidement à l’esprit. N’oublions pas que la colère de Dieu a autrefois exterminé toute vie sur toute la terre, à l’exception de Noé et de sa famille. L’Ancien Testament témoigne à maintes reprises des jugements de Dieu. Le roi David s’est incliné devant la tentation de Satan pour le dénombrement d’Israël et un Dieu en colère a exterminé 70,000 hommes (1 Chroniques 21:14). Nous avons lu au sujet de la main de Dieu dans la destruction divine de Jéricho (Josué 6:20), la fin des royaumes de Babylone, d’Assyrie, d’Egypte, des Amalécites (1 Samuel 15:8) parmi tant d’autres.

Les Écritures établissent que Dieu crée, contrôle et même commande la météo. Amos 4:13, dit : « Car voici celui qui a formé les montagnes et créé le vent… » Plusieurs fois, Dieu emploie précisément le vent pour faire parvenir son message. Il suffit de le demander au prophète nommé Jonas. Jonas 1:4 dit, « Mais l’Éternel fit souffler sur la mer un vent impétueux, et il s’éleva sur la mer une grande tempête. Le navire menaçait de faire naufrage. » Demandez aux apôtres apeurés après avoir vu le Seigneur Jésus réprimander tranquillement ; « Il s’éleva un grand tourbillon et les flots se jetaient dans la barque…et il dit à la mer : Silence ! Tais-toi !… Et le vent cessa, et il y eut un grand calme. » La Bible rapporte l’étonnement des apôtres ; « Ils furent saisis d’une grande frayeur, et ils se dirent les uns aux autres : Quel est donc celui-ci, à qui obéissent même le vent et la mer ? » (Marc 4:41)

Les Ecritures révèlent à de nombreuses reprises que le Seigneur Dieu utilise le vent comme son instrument d’action. En fait, de toutes les ressources de l’environnement à sa disposition toute-puissante, le vent apparaît comme son premier choix. Les passages suivants, parmi des dizaines d’autres, fournissent nos preuves :

« C’est pourquoi ainsi parle le Seigneur, l’Éternel : Je ferai, dans ma fureur, éclater la tempête ; Il surviendra, dans ma colère, une pluie violente ; Et des pierres de grêle tomberont avec fureur pour détruire. J’abattrai la muraille que vous avez couverte de plâtre, je lui ferai toucher la terre, et ses fondements seront mis à nu ; Elle s’écroulera, et vous périrez au milieu de ses ruines. Et vous saurez que je suis l’Éternel. » Ézéchiel 13:13-14

« Moïse étendit sa verge sur le pays d’Égypte ; Et l’Éternel fit souffler un vent d’orient sur le pays toute cette journée et toute la nuit. Quand ce fut le matin, le vent d’orient avait apporté les sauterelles. » Exode 10:13

« L’Éternel fit souffler un vent d’occident très fort, qui emporta les sauterelles, et les précipita dans la mer Rouge ; Il ne resta pas une seule sauterelle dans toute l’étendue de l’Égypte. » Exode 10:19

« Moïse étendit sa main sur la mer. Et l’Éternel refoula la mer par un vent d’orient, qui souffla avec impétuosité toute la nuit ; Il mit la mer à sec, et les eaux se fendirent. » Exode 14:21

Et les Écritures démontrent clairement que Dieu emploie les grands vents pour juger et détruire des nations. L’Ancien Testament retire le rideau de l’histoire et de la tragédie pour révéler le jugement de Dieu. Les Écritures nous informent que de nombreuses catastrophes que nous qualifions de catastrophes naturelles, ne sont pas naturelles et ne sont pas des accidents.

« L’Éternel desséchera la langue de la mer d’Égypte, et il lèvera sa main sur le fleuve, en soufflant avec violence ; Il le partagera en sept canaux, et on le traversera avec des souliers. » Esaïe 11:15

« Ainsi parle l’Éternel : Voici, je fais lever contre Babylone, et contre les habitants de la Chaldée, un vent destructeur. » Jérémie 51:1

Katrina n’était pas un accident. Katrina n’était pas une catastrophe naturelle. Katrina n’était pas une coïncidence climatique de Dame Nature. Katrina était un avertissement du Seigneur.

Rappelez-vous que Katrina devait se produire avec la connaissance et la prescience de Dieu. Raisonner autrement rejette les Écritures et nie la présence souveraine d’un Dieu Tout-Puissant.

Avec cette fondation solide dans la tête, nous pouvons nous demander ; « Pourquoi Dieu permet-il à Katrina de secouer l’Amérique ? »  Et, plus important encore ; « Quel message du Seigneur était enveloppé dans Katrina ? »
Pouvons-nous tenter de répondre à une telle question ?

Non seulement nous le pouvons, mais nous le devons !

Si le Seigneur envoie un message à l’Amérique, il est critique et il est essentiel pour nous de « trouver le message ».

Si Katrina a été effectivement un sévère avertissement du Seigneur, la réponse ne devrait pas être difficile à trouver. Je crois que la réponse claire et précise existe dans les Écritures . . .

Certains chrétiens ont dirigé la colère de Dieu dans Katrina vers les casinos du Mississippi ou les fosses du péché et de la sodomie qui font rage dans la Nouvelle-Orléans. Il a été noté que Katrina a détruit la Nouvelle-Orléans, quelques jours seulement avant la fête homosexuelle dépravée convenablement appelée la « Décadence du Sud ». Même si notre Dieu Tout-Puissant condamne farouchement et juge de tels péchés, je ne crois pas que c’était la mission de Katrina. Katrina n’a pas seulement détruit les casinos, ou le trou infernal de la parade homosexuelle de la Nouvelle-Orléans. Katrina était un avertissement pour la nation entière. Katrina a meurtri et a battu l’âme de l’Amérique.

Il n’y a aucun doute dans mon esprit que pendant de nombreuses années, comme pour le serviteur de Dieu, Job (Job 1:10), Dieu a placé un mur de protection autour de l’Amérique. Et, comme Job (Job 1:12), il semble que Dieu est en train de retirer ce mur.

Le 11 septembre 2001, Dieu a enlevé son mur de protection autour de l’Amérique. Le 11 septembre 2001, Dieu a aveuglé les yeux protecteurs de l’Amérique. En ce jour terrible, l’Amérique était en état de « choc et de

stupeur » pendant que plus de 2700 personnes étaient sauvagement assassinées par des terroristes. Toutes les précautions et toutes les préventions ont fait la sourde oreille et sont devenues aveugles. Plusieurs journalistes et commentateurs ont fait remarquer qu’il leur semblait que « l’Amérique portait des œillères ». Le Congrès a troublé l’audience après avoir demandé :

« Comment avons-nous pu rater les signaux d’alerte ? »  Nous ne les avons pas ratés. Nous ne pouvions tout simplement pas les voir. Quelque chose d’inhabituelle et quelque chose de terrible s’est passé en Amérique le 11 septembre. La catastrophe était bien pire que la tragédie du 11 septembre. . . Dieu a enlevé son mur de protection.

Que s’est-il réellement passé le 11 septembre ?

Plusieurs jours avant 11 septembre 2001, des terroristes violents ont secoué Israël. Je me souviens avoir vu les mères et les pères juifs transportant en pleurs les corps de leurs enfants aux nouvelles. Des enfants innocents ont été littéralement déchiquetés simplement parce qu’ils étaient juifs. Pendant ce temps, l’administration américaine interdisait et menaçait Israël de problèmes financiers s’ils ripostaient. Ce dimanche 9 septembre 2001, j’en ai fait la remarque à l’église, que si l’Amérique conservait cette attitude hostile envers Israël, l’Amérique subirait une attaque terroriste majeure. Je ne réalisais que deux jours après, l’Amérique subirait le plus grand attentat terroriste de son histoire.

Ne vous y trompez pas, Dieu a choisi la nation d’Israël comme son peuple. Que vous le vouliez ou non, et que vous le croyiez ou non, la main de Dieu, à la fois pour son plaisir et pour ses objectifs, repose sur la petite nation d’Israël.

« Car tu es un peuple saint pour l’Éternel, ton Dieu ; L’Éternel, ton Dieu, t’a choisi, pour que tu fusses un peuple qui lui appartint entre tous les peuples qui sont sur la face de la terre. » Deutéronome 07:06

« Car l’Éternel s’est choisi Jacob, Israël, pour qu’il lui appartient. »
Psaumes 135:4

« Mais toi, Israël, mon serviteur, Jacob, que j’ai choisi, race d’Abraham que j’ai aimé ! » Esaïe 41:8

« Tu leur diras : Ainsi parle le Seigneur, l’Éternel : Le jour où j’ai choisi Israël, j’ai levé ma main vers la postérité de la maison de Jacob, et je me suis fait connaître à eux dans le pays d’Égypte ; J’ai levé ma main vers eux, en disant : Je suis l’Éternel, votre Dieu. » Ezéchiel 20:5

« Maintenant, va, je t’enverrai auprès de Pharaon, et tu feras sortir d’Égypte mon peuple, les enfants d’Israël. » Exode 3:10

« Béni soit l’Éternel, ton Dieu, qui t’a accordé la faveur de te placer sur le trône d’Israël! C’est parce que l’Éternel aime à toujours Israël, qu’il t’a établi roi pour que tu fasses droit et justice. » 1 Rois 10:9

« Béni soit l’Éternel, ton Dieu, qui t’a accordé la faveur de te placer sur son trône comme roi pour l’Éternel, ton Dieu ! C’est parce que ton Dieu aime Israël, et veut le faire subsister à toujours, qu’il t’a établi roi sur lui pour que tu fasses droit et justice. » 2 Chroniques 9:08

« Quand Israël était jeune, je l’aimais, et j’appelai mon fils hors d’Égypte. » Osée 11:1

« J’habiterai au milieu des enfants d’Israël, et je serai leur Dieu. »
Exode 29:45

« Tu as affermi ton peuple d’Israël, pour qu’il fût ton peuple à toujours ; Et toi, Éternel, tu es devenu son Dieu. » 2 Samuel 07:24

« Tu as établi ton peuple d’Israël, pour qu’il fût ton peuple à toujours ; Et toi, Éternel, tu es devenu son Dieu. » 1 Chroniques 17:22

« Et elles sauront que moi, l’Éternel, leur Dieu, je suis avec elles, et qu’elles sont mon peuple, elles, la maison d’Israël, dit le Seigneur, l’Éternel. » Ezéchiel 34:30

« Race d’Israël, son serviteur, enfants de Jacob, ses élus ! »
1 Chronique 16:13

Quand Dieu appelle, sépare et rebaptise Jacob comme Israël, Il a proclamé à Israël ; « …car tu as lutté avec Dieu et avec des hommes, et tu as été vainqueur. » (Genèse 32:28)  Le nom d’Israël signifie littéralement « il régnera comme Dieu ».

Lorsque Dieu a destiné son fils à ce monde cruel afin de mourir pour les péchés de l’humanité, Il a choisi une jeune fille juive nommée Marie pour porter et donner naissance à son Fils bien-aimé. Dieu a confié les « oracles de Dieu » [Sa Parole] au peuple juif (Romains 3:2).

En 606 avant Jésus-Christ, à l’époque de Daniel, Nabuchodonosor a détruit la petite nation d’Israël. Pendant plus de 2,000 ans, la nation d’Israël n’existait pas. En 606 avant Jésus-Christ, Israël a littéralement été rayée de la carte.

En 1917, après la Première Guerre Mondiale, la fameuse Déclaration de Balfour réservait des terres en Palestine pour une patrie pour les Juifs errants. Mais, les Juifs ne sont pas revenus. Après l’holocauste d’Hitler résultant dans la folie meurtrière et l’assassinat de plus de 6 millions de Juifs, ils retournèrent chez eux. Pendant des centaines d’années, de nombreux chrétiens et étudiants de la Bible ne croyaient plus dans les promesses du Seigneur pour la reconstruction et le retour d’Israël dans ses terres. Cà ne semblait plus possible. Mais, Dieu n’est point un homme pour mentir, ni fils d’un homme pour se repentir. Ce qu’il a dit, ne le fera-t-il pas? Ce qu’il a déclaré, ne l’exécutera-t-il pas ? » (Nombres 23:19). Dans Esaïe 43, le Seigneur a promis qu’un jour il ramènerait Israël dans ses terres. Il les ramènerait de l’est, de l’ouest, du nord et du sud.

« Ainsi parle maintenant l’Éternel, qui t’a créé, ô Jacob! Celui qui t’a formé, ô Israël! Ne crains rien, car je te rachète, je t’appelle par ton nom ; Tu es à moi! Si tu traverses les eaux, je serai avec toi ; Et les fleuves, ils ne te submergeront point ; Si tu marches dans le feu, tu ne te brûleras pas, et la flamme ne t’embrasera pas. Car je suis l’Éternel, ton Dieu, le Saint d’Israël, ton sauveur ; Je donne l’Égypte pour ta rançon, l’Éthiopie et Saba à ta place. Parce que tu as du prix à mes yeux, parce que tu es honoré et que je t’aime, je donne des hommes à ta place, et des peuples pour ta vie. Ne crains rien, car je suis avec toi ; Je ramènerai de l’orient ta race, et je te rassemblerai de l’occident. Je dirai au septentrion : Donne ; Et au midi : Ne retiens point! Fais venir mes fils des pays lointains, et mes filles de l’extrémité de la terre. » Esaïe 43:1-6

Après la Seconde Guerre Mondiale, contre toute attente et contre tous les obstacles, et ils étaient nombreux, exactement comme le Seigneur l’avait prophétisé, de l’orient arrivèrent les Juifs de Shanghai et de Hong Kong ; de l’occident arrivèrent des milliers de Juifs de l’Egypte, du Maroc, de la Tunisie, de l’Algérie, de l’Europe, des États-Unis et de l’Amérique latine ; du nord arrivèrent plus de 20,000 Juifs de la Tchécoslovaquie, plus de 30,000 de la Turquie, 36,000 de la Bulgarie ; et du sud arrivèrent plus de 800,000 Juifs des terres des Arabes. La migration la plus importante et la plus spectaculaire d’un groupe de personnes se produisait. Comme promis, Dieu rappelait son peuple à la maison.

Et, en 1948, le plus grand accomplissement des prophéties et le plus grand miracle des Écritures depuis la résurrection du Seigneur Jésus s’est produit : La « résurrection » de la nation d’Israël. Il a été dit que la Première Guerre Mondiale avait préparé la terre d’Israël pour les Juifs, et que la Seconde Guerre Mondiale avait préparé les Juifs pour la terre.

Lorsque le Seigneur Dieu appela Abram et a prédit l’arrivée d’Israël, Dieu a émis un avertissement sévère concernant le traitement envers le peuple juif. « Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront… »  Aucune autre nation, aucun autre peuple n’a reçu une telle protection du Seigneur.

« Je ferai de toi une grande nation, et je te bénirai ; Je rendrai ton nom grand, et tu seras une source de bénédiction. Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront ; Et toutes les familles de la terre seront bénies en toi. » Genèse 12:2-3

« L’Éternel, ton Dieu, fera tomber toutes ces malédictions sur tes ennemis, sur ceux qui t’auront haï et persécuté. » Deutéronome 30:7

Ne vous y trompez pas, des nations s’élèvent et des nations tombent en raison de leurs relations avec Israël.

William Blackstone écrit au sujet d’Israël dans son classique Jésus arrive :
« Leur merveilleuse préservation comme un peuple distinct, à travers toutes les persécutions, toute les vicissitudes et les errances dans les 18 derniers siècles jusqu’à l’heure actuelle, est un miracle permanent qui atteste de la vérité de la Parole de Dieu, et nous assure de ses objectifs dans leur histoire future. Frédéric le Grand a dit à son chapelain : « Docteur, si votre religion est vraie, elle doit être capable de fournir des preuves très brèves et simples. Allez-vous me donner une preuve de sa vérité, en un seul mot. L’homme a répondu, « Israël ».
(Blackstone, William, Jésus arrive, Kregel Publications, Grand Rapids, MI, 1989 (1908) page 160)

Dieu jugera son peuple élu d’Israël, comme l’histoire en témoigne. Mais, malheur à la nation ou peuple qui les jugera et sera hostile envers le peuple juif. Les routes de l’histoire sont jonchées des restes de nations hostiles envers les Juifs.

Dans Matthieu 25, le Seigneur Jésus prévient du « jugement des nations » qui aura lieu après la Grande Tribulation. Les nations sont jugées (verset 40) en fonction de leurs traitements envers « mes frères » du Seigneur Jésus, les Juifs.

« Toutes les nations seront assemblées devant lui. Il séparera les uns d’avec les autres, comme le berger sépare les brebis d’avec les boucs ; Et il mettra les brebis à sa droite, et les boucs à sa gauche. Alors le roi dira à ceux qui seront à sa droite : Venez, vous qui êtes bénis de mon Père ; Prenez possession du royaume qui vous a été préparé dès la fondation du monde. Car j’ai eu faim, et vous m’avez donné à manger ; J’ai eu soif, et vous m’avez donné à boire ; J’étais étranger, et vous m’avez recueilli ; J’étais nu, et vous m’avez vêtu ; J’étais malade, et vous m’avez visité ; J’étais en prison, et vous êtes venus vers moi. Les justes lui répondront : Seigneur, quand t’avons-nous vu avoir faim, et t’avons-nous donné à manger ; Ou avoir soif, et t’avons-nous donné à boire? Quand t’avons-nous vu étranger, et t’avons-nous recueilli ; Ou nu, et t’avons-nous vêtu? Et le roi leur répondra : Je vous le dis en vérité, toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous les avez faites. » Matthieu 25:32-40
Si vous doutez de l’identification des Juifs et d’Israël dans Matthieu 25, le chapitre trois de Joël décrit ce même événement. Seulement, cette fois, il n’y a aucune méprise au sujet du rôle d’Israël.

« Car voici, en ces jours, en ce temps-là, que je ramènerai les captifs de Juda et de Jérusalem, je rassemblerai toutes les nations, et je les ferai descendre dans la vallée de Josaphat ; Là, j’entrerai en jugement avec elles, au sujet de mon peuple, d’Israël, mon héritage, qu’elles ont dispersé parmi les nations, et au sujet de mon pays qu’elles se sont partagé. » Joël 3:1-2

Plus précisément, lisez bien attentivement les derniers mots du deuxième verset: «… et au sujet de mon pays qu’elles se sont partagé ». Dieu va « plaider » avec les nations pour MON PATRIMOINE, Israël, et pour le partage (division) de MA TERRE.

Pendant plus de 5,400 ans, les royaumes de ce monde se sont élevés et ont retombé. Pendant ce temps, des millions et des millions de personnes ont vécu et sont mortes. Les guerres, les atrocités, les larmes, les peurs, le chagrin, la joie, les inventions humaines, les maisons construites, les pionniers ont pavé le chemin et la vie a continué doucement. Et, un petit lopin de terre était mis à l’écart tranquillement et d’une manière insignifiante, pratiquement à l’insu du monde. Une terre encore inexplorée par les hommes. Dans ce petit lopin de terre obscure, Dieu susciterait une nation plus grande et plus puissante que tout ce qui a pu exister dans l’histoire du monde. « Amérique, Amérique, Dieu a déversé toute sa grâce sur toi… »

L’histoire de l’Amérique est unique. L’histoire de l’Amérique est Dieu. Le Dr William Grady a écrit un magnifique livre historique de 650 pages au sujet de l’Amérique intitulé à juste titre, Qu’est-ce que Dieu a faite !

Malgré le peu d’humanisme stupide et pleurnichard et son athéisme, l’Amérique était en effet une terre que Dieu a fabriquée. Le Mayflower Compact marque la création de l’Amérique. Il commence par ces mots inspirants, « Au nom de Dieu, Amen… »  Ne contenant que 204 mots, le Mayflower Compact a été la plus grande déclaration du Dieu chrétien par n’importe quelle nation.

L’Amérique a énormément vécu de son héritage donné par Dieu. L’Amérique a envoyé plus de missionnaires avec l’Évangile du Seigneur Jésus-Christ que n’importe quelle autre nation. En dépit de ses péchés, et malgré tous ses défauts, l’Amérique s’est prononcée en faveur du Dieu de la Bible. L’Amérique a été un phare pour toutes les autres nations qui recherchaient « Une nation sous Dieu, indivisible, avec la liberté et la justice pour tous. »

Et, l’Amérique a été l’ami protecteur du patrimoine de Dieu, Israël. En tant qu’étudiant de l’histoire, j’ai toujours été étonné que, malgré la politique, en dépit des républicains ou des démocrates, des conservateurs ou des libéraux, tous assis dans la puissante Maison Blanche, ou arpentant les couloirs du Congrès, jusqu’à récemment, l’Amérique a toujours été le meilleur ami d’Israël.

Les États-Unis d’Amérique a été le premier pays à reconnaître la nation d’Israël. Le président Truman a été le premier à signer les documents pour reconnaître l’État d’Israël, en 1948. Dès lors, une relation étrange s’est installée. L’Amérique est devenue le meilleur ami d’Israël.

Le président Nixon a fermement déclaré que l’Amérique se dresse avec ses amis, et « Israël est un de ses amis ».

Président Gerald Ford a déclaré que « l’engagement des États-Unis envers la sécurité et l’avenir d’Israël est fondé sur la morale de base ainsi qu’un intérêt personnel clair. Notre rôle est d’aider Israël à honorer notre propre héritage. »

Le président Carter a déclaré : « Les États-Unis ont une relation chaleureuse et unique d’amitié avec Israël qui est moralement juste. C’est compatible avec nos convictions religieuses les plus profondes et c’est juste en termes des propres intérêts stratégiques de l’Amérique. Nous nous engageons dans la sécurité, la prospérité et l’avenir d’Israël comme une terre qui a tant à offrir au monde. »

Le président Reagan a réalisé cette relation donnée par Dieu avec Israël, lorsqu’il a déclaré : « Depuis la renaissance de l’État d’Israël, il y a eu un lien indéfectible entre cette démocratie et celle-ci. »

Mais, le président Lyndon Johnson l’a présenté encore mieux. Lorsque le premier ministre soviétique Alexeï Kossyguine a demandé au président Johnson pourquoi les États-Unis supportaient tellement fortement Israël contre 80 millions d’Arabes quand il n’y a que trois millions d’Israéliens, le Président a répondu: « Parce que c’est juste ».

Lorsque l’ex-Union soviétique, le Moyen-Orient violent ou n’importe quel autre pays malveillant réagit avec violence contre la petite nation d’Israël, un puissant signal d’alerte de la puissante Amérique dit silencieusement : « N’y pensez même pas ! »  L’Amérique a fourni des milliards et des milliards de dollars afin de construire et renforcer Israël. Les secrets militaires les mieux gardés et les plus précieux de l’Amérique ont toujours été à la disposition d’Israël.

Jusqu’à tout récemment, l’Amérique a toujours été le meilleur ami d’Israël. Il n’est pas exagéré de dire que si ce n’était de la protection et la fourniture de l’Amérique, Israël n’existerait pas aujourd’hui. Je ne doute pas que Dieu ait forgé cette grande nation pour la propagation de l’Évangile glorieux du Seigneur Jésus-Christ et pour protéger et fournir son patrimoine, Israël.

Le début des années 1990 a marqué un renversement surprenant et révoltant de la politique américaine précédente envers Israël. Commençant par le président George H. Bush, une pression politique de plus en plus grande a été placée sur Israël afin de renoncer à leurs terres au profit des terroristes palestiniens.

Le livre incroyable Eye to Eye: Facing the consequences of dividing Israël par le correspondant à la Maison Blanche, William R. Koenig, prouve que de nombreuses catastrophes survenues en Amérique sont une réponse directe et immédiate au dévouement par George H. Bush, Bill Clinton et George W. Bush de voler Israël de sa terre donnée par Dieu. Koenig documente que les faits suivants incroyables se sont produits en raison de la pression des États-Unis  pour qu’Israël évacue ses terres :
–            Neuf des dix événements assurés les plus coûteux de l’histoire américaine
–            Six des sept ouragans les plus coûteux de l’histoire américaine
–            Trois des quatre plus grandes épidémies de tornades dans l’histoire

américaine
–            Neuf des dix plus grandes catastrophes naturelles dans l’histoire des États-

Unis classées par l’allégement des coûts de la FEMA
–            Les deux plus grands événements terroristes de l’histoire des États-Unis
Amazon.com dit : « Toutes ces grandes catastrophes se sont produits le jour même ou dans les 24 heures que les présidents américains Bush, Clinton et Bush ont appliqué de la pression sur Israël pour échanger ses terres contre des promesses de « paix et sécurité », commanditant des rencontres majeures de la « terre contre la paix », faisant des déclarations publiques majeures au sujet des terres de l’alliance d’Israël et/ou exigeant un état palestinien… Dans ce livre, Bill Koenig fournit des faits indéniables et des preuves concluantes démontrant qu’effectivement les dirigeants des États-Unis et du monde entier sont sur une trajectoire de collision avec Dieu au sujet des terres de l’alliance d’Israël. »
Le livre de Koenig a été publié en 2004. Avec un peu d’ironie prophétique sur la couverture de son livre, Eye to Eye : Facing the consequences of dividing Israël, Koenig montre le visage sinistre du président Bush regardant de côté un puissant ouragan qui apparaît.

Les événements suivants brossent un tableau de l’hypocrisie et de l’hostilité contre Israël et de défiance contre la Parole de Dieu, en commençant par le président George H. Bush en 1991. Immédiatement après ces agressions politiques contre Israël, certains des désastres les plus catastrophiques de l’histoire des États-Unis se produisent. Attribuer les catastrophes à ces heures précises comme étant un hasard où une coïncidence brise le mur du son des probabilités statistiques. La possibilité que ces nombreuses catastrophes majeures puissent être attribuées au hasard à ces moments précis est tout simplement impossible.

Vous voulez des preuves que la Bible est la Parole de Dieu, en voici. Vous voulez des preuves qu’Israël est l’héritage de Dieu, en voici.

Le 30 Octobre 1991- L’Accord d’Oslo

Le président George H. Bush fait la promotion et signe fièrement le fameux Accord d’Oslo à la Conférence de paix de Madrid le 30 octobre 1991. L’Accord d’Oslo était qualifié d’accord de « terre contre la paix » qui exigeait qu’Israël cède leurs terres aux assassins et aux terroristes palestiniens en échange de la paix. La proposition perverse d’Oslo était simple : Donnez-nous vos terres et nous arrêterons de vous tuer.

Le 31 octobre 1991- Le lendemain – La tempête parfaite frappe

Une énorme tempête très rare démarrant dans l’Atlantique nord, se déplaçant d’est en ouest (mauvaise direction pour le déplacement des tempêtes – même si dans la Bible, l’Esprit Saint et l’histoire se déplacent d’est vers l’ouest). Cette tempête est si inhabituelle et contraire à « mère nature », qu’elle a été immortalisée par le livre The Perfect Storm par Sebastian Junger et, plus tard, dans un film populaire. Amazon a dit du livre The Perfect Storm, que les météorologues avaient appelé la tempête qui a frappé la côte est de l’Amérique du nord en Octobre 1991, une « tempête parfaite » en raison de la rare combinaison de facteurs qui l’ont créé. Pour tous les autres, c’était l’enfer parfait. Dans Perfect Storm, l’auteur Sebastian Junger évoque pour le lecteur les conditions météorologiques qui ont créé la « tempête du siècle » et l’impact de la tempête sur bon nombre des personnes qui l’ont vécu. »

Il est intéressant de remarquer qu’une des premières places que la tempête a frappé était Kennebunkport, dans le Maine. Des vagues de plus de 30 pieds ont démoli la maison de devinez qui? Celle du président George H. Bush, l’instigateur des Accords d’Oslo.

Le 23 août 1992

Un an plus tard, le président Bush a littéralement ramassé les morceaux d’Oslo en tentant de voler Israël à nouveau. Se rencontrant à Washington DC, Bush et son équipage ont de nouveau tenté de « vendre » l’accord maléfique de Madrid de la « terre contre la paix ».

Le 23 août1992 – Le même jour – L’ouragan Andrew rend visite à la Floride

L’ouragan Andrew frappe et s’écrase en Floride. Andrew causes pour plus de 30 milliards de dollars en dommages, tout en détruisant plus de 180,000 foyers. A cette époque, Andrew était la pire catastrophe naturelle à avoir frappé l’Amérique.

Le 16 janvier 1994

Le président Bill Clinton rencontre le président terrorisme syrien, Hafez el-Assad, et le président arabe qui déteste le plus Israël Genève. Ils parlent d’un accord de paix avec Israël, qui inclut l’abandon par Israël des hauteurs du Golan.

Le 17 janvier1994 – Moins de 24 heures – Un séisme de 6,9 frappe la Californie

En moins de 24 heures, un puissant tremblement de terre d’une magnitude de 6,9 a secoué le sud de la Californie. Ce mystérieux tremblement de terre, centré à Northridge, est la deuxième catastrophe naturelle la plus destructrice à avoir frappé les États-Unis, derrière l’ouragan Andrew.

Le 21 janvier 1998

Le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, rencontre le président Clinton à la Maison Blanche et il est reçu froidement. Clinton et la secrétaire d’État, Madeleine Albright, refusent de déjeuner avec lui.

Le 21 janvier1998 – Le même jour – Le scandale de Monica Lewinsky éclate

Après le rejet du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu par Clinton, plus tard le même jour, le scandale de Monica Lewinsky éclate, détruisant la présidence de Clinton et entraînant des accusations.

Avant d’aller plus loin, nous devons préciser à qui appartient vraiment la bande de Gaza et la Cisjordanie. Dieu le fait. Il l’appelle « ma terre. »  Joël 3 traite précisément avec cette question. Le Seigneur dit clairement en termes non équivoques, qu’Il « traitera » personnellement avec les nations comme les États-Unis qui ont « dispersé » Israël et « divisé sa terre. »  C’est très semblable à la Parole de Dieu dans Jean 3:16. Et les États-Unis ne sont pas exemptés. « Toutes les nations » signifie « toutes les nations ».

« Car voici, en ces jours, en ce temps-là, quand je ramènerai les captifs de Juda et de Jérusalem, je rassemblerai toutes les nations, et je les ferai descendre dans la vallée de Josaphat. » Joël 3:1-2

Au cas où vous penseriez que « la terre d’Israël » est devenue sans importance puisque le Nouveau Testament, détrompez-vous. Galates 4 traite de « la terre ». Et le Seigneur dit clairement et simplement que la terre appartient à Isaac, pas aux Arabes.

« Car il est écrit qu’Abraham eut deux fils, un de la femme esclave, et un de la femme libre. Mais celui de l’esclave naquit selon la chair, et celui de la femme libre naquit en vertu de la promesse. Ces choses sont allégoriques ; Car ces femmes sont deux alliances. L’une du mont Sinaï, enfantant pour la servitude, c’est Agar, car Agar, c’est le mont Sinaï en Arabie, et elle correspond à la Jérusalem actuelle, qui est dans la servitude avec ses enfants. Mais la Jérusalem d’en haut est libre, c’est notre mère ; Car il est écrit : Réjouis-toi, stérile, toi qui n’enfantes point! Éclate et pousse des cris, toi qui n’as pas éprouvé les douleurs de l’enfantement! Car les enfants de la délaissée seront plus nombreux que les enfants de celle qui était mariée. Pour vous, frères, comme Isaac, vous êtes enfants de la promesse ; Et de même qu’alors celui qui était né selon la chair persécutait celui qui était né selon l’Esprit, ainsi en est-il encore maintenant. Mais que dit l’Écriture? Chasse l’esclave et son fils, car le fils de l’esclave n’héritera pas avec le fils de la femme libre. » Galates 4:22-30
Avec cette constante, nous pouvons continuer…

Le 28 septembre 1998

La Secrétaire d’État, Madeleine Albright, termine les derniers détails d’un accord qui exige d’Israël de renoncer à 13 pour cent de Yesha (Judée et Samarie). Le président Bill Clinton rencontre Yasser Arafat et Netanyahu à la Maison Blanche pour mettre au point une autre tromperie envers Israël de la « terre contre la paix ». Plus tard, Arafat s’adresse aux Nations Unies et déclare un état palestinien indépendant pour mai 1999.

Le 28 septembre1998 – Le même jour – L’ouragan George frappe la côte du golfe du Mexique

L’ouragan George frappe la côte du golfe du Mexique avec des vents de 110 mph et des rafales allant jusqu’à 175 mph. L’ouragan a frappé la côte et y est resté jusqu’à ce que l’accord soit finalisé et qu’Arafat se soit adressé à l’ONU. Puis, il a frappé et a provoqué des dommages pour 1 milliard de dollars. À l’heure exacte où Arafat a quitté les États-Unis, la tempête a commencé à se dissiper.

Le 15 octobre 1998

Arafat et Netanyahu se réunissent à la plantation de Wye River dans le Maryland. Les entretiens doivent durer cinq jours, avec l’accent mis sur l’abandon par Israël de 13 pour cent de Yesha. Les pourparlers se prolongent et se terminent le 23 octobre.

Le 17 octobre1998 – Deux jours plus tard – Des tornades frappent le Texas

Le 17 octobre, des tempêtes et des tornades violentes frappent le sud du Texas. La région de San Antonio est inondée par la pluie. La pluie et les inondations au Texas se poursuivent jusqu’au 22 octobre, puis disparaissent. Les inondations ravagent 25 pour cent du Texas et laissent plus d’un milliard de dollars de dégâts. Le 21 octobre, Clinton déclare cette partie de Texas comme zone de catastrophe majeure.
Le 30 novembre 1998

Arafat arrive à Washington pour rencontrer à nouveau le président Clinton pour amasser des fonds pour la création d’un état palestinien avec Jérusalem comme capitale. Un total de 42 autres pays étaient représentés à Washington. Tous les pays ont convenu de donner à Arafat 3 milliards de dollars en aide. Clinton a promis 400 millions de dollars et les nations européennes 1 700 000 000 $.

Le 30 novembre1998 – Le même jour – Désastre financier

Le Dow Jones chute de 216 points, et le 1 décembre, les marchés européens ont expérimenté leur troisième pire journée de l’histoire. Des centaines de milliards en capitalisations boursières ont été anéantis aux États-Unis et en Europe.

Le 12 décembre 1998

Le Président Clinton arrive dans la section d’Israël sous contrôle palestinien pour discuter d’un autre fiasco de la « terre contre la paix ».

Le 12 décembre1998 – Le même jour – Clinton est mis en accusation

La Chambre des représentants des États-Unis vote quatre articles de destitution contre le président Clinton.

Le 3 mai 1999

Yasser Arafat planifie une conférence de presse pour annoncer un état palestinien avec Jérusalem comme capitale.

Le 3 mai 1999 – Le jour même – De puissantes tempêtes frappent l’Oklahoma et le Kansas

Le plus puissant système de tornades à n’avoir jamais frappé les États-Unis fouette l’Oklahoma et le Kansas. Les vents sont chronométrés à 316 mph, la vitesse la plus rapide jamais enregistrée. Arafat reporte son annonce à décembre 1999 à la demande de son copain, le président Clinton. Dans sa lettre à Yasser Arafat, Clinton fait l’éloge et encourage Arafat pour ses « aspirations à sa propre terre ».

Le 8 juin 2001

Le président George W. Bush envoie son Secrétaire Tenet à Jérusalem pour promouvoir sa « Feuille de route pour la paix », la suite de l’accord raté d’Oslo.

Le 8 juin2001 – Le même jour – La tempête tropicale Allison frappe le Texas

La tempête tropicale Allison frappe le Texas, l’état d’origine du président George. W. Bush. Allison causes plus de 7 milliards de dollars en dommages et ferme l’aéroport George Bush pendant deux jours. Allison continue pendant cinq jours. Lorsque Tenet quitte Jérusalem, Allison se tranquillise.

La série suivante d’événements durant les mois d’août et de septembre 2001 a précédé les attaques terroristes les plus meurtrières de l’histoire.

Le 23 août 2001

Le président George W. Bush déchire Yasser Arafat sur la chaîne CNN. Bush suggère qu’Arafat devrait « mettre 100% de ses efforts dans l’arrêt du terrorisme » s’il veut qu’Israël négocie. Le dirigeant saoudien Abdallah est furieux. Il ordonne à l’ambassadeur Bandar de quitter immédiatement les États-Unis parce que Bush soutient Israël.

Le 27 août 2001

Sur son chemin, Bandar rencontre Condi Rice, tandis que Bush est en vacances. Bandar dit à Rice que les commentaires de Bush étaient inacceptables, menace de retenir le pétrole et dit qu’il quitte dégoûté. Condi rapporte au président Bush, qui délivre immédiatement une lettre écrite à Bandar déclarant que le

« peuple palestinien a le droit de vivre dans son propre état et dans sa propre patrie ».

Le 7 septembre 2001

Onze jours plus tard, retour d’un Bandar jubilant en Amérique et rencontre avec Bush, Cheney, Rice et Powell pour régler les détails et annoncer au monde la création d’un état palestinien. Les négociations et les détails se poursuivent jusqu’au 9 septembre 2001.

Le 10 septembre 2001

Bandar et son équipe terminent les plans du président Bush pour créer une nation palestinienne en Israël en 2005. Bandar appelle ses bureaux afin de les informer que l’accord est enfin terminé.

Le 11 septembre2001 – Le jour suivant – Des terroristes détruisent le World Trade Center

08h45 (HAE) Le vol 11 d’American Airlines de Boston, Massachusetts, s’écrase et explose dans la tour nord du World Trade Center.

09h03 (HAE) Le vol 175 d’United Airlines de Boston, s’écrase et explose dans la tour sud du World Trade Center. Les deux tours s’écroulent. Apparaissant aux télévisions du monde entier, le monde est témoin du plus grand acte terroriste de l’histoire. Plus de 2,700 personnes meurent en quelques minutes.

09h43 (HAE) Le vol 77 d’American Airlines s’écrase sur le Pentagone.

Le grand prédicateur, Charles Spurgeon, a prêché un message sur le thème « Du jugement des Nations », le 12 juillet 1885. Des extraits du message de Spurgeon sont comme suit :

« Il y a un jugement aussi prononcé sur les nations, puisque les nations n’existent pas en tant que nations dans l’autre monde, elles doivent être jugées et punies dans l’état actuel. Le lecteur attentif de l’histoire ne manquera pas d’observer avec quelle sévérité cette justice a traité empire après empire, quand ils sont devenus corrompus. Des dominions colossaux sont jetés au sol, lors de leurs condamnations par le Roi des rois. Demandez-vous aujourd’hui : « Où est l’empire d’Assyrie? Où sont les villes puissantes de Babylone? Où sont les gloires des Mèdes et des Perses? Qu’est devenue la puissance macédonienne ? Où sont les Césars et leurs palais ? » . . . Le juge tout-puissant n’a pas cessé sa domination souveraine sur les royaumes, et notre propre pays peut encore sentir ses châtiments. »

« Pourquoi les empires de Londres [ou des États-Unis] devraient-ils durer plus longtemps que celui de Rome ? . . . Que sommes-nous? Qu’y a-t-il au sujet de notre race vantarde, que ce soit de ce côté de l’Atlantique ou de l’autre, pour que nous puissions monopoliser les faveurs de Dieu? Si nous nous révoltons, et péchons contre lui, il ne nous laissera point impuni, mais imposera une justice impartiale sur une race ingrate. »  (Charles Spurgeon, Jugement des Nations, le 12 juillet 1885)

L’expert du Moyen-Orient, Robert Horenstein, a parlé du désengagement d’Israël du 21 septembre de la Bande de Gaza lors de la réunion de Golda Meir/groupe Mitzvah de Hadassah.

Horenstein a déclaré : « Si Israël procède à ce retrait, vous verrez la violence renforcée, parce que le Hamas, le Jihad islamique, la Brigade des Martyrs d’Al-Aqsa voudront prouver à leur peuple qu’Israël quitte à la suite de leurs actions terroristes. Ils ont déjà déclaré que la proposition de Sharon était le résultat de leurs luttes armées. Je crois qu’Israël est sous énormément de pression de l’administration Bush… »
Un démographe de l’Université de Haïfa, Arnon Soffer, a prévu que d’ici 2015 la totalité d’Israël, la bande de Gaza et la Cisjordanie seraient à 60 pour cent arabes, et cela rendrait impossible pour Israël de conserver à la fois sa démocratie et son caractère juif. (Revue juive, « Le désengagement pourrait engendrer des violences civiles et externes »)

Lors du sommet du Proche-Orient en Jordanie, le 4 juin, le Premier ministre israélien Ariel Sharon et le Premier ministre palestinien Mahmoud Abbas ont pris les premières tentatives verbales vers une résolution pacifique de leur sanglant conflit de longue date. Sous la pression du président Bush, M. Sharon a promis de commencer à démanteler certains « avant-postes non autorisés » des colonies israéliennes en Cisjordanie, et M. Abbas a déclaré pour la première fois que « l’intifada armée devait cesser ». (Http://www.wcpeace.org/israel-palestine.htm)

Au cours de la semaine dernière, des scènes émotives de colons juifs étant expulsés par la force ont dominé l’actualité télévisée. Le Premier ministre israélien Ariel Sharon a parlé de la façon dont c’était les « jours les plus tristes » de sa vie, et les mots « pogrom » et « dépossédé » ont lentement glissé dans la langue des articles de nombreux journaux. L’Autorité palestinienne et les États-Unis veulent que le retrait soit le début du processus de la  » feuille de route  » vers la paix, destiné à amener un état palestinien indépendant aux côtés d’Israël.
(Fox News, « Les troupes israéliennes retirent les résistants de la synagogue », le vendredi 19 août 2005)

Le retrait de la Bande de Gaza a été soutenu par le gouvernement des États-Unis. Certains analystes du Moyen-Orient et des hauts responsables politiques israéliens ont entièrement attribué le plan d’évacuation à la pression provenant de l’establishment américain. . . « Je me félicite du plan de désengagement », a déclaré Bush immédiatement après l’annonce de l’évacuation de Gaza. « Ces mesures marqueront de réels progrès vers la réalisation de la vision que j’ai énoncé en juin 2002, de deux états vivant côte à côte en paix et en sécurité. »
(WorldNetDaily, « Dieu a-t-il envoyé Katrina comme jugement pour Gaza ? »  Le 7 septembre 2005 – http://www.worldnetdaily.com/news/article.asp?ARTICLE_ID=46178)

Août 2005 – Sous la pression des États-Unis, les Juifs sont enlevés par la force de leurs terres.

Au cours du mois d’août 2005, avec une pression sans précédent des États-Unis, le redoutable D-Day est arrivé. Plus de 8,500 colons juifs en pleurs sont expulsés de force de la Bande de Gaza. J’ai regardé incrédule pendant que le peuple juif en pleurs implorait pour rester dans leurs maisons et leurs terres. Les soldats israéliens sont arrivés et les ont littéralement arrachés de leurs maisons. Aux ordres des États-Unis et contre les protestations du gouvernement israélien, les bulldozers sont arrivés et ont démoli leurs maisons. Le terrain a ensuite été donné aux terroristes qui ont célébré en criant : « Mort à Israël ! »

La Secrétaire d’État américaine, Condoleezza Rice, a déclaré à BBC News, « Les maisons juives dans la bande de Gaza seront détruites lorsque Israël retirera ses troupes et ses colons… La vue est qu’il y ait des meilleures utilisations des terres pour les Palestiniens afin de mieux répondre à leurs besoins en logement, » ajoutant que les parties « travailleraient sur un plan de destruction et de nettoyage. »

Après la débâcle de la Bande de Gaza, la secrétaire d’État américaine, Condoleezza Rice, a immédiatement commencé à exhorter Israël à quitter la Cisjordanie, « Tout le monde a de la compassion pour ce que les Israéliens vivent à l’heure actuelle, mais çà ne peut pas s’arrêter avec la Bande de Gaza. »

L’hypocrisie et l’hostilité envers la nation d’Israël par l’administration Bush est sans précédent dans l’histoire des États-Unis. Retirer violemment les colons juifs de la Bande de Gaza, puis donner ces terres aux terroristes et aux assassins d’enfants israéliens équivaut à donner la Floride par Bush à Ben Laden et à Al-Qaïda. Pourquoi le président Bush n’a-t-il pas donné à Saddam Hussein toutes les terres du Texas au lieu de bombarder l’Irak? Ce serait plus logique que de demander à Israël de céder les zones de défense stratégique de la Bande de Gaza et de la Cisjordanie à des tueurs vicieux qui haïssent et tuent les Juifs.

Le 23 août 2005

Israël a achevé l’évacuation de la Bande de Gaza et l’a donnée aux Palestiniens. L’évacuation de la Bande de Gaza venait directement de la « Feuille de route pour la paix » du président Bush.

Pendant que nous regardions les Juifs en pleurs arrachés de leurs maisons et de leurs terres, j’ai dit, « Dieu n’est pas content tout ça. Quelqu’un va sûrement payer pour tout ce désastre. Dieu pourrait commencer à détruire quelques maisons et pousser quelques personnes hors de leurs terres. »  Et, çà s’est produit.

Le 23 août 2005 – Le même jour – La tempête tropicale Katrina apparait

Le 23 août, une petite tempête tropicale insignifiante apparait lentement dans l’Atlantique sous le nom de Katrina dans les environs des Bahamas. Au début, les météorologues ont déclaré que les États-Unis n’avaient rien à craindre. Katrina n’avait que très peu de puissance, et les prévisions informatiques gardaient Katrina tranquillement dans l’Atlantique. Défiant les modèles informatiques, Katrina a tourné vers le sud-ouest, grattant au passage la pointe sud de la Floride et, avec la vengeance d’un train de marchandises, Katrina a pris une direction inattendue dans la chaleur de la côte du Golfe. Les météorologues qui suivaient le parcours atypique de Katrina ont marqué l’ouragan Katrina comme un des plus bizarres de l’histoire.

Le 29 août 2005 – L’ouragan Katrina frappe la Nouvelle-Orléans

Katrina s’est dirigé directement vers la Nouvelle-Orléans, emmagasinant une vigueur mortelle à chaque instant, et enregistrant une vélocité dans les vents inconnue « sur l’échelle ». Lundi le 29 août, la nation a regardé avec horreur le mortel ouragan Katrina frapper et massacrer la fragile côte du Golfe. L’ouragan destructeur Katrina a broyé de magnifiques maisons ne laissant que des amas de déchets sans valeur. Katrina a rejeté des corps comme de simples détritus le long des routes. Lorsque Katrina a terminé sa mission mortelle, l’Amérique a subi la pire catastrophe de son histoire légendaire. En regardant les milliers de maisons détruites, mon esprit revenais toujours vers ces bulldozers commandés par les États-Unis qui détruisaient les maisons juives dans la Bande de Gaza. En regardant les milliers et les milliers de citoyens des États-Unis étant évacués de leurs terres, mon esprit ne pouvait s’empêcher de se souvenir du peuple juif en pleurs qui suppliait littéralement pour rester dans leurs terres. Amérique n’a trouvé aucune pitié pour le peuple juif.

Sans aucune pitié, Katrina a complètement passé aux « bulldozers » des dizaines de milliers de maisons. Katrina a complètement « évacué » la célèbre ville de la Nouvelle-Orléans. Des centaines de milliers de personnes sont sans-abri, démunies et désespérées. Le plus grand déplacement de citoyens des États-Unis dans toute l’histoire s’était produit. Plus de 10,000 personnes sont estimées mortes. Plus de 400,000 emplois ont disparu. Le président Bush a demandé 50 milliards de dollars au Congrès pour la première ronde de la facture de l’ouragan Katrina. Selon les estimations, la facture finale de l’ouragan Katrina s’élèverait à plus de 150 milliards de dollars.

La plupart des journalistes ont décrit les suites de la Nouvelle-Orléans pire que tout ce qu’ils avaient jamais vu.

Si l’Amérique continue à défier ouvertement la Parole de Dieu avec son hostilité et son hypocrisie envers le patrimoine de Dieu, Israël, attachez vos ceintures, parce que vous n’avez rien vu encore.

« Tout le monde a de la compassion pour ce que les Israéliens vivent à l’heure actuelle, mais çà ne peut pas s’arrêter avec la Bande de Gaza. »
La Secrétaire d’État américaine Condoleezza Rice après l’évacuation la Bande de Gaza

« Venez, disent-ils, exterminons-les du milieu des nations, et qu’on ne se souvienne plus di nom d’Israël. »
« Poursuis-les ainsi de ta tempête, et fais-les trembler par ton ouragan ! »
Psaumes 83:5, 16

« Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront. »
Genèse 12:3

« Demandez la paix de Jérusalem. Que ceux qui t’aiment jouissent du repos ! »
Psaumes 122:6

http://www.biblebelievers.com/watkins_katrina/katrina.html

Traduit par Oscar Blais

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