MUTILATIONS GÉNITALES FÉMININES


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Un juge libéral de Detroit, à domination musulmane, déclare qu’une interdiction de la pratique islamique des mutilations génitales féminines est « inconstitutionnelle » et constitue une règle contre les victimes.

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Par Geoffrey Grider – Le 21 novembre 2018

Le juge de district américain, Bernard Friedman, a conclu que « aussi odieuse que puisse être cette pratique », le Congrès n’était pas habilité à adopter la loi fédérale de 22 ans criminalisant les mutilations génitales féminines et que les mutilations génitales féminines incombent aux états pour les réglementer.  Les mutilations génitales féminines sont interdites dans le monde entier et ont été interdites dans plus de 30 pays, bien que le statut américain n’ait jamais été testé auparavant.

Un coup dur pour le gouvernement fédéral : Un juge de Detroit a déclaré inconstitutionnelle la loi américaine relative aux mutilations génitales féminines, écartant ainsi toutes les principales accusations portées contre deux médecins islamiques du Michigan et six autres personnes accusées d’avoir soumis au moins neuf filles mineures à la procédure de mutilations, dans le premier cas de mutilations génitales féminines de la nation.

La des mutilations génitales féminines sort directement des pages de Joseph Mengele et des procédures qu’il appliquait aux victimes dans les camps de concentration nazis pendant l’Holocauste.  C’est vraiment aussi barbare et dégoûtant.  En quoi cela consiste-t-il ?  C’est le retrait partiel ou complet du clitoris d’une jeune fille, de sorte que, lorsqu’elle est plus âgée, elle est incapable de ressentir du plaisir pendant les rapports sexuels.  Oui, vous l’avez bien lu.  C’est ce que les musulmans pensent de leurs femmes et c’est l’incarnation du mal.

« Le Seigneur ajouta : Écoutez ce que dit le juge inique. » (Luc 18:6)

Ainsi, pour un juge Juif de se prononcer contre une interdiction des mutilations génitales féminines aux États-Unis, puis, de laisser libres les médecins qui pratiquent ce cauchemar sur ces victimes, l’ironie est à la fois étouffante et accablante.  Mais, comme vous le verrez, c’est exactement ce qui s’est passé.

Où sont les groupes de femmes en Amérique qui vont se lever et demander l’interdiction de cette pratique abominable qui détruit la vie des jeunes filles ? Elles se taisent.  Pourquoi ?  Parce que les groupes comme la Marche des Femmes à Washington sont dirigés par des musulmans comme Linda Sarsour qui l’approuvent.

Un juge rejette des accusations de mutilations génitales féminines dans une affaire historique.

DE DETROIT FREE PRESS : Le cas historique concerne des filles mineures du Michigan, de l’Illinois et du Minnesota, dont certaines ont pleuré, ont crié et ont saigné pendant la procédure et une autre à qui on a administré du Valium moulu dans du Tylenol liquide pour la garder calme, d’après les archives judiciaires.

La décision du juge a également rejeté les accusations portées contre trois mères, dont deux femmes du Minnesota qui, selon les procureurs, ont dupé leurs filles de 7 ans en leur faisant croire qu’elles venaient dans le métro de Detroit pour un week-end entre filles, mais ont vu leur sexe coupé dans une clinique de Livonia comme faisant partie d’une procédure religieuse.

Le juge de district américain, Bernard Friedman, a conclu que « aussi odieuse que puisse être cette pratique », le Congrès n’avait pas le pouvoir d’adopter la loi fédérale de 22 ans criminalisant les mutilations génitales féminines et que les mutilations génitales féminines incombent aux états pour les réglementer.  Les mutilations génitales féminines sont interdites dans le monde entier et ont été interdites dans plus de 30 pays, bien que le statut américain n’ait jamais été testé auparavant.

Les complications immédiates incluent des douleurs intenses, un choc, des hémorragies, le tétanos ou les infections, la rétention urinaire, une ulcération de la région génitale et des lésions des tissus adjacents, des infections de la plaie, des infections urinaires, de la fièvre et la septicémie.  Les hémorragies et les infections peuvent être suffisamment graves pour entraîner la mort.  Les conséquences à long terme sont les suivantes : Des complications lors des accouchements, une anémie, la formation de kystes et d’abcès, la formation de cicatrice chéloïde, des lésions de l’urètre entraînant une incontinence urinaire, des rapports sexuels douloureux, un dysfonctionnement sexuel, une hypersensibilité de la région génitale et des risques accrus de la transmission du VIH, ainsi que ses effets psychologiques.

« Aussi louable que puisse être l’interdiction d’un type particulier d’abus commis sur des filles, le fédéralisme prive le Congrès de son pouvoir d’adopter ce statut », a-t-il écrit dans son opinion de 28 pages.  « Le Congrès a outrepassé ses limites en légiférant pour interdire les mutilations génitales féminines…  Les mutilations génitales féminines sont une « activité criminelle locale » qui, conformément à la longue tradition et à notre système de gouvernement fédéral, doit être réglementée par les états, et non par le Congrès. »

Actuellement, 27 états ont des lois criminalisant les mutilations génitales féminines, y compris le Michigan, dont la loi sur les mutilations génitales féminines est plus stricte que la loi fédérale, passible d’une peine pouvant aller jusqu’à 15 ans de prison, contre cinq ans.  La loi du Michigan sur les mutilations génitales féminines a été adoptée l’année dernière à la suite de l’affaire historique et s’applique tant aux médecins qui effectuent la procédure qu’aux parents qui transportent leurs enfants.  Les accusés dans cette affaire ne peuvent pas être accusés rétroactivement en vertu de la nouvelle loi.

Gina Balaya, porte-parole du bureau des procureurs des États-Unis, a déclaré que le gouvernement était en train d’examiner l’opinion du juge et qu’il déciderait de faire appel ou non dans un proche avenir.

La décision de Friedman découle d’une demande du Dr. Jumana Nagarwala et de ses co-accusés de rejeter les accusations de mutilation génitale, en affirmant que la loi pour laquelle ils sont poursuivis est inconstitutionnelle.

Source : Now The End Begins 

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

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