PAS D’ÉVOLUTION À LA FRONTIÈRE DU VIVANT ET DU NON-VIVANT


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– Par Sinaseli Tshibwabwa Ph.D.

A la frontière du vivant et du non vivant, se trouvent des « structures » qui semblent avoir refusé toute évolution. Il s’agit, vous l’avez certainement deviné, des virus. Ils ne sont pas des êtres vivants comme les organismes unicellulaires, car seuls, ce sont de simples objets inanimés. Ils ne sont pas entièrement des objets inanimés car, mis en contact avec un organisme vivant, ils se raniment et acquièrent certaines propriétés du vivant. Ces traits font qu’il n’est pas facile de définir un virus. A titre d’exemple, le Petit Littré définit le virus comme un « principe de transmission » de plusieurs maladies contagieuses. Même en biologie, les savants ne sont arrivés à définir un virus que par ses manifestations au sein des organismes vivants infectés. Ils ont, grâce à de nouvelles techniques d’observation (microscope électronique), décrit avec exactitude de nombreux virus qui causent parfois des maladies mortelles : le virus de la variole, le virus de l’influenza, le virus de la varicelle, le virus de la rage, le virus du sida, le virus de la poliomyélite, le virus de la mosaïque du tabac, etc.

Pourquoi ces « structures » n’ont-elles pas évolué ? Étant classés parmi les êtres les plus primitifs dans les classifications évolutionnistes, pourquoi montrent-ils une organisation et un comportement très complexes et une grande stabilité ? Le présent texte tente d’y répondre. Lire la suite …

Source : ASCQ

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