
Par le personnel de PNW – le 25 février 2025
L’assassinat d’Ariel et de Kfir Bibas par des terroristes du Hamas n’est pas un acte isolé de sauvagerie. Il est le point culminant d’une culture de haine profondément ancrée, qui se répand dans le système éducatif de Gaza, dans les colonies de vacances et dans la société en général. Alors que les enfants israéliens se déguisent en super-héros comme Batman – symboles de justice et de protection – les enfants palestiniens sont élevés dans l’apologie de la terreur et du martyre. Si l’on veut un jour instaurer la paix, ce cycle d’endoctrinement doit être brisé.
Dès le début de leur scolarité, les enfants de Gaza sont soumis à un flot incessant de propagande antisémite. Ce n’est pas un hasard, c’est un phénomène systématique. Voici cinq exemples clairs de la façon dont la haine est inculquée à la jeunesse palestinienne :
Les programmes scolaires encourageant la violence
Les manuels scolaires contrôlés par l’Autorité palestinienne et le Hamas glorifient le terrorisme et nient le droit d’Israël à exister. Un rapport de 2022 d’IMPACT-se a révélé que les manuels scolaires enseignent aux enfants à considérer les Juifs comme des ennemis, à célébrer les attaques contre les Israéliens et à encourager le djihad. Les cours d’arithmétique incluent le décompte des martyrs et les cours de géographie effacent entièrement Israël de la carte.
Au-delà des manuels scolaires, les discussions en classe renforcent ces messages. Les enseignants, dont beaucoup ont été endoctrinés dans le même système, soulignent que le plus grand honneur dans la vie est de mourir en combattant les Juifs. Les devoirs glorifient les attentats terroristes passés et les cours d’histoire dressent le portrait d’une agression juive implacable, effaçant toute nuance ou vérité historique. Parallèlement, les examens comportent souvent des questions qui présentent la résistance violente comme noble et nécessaire, conditionnant les enfants à adhérer à cette idéologie dès leur plus jeune âge.
Camps d’été militants
Chaque année, des milliers d’enfants palestiniens participent à des camps d’été organisés par le Hamas et d’autres groupes terroristes, où ils reçoivent une formation militaire. Ces camps n’enseignent pas la natation ou les arts et métiers ; ils apprennent à manier un fusil, à simuler des attaques contre des civils juifs et à consacrer leur vie au djihad. Des enfants dès l’âge de 10 ans apprennent à marcher en formation avec des kalachnikovs, ce qui renforce l’idée que leur but dans la vie est de tuer des Israéliens.
Ces camps sont conçus pour préparer mentalement et physiquement les enfants au combat. Ils participent à des exercices de tir réel, s’entraînent à prendre d’assaut des colonies israéliennes factices et sont soumis à des conférences idéologiques où on leur répète sans cesse que les Juifs sont leur éternel ennemi. Beaucoup de ces camps prévoient même des exécutions publiques de collaborateurs présumés, ce qui renforce encore davantage la culture de la violence et de la vengeance. Les diplômés de ces programmes rejoignent souvent des organisations terroristes, ayant été formés dès l’enfance à devenir des fantassins du Hamas.
Endoctrinement de la télévision et des médias
Les programmes pour enfants à Gaza comprennent des émissions qui glorifient les kamikazes et dépeignent les Juifs comme des sous-hommes. Un exemple tristement célèbre est l’émission télévisée produite par le Hamas mettant en scène un personnage ressemblant à Mickey Mouse, nommé Farfour, qui apprend aux enfants à mener le djihad contre les Juifs. Même après que l’indignation internationale a forcé son annulation, des programmes similaires continuent de diffuser, nourrissant les jeunes esprits d’incitations incessantes.
L’environnement médiatique de Gaza ne laisse aucune place à la propagande haineuse. Les chansons diffusées à la radio glorifient le martyre et la violence, souvent chantées par les enfants eux-mêmes lors de spectacles diffusés à la télévision nationale. Les personnages de dessins animés véhiculent des messages de destruction et même les programmes de divertissement utilisent une rhétorique antisémite. Les programmes d’information alimentent le feu en imputant la responsabilité de chaque malheur aux Juifs, en présentant chaque mort palestinienne – aussi sans rapport avec le sujet – comme faisant partie d’un complot israélien, ce qui renforce le ressentiment dans le cœur des jeunes téléspectateurs.
Célébrations publiques du terrorisme
Lorsque des civils israéliens sont assassinés dans des attaques terroristes, Gaza ne pleure pas, elle célèbre. Les rues se remplissent de processions joyeuses et des bonbons sont distribués aux enfants. Lors des rassemblements organisés par le Hamas, des jeunes garçons et filles brandissent des armes à feu et prêtent allégeance à la prochaine vague de « martyrs ». Cette normalisation de la violence renforce la conviction que tuer des juifs est non seulement acceptable mais honorable.
Les enfants sont souvent placés aux premières loges de ces célébrations, et regardent leurs aînés glorifier les meurtres de masse. Lors des funérailles des terroristes tués, les jeunes enfants sont encouragés à y assister, car ils sont témoins de la vénération et de l’honneur accordés à ceux qui meurent en attaquant les Israéliens. Le message est clair : leur but dans la vie est de se battre, et leur récompense, dans ce monde et dans le suivant, viendra par la violence. Beaucoup de ces enfants grandissent en aspirant à devenir le prochain « martyr », plutôt qu’en imaginant un avenir de paix et de prospérité.
Des écoles et des rues baptisées du nom de terroristes
Dans la société palestinienne, les meurtriers de masse ne sont pas condamnés, ils sont honorés. Des écoles, des rues et des équipes sportives portent le nom de terroristes qui ont massacré des civils israéliens. Les enfants grandissent en idolâtrant des personnages comme Dalal Mughrabi, qui a dirigé le massacre de la route côtière en 1978, et Yahya Ayyash, le principal fabricant de bombes du Hamas. Il ne s’agit pas seulement d’une approbation de la violence, mais d’une attente que la prochaine génération suive le même exemple.
Cette pratique ne se limite pas aux noms : elle influence l’environnement dans lequel les enfants palestiniens grandissent. Des statues et des peintures murales de terroristes décorent les places publiques, et les événements scolaires comportent souvent des pièces de théâtre et des spectacles reconstituant des attentats terroristes, les enfants jouant le rôle des assaillants. Des concours scolaires récompensent les élèves qui écrivent des essais sur l’héroïsme de ces meurtriers, renforçant le message selon lequel leur objectif ultime devrait être de les imiter. Ces écoles ne sont pas seulement des lieux d’apprentissage ; elles sont des terrains d’entraînement pour l’extrémisme de demain.
La réalité est claire : les enfants de Gaza ne sont pas nés pour haïr ; on leur apprend à haïr. Cette haine artificielle alimente le cycle sans fin du conflit, rendant la paix impossible.
Le monde ne peut continuer à ignorer cette réalité. La communauté internationale doit exiger des dirigeants palestiniens qu’ils mettent un terme à ce lavage de cerveau de leur jeunesse. Si l’on veut parvenir à la paix, il faut commencer par les enfants. Il faut leur donner de l’espoir plutôt que de la haine, de l’éducation plutôt que de l’extrémisme, et un avenir de coexistence plutôt que de guerre perpétuelle.
Tant que cette situation ne changera pas, les horreurs du 7 octobre ne seront pas les dernières. Le monde doit se réveiller et reconnaître que tant que les enfants de Gaza seront élevés pour le djihad plutôt que pour la justice, le bain de sang ne cessera jamais.
Sources :
Traduit par PLEINSFEUX