VACCINATION ET AUTISME


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Une nouvelle étude prouve le lien indéniable entre la vaccination et l’autisme.

Par Isabelle Z. – Le 14 juin 2018

Combien de temps encore ceux qui profitent des vaccins pourront-ils nier le lien entre les taux d’autisme et la vaccination ?  Avec des preuves incriminantes comme le dernier rapport de l’Agence de la Santé Publique du Canada, leurs experts en contrôle des dommages auront certainement du pain sur la planche.

L’organisme est sur le point de publier ses premières données nationales sur l’autisme depuis 2016, et il montre une augmentation constante de la prévalence des troubles du spectre autistique depuis 2003.  Les taux varient selon le lieu, avec des régions comme l’Île-du-Prince-Édouard, le Québec, et Terre-Neuve et Labrador ayant la plus forte prévalence.

L’histoire devient toutefois beaucoup plus intéressante lorsque l’on compare les données du rapport provenant du Système National de Surveillance du Spectre de l’Autisme du Canada avec les données sur la couverture vaccinale de l’Agence de Santé Publique, ventilées par province et type de vaccin.  Il démontre que la prévalence de l’autisme est la plus élevée là où les taux de vaccination sont les plus élevés.  Surpris ?

Revenons aux provinces avec les taux d’autisme les plus élevés.  À Terre-Neuve-et-Labrador, où la prévalence du Désordre du Spectre de l’Autisme a augmenté de 227 pour 100, entre 2003 et 2009, un diagnostic du Désordre du Spectre de l’Autisme a été confirmé chez un enfant sur 57, comparativement à la moyenne nationale d’un sur 66.  Les taux de couvertures vaccinales dans ces régions, pour la diphtérie, la coqueluche et le tétanos, sont de 84,5, de 84,2 et de 83,9% respectivement.

C’est un cas similaire dans l’Île-du-Prince-Édouard où un enfant sur 59 souffre du Désordre du Spectre de l’Autisme et la prévalence a augmenté de 254% entre 2003 et 2015.  Les taux de couverture vaccinale contre la diphtérie, la coqueluche et le tétanos étaient respectivement de 75,8%, de 74,7% et de 74,3%. Au Québec, entre-temps, les cas ont augmenté de 349% au cours de la même période, et un enfant sur 65 a un Désordre du Spectre de l’Autisme.  Les taux de couverture vaccinale pour la diphtérie, la coqueluche et le tétanos étaient respectivement de 79,3%, de 79,5% et de 79,3%.

Comme vous pouvez le voir, ces régions ont une prévalence élevée du Désordre du Spectre de l’Autisme et elles ont aussi des taux de vaccination élevés.  Que se passe-t-il lorsque nous examinons une province où la prévalence de l’autisme est considérablement plus faible ?  Dans le territoire du Yukon, seulement un enfant sur 125 a un Désordre du Spectre de l’Autisme.  Est-ce une coïncidence si les taux de couvertures vaccinales contre la diphtérie, la coqueluche et le tétanos ne sont respectivement que de 69,9%, de 68% et de 68% ?  La corrélation n’est peut-être pas nécessairement causale, mais il y a clairement un lien qui mérite d’être examiné.

Un lien qui mérite d’être exploré

En plus de ces données, il y a des dizaines de milliers de rapports de parents d’enfants apparemment en bonne santé développant l’autisme après la vaccination.  Les familles canadiennes n’ont aucun recours légal en ce qui concerne l’indemnisation pour les blessures causées par les vaccins, et tous les cas ne sont pas signalés, de sorte que les chiffres réels pourraient être beaucoup plus élevés.

Les études reliant les vaccins à l’autisme ne manquent pas, comme une étude de 2004 publiée dans le Medical Science Monitor montrant une relation directe entre l’augmentation des doses de mercure dans les vaccins qui contiennent du thimérosal et la prévalence de l’autisme.  Plus de preuves peuvent être trouvées dans une étude de 2001 montrant que de nombreux cas d’autisme ont été induits par l’exposition au mercure via le thimérosal.

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Le Canada se classe parmi les dix premiers pays des Amériques, de l’Asie et de l’Europe en ce qui concerne les taux d’autisme.  Si le pays veut essayer d’endiguer ce problème préoccupant, les autorités sanitaires doivent cesser d’ignorer l’histoire que ces statistiques racontent et considérer exactement ce qu’elles injectent en masse à leurs enfants et comment cela peut les affecter à court et à long terme.

Source : Natural News 

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

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