VIVE LE SOCIALISME


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Par Mac Slavo – Le 27 mars 2018

Les gangs d’enfants luttent pour des « déchets de qualité » avec des machettes au Venezuela.

Alors que de nombreux politiciens et civils aux États-Unis cherchent à faire du pays un régime socialiste, les enfants du Venezuela forment des gangs et utilisent des machettes pour se battre les uns contre les autres pour des « déchets de qualité » afin de manger.

Le socialisme n’est bon que pour ceux qui sont déjà au sommet.  C’est une leçon très importante pour quiconque cherche à « retirer la richesse » du 1%.  Ne présumez jamais que les riches vous permettront de voter pour enlever leur argent en premier lieu.  L’autre question, la plupart des socialistes oublient que le 1% est constitué par les politiciens très riches des deux partis qui bénéficieront immensément de la mise en œuvre du socialisme.  Bien sûr, quand cela arrive, les enfants meurent de faim et deviennent violents comme moyen de survie et avoir un autre repas de plus.

Le Miami Herald a détaillé la vie des enfants contraints de vivre sous les dures réalités du socialisme.  Liliana, âgée de seulement 16 ans, est devenue la figure maternelle d’un gang d’enfants et de jeunes adultes vénézuéliens appelé le Chacao, du nom du quartier qu’ils revendiquent comme leur territoire.  Les 15 membres, âgés de 10 à 23 ans, travaillent ensemble pour survivre à des combats vicieux pour des déchets de « qualité » dans une dystopie socialiste vétuste, en proie à des pénuries au Venezuela.  Leurs armes sont des couteaux, des bâtons et des machettes.  Et, leur seul prix est la poubelle qui contient des déchets alimentaires à peine assez bons à manger.

Beaucoup d’enfants de la bande de Chacao affluent vers une vie de violence, mais, orientée vers la famille parce qu’il n’y a pas d’autre choix s’ils veulent manger.  Il y a au moins 10 gangs dans la capitale de Caracas selon les travailleurs sociaux et les estimations de la police.  « Il y a toujours eu des enfants dans les rues au Venezuela, mais, maintenant nous voyons un nouveau phénomène, les enfants qui reçoivent plus de nourriture dans les rues qu’à leur domicile », dit Beatriz Tirado, qui dirige « Angeles de Calle », ou les Anges des Rues, un organisme charitable non gouvernemental.

« Nos enfants trouvent des moyens de survivre parce que, ni chez eux, ni dans leurs communautés, il n’y a assez de nourriture », explique le travailleur social Roberto Patino, qui a créé 29 restaurants publics dans tout le pays pour nourrir les enfants affamés.  Mais, Roberto Patino déplore également qu’il n’y a pas assez de ressources pour aider les enfants à reprendre en main leur vie et pour les nourrir correctement.  Pour l’instant, beaucoup se sont tournés vers les sacs poubelles comme source de nutrition.

Mais, la vie de gang est dangereuse pour les enfants.  Souvent, ils s’aventurent dans les quartiers les plus aisés des politiciens.  Un de ces territoires est Las Mercedes.  Il y a des restaurants haut de gamme qui attirent l’élite politique vénézuélienne.  Parce que les sacs à ordures contiennent souvent des restes et même de la nourriture intacte, ils sont recherchés par un certain nombre de gangs.  Les affrontements pour les sacs de déchets peuvent être mortels.

Les enfants prennent souvent eux aussi de la drogue dans la rue.  Ils deviennent des criminels, ils volent, agressent les gens et utilisent des drogues comme le crack, parfois fume dans des pipes improvisées fabriquées à partir de pièces de poupées abandonnées en plastique.  « Quand vous fumez, vous n’avez pas faim », explique Patricio.

Les quelques échecs du capitalisme sont bien préférables aux quelques succès du socialisme.  Bien que l’on puisse affirmer qu’il n’y a pas eu de succès en ce qui concerne le socialisme, à moins de compter les poches des politiciens qui dominent  le monde.

Source : ShtfPlan 

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

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