ATTAQUE SOURNOISE


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L’attaque sournoise de Barack Obama contre la souveraineté des États-Unis ouvre la voie à la règlementation sur le climat.

Par Cheryl Chumley – Le 2 septembre 2016

Les règlements, ils s’en viennent.

Voilà au moins ce qu’un sceptique reconnu sur le climat a mis en garde, en pointant vers le stylo et le téléphone, très capables politiquement du président Barack Obama qui lui ont permis un grand succès pour contourner le Congrès sur ses divers programmes favoris, en particulier, sur ceux qui traitent de l’environnement et, plus particulièrement encore, sur une disposition qu’il a signée plus tôt cette année, l’Accord de Paris.  La mesure engage supposément l’Amérique à respecter ce que l’Administration Obama décrit comme « accord sur les changements climatiques le plus ambitieux de l’histoire ».

Mais, comme Marc Morano, éditeur de « Climate Depot » et producteur du nouveau film, « Climate Hustle », une production qui révèle le côté de la propagande de l’environnementalisme, a déclaré dans une entrevue : L’engagement est de la fumée et des miroirs mais, avec cette « ruse » Obama peut voir l’accomplissement de ses visions réglementaires basées sur le vert qu’il a maintenu depuis longtemps devenir réalité tout de même, en raison d’une population ignorante.

L’accord lui-même est d’une grande portée et il exige des nations participantes d’empêcher activement, par le biais des contrôles réglementaires, la température moyenne mondiale d’augmenter de plus de deux degrés Celsius au-dessus « des niveaux pré-industriels », et de « procéder à des réductions rapides » sur les différents niveaux d’émission dans le monde entier.  En d’autres termes, bye-bye la production économique des États-Unis.

Cependant, techniquement, la signature d’Obama ne veut rien dire.  Pourquoi ?

Le Sénat n’a jamais ratifié le traité, comme l’exige la Constitution.  Obama peut signer tout ce qu’il veut, mais vraiment, l’accord ne va pas durer plus longtemps que janvier, lorsque son administration se terminera.

Donc, dit le jargon juridique, de toute façon …

Mais, ce président opère sous une politique de première action, demande-t-il la permission ? Jamais !  Et, si l’Amérique tourne les yeux sur ce qu’il a fait au cours des derniers mois, pas seulement avec le Traité de Paris, mais, avec son utilisation de l’Agence de Protection de l’Environnement pour forcer les contrôles réglementaires rejetés par le Congrès, la réalité c’est que les dispositions de l’accord et bien plus, vont prendre racine et devenir la nouvelle norme nationale.  Il ne sera pas long avant que toutes ces mesures environnementales soient considérées comme contraignantes.

« Si le prochain président continue la politique du président Obama avec l’Agence de Protection de l’Environnement et le traité sur le climat de l’Organisation des Nations Unies, nous allons avoir une situation où ces réglementations climatiques seront codifiées » a déclaré Morano.

Un impact immédiat ?

« L’industrie du charbon sera depuis longtemps morte et enterrée, » dit-il.

Plus de détriments vont bientôt suivre.

« Ayez peur, ayez très peur de l’agenda de l’Organisation des Nations Unies », a déclaré Morano.  « L’Organisation des Nations Unies tente maintenant depuis au moins 1992 de ligoter les États-Unis dans un régime de réglementation environnementale … mais, l’Organisation des Nations Unies admet ouvertement qu’ils veulent redistribuer la richesse par l’intermédiaire de la politique climatique.  Il s’agit d’une ingénierie sociale. »

La situation est d’autant plus préoccupante que la volonté du peuple américain a été claire depuis des années : Les électeurs ne veulent pas de règles trop restrictives au sujet des changements climatiques.  Non seulement le Cap and Trade s’est-il constamment écrasé dans les flammes législatives, non seulement l’Organisation des Nations Unies n’a pas reçu les ratifications du Sénat des États-Unis américain sur ses nombreux traités et accords environnementaux. Mais, ces victoires du camp des sceptiques climatiques sont même venues pendant que les démocrates faisaient table rase des plus hautes fonctions politiques du pays, tout en conservant des majorités à la Chambre et au Sénat, et servaient sous le président de leur propre parti.

« Nous faisons face à une défaite politique pour la première fois au sujet des réchauffements climatiques », a mis en garde Morano.

Tous les yeux peuvent actuellement être tournés vers la campagne présidentielle. Et, les électeurs de l’esprit du libre marché et les conservateurs attendent peut-être avec anticipation et soulagement, l’exode de Barack Obama.  Mais, son départ ne permettra pas d’annuler automatiquement les huit dernières années. Rappelez-vous, c’était la procureure générale, Loretta Lynch, qui a dit au début de 2016 que son « objectif était de positionner » le Département de la Justice à poursuivre le programme d’application de la loi du président Obama, longtemps après son départ.

Il semble que la Maison Blanche a établi les mêmes conceptions sur le programme environnemental d’Obama, en abandonnant le sort de la souveraineté des États-Unis, après janvier 2017, dans un état d’incertitude, de danger et potentiellement plus de fin. Seule une circonscription consciente, enhardie par une passion pour la liberté et pour l’amour du pays, peut contrôler la bête bureaucratique de Washington et forcer le nouveau président, quel qu’il soit, de garder l’état d’esprit de « L’Amérique en premier ».

Source : News With Views

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

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