L’OCCIDENT CONTRE LE RESTE


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Par Frosty Wooldridge – Le 16 juillet 2018

L’attaque contre la civilisation occidentale.

« Voici comment ils ont détruit leurs pays », a déclaré Lamm.  « D’abord, faites de l’Amérique un pays bilingue ou multilingue et biculturel.  L’histoire montre qu’aucune nation ne peut survivre à la tension, au conflit et à l’antagonisme de deux ou plusieurs langues et cultures concurrentes.  C’est une bénédiction pour un individu d’être bilingue ; Cependant, c’est une malédiction pour une société d’être bilingue.  Le chercheur historique Seymour Lipset l’a exprimé ainsi : Les histoires de sociétés bilingues et biculturelles qui ne s’assimilent pas sont des histoires de tourmente, de tension et de tragédie.  Le Canada, la Belgique, la Malaisie et le Liban sont tous confrontés à des crises d’existence nationale dans lesquelles les minorités font pression pour l’autonomie, voire l’indépendance.  Le Pakistan et Chypre ont divisé.  Le Nigeria a réprimé une rébellion ethnique.  La France est confrontée à des difficultés avec les Basques, les Bretons et les Corses. »

Dans cette entrevue continue avec Bromwell Ault, vous apprenez probablement le dilemme de l’Amérique à partir de ses faits sur ce qui se passe dans le reste du monde.  Ce qui leur arrive, finalement, nous arrivera.

Il déclare : « La civilisation occidentale se trouve dans une position d’isolement croissant face au reste du monde où la population et la pauvreté alimentent la politique de ressentiment proche du monde qui cible la culture et les institutions de la civilisation occidentale.  Une chose est certaine : Les nouvelles forces qui essaient de se débarrasser de la civilisation occidentale poursuivront leurs efforts et ils s’intensifieront en utilisant à leur avantage le nombre croissant de la population mondiale.  Cette attaque est en cours depuis un demi-siècle sans que l’attention de notre peuple et du gouvernement ne lui soit accordée.  Les 50 prochaines années seront critiques !  Que pouvons-nous attendre de nos dirigeants ? Qu’allons-nous faire ?  On s’en fout ?  Et, pourquoi pas nous ? »

Jamais auparavant, dans l’histoire, l’humanité n’a été en mesure de remonter si efficacement dans le passé, de recueillir des informations, de les étudier dans le présent et de projeter dans le futur la variété et les conséquences de son impact sur nos mondes humains et naturels.  La question demeure cependant de savoir comment nous utiliserons nos nouvelles connaissances et compétences.

La première chose que nous devons reconnaître à propos de l’animosité contemporaine envers la civilisation occidentale est qu’elle est répandue et composée de plusieurs parties.  Sans surprise, peut-être, elle le trouve partout où les Occidentaux exploraient, s’installaient, se développaient, faisaient du commerce, faisaient la guerre, signaient des traités et créaient des gouvernements et/ou des frontières.  Cette liste couvre la plupart des masses terrestres et des routes maritimes de la Terre.

Les griefs ont un moyen de commencer petit et grandir avec le temps, souvent aidé par la technologie, la population, la pauvreté et les catastrophes naturelles. Dans le drame continu des attaques contre la civilisation occidentale, nous indiquerons ce que nous pensons être les forces les plus dangereuses, leurs sources et la meilleure façon de les combattre, de les détecter ou de les neutraliser.

Il y a un autre facteur impliqué qui est tout aussi essentiel que résister aux attaques externes.  Il s’agit de savoir si l’Occident, et surtout les États-Unis, peuvent s’éduquer à la réalité de la situation, résister à la rectitude politique et à d’autres formes d’intimidation et renouveler les valeurs de courage et d’unité dans notre caractère auxquels nous avons pu faire appel et exercer à d’autres moments, mais qui sont maintenant absents.

Cela nous amène face à l’essentiel au cœur de notre crise de la civilisation occidentale, et c’est que, par notre réponse, nous avons réussi à nous faire autant de mal qu’à nos adversaires.  Cet échec nous a empêchés de prendre des mesures décisives et d’obtenir des résultats concrets.  Par exemple, dans notre politique d’immigration, nous devons décider si notre loi doit servir nos intérêts nationaux ou ceux des éléments américains et étrangers qui favorisent l’admission de millions de migrants « cherchant une vie meilleure » (nourriture, vêtements, éducation, abri, soins médicaux, etc. …)

Nous avons permis à ce processus d’auto-défaite et à la psychologie qui l’inspire, qui contredit deux siècles de pensée et de développement américains, de prendre racine et de grandir.  Et, ceci a été efficacement exploité par des éléments politiques nationaux qui considèrent l’Occident comme une culture en déclin qui doit céder devant le nombre croissant, les exigences et l’autorité politique du  « Nouvel Ordre Mondial » émergent.

Ce sont des mots difficiles à entendre, mais, écoutez-les, car ce n’est qu’en articulant nos vraies valeurs que nous pourrons les retrouver.  Alors que nos dirigeants élus sont amenés à faire des hyperboles fréquentes sur la supériorité de nos systèmes juridiques, militaires et économiques, ils ne semblent pas réaliser comment leurs politiques et leurs actions ne protègent pas la civilisation occidentale et augmentent les menaces contre elle et nous.  Cela a été un échec monumental de la part de l’Occident.  Une étude attentive peut révéler à la fois des raisons et des excuses pour sa posture couchée sur le dos, mais c’est néanmoins un échec.

LA VUE À PARTIR DES YEUX D’UN OISEAU

Dans la plupart des régions du monde, on peut observer des oiseaux de proie tels que des aigles, des condors, des faucons, des hiboux et des vautours qui survolent la terre à la recherche des animaux ou de leurs restes qui servent de base à leur alimentation.  Leur vision est extraordinaire, même selon les normes animales, et ceci leur fournit une gamme de vues nécessaires à la survie comparable à celle que notre technologie nous a fournie pour extraire des informations de notre passé lointain et projeter son cours et ses conséquences pour notre avenir.

La vision de l’oiseau lui permet de couvrir une très grande surface, de noter ce qui se passe en temps réel, puis, de décider et de prendre n’importe quelle action qui semble la plus susceptible d’offrir de la nourriture ou de la protection.  En décrivant la condition dans laquelle la civilisation occidentale se trouve maintenant, nous devons emprunter la vue de l’oiseau, l’appliquer au siècle dernier, relier quelques points clés et arriver à une explication sous forme de capsules de comment la civilisation occidentale s’est laissée attaquée, diabolisée et endommagée par plusieurs éléments dans l’ordre du monde.

Source: News With Views 

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

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